vendredi 24 avril 2020

L'institut de Madame Rose - chapitre 10

Un après-midi chez madame Costa

Les deux punies avaient été installées chacune d'un côté de la table, elle n'avait pas eu le droit de remonter leur culotte si bien que leur derrière cuisant était directement posé sur le cannage des chaises rendant la position assise très inconfortable, Vanessa ne cessait de se tortiller ce qui eut pour effet d'agacer Florence
- Vanessa vient ici immédiatement, je vais te donner l'occasion de tortiller tes fesses.
La jeune fille se leva et fit le tour de la table, dès qu'elle fut à sa portée, Florence Costa lui saisit le bras pour l'attirer vers elle. Posant sa jambe sur un tabouret elle souleva Vanessa et la coucha sur sa cuisse horizontale, les pieds de la jeune fille quittèrent le sol, si elle était bien pourvue au niveau de son postérieur, elle n'était pas très lourde et madame Costa n'eut aucun mal à la tenir en équilibre sur sa cuisse, ses belles fesses rebondies étaient encore rouges et présentaient la trace du cannage. La main se leva et commença à claquer ces rotondités si bien exposées, Vanessa se mit effectivement à vraiment tortiller ses fesses, elle s'ouvrait et se refermait au rythme de la fessée, découvrant largement son intimité, mais Vanessa n'en avait cure tout à la cuisson qui lui embrasait le bas du dos. Madame Costa cessa la fessée mais pour parfaire la punition et que la leçon soit profitable, elle la garda dans cette position humiliante le temps d'un petit discours
- j'espère que tu as bien compris, tout le monde a pu voir que tu tortillais très bien tes fesses, mais quand tu écris, je ne veux pas te voir bouger, s’il le faut tu reviendras faire un petit séjour sur mes genoux, c'est bien compris ?
Elle avait accompagné cette interrogation de quatre claques sur les fesses épanouies devant elle, Vanessa se mit à pleurer
- oh, oui, aie, aie, pardon madame je ne ferai plus, aie, pardon.
Satisfaite, Florence la reposa par terre et lui saisissant l'oreille, elle la ramena à sa place. Elle ne voulait pas être injuste, aussi cette fessée était le pendant de celle reçue par Monique. Celle-ci était satisfaite et c'était avec un plaisir évident qu'elle avait assisté à la fessée de Vanessa, pour une fois que ce n'était pas elle qui exposait sa croupe. Elle avait un peu oublié la cuisson de ses propres fesses.

L'après-midi avançait, Florence décida qu'il était l'heure de la récréation, elle les fit se lever, et elles durent l'une après l'autre venir se pencher devant elle pour qu'elle examine leur fessier.
- parfait, ces fesses sont en parfait état pour la prochaine fessée, vous restez fesses à l'air mais vous pouvez vous dégourdir les jambes, je vais vous chercher un jus de fruit.
Florence Costa était ainsi, elle se montrait implacable et un peu perverse dans l'administration des punitions mais elle pouvait aussi se montrer maternelle. Monique commençait à s'habituer à son autorité et elle se surprenait à admettre le bien fondé des fessées qu'elle lui administrait. C'était un spectacle un peu surprenant de voir cette dame d'âge mûr et cette jeune fille, la jupe épinglée dans le dos, la culotte descendue sous les fesses exposant un derrière écarlate en train de boire un jus de fruit sous l'œil d'une institutrice sévère. Elle tapa dans les mains.
- bon, allez au travail, je n'ai pas l'impression que ça a beaucoup avancé ces lignes à copier, vous êtes prévenues, si ce n'est pas fini, vous reviendrez demain me présenter vos fesses.
Évidemment, le nombre de lignes à copier était bien trop grand pour pouvoir être terminé à temps et Florence le savait très bien. A 18h, elle ramassa les copies, les deux punies durent se lever et venir devant madame Costa qui s'était assise sur une chaise.
- vous étiez prévenue, Monique, en position vite !
En un instant celle-ci avait retrouvé une position qu'elle connaissait trop bien depuis quelques temps, couchée en travers des cuisses d'une dame, les mains posées par terre, les jambes pendantes de l'autre côté et au sommet de la courbe formée par son corps une paire de fesses bien exposées et comme d'habitude la brûlure de la première claque suivie par toutes les autres et l'impossibilité de se retenir de supplier et enfin de pleurer. La suite aussi était classique, le nez au mur, les mains sur la tête pendant que retentissait dans son dos la fessée de Vanessa qui elle aussi pleurait à chaudes larmes. Quand les deux corrections furent terminées, Florence leur annonça la suite, elle avait préparé deux carnets à leur nom.
- c'est votre carnet de liaison où est indiqué vos punitions, pour aujourd'hui c'est 4 fessées que vous avez reçues, toi Vanessa tu le feras signer par ta maman, je pense que tu peux t'attendre à une bonne déculottée.
Elle remit son carnet à Monique, en lui disant
- pour toi pas de maman pour le signer et te corriger, c'est bien dommage.
Madame Dumon était un peu inquiète de cette remarque, mais elle fut rassurée en pensant à sa situation, elle était divorcée son ex habitait loin, elle se demanda si par hasard, il l'aurait déculottée pour lui administrer une fessée, elle balaya cette pensée désagréable, la seule personne qui habitait chez elle de temps en temps c'était sa fille Elodie âgée de 23 ans qui finissait des études de prof de sport.
Elles purent enfin se reculotter, elles se rendirent compte qu'elles avaient passé tout l'après-midi les fesses à l'air.
- je vous attends demain matin à 10h, vous finirez vos copies.

Dans l'ascenseur, Vanessa s'adressa à Monique
- tu as de la chance de ne pas habiter chez ta mère, moi je vais avoir droit à ma fessée en arrivant.
Monique sourit, elle compatissait un peu au malheur de sa compagne d'infortune. En arrivant chez elle, Elodie regardait la télé, Monique lui lança un petit bonjour et se dirigea vers sa chambre, elle voulait quitter au plus vite sa tenue de collégienne. Elodie l'interpella.
- maman, on pourrait se parler ?
- attend un peu ma chérie, je me change et j'arrive.
- je ne crois pas que ça soit la peine, madame Costa vient de m'appeler...
Monique, s'arrêta net, un frisson la parcourut. Elle regarda sa fille, Elodie était une grande jeune femme blonde, très sportive aussi stricte et mûre que sa mère était désorganisée et un peu fofolle, elle souriait.
- tu peux enlever ton manteau s'il te plaît.
Monique ne savait plus quoi faire, elle tenta une dernière chose,
- mais enfin, Elodie laisse-moi un peu tranquille
- tu préfères que j'appelle madame Costa ou peut-être un séjour chez madame Rose ?
Monique se rendit compte que la partie était perdue, lentement elle quitta son manteau et elle apparut dans son costume de collégienne.
- quelle ravissante jeune fille, tu n'as pas été très sage cet après-midi, dit moi. Madame Costa m'a expliqué qu'elle avait été obligée de te donner la fessée, c'est vrai ?
Monique était sidérée, aucun mot ne sortait de sa bouche
- tu ne veux pas répondre, et bien nous allons vérifier, viens ici et tourne-toi.
Comme un automate, elle s'exécuta présentant ses fesses recouvertes encore par la courte jupette.
- retrousse ta jupe !
Les ordres étaient donnés d'une voix autoritaire qui ne laissait rien présager de bon, habituée depuis maintenant 15 jours à obéir sans discuter madame Dumon présentait maintenant sa culotte blanche de petite fille à Elodie. Celle-ci saisi l'élastique de la culotte et elle la descendit sous les fesses. Elles étaient encore bien colorées par les fessées successives.
- c'est bien ce que m'a dit madame Costa, tu as été très vilaine, elle a bien fait.
Monique n'en croyait pas ses oreilles, sa fille lui parlait comme à une gamine pas sage qui rentrait de l'école, le retour à l'enfance se poursuivait mais cette inversion des rôles avait quelque chose d'à la fois irréel mais aussi très pervers.
- tu tiens ta jupe bien relevée que je voie tes fesses et tu vas te mettre au coin.
Décidément Elodie apprenait vite, Monique obéit sans dire un mot et elle appuya son nez contre le mur comme elle l'avait appris à l'institut de madame Rose.
Elodie prit son sac à main et en tira les 2 carnets de punition, celui de l'institut et le nouveau de madame Costa. Elodie avait été souvent agacée par le laisser aller de sa mère et sa tendance à la procrastination, elle s'était souvent demandé pourquoi sa grand-mère l'avait élevée comme ça, elle avait plutôt le caractère de son père. Elle prit bien soin de tout lire, elle constata que depuis une quinzaine de jours Monique avait rattrapé le temps perdu par l'éducation laxiste de sa propre mère, le nombre de fessées déculottées reçues était impressionnant. Il fallait peut-être en passer par la songea-t-elle. En attendant madame Dumon redevenue une collégienne rentrant de l'école avec un mauvais carnet de notes exposait toujours son fessier déculotté.
- remonte ta culotte et vient me voir !
Sa décision était prise, elle allait s'occuper de sa mère et s’il fallait en passer par la fessée pour la faire changer d'attitude et bien on en passerait par là.
- à ce que je vois, madame Costa et madame Rose t’ont déjà bien repris en main et à voir le nombre de fois où tu as été punie je pense qu'il y a du travail, pour un meilleur résultat je vais m'occuper de toi à la maison. Pour commencer on va régler ce petit problème de discipline, tu étais en retenue chez madame Costa et tu t'es mal comportée, à partir de maintenant chaque fois que tu auras été punie en dehors de la maison tu seras corrigée à ton retour, normalement à chaque fessée chez madame Costa ou chez madame Rose correspondra une fessée à la maison, aujourd'hui tu as reçu 4 fessées, je devrais t'en administrer 4, comme c'est la première fois, tu n'en auras que 2, approche.
Pendant toute cette tirade, Monique était restée debout devant sa fille, la tête basse n'émettant aucune protestation, ce qui finit de convaincre Elodie du bien-fondé de sa décision. Maintenant elle était tout contre les genoux de sa fille, celle-ci n'eut qu'à la tirer légèrement pour la mettre en position pour la fessée, c'était une habitude pour Monique mais c'était la première fois pour Elodie, elle était surprise de la facilité avec laquelle sa mère avait accepté la sentence, maintenant elle avait devant les yeux la croupe de sa maman et ce qui aurait pu sembler impensable se produisit, elle retroussa la mini-jupe qui découvrait déjà la racine des fesses, puis sans un mot elle l'a déculotta, la belle paire de fesses encore rouge des fessées de madame Costa s'épanouit, mise en valeur par la position et le trait de la culotte descendue juste en dessous.
- c'est la première fessée de maman Elodie et je pense que ce ne sera pas la dernière
La jeune femme leva la main et commença la punition, elle n'avait jamais donné la fessée du moins dans de telles conditions mais elle apprenait vite, en fait Elodie avait été initiée à la fessée érotique par une amie, elle n'avait pas trop apprécié de la recevoir mais déculotter et claquer les fesses de son amie avait été un régal. Mais aujourd'hui il ne s'agissait pas de cela, elle administrait une punition à une adulte, le fait qu'elle soit sa mère n'avait pas d'importance, il fallait que la fessée soit efficace et quoi de mieux que de se baser sur la couleur des fesses et les supplications de la punie, elle avait également lu quelque part qu'une bonne fessée devait finir par les larmes de la punie, elle fut bientôt satisfaite, Monique se mit à pleurer autant de douleur que de l'humiliation de subir à nouveau ce châtiment enfantin des mains de sa propre fille. Elodie cessa la fessée mais elle garda Monique dans cette position inconfortable, celle-ci pleurait doucement, elle lui tapota les fesses.
- voilà une paire de fesses bien chaudes, j'espère que ça te servira de leçon, je ne veux plus entendre quelqu'un se plaindre de ta conduite, si c'est le cas tu sais ce qui t'attends, un passage sur mes genoux la culotte baissée, bien maintenant tu files au coin, le nez au mur et les mains sur la tête.
Monique s'exécuta sans demander son reste, elle était vraiment redevenue une gamine punie à son retour de l'école. Elodie coinça l'arrière de sa jupe dans la ceinture pour bien dégager le fessier rubicond puis elle revint s'asseoir sur le canapé et pris son téléphone.
- allo, madame Costa, oui, c'est Elodie la fille de Monique, je tenais d'abord à m'excuser de la mauvaise conduite de maman, mais rassurez-vous j'ai suivi votre conseil, c'est vrai qu'une bonne fessée déculottée remet du plomb dans la cervelle des effrontées, oui, oui, elle en a reçu une bonne et maintenant elle pleure au coin avec les fesses bien rouges.
Madame Dumon écoutait cette conversation, oui c'était bien d'elle dont on parlait, elle l'ophtalmologue réputée qui était ramenée au rang de gamine effrontée que l'on corrige en la déculottant, ses fesses la brûlait mais c'était surtout la honte qui l'envahissait. Elodie la laissa 1/2h au coin, puis jugeant la punition suffisante pour une première fois elle la fit se reculotter mais elle n'eut pas le droit de quitter sa tenue de collégienne, elle essaya de faire bonne figure mais c'était un peu difficile d'affronter le regard de sa fille, celle-ci ne semblait pas du tout gênée, c'était assez curieux mais une nouvelle hiérarchie s'était établie dans la maison, c'était maintenant elle l'adulte, elle prépara le repas et fit mettre la table à Monique celle-ci s'exécuta comme une jeune fille obéissante. Elodie discutait de choses et d'autres, elle semblait avoir oublié qu'une heure auparavant la dame qui lui faisait face était allongée fesses à l'air sur ses genoux. Après avoir débarrassé la table, Monique fut ramenée à la réalité.
- vu ta conduite de cet après-midi, tu es bien sûr privée de télé, tu montes dans ta chambre et tu me copie 100 fois la phrase suivante "j'ai été vilaine et j'ai bien mérité la fessée déculottée de maman Elodie".
Sans dire un mot, Monique s'exécuta, 1h plus tard, Elodie vint vérifier son travail, elle s'était appliquée bien qu'écrire cette phrase où elle reconnaissait le bien-fondé de sa punition avait été un peu difficile. Sa fille lui sourit en prenant les feuilles.
- c'est bien, maintenant tu mets ton pyjama, je n'en ai pas tout à fait fini avec tes fesses, ne traîne pas, je reviens.
Quelques instants plus tard, elle était de retour une brosse à cheveux à la main, en la voyant, Monique ne put s'empêcher de rougir, c'était typiquement l'instrument utilisé par les mamans pour corriger leur grande fille. Elodie avait définitivement changé de rôle. Elle souriait toujours en s'asseyant au bout du lit, elle tapota ses cuisses.
- je suppose que tu connais la position
Bien sûr Monique connaissait la position, trop bien même, elle se coucha sur les genoux de sa fille, celle-ci ajusta la position de façon à avoir les fesses bien à sa portée puis elle saisit la ceinture de la culotte du pyjama et la tira vers le bas, les fesses serrées apparurent, elles avaient perdu un peu de leur couleur, Elodie prenait son temps, c'était un vrai plaisir pour elle de voir sa mère si docile prête à recevoir une cuisante fessée déculottée et ne montrant aucun signe de révolte. Décidément se dit elle, madame Rose a fait du bon travail et c'était exact, Monique résignée attendait sa correction pourtant c'était une jeune femme d'à peine un peu plus de 20 ans qui allait lui administrer ce châtiment enfantin et en plus c'était sa fille. Les fesses se contractaient dans l'attente de la première claque, Elodie attendait toujours en souriant
- j'espère que tu regrettes ta conduite de cet après-midi, et que tu n'es pas près de recommencer, tes fesses vont goûter à ma brosse à cheveux, elle leva enfin l'instrument de punition et Monique se mit à crier et à pleurer. La fessée ne fut pas très longue, les fesses étaient encore sensibles des fessées précédentes et elles reprirent vite une très jolie couleur. Quand la punition fut terminée elle la conduisit devant la glace et la força à regarder ses fesses.
- regarde bien, tes fesses, comme elles sont bien rouges, voilà comment elles seront chaque fois que tu seras vilaine.
Elle la conduisit vers son lit et tira la couette, la culotte du pyjama était toujours descendue
- couche toi sur le ventre et reste les fesses à l'air le temps que je fasse ma toilette, je reviens tout à l'heure.
Elle laissa sa mère ainsi pendant 10 ', pleurnichant, quand elle revint elle n'avait pas bougé et elle exposait toujours son fessier écarlate, elle lui remonta le pyjama et éteignit la lumière comme une maman l'aurait fait avec sa fille.
Le lendemain matin, elle était déjà dans la cuisine quand Monique arriva, elle lui fit une bise et lui demanda si elle avait bien dormi, celle-ci fit un petit signe de la tête.
- viens un peu me montrer tes fesses
Elle fit pivoter sa mère et sans façon lui baissa la culotte jusqu'à mi-cuisse et elle la fit se pencher, elle passa sa main sur l'épiderme redevenu presque blanc, une légère rougeur persistait cependant.
- eh bien voilà de bien jolies petites fesses, prêtes pour une nouvelle fessée si tu la mérites.
Elle reculotta sa mère comme une maman l'aurait fait et l'invita à se mettre à table. Évidemment Monique était très gênée par la situation et elle ne disait pas un mot ce qui eut le don d'énerver Elodie
- cesse de faire la tête, sinon tu vas la faire pour une bonne raison !
Monique ne répondit toujours pas, elle se rendit compte trop tard que c'était une erreur, sa fille s'était levée l'avait pris par le bras et posant son pied sur un petit tabouret l'avait basculée en travers de sa cuisse, la culotte du pyjama était arrivée aux genoux en un clin d'œil et la fessée avait retenti dans la cuisine. Elodie était grande et sportive aussi elle n'avait eu aucun mal à placer sa mère dans cette position, elle la tenait fermement en équilibre sur sa cuisse, ses pieds étaient décollés du sol et battaient l'air au rythme des claques, la culotte du pyjama était arrivée autour des chevilles de la pauvre Monique et son derrière présentait à nouveau les stigmates d'une bonne fessée. Elle la reposa par terre.
- bien, j'espère que tu as compris, remonte ta culotte, la prochaine fois, tu déjeuneras cul nu.
Monique ravala ses larmes et tenta de faire bonne figure pour éviter une nouvelle mise à l'air de ses fesses. Quand le déjeuner fut fini, Elodie l'envoya se doucher
- ensuite tu m'attends dans ta chambre, je veux vérifier ta tenue.
Quelques minutes plus tard, Monique attendait au pied de son lit, sa serviette enroulée autour d'elle. Elodie qui était déjà prête lui tendit à nouveau sa mini-jupe de collégienne,
- tu remets la même tenue qu'hier puisque tu es à nouveau punie, il n'y a pas de raison de changer, par contre il te faut une culotte propre, voyons un peu ce que tu as.
Elle fouilla sans façon dans la commode de sa mère, mais celle-ci était coquette et ne portait que des sous-vêtements à la mode, avec de la dentelle ou très transparent.
- décidément, il n'y a rien de correct pour une jeune fille, nous irons demain t'acheter des culottes correctes, en attendant met ça, je ne suis pas sûr que ça convienne à madame Costa.
Elle lui avait tendu une culotte en dentelle qui couvrait certes les fesses mais laissait voir la peau au travers du fin tissu.
- tache de ne pas trop te pencher, sinon tout le monde verra que tu as commencé la journée avec une bonne fessée.
Elodie avait dit ça en riant, en effet on voyait parfaitement les traces rouges de la fessée sous la petite culotte.
- tu es prête ? Alors on y va
Monique l'interrogea du regard.
- oui, c'est moi qui t'emmène, je veux faire la connaissance de madame Costa, je te dépose et je reviendrai te chercher à midi, allez en route.
Elle avait accompagné ces derniers mots d'une claque sur la courte jupette.
Madame Dumon était morte de honte dans l'ascenseur, surtout qu'elles avaient retrouvé Vanessa, un peu surprise de voir sa nouvelle copine accompagnée par une jeune femme à l'air sévère. Elodie se présenta à madame Costa, celle-ci fut enchantée
- je suis ravie que vous ayez accepté de prendre en charge Monique, elle a vraiment besoin qu'on s'occupe d'elle, mais ne partez pas si vite, ces demoiselles sont punies, je commence toujours la retenue par une bonne fessée déculottée et une séance de mise au coin, une fessée publique sera bien plus profitable.
Elle s'était installée sur une chaise et faisait signe à Vanessa, celle-ci était rouge de honte de recevoir ce châtiment humiliant devant Elodie qui n'était pas beaucoup plus âgée qu'elle, mais Florence ne lui laissa pas le temps de réfléchir, elle la bascula en travers de ses cuisses la troussa et lui baissa rapidement la culotte, la fessée qui suivi fut rapide mais sévère, quand Vanessa put se relever ses joues étaient aussi rouges que ses fesses et quelques larmes coulaient, tout à la cuisson de son derrière elle avait oublié la présence d'Elodie qui avait apprécié la technique de l'ancienne institutrice. C'était au tour de Monique, sa confusion était visible, bien sûr Elodie l'avait déjà fessée et pas plus tard que ce matin, mais il lui paraissait beaucoup plus gênant de recevoir une fessée déculottée devant elle, Florence Costa ne lui laissa pas le temps de trop réfléchir, elle la bascula à son tour dans la position classique d'une fessée maternelle, la jupette s'était naturellement relevée, découvrant la lingerie en dentelle.
- qu'est-ce que c'est que cette culotte, non mais où te crois-tu,
La main avait claqué rapidement les fesses tendues, provoquant des cris de Monique. Elodie attendit que la première salve de claques fût terminée pour intervenir.
- je suis bien d'accord avec vous, ce n'est pas une culotte pour une jeune fille, mais sa culotte petit bateau était sale et je n'ai rien trouvé d'autre à lui mettre, ne vous inquiétez pas demain nous allons régler ce problème, je l'emmènerai acheter des culottes plus conformes à son état.
Elodie prenait vraiment son rôle au sérieux, on aurait dit une maman s'adressant à une maîtresse d'école.
- mais je vous en prie, si vous jugez que ça mérite une fessée supplémentaire vous avez mon autorisation.
- pour cette fois-ci, cela ira, Monique va simplement recevoir la fessée prévue, je compte sur vous pour lui acheter des culottes correctes.
Quand les deux punies furent
installées au coin, tenant leur jupe pour découvrir leurs fesses, Elodie prit congé.
- je vous laisse, je vois que Monique est en de bonnes mains, je la récupère à midi. Soit sage ma chérie tu sais que si madame Costa avait à se plaindre de toi, je me chargerais de tes fesses à la maison !
Elodie revint à midi comme prévu, Vanessa était debout devant Florence, elle tenait sa jupe retroussée, la culotte était à mi-cuisse découvrant une paire de fesses écarlates, l'institutrice était en train de remplir le carnet de liaison
- je note les 3 fessées que j'ai dû t'administrer ce matin, je ne pense pas que cela va plaire à ta maman, tu peux préparer tes fesses ma chérie. Et n'oublie pas de me ramener le carnet signé pour ta prochaine leçon. Vanessa acquiesça
- oui madame.
Elodie intervint à ce moment
- ah la maman de cette jeune fille utilise les mêmes méthodes que moi à ce que je vois. Elle te donne souvent la fessée déculottée ta maman ?
Vanessa était rouge jusqu'aux oreilles, elle savait que la jeune femme qui s'adressait à elle n'était guère plus âgée qu'elle mais elle la traitait comme une gamine désobéissante et en plus elle avait une vue parfaite sur son derrière déculotté. Elle ne répondit pas ce qui lui valut une claque sur la fesse qui était à la portée de la main de madame Costa
- quand on te pose une question, on répond quand on est polie.
-aie, aie, pardon madame, oui enfin c'est à dire, euh assez souvent.
- tu n'es donc pas très sage, si maman est obligée de te déculotter.
Elodie prenait son rôle de nouvelle maman très à cœur, elle s'adressait à Vanessa comme à une petite fille que l'on gronde. Celle-ci hésitait à répondre à ces questions indiscrètes mais la crainte d'une fessée était plus forte.
- oh, si madame, je suis sage, ce n'est pas souvent que je suis punie
Elodie remarqua que Vanessa l'avait appelé madame, elle sourit et mis fin à cette petite humiliation. Madame Costa lui permit de se reculotter. Puis se tournant vers Monique qui était le nez au mur tenant sa jupe retroussée sur des fesses bien rouges.
- à nous Monique, vient ici.
Elodie en voyant la couleur du fessier de sa mère se doutait bien qu'elle aurait du travail de troussage et déculottage en arrivant à la maison.
- à ce que je vois, vous avez été obligée de sévir ?
- oh vous savez bien avec ces jeunes filles si on ne remet pas de temps en temps les pendules à l'heure, il y a du laisser-aller, Monique a reçu 2 fessées en plus de celle que je lui ai donnée en arrivant
- ce qui nous fait 3 fessées à la maison ! Nous n'allons pas perdre de temps, si vous le permettez, je vais commencer par lui administrer la première ici, en plus elle est prête, la culotte est déjà baissée, Monique vient ici !
Monique sursauta, bien sûr les deux personnes ici présentent savaient qu'elle recevait la fessée à la maison, mais ce n'était pas tout à fait la même chose que de la recevoir en vrai, elle allait recevoir une fessée administrée par sa fille et en public. Elodie ne pensait pas à ça, tout à son nouveau rôle de maman elle voulait montrer son autorité et celle-ci passait par l'administration immédiate de la punition méritée. Elle s'était assise sur une chaise et avec le doigt elle désignait ses cuisses, Monique résignée s'approcha, en un clin d'œil elle fut en position, la jupette fut retroussée haut sur les reins, la culotte descendue jusqu'aux genoux. Certes sa mère était déjà en tenue pour la fessée déculottée mais elle tenait à montrer qu'elle savait mettre en condition une punie. Sa main se leva et bientôt malgré son désir de rester stoïque, madame Dumon se comporta comme n'importe quelle grande fille cul nu sur les genoux de sa mère, elle criait, pleurait, implorait la clémence et exécutait une très expressive danse des fesses. Elodie ne cessa la fessée que lorsque les larmes coulèrent sur les joues de Monique, les deux hémisphères étaient maintenant entièrement écarlates, on aurait pu penser qu'elle avait mis une belle culotte rouge. Elodie la fit se relever et elle lui demanda de tenir bien haut sa jupe pour qu'on puisse bien voir ses fesses. Florence Costa en souriant lui tendit son carnet de liaison
- à me ramener signer vendredi, je pense que tu vas dormir sur le ventre ma petite.
Elle se reculotta sous l'œil des 3 personnes présentes en grimaçant un peu quand la dentelle de la fine culotte frotta son épiderme endolori.
Arrivée à la maison, Elodie lui annonça
- je vais préparer le repas, toi tu files te mettre au coin tu baisse ta culotte et tu tiens ta jupe retroussée que je surveille la couleur de tes fesses.


Monique s'exécuta, les longs moments passés au coin à exposer ses fesses rougies étaient aussi des moments de réflexions, elle songea aux changements intervenus dans sa vie depuis une quinzaine de jours, elle était passée du statut de bourgeoise sûre d'elle-même à celui d'une grande fille dont personne n'hésite à baisser la culotte et pis encore elle était maintenant sous l'autorité de sa propre fille contrainte d'obéir au doigt et à l'œil sous peine d'un châtiment humiliant, elle compta rapidement, c'était maintenant 6 personnes d'âge divers qui l'avait couchée sur leurs genoux, déculottée et fessée. Il y avait eu d'abord madame Rose, puis Sophie, ensuite madame Costa s'était elle aussi occupée de son fessier, à sa suite Aurélie avait été embauchée et celle-là n'était pas en reste pour les déculottées, le malheur avait voulu qu'elle aille voir madame Laval fesseuse de grandes filles et enfin Elodie sa fille s'était chargée de lui rappeler qu'il n'y a pas d'âge pour donner ou recevoir la fessée . Et vu la façon dont elle l'avait traité depuis hier ça ne semblait pas prêt de s'arrêter.


Sylvie nous a déjà gratifiés de plusieurs récits.

Vous trouverez le premier ici et l'ensemble de ceux-ci sur la page des auteurs invités

Et celui-ci comporte un épisode précédent

Vous pouvez le lire pour savoir ce qui s'est passé auparavant dans l'institut de Madame Rose : chapitre 9
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1

Et il y a une suite...

... la semaine prochaine, c'est assez probable.

Et toujours les commentaires

Une nouvelle série qui commence, un nouvel épisode publié, cela mérite bien quelques mots d'encouragement... ou le contraire.

24 commentaires:

  1. Sylvie,

    Une fois de plus votre texte est truffé de fautes lourdes et en nombre croissant alors que vous êtes en état de récidive :

    - Un frisson l’a parcouru (et non « la »)
    - Ça à beaucoup avancé (et non « a »)
    - Vient un peu montrer tes fesses (et non « viens »)
    - L’avait basculé (et non « basculée »)
    - Ou te crois-tu ? (et non « où »)

    Par ailleurs, vous gagneriez à surveiller la ponctuation et le style (adjectifs répétés notamment). Tels vos personnages, vous avez besoin que soient corrigées les fautes et la fautive, voire d’un tutorat pour que vos textes soient relus avant d’infliger votre laisser-aller en matière d’orthographe aux lectrices et aux lecteurs. Vous pouvez aussi répondre à mon second message du 17 avril sous votre précédent texte.

    Au plaisir de vous lire,

    Doumik

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    Réponses
    1. Mon cher Doumik,
      Connaissez vous l'adage : "la critique est aisée, l'art est difficile" ? Nous attendons donc avec impatience vos récits... sans aucune faute d’orthographe, cela va sans dire.
      Puisque nous sommes sur ce sujet, un correcteur exigeant ne doit-il pas éradiquer toutes les fautes d'orthographe ? Voyons, voyons... "la parcouru", écrivez-vous... ne serait-ce pas plutôt "la parcourut", avec un t à la fin ? Quelle correction mérite un correcteur qui corrige négligemment ? Pourriez-vous me donner les coordonnées d'ne personne qui serait à même de vous administrer la fessée déculottée que vous avez mérité pour ce travail bâclé ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG

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    2. Cher JLG,

      Il ne s'agit pas d'accabler Sylvie, mais, en toute cohérence, de l'aider à s'appliquer à elle-même les principes qu'elle invoque et illustre dans ses récits. Il y va de son bien et de sa crédibilité. Elle a d'ailleurs eu la lucidité et l'honnêteté de reconnaître le bien-fondé d'être punie le 17 avril.

      L'accumulation des fautes rend difficile le fait de les relever toutes en une lecture et la participation de tous sur votre blog interactif augmente la valeur de celui-ci. A la relecture, il m'avait échappé (comme à vous cher ami) d'autres fautes dans ce long texte :
      - un petit séjour sur mon genoux (et non "mon genou" ou mes genoux")
      - des culottes plus conforme à son état (et non "conformes")

      En revanche, dans votre courte réponse sur le thème de la négligence, vous avez oublié le trait d'union de "connaissez-vous", le "u" dans les coordonnées "d'une" personne, puis le "e" de la fessée déculottée que vous avez "méritée" pour ce travail bâclé. Une fois déculotté, comment évaluez-vous vos propres mérites dans l'optique d'une punition ?

      Pourquoi ne pas laisser à Sylvie le soin d'apprécier la cohérence (ou non) de nos démarches et nos mérites respectifs ?

      Au plaisir de vous lire,

      Doumik

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    3. Cher Doumik,
      Que voilà un débat intéressant sur l'orthographe. Sachez, d'abord, que tous les textes, en plus d'être lu et relus par leur auteur le sont par moi, après les avoir passé au correcteur orthographique de Mr Microsoft.
      Cela permet d'éliminer un certain nombre de fautes d'orthographes, de coquilles et d'approximation de mise en forme. Hélas, cela n'élimine pas toutes les erreurs.
      Pour ma part, considérant être un orthographieur (eh oui, il y a parfois des néologismes) de bon niveau, quand je relis mes propres écrits qui, comme les autres, sont passés à la moulinette que je décris ci-dessus, je découvre encore des fautes résiduelles et des répétitions mal venues, même après plusieurs lectures. C'est donc un art difficile et il faudrait avoir le temps d'une relecture centrée uniquement sur l'orthographe et la grammaire, ce qui n'est pas le cas.
      Par contre, je ne voudrais pas que le barrage de l'orthographe empêche quiconque de se lancer dans l'écriture... ni que cet éventuel futur auteur se sente découragé d'avance par les critiques qu'il pourrait recevoir sur la forme de ces récits.
      Cela-dit, je maintiens un niveau minimum d'exigence sur lequel je me mets d'accord au préalable avec les auteurs avant de publier leur texte. En particulier, je refuse les écrits dont la construction des phrases est défaillante au point d'en rendre la lecture ardue. Je n'ai alors pas le temps de tout réécrire en français lisible.
      Il arrive donc, et ce presque à chaque fois, que des fautes d'orthographe et de grammaire restent dans les textes publiés. Je les corrige quand elles sont signalées, ce qui est le cas de celles que vous avez repérées.
      Vous voyez, je me garde bien de de prétendre au zéro défaut pour moi-même et de l'exiger pour les autres.
      Cette réponse n'a pas pour objet de lancer une polémique, mais seulement d'expliquer pourquoi il peut rester des imperfections dans le texte, malgré les efforts que font les auteurs, Sylvie y compris, pour y être attentifs.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    4. Cher JLG,

      Merci pour ces explications très bien venues.

      Ni vous, ni moi, ni Sylvie ne sommes parfaits et un quelconque "intégrisme" fut-il au sujet de l'orthographe ne constituerait pas un résultat satisfaisant, bien au contraire (je vous parlerai un jour de Hoedt et Piron).

      Ce qui n'empêche pas de nous mettre de façon très ludique en cause les uns les autres, à la stricte condition d'accepter les critiques fondées des autres ! Et fort heureusement la technologie n'a pas le dernier mot, ce qui nous laisse l'espace pour consentir à jouer.

      En attendant la réaction de Sylvie…

      Au plaisir de continuer ces échanges,

      Doumik

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  2. Oh merci mon dieu, la pauvre ! Recevoir la fessée déculottée de la main de sa propre fille, quelle humiliation ! Sylvie,je plaide pour un peu de clémence pour cette maman. Quant à sa fille, j'espère que la roue va tourner !!

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    1. Ma chère Caroline quand on mérite la fessée, la personne qui l'administre n'a pas d'importance ne pensez-vous pas ?

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    2. elle prend soin de sa mere qui en a besoin sinon elle n'aurait pas ete dans cet institut. pourquoi la roue devrait elle tourner?

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    3. Sylvie, je suis pleine d'empathie pour cette maman et j'aimerais tellement que sa fille s'en prenne une bonne aussi. Comme ça elle verra ce que ça fait de se faire baisser la culotte pour une vrai fessée déculottée. Pas ces petits jeux saphiques avec son amie ! PS je n'ai pas reçu un exemplaire du contrat lol

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    4. Ma chère Caroline, je suis toujours ravie de lire vos commentaires, signe que vous aimez mes récits et que vous suivez les différents épisodes. Cependant je reste libre du déroulement du récit et si je juge que Monique doit se faire déculotter par sa fille c'est mon droit et rassurez vous ce n'est pas fini, elle va encore montrer ses fesses assez longtemps, mais vous savez qu'à l'institut personne n'est à l'abri de la déculottée pas même ces deux petites pestes que sont Sophie et Aurélie.
      Pour ce qui concerne le contrat, il est réservé aux seules personnes réellement intéressées par un traitement, ce n'est pas votre cas... vous auriez trop peur de recevoir une bonne fessée déculottée.
      Amicalement
      Sylvie

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    5. Loin de moi l'idée d'influencer votre écriture Sylvie, j'exprime juste mon ressenti. et pour mes craintes...vous avez raison. J'ai trop peur.

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    6. Peur de recevoir la fessée ou de montrer ses fesses... ��
      Amicalement
      Sylvie

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    7. Il me semble que lorsque on reçoit une fessée déculottée c'est les deux non ? Lol

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    8. Ma chère caroline voilà une réponse bien impertinente qui vous vaudrais sans nul doute un passage sur les genoux de madame Costa la culotte baissée.
      Je voulais juste vous demander si la chose qui vous fait le plus peur c'est la douleur de la fessée ou l'humiliation de présenter ses fesses nues allongées sur les genoux de sa maîtresse.
      Amicalement
      Sylvie

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    9. Je pense qu'avoir la culotte baissée, et son intimité exposée est sans nul doute plus mortifiant que la douleur des claques.

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    10. C'est bien mon avis, c'est pour cela que j'insiste tant sur le déculottage qui me paraît être le moment le plus important de la fessée. Cependant il ne faut pas négliger que la fessée doit être bien claquante pour que la punie ressente longtemps la cuisson même une fois reculottée.
      A méditer avant de mériter une fessée par son impertinence.
      Amicalement
      Sylvie

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  3. Amis de la poésie, de la déculottée orthographique et de la ponctuation sur les faisses...( je ne suis pas que ça s'écrive comme ça)) Bonjour!

    Que voila un spécimen intéressant. On ne sait pas si l'ami (ou "amie" ) Doumik est un lecteur bienveillant, attentif à la bonne tenue du blog et au stricte respect de l'orthographe. Ou alors un maniaco-dépressif, qui veille au stricte respect de l'orthographe et de la syntaxe . Choisit ton virus camarade!
    Dans les deux cas c'est un lecteur assidu...
    Le problème c'est que notre Zorro de l'accord du participe, corrige des fautes qui n'en sont pas et saccage lui même une orthographe correcte... MDR; ( Mort de rire comme on dit) Pas possible, c'est pour de faux !
    " Viens montrer tes fesses" s'écrie bien avec un "S" 2è personne du singulier d'un verbe du troisième groupe à l'impératif présent...
    -- "Où te crois tu ? " il y a bien un accent sur le "u" de "où" Adverbe ou pronom relatif qui indique un lieu...
    Bon, c'est carrément comique et en ces temps de confination... pardon ,de confinement, on n'a pas souvent l'occasion de rigoler!

    En dehors de ces petites frivolités d'écriture, le texte de Sylvie est toujours aussi vivant, vibrant et bien achalandé en fessées multiples et variées. Oula... ça claque à tous les paragraphes. Petite trouvaille amusante, on ne se refuse rien, du nouveau dans la culotte, c'est fifille qui fesse maman !!

    Confirmation, pour rassurer notre correcteur d'orthographe, le mot "postérieur" s'écrit bien avec deux fesses !(re-MDR !!! )
    A bientôt l'ami Doumik, et sans rancune ...
    Ramina

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    1. Bonjour Ramina,

      Votre message a dû croiser celui de JGL qui explique qu'il "corrige [les fautes] quand elles sont signalées, ce qui est le cas de celles que vous avez repérées". Donc vous avez dû lire mon message précédent après les corrections des fautes de Sylvie !

      Sans rancune,

      Doumik

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    2. Mon cher doumik, je trouve vos remarques orthographiques tellement déplacées sur ce blog que je vais m'abstenir de vous répondre. Cordialement
      Sylvie

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    3. Bonjour Ramina,
      Vous feriez un zéro faute à la dictée de B.PIVOT. Bravo pour vos explications qui remettent les choses en perspective. La langue française est suffisamment compliquée pour se priver de ces petits rappels.
      Pour votre question pour Doumik, c'est le diminutif de Dominic ( garçon ). Les filles "Dominique" ne prennent pas ce diminutif. Encore que, il y a aussi "Dominique" garçon. C'est compliqué ces jongleries des prénoms.
      Amitiés.
      Elena ( fille ), au moins c'est clair...

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  4. Re-bonjour Doumik...

    Oui, j'ai repéré les fautes que vous avez faites en prétendant souligner celles que Sylvie n'avait pas faites...C'est un fait ! Ou alors vos tournures de phrase sont à lire à l'envers. Bref pas bien clair tout ça! Moi même, j'ai oublié un mot dans mon précédent message... Hi, Hi lequel ? Trouvez le et je vous absous au prochain commentaire.
    La plupart des gens qui écrivent au clavier n'ont jamais appris à s'en servir (à taper à la machine, comme on disait du temps des machines à écrire ) Comme moi par exemple... Alors les fôtes !!!

    JLG, à raison il ne faudrait pas que ce genre de petite mesquinerie annihile des envies d'écriture.
    Maintenant, au point de pinaillage où nous en sommes.(avec un accent sur le "U" de où )
    " Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse..." . Alfred De Vigny. La mort du loup.)
    Cordialement
    Ramina

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  5. Bonjour à tous,
    Je pense que le sujet de fond de ce blog est beaucoup plus intéressant que ces quelques fautes d'étourderie.
    Ecrire est un art compliqué. Ne nous arrêtons pas sur ces broutilles qui pourraient nuire à l'entente cordiale des auteurs et commentateurs.
    Amitiés.
    Elena.

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  6. Bonjour à tous

    Quelques épisodes ont disparu....quel dommage

    C est vraiment une très belle série

    Bravo...et merci

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    1. Bonjour,
      Les 21 premiers épisodes de la série se trouvent sur le site. Je viens de les pointer. Il n'en manque donc pas puisque que c'est là que s'est arrêtée Sylvie... pour le moment.
      Si vous avez du mal à en trouver un, utilisez le moteur de recherche situé sous l'image en haut à droite de cette présente page. Vous allez trouver ce qui vous manque.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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