vendredi 14 août 2020

Remettre les pendules à l'heure

 Alors, comme ça, il paraît que "tout ce que pourra dire la vieille ne servira à rien" ? Qu'il n'est pas question que vous soyez plus attentive à votre travail ? Qu'elle "peut bien crier si elle veut, cela ne changera rien" ? Puisque vous êtes la nièce du directeur vous avez le "droit de faire ce que vous voulez" ?

Eh bien figurez-vous, jeune demoiselle, que moi j'ai un service à faire tourner et que, pour ce faire, j'ai besoin de collaborateurs qui mettent du cœur à l'ouvrage. C'est loin d'être votre cas. Trois semaines que vous avez été embauchée et je ne crois pas que vous m'ayez rendu un travail correct, sans compter vos retards presque quotidiens.

Vous n'avez que vingt-deux ans et  vous pensez déjà tout savoir sur le fonctionnement d'une entreprise, mais vous ne faites pas le moindre effort pour la faire tourner correctement. Je ne voudrais pas que vous entamiez votre parcours professionnel sur d'aussi mauvaises bases. Je vais donc vous apprendre quelles sont les obligations d'une employée de bureau débutante.

Le seul souci, c'est que mes remontrances ne semblent avoir aucun effet. Ce n'est pourtant pas manque d'avoir pointé vos manquements à de nombreuses reprises. J'ai l'impression que cela rentre par une oreille et sort par l'autre sans laisser de trace entre les deux. Ennuyeux, n'est-ce pas ? Ah oui, évidemment, seulement si vous considérez que ce que je vous dis est important. C'est là où le bât blesse.

Vos collègues de bureau se sont inquiétées de vos déclarations : que vous alliez me faire renvoyer, que vous étiez capable de faire mon travail sans difficulté, que je ne servais à rien, que vous alliez en parler à votre oncle... Voyez-vous, pas une d'entre elles n'a envie de vous avoir pour cheffe. Elles sont donc venues m'en parler.

Bien sûr, vous vous en doutez, j'en ai immédiatement parlé au directeur, votre oncle. Il était absolument furieux et je crois qu'il tient à avoir une petite conversation avec vous. Il m'a confirmé que toutes vos allégations ne sont que des vantardises de votre part. Il m'a dit que vous étiez coutumière du fait. Il voulait vous renvoyer sur le champ. J'ai intercédé en votre faveur.

C'est alors qu'il m'a conseillé de contacter votre mère, ce que j'ai fait ce matin. Quelle ne fut pas ma surprise à sa réaction ! Elle m'a expliqué comment elle avait recours, depuis deux ou trois ans à une bonne vieille méthode qui a fait ses preuves. Elle a donné des résultats probants avec vous. Elle m'a donc demandé, que dis-je, recommandé, voire exhorté à réagir à la moindre de vos provocations et de vos fanfaronnades et de m'y prendre comme elle.

Voilà, c'est donc pour cela que vous vous retrouvez à plat ventre en travers de mes genoux pour y recevoir une bonne fessée déculottée.

Votre mère m'a d'ailleurs dit de vous passer un message : une autre fessée vous attend à la maison ce soir. Ce sera le cas, dorénavant, à chaque fois que vous serez punie au bureau, ce qui risque d'arriver très souvent si vous ne faites pas les efforts nécessaires. Je pense que vous allez trouver de nombreux avantages à changer de comportement. Des fesses régulièrement rougies et cuisantes vont vous y aider. Je me fais fort d'y arriver et je suis sûre que je bénéficierai de la coopération de votre mère et de la bienveillance de votre oncle.


Voilà ! Vous êtes prévenue ! A chaque fois que j'aurai à redire sur la qualité de votre travail, à chaque fois que je ne serai pas satisfaite de votre comportement, lors de votre prochain retard ou à chaque fois qu'une de vos collègue viendra se plaindre de vous, ce sera la fessée. Je vous conseille donc d'être sage et obéissante et surtout d'être très attentive à votre travail.

Vous ne bénéficierez probablement pas la prochaine fois de la discrétion qui entoure cette première correction. Si je vous la donne dans mon bureau, c'est un privilège dont vous ne bénéficierez pas à chaque fois. Je vous fesserai quand vous avez mérité une correction et là où nous serons quand je prendrai cette décision.

Attendez-vous donc à être punie devant toutes vos collègues. Et cela ne m'empêchera pas de vous baisser la culotte ! Vous verrez comment cela vous fera du bien, à vous comme à elles. Je pense que la première fois où les petites pimbêches qui ont vu en vous une référence, assisteront à la fessée déculottée que je vous donnerai, cela leur donnera à réfléchir. Je pense qu'il y a d'autres jeunes filles de ce bureau à qui une bonne fessée fera du bien.


Dès que je vais en avoir fini avec vos fesses, je téléphonerai à votre mère et à votre oncle. Celui-ci m'a demandé de vous mettre au coin, la culotte baissée jusqu'à ce qu'il ait le temps de venir constater les effets de la correction que je vous administre. Ce sera probablement pas avant la fin de sa réunion. Attendez-vous à passer une bonne demi-heure en pénitence.

Ce serait étonnant qu'il n'y ait pas l'un ou l'une de vos collègues qui ait besoin d'enter dans mon bureau pendant ce temps. Ainsi, chacun sera édifié sur la punition que vous avez reçue et sur celle qu'ils risquent elles-même si je le juge nécessaire.



Merci à ...

... Funbun pour sa contribution involontaire.

La fessée au bureau, une méthode très efficace

  Marcher, la culotte baissée, vers le lieu de sa fessée          fessée déculottée au bureau


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