mardi 4 août 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 43

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

BATTOIR CASSE, C'EST LA FESSEE !

Madame Delaniaires jette un regard furieux en direction de son mari et le fustige d'un ton menaçant.
– « Attends un peu que j'en termine avec les fesses de Sébastien, et je te garantis que les tiennes vont payer cher le prix de ta négligence ! »
Tonne-t-elle, tout en recalant le derrière de son neveux sur ses cuisses pour reprendre sa fessée. Le malheureux, n'a pas profité longtemps de la brève interruption,  mais, pas de chance, c'est lui qui trinque sur le coup. Manifestement très contrariée, sa tante passe sa colère sur ses fesses en tapant de plus en plus fort. A côté d’eux sur l'autre tabouret à fessée, Géraldine, imperturbable, la main bien ferme sur un nouveau battoir tout neuf, qu’elle abat à toute volée, continue à travailler les fesses rebondissantes de Rodolphe, à grande claques sonores.
  Encore quelques aller-retour bien ajustés pour parfaire la cuisson des fesses de son neveu, et Astrid met fin à sa cuisante correction.  Elle est pressée d'en découdre avec le derrière de son mari. Géraldine de son côté, trop heureuse de disposer à volonté, d'un fessier aussi excitant à claquer que celui de Rodolphe, ne semble pas décidée à le lâcher de si tôt.
 Madame Delaniaires se débarrasse rapidement de Sébastien et l'expédie au coin cuver sa fessée, en le propulsant rageusement d'une formidable claque aux fesses. Les rondeurs en pleine cuisson tressautent encore au-dessus de l'élastique de son slip lorsqu'il arrive, en larmes, à destination. Il pleurniche en se pliant en deux comme pour atténuer la cuisson.
– « Ooooh ma tante... Vous... Vous tapez fort ! Je... je ne sens plus mes fesses !
– Après ce que je viens de te mettre, ça m'étonnerait !  Si ça ne te suffit pas, je peux t'en remettre une autre tout de suite, pour que tu les sentes mieux chauffer ! »
Le jeune homme, pris de panique,  saute d'une pied sur l'autre en se tenant le derrière à pleines mains, et comme elles ont encore augmenté de volume sous les claques, il en a vraiment plein les mains. Il trépigne sur place, exactement comme le ferait un petit garçon.
– « Non, non ma tante, non, pitié ! Ça y est... Je les sens mes fesses, je les sens bien ! Oh oui, ça chauffe, ça cuit !... Pas d'autre fessée vous plaît ! »

Géraldine, sans lever la tête, concentrant toute son énergie sur les fesses de sa victime,  ne rate cependant pas l'occasion d'en rajouter une couche.
« Mais si ma tante, allez-y ! Mettez-lui-en une autre, ça lui fera du bien et ça lui apprendra à faire le malin au bistrot avec ses copains, qui ne valent pas mieux que lui . N'est-ce pas Rodolphe ?  »
Elle ponctue sa phrase en claquées de battoir de plus en plus retentissantes. Rodolphe hulule de douleur. Il hurle si fort, qu'on n'entend même plus, du haut de son grand chêne, coucouter le hibou dans la forêt lointaine ! 

L'atmosphère, dans la boutique, est aussi tendue que les derrières et s'emplit,  progressivement, d'une exaltante odeur de cuir brûlant et de fesses chaudes, caractéristique d'une séance de sévères corrections. Tandis que Géraldine continue de s'affairer sur les fesses de son puni,  Astrid s'amuse un moment, des gesticulations craintives de son neveu, puis, se désintéresse de ses fesses pour reporter son attention sur celles de son mari.
– « A nous deux, maintenant, mon chéri ! Nous avons un gros compte à régler. Il me semble nécessaire d'avoir une petite conversation avec tes fesses, histoire de te montrer combien il va t’en cuire chaque fois que tu feras mal ton travail ! »

 Norbert ne bronche pas, tout juste un petit tremblement du derrière qu'il maintient en position haute tant qu'il n'a pas l'autorisation de se relever. Il est habitué aux terribles coups de colère de sa femme, et il sait que ce n'est surtout pas le moment de la contrarier. Il a d'autant plus intérêt à se montrer docile, qu'il ne peut réfuter son niveau de responsabilité concernant le défaut de fabrication du battoir de Géraldine. Il sent un frisson lui parcourir le postérieur, et ses fesses se contracter au-dessus de son slip, tendu sur le haut de ses cuisses. Malgré sa position courbé en deux, il sent une goutte de sueur s'insinuer dans la raie et commencer à dégouliner tout du long. La menace d'une nouvelle fessée se précisait d’autant plus qu'Astrid, délaissant le ton calme qu’elle avait adopté jusqu’à présent, élevait maintenant la voix.

–« Il serait temps, mon ami, que tu comprennes une bonne fois pour toutes, qu’ici c’est moi qui commande et que j’en ai assez de devoir rattraper tes bêtises auprès des clientes. Il suffit de lire le commentaire de notre amie Elena qui en connaît un rayon en matière d'instruments de discipline. Si on ne peut plus se fier au '' fabriqué en France'' … Où va-t-on ?  L'image de fiabilité de la maison exige une production irréprochable. Je ne sais pas ce qui t'arrive, mon cher, mais c'est loin d'être le cas depuis un certain temps. Tu te laisses aller Norbert... Je vais devoir sévir davantage, les fessées vont claquer... je te le garantis ! 
– Ooooh, Astrid... S'il te plaît...
– Justement oui, ça me plaît. Puisque tu n'es efficace que les fesses rouges, je vais te les chauffer plus souvent, fais-moi confiance ! 
– Mais... chérie, c'était juste un petit défaut sur le manche du battoir... Une bande de cuir qui...
– S'il n'y avait que ça... Dernièrement Béatrice Klakerspank, du salon de coiffure, une de nos premières clientes, s'est plainte d'un martinet qui venait de perdre deux lanières au bout de trois fessées consécutives ... seulement.  Robin le fils de Gladys, a réussi à saboter son martinet. Il y a trois jours, sa mère m’a ramené un battoir qu'elle a fendu en deux sur les fesses d'Edouard, comme chacun sait...son mari qu'elle doit corriger régulièrement. Alors ? Ça te suffit ?
– « Oui chérie... mais... mais... elles tapent toutes tellement fort... et elles fessent tous les jours et même plusieurs fois par jour !!
– Non mais Norbert !... C'est ça ton arguments ! On est censé vendre des instruments de discipline solides, à usage intense... in-des-truc-tibles.   C'est notre principal argument publicitaire. Aucune paire de fesses ne doit pouvoir y résister. ».

Géraldine, qui a entamé une nouvelle fessée, à la main cette fois, ne trouve rien de mieux que d'ironiser, en rythmant sa phrase à grandes claques retentissantes sur les fesses de Rodolphe qui n'en peut plus. Elle chantonne.
– « Les battoirs – Delaniaires – c'est pour – les gros – derrières ! »
– Exactement ma chérie ! Et c'est ce qui fait la réputation de la maison !
L'accusé, à l'anxiété grandissante, répond timidement.
– Oui, bien sûr ma chérie, c'est ce que je m'applique à faire... »
 
Malgré la menace d'une nouvelle correction, la deuxième de la journée, Norbert essayait tant bien que mal, d'atténuer les charges qui pesaient contre lui . En vain, Astrid n'était pas du genre à manquer l'occasion de lui flanquer une fessée, quitte à en provoquer une quand cela ne se présentait pas et qu'elle avait tout simplement envie de lui claquer le derrière. Là ce n'était pas le cas, il la méritait amplement.  

–«  Non Norbert... Non, il y a trop de négligence dans ton travail.  Alors, si tu ne te mets pas ça dans le crâne,  je vais te l'imprimer en rouge sur les fesses ! Tant que je dirige cette maison, et il n'y a pas de raison pour que cela change, tu dois faire comme je te dis et respecter mon cahier des charges. Sinon, à chaque relâchement, ça sera la fessée ...tu as compris... La fessée !!! Et pas pour rire ...La fessée déculotté, devant tout le monde, à chaque fois qu'il le faudra. De préférence en présence de Géraldine et les clientes, pour qu'elles voient bien comment on doit corriger un mari paresseux. Moi cela ne me dérange pas, j’ai de bonnes mains fermes pour bien claquer tes fesses comme il faut! »

Norbert n'en était plus au stade de la discussion. Il savait, que dans très peu de temps, il allait devoir, présenter ses fesses à sa sévère épouse pour recevoir sa raclée. La seule chose censée qu'il pouvait faire c'était de se soumettre à son autorité en mettant humblement son derrière à sa disposition. Il en devient servile, même si cela n'avait aucune chance d'influer sur le déroulement de sa punition.
– « Oui Astrid, je sais bienTu sais me claquer les fesses comme je le mériteet c’est si souvent... Je te demande pardon, ma chériej’essaierai d’être bien obéissant et de m'appliquer au travail en respectant tes consignes. »

Il était maintenant planté debout devant sa femme, tête baissée, les mains croisées dans le dos, le bout de ses doigts effleurant ses fesses qu'il sent agitées de frémissements nerveux. Solidement campée sur ses quinze centimètres de talons aiguille,  les bras croisés soulevant sa volumineuse poitrine en plein débordement de décolleté, Astrid le dépasse carrément d'une tête. Forte de son autorité, elle le toise un moment du regard et, se tourne vers sa nièce, qui a enfin cessé de faire reluire fesses de Rodolphe, écroulé sur ses genoux. 
« C’est valable pour toi aussi Géraldine... »
Elle poursuit en haussant le ton avec assurance.
« Je ne te le répéterai pas trente-six fois. Je ne veux pas te voir ici en dilettante, ni t'entendre discuter avec quelqu'un en pénitence au coin. Tu m' obéis autant qu'à ta mère et tu fais ce que je te demande de faire, sans rechigner. Tu es là pour contribuer à la bonne tenue du magasin.
– Mais c'est ce que je fais ma tante...Je vous prête même mes fesses pour les démonstrations !
– Je sais Géraldine, je sais... Elles sont même très endurantes et parfaites pour les tests de martinets notamment ; ... Tes fessées plaisent beaucoup au clientes. Mais je préfère te prévenir. »
Géraldine, toujours à la limite de l'insolence.
– Ce n'est pas la peine ma tante, je sais très bien ce que je dois faire !
– Tant mieux ! En tous cas, tu dois aussi veiller au comportement de ton oncle au travail quand je ne suis pas là pour m'occuper de ses fesses.
 – Oui ma tante, bien sûr...
– Autrement dit, quand il mérite une fessée c’est à toi de la lui donner … Et pas des semblants de fessée ! Tu as une bonne frappe et lui une belle paire... et tu aimes ça, claquer une belle paire de fesses... Alors n'hésite pas, toujours déculotté ! Main et martinet ...et en public de préférence !!! »

Géraldine savoure. Elle n'en espérait pas tant. La fessée enfin terminée, elle a poussé Rodolphe sur le sol et l'a fait mettre dans une position bien humiliante. A genoux, prosterné entre ses cuisses, les fesses écarlates et cuisantes, projetées vers le plafond. Il couine de douleur en trépignant pendant qu'elle s'applique à le reculotter avec fermeté, en lui ajustant son slip bien serré sur le derrière. La mine réjouie, elle s'amuse à faire bruyamment claquer l'élastique, en lançant un regard de gratitude à sa tante.
– « Avec plaisir ma tante, je vais si bien m'occuper de ses fesses, qu'il ne sentira même pas la différence quand c'est vous qui le corrigez. ! '' 
Imperturbable, Astrid la reprend.
– « Oui mais je te préviens Géraldine, si j’apprends qu’il a mérité une bonne fessée et que tu ne lui as pas donnéeou même si tu as tardé à la lui donner... C'est moi qui te la flanquerai et je doublerai au moins la ration, crois-moi ! »
Cela n'a pas l'air d'impressionner outre mesure la jeune femme qui esquisse un petit sourire provocant. Elle fanfaronne.
– « Je n'en doute pas une seconde Tantine... Et, vous savez, ça ne me déplaît pas sentir votre belle main ferme claquer sur mes fesses...
– Oui, et bien ma chère nièce, peut-être pas autant que tu le penses figure toi. Parce que dorénavant tu risques de recevoir encore davantage de fessées que tu le crois, fais-moi confiance ! Et pas qu'à la main ! Les battoirs et martinets ici ça ne manque pas... des bien sévères, comme tu sais et parfaitement adaptés à tes fesses ! Il n'y a que l'embarras du choix. »
 
Sur ces bonnes paroles, Astrid Delaniaires empoigne son mari par le col de sa chemise pour le relever et,  le tenant debout devant elle, lui ordonne de se reculotter.  Géraldine qui venait d'envoyer Rodolphe cuver sa fessée au coin, fit semblant de s'en étonner. Elle aimait bien jouer la comédie de l'ingénue, ce qui la rendait encore plus perverse.

« Mais tantine, pourquoi vous l'obligez de se reculotter, alors que vous allez lui flanquer sa fessée. Une vraie fessée c'est toujours déculotté non ?
– Voyons Géraldine, tu ne voudrais tout de même pas que je me prive du plaisir de déculotter cette magnifique paire de fesses... Quoi de plus excitant qu’une bonne descente de slip pour bien préparer une fessée !
– Vous avez raison ma tante. J'avoue que, moi aussi, j'adore déculotter un derrière avant de le corriger. Surtout lorsqu'il se présente déjà bien rouge d'une fessée précédente...»

Sans perdre de temps, Astrid a repris place sur le tabouret de discipline. Elle a retroussé à nouveau sa jupe jusqu'au-dessus de ses jarretelles pour bien dégager l’emplacement où Norbert va devoir venir arrondir ses fesses. L'administration de fessées constituent son activité physique favorite. Le bras fort, la main infatigable, elle aime les enchaîner, à l'occasion, en variant les plaisirs d'un derrière à un autre,  suivant leur différence de sonorité et de fermeté.
Tout en basculant, sans ménagement, son mari sur ses cuisses, elle a envoyé Sébastien   ranger son martinet en allant l'accrocher à sa place habituelle. Elle veut faire profiter du spectacle de son postérieur éclatant qu'il doit prendre soin de bien exposer à la vue de tout le monde. Pour cela il doit se dresser sur la pointe des pieds et se cambrant et tendant bien les fesses pour passer l’attache dans le crochet. Il s'exécute avec docilité sous le regard sévère de la maîtresse femme qui esquisse, tout de même un sourire de satisfaction, à voir les élastiques de son slip, tendues par le mouvement lui rentrer dans la raie, dégageant deux belles fesses entièrement rougies par la fessée qu'elle vient de lui mettre.
--« Je mesure, avec plaisir, le niveau élevé de cuisson nécessaire à ton gros derrière   pour obtenir cette parfaite obéissance... Maintenant tourne toi. Pour compléter la leçon, je veux que tu assistes à la fessée de ton oncle. Il est important que tu réalises ce qui attend tes fesses quand elles seront aussi endurantes que les siennes. ! »

Elle appuie sur la tête de sa victime pour l'obliger à se pencher plus en avant et lui remonter le postérieur à sa main.
– « Tend tes fesses Norbert... Mieux que ça s'il te plaît. Prends appui sur tes mains et pousse dessus ! Un derrière bien tendu est un derrière bien ferme qui donne du claquant ! »

une double fessé déculottée


La fessée commença d’un coup, à la main d'abord,  rapide, cinglante et cuisante. Astrid faisait pleuvoir les claques, s’appliquant à recouvrir les fesses de son puni d’un magnifique rouge écarlate uniformément réparti sur toute la surface.  Une fois les fesses bien rouges, cuites à point, satisfaite de sa prestation, elle empoigna un des battoirs habituellement destiné à augmenter la sévérité des fessées.  Il ressemblait en tous points à celui qu’employait à ce moment Géraldine sur les fesses de Rodolphe, sauf que l'épouse attentionnée, l'avait fait fabriquer par son mari, lui-même, au format de ses propres fesses pour le rendre plus efficace à l’ouvrage. Le cuir parfaitement souple et cinglant du cuisant instrument de discipline commença à claquer sur les fesses écarlates du pauvre Norbert qui se mit rapidement à couiner et pleurer sur les genoux de sa femme. Son ventre le brûlait, ne cessant de frotter contre les bas nylon de ses cuisses serrées, tandis que son fessier tout entier, en montée de cuisson continue, dépassait brillamment son record de température établi lors de la dernière tournée de fessées.

Très attentives à la couleur et la cuisson des derrières qu’elles corrigeaient, les deux fesseuses se regardèrent avec une moue de satisfaction. Le moment était venu de marquer une pause pour que les fesses gonflées de claques de ces Messieurs reprennent de la souplesse en vue d’une éventuelle prochaine séance. D’un commun accord, elles décidèrent de suspendre provisoirement les fessées. Ce qui leur donnait aussi l’occasion de se raffermir la main et retrouver une meilleure frappe pour des fessées à venir.
La boutique résonnait encore du claquement de ces dernières. Les trois hommes furent de nouveau envoyés au coin, nez au mur, déculottés mains sur la tête, pour évaluation de l'efficacité des corrections à la couleur et au niveau de cuisson des postérieurs.

Madame Delaniaires en gourmande, savoure le spectacle et soupèse, d'un regard enveloppant, les volumineuses paires de fesses, écarlates et fumantes .
 – « Voilà une bonne chose de faites ! On leurs en a mis une bonne dose... De là à supposer que ça leur serve de leçon, c'est une autre paire de claques !! 
– Pour ça, rien n'est moins sûr... »
Répond Géraldine, pensive, en rajustant ses jarretelles détendues pendant la fessée. Elle se lève du tabouret et lisse sa jupe sur ses cuisses. Encore sous le coup de l'émotion,  elle ne demanderait pas mieux que de prolonger la séance.
– « C'est tellement excitant de claquer d'aussi solides fessiers. Je crois que j'en ai encore mouillé mon slip ! C'est pourtant du nylon... On dirait qu'il a rétréci. »
Astrid, pour une fois, laisse échapper un sourire indulgent. Elle hoche la tête d'un air faussement navré. Cette petite impertinente ne manque décidément pas de caractère, ni d'audace.
– « C'est vrai tantine – poursuit l'ingénue – Il est tellement serré que les élastiques me rentrent dans la raie ! »
Elle rit, insouciante, insolente et sans gêne, du haut de ses vingt ans à peine passés. Elle rit, d'un petit rire enfantin troublant, presque dérangeant. Les joues rosissantes de plaisir, de la cuisante fessée qu'elle vient d'administrer. 

Madame Delaniaires, redevenue commerçante, soucieuse de remettre de l'ordre dans le magasin, ordonna aux garçon de ranger les instruments de discipline, jeter les débris du battoir cassé et remettre les tabourets à leur place. Ils durent s'exécuter sans obtenir l'autorisation de se reculotter, en exhibant leurs derrières endoloris que la sensation de chaleur intense ne quittait plus.  
Evidemment, Norbert s’empressait de dire comme sa femme, s'efforçant de se montrer obéissant et soumis, comme à chaque fois qu’il était puni et après chaque fessée, attentif à faire tout ce qu'elle lui demandait et même à aller au-devant de ses désirs .

Pour Géraldine, la perspective de flanquer souvent des fessées à son oncle,  ne lui posait aucun problème ! Bien au contraire, il était certain qu’elle ne se priverait pas de ce plaisir. Tranquillement assise sur le tabouret à fessées, elle enroulait et déroulait distraitement une mèche de cheveux autour de son index en le regardant papillonner avec empressement autour de son épouse.  Un petit sourire goguenard sur les lèvres, elle suivait les yeux emplis de convoitise, les rebondissements suggestifs de son derrière déculotté, dont la rougeur intense irradiait la pièce. Elle en disposerait bientôt à sa guise pour le claquer à volonté sur les vives recommandations de sa tante.


C'était lundi, jour de la leçon d'anglais de Gérôme Bellebourges . Un calvaire pour ses fesses, mais la confirmation de l'efficacité des procédures d'apprentissage de Patricia, sa préceptrice du moment. A cour particuliers, méthode particulière. La jeune femme, ne lésinait pas sur la fréquence et la durée des fessées qu'elle considérait comme le parfait stimulant, adapté à l'indifférence chronique de son élève vis à vis des études.  Quitte à dépasser l'heure de cours, elle ne quittait jamais sa chambre sans le laisser pantelant, écroulé sur sa chaise, les fesses en feu, rouges cramoisies, mais il avait appris par cœur la leçon du jour.

– « Entrez Patricia , entrez... Je vous en prie, dit Thérez Bellebourges en s'effaçant devant la porte ouverte pour l'inviter à passer. Gérôme est dans sa chambre. Je ne dirais pas qu'il vous attend avec impatience... Du moins... pas ses fesses... c'est sûr ! »
Elle eut un petit rire mutin inhabituel.   
La jeune femme entra d'un pas décidé, faisant claquer ses talons aiguille sur le carrelage. Sa jupe plissée ultra courte révélait ses fortes cuisses gainées de bas nylon noir. L'enfer pour les joues de Gérôme lorsque, pour bien l'humilier, elle s'amusait à le fesser la tête coincée entre ses cuisses,
–«  Je m'en doute ! Répond-elle avec un sourire édifiant sur ses intentions. Ça veut bien dire que ma méthode est efficace. La fessée Thérez, la fessée ! Il n'y a rien de meilleur pour dresser les vilains jeune gens paresseux et indisciplinés ! Je ne vous apprends rien.
– Vous prêchez une convaincue ma chère... D'ailleurs il s'en est récemment pris des sévères !
Patricia a posé son sac sur la commode de l'entrée et se dirige déjà vers l'escalier. Elle se retourne.
« Eh bien ça ne m'étonne pas ! Qu'est-ce qu'il a encore fait, votre incorrigible garçon ?
– Ah, en ce moment il est infernal... Il m'épuise ! Lui et son cousin Rodolphe... de vrais adolescents attardés … On dirait qu'ils ne grandiront jamais. Vous ne savez pas ce qu'ils ont fait ces deux abrutis ?
– Non Thérez... Dites-moi
– Ils n'ont rien trouvé de mieux à faire que de démolir à coup de pieds, la cabane à frites de madame Lecornet... la pauvre !
– Et bien, c'est du propre ! Ils s’en sont pris une bonne j'espère !
– Pour ça oui, avec ma sœur Clarisse on s'est relayées sur leurs fesses... Je vous dis pas dans quel état on les leur a mises ! En hiver on aurait pu chauffer notre salon avec ! » 

Patricia, impatiente de monter s'occuper de celles de Gérôme, fait tout de même la conversation, par courtoisie avec Thérez.
– « En plus ils en ont de belles paires, solides avec ça, à force d'en recevoir. ... Ça leur fait du bien ! Vous de votre côté pendant la semaine, et moi en supplément de programme tous les lundis ! »
Thérez regarde son interlocutrice avec un petit ait mystérieux.
– « Euh, je ne crois pas Patricia... Du moins pas pour les lundis à venir.
  Ah bon ? Pourquoi donc ?  Vous n'êtes plus satisfaite de mes sévices ?
– Oh si bien sûr ! Mais nous allons devoir suspendre provisoirement notre histoire...
Patricia, intriguée, revient vers Ma'am Bellebourge, le sourcil froncé, l'air interrogateur. 
– « Comment ça suspendre ? … je ne comprends pas...
– Et bien, pour tout dire... C'est Monsieur Ramina... Il a besoin d'une petite pause d'écriture... Qu'il dit... Il sera en vacances au mois d'août... Voilà... Donc nous aussi par la même occasion... Mais il a tout de même l'intention de poursuivre ses petits commentaires.

Patricia, songeuse, se sent un peu frustrée. Elle cherche un argument comme si elle devait convaincre l'auteur de continuer.
– « Oui, je vois... Et bien... Mais... mais... Ce sont les lecteurs ...Et monsieur Josip... Qu'est-ce qu'ils vont penser ?
– Oh ils vont comprendre... Monsieur Ramina les remercie d'ailleurs, surtout ceux qui lui écrivent. Elena, Gladys, François Fabien, Caroline, JLG, justement... et les autres, Anonymes... Mais surtout,  monsieur Peter Pan. Mon père en quelque sorte.
– Ah Peter, oui bien sûr. Mais ça ne va pas l'empêcher de continuer à dessiner... Il dessine toujours. Non ?
– Heureusement... dit Thérez un peu émue... sinon on n'existerait plus. »
Elle ne peut retenir une petite larme, qui creuse un sillon discret le long de sa joue poudrée.  On a beau flanquer de terribles fessées, on n'en est pas moins sensible. 
Patricia, semble se réveiller en sursaut d'un vilain rêve et réagit avec fermeté.
– « Bon en attendant, j'ai encore une leçon à donner à Gérôme, et il a intérêt à bien préparer ses fesses... je vous garantis que ça chauffer ! »

Elle s'élance dans l'escalier qu'elle grimpe avec détermination. Sa jupe plissée virevolte sur le haut de ses cuisses, révélant la lisière noire de ses bas nylon et les boucles de ses jarretelles.  Thérez Bellebourge, la stimule d'en bas en la regardant monter.
 – « Allez y Patricia ! Les verbes irréguliers avec une bonne séance de fessées... Qu'il s'en souvienne jusqu'à la rentrée !
– Faites-moi confiance Thérez, vous allez entendre claquer ses fesses jusque dans la cuisine ! » 
Elle pénètre dans la chambre de Gérôme en claquant la porte derrière elle. Il ne faut pas plus d'une minute pour qu'on entende claquer ses fesses à leur tour. Comme le dit la chanson, c'est la dernière séance... de l'été. Mais ce n'est pas du cinéma.


Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 42
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.

6 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Récit toujours aussi direct. Ces dames jubilent. Leurs épouses sont de véritables "mégères déchaînées" (?) .
    Excellente la transition finale. Une belle manière pour annoncer une petite pause estivale des auteurs respectifs.
    Ca me fait penser à un effet semblable vu dans un dessin animé dans lequel les personnages dialoguaient avec le dessinateur en sortant des cases. Bel effet de comique de situation. Je ne l'aurais pas imaginé. Les auteurs s'incarnent dans le récit. Bravo !
    Alors mon ami, bonnes vacances et... bon vent ! Kenavo !
    Amicalement. Peter.

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  2. Bonne vacances et à bientot

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  3. Bonjour Ramina,
    Comme d'habitude, une recherche dans les scenario et dans les dessins de représentation. La gente masculine n'a qu'à bien se tenir, sous peine de représailles gratinées. Et Géraldine qui y prend gout... Le tout couronné par Mme DELANIERES qui joue la chef d'orchestre et gère tout ce petit monde.
    Une mention particulière pour la fin du texte. C'est original et inattendu. On ne l'a pas vu arriver, cette pause.
    Amitiés.
    Elena.

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  4. Chers amis, Peter, Elena, Gladys et les autres... Bonjour!

    L'écriture prend du temps... beaucoup de temps et si on y ajoute des illustrations... encore plus! J'avais besoin d'une pause...Je me suis bien amusé à imaginer cette fin de saison... (Peter fait peut être allusion aux dessins animés de Tex Avery)
    En commençant cette 3è saison, je ne savais pas que j'irai jusqu'à 43 chapitres! Avec "Ces Dames Aux Mains Fermes" comme Clarisse, Géraldine ou madame Delaniaires, lorsque les fessées commencent à claquer on ne sait jamais quand ça va s'arrêter. Merci de les avoir suivies dans leurs cuisants délires disciplinaires.
    Il paraît qu'il n'y a plus de saison ma pov' dame... Qui sait... il y en aura peut être une quatrième... ( perso je l'ignore encore)
    Amicalement
    Ramina

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  5. Bonjour Ramina,
    Bonnes vacances bien méritées et nous attendons votre retour prochain, requinqué et prêt à déplacer des montagnes !
    Amitiés.
    Elena.

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  6. Bonjour Ramina,

    Eh oui, c'est l'aventure en BD: on défriche le terrain, on affronte mille dangers mais on ne sait jamais sur quoi on va tomber ("la vie, c'est comme une boîte de chocolats: on sait jamais sur lequel on va tomber" (dixit : Forrest Gump).
    Pour les DA, c'est à Tex Avery que je pensais avec le Squirrel un peu farçeur et déjanté.
    Pour le moment, profites du tems qui passe (et repasse). Qu'est ce qu'il doit faire frais sur la côte !!!!
    Amicalement. Peter.

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