mardi 28 juillet 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 42

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

ACCIDENT DE BATTOIR CHEZ LES DELANIAIRES.

Clarisse et Régine avaient enfin décidé de mettre un terme à la punition de leur mari et prenaient tranquillement le thé en contemplant les deux derrières écarlates exposés à chaque coin de la pièce. Peut-être à cause de l'intensité de la couleur et de la cuisson, Ils semblaient avoir gonflé sous les fessées au point de se demander comment ils allaient pouvoir retourner dans des slips déjà si serrés à l'origine... Les reculottages s'annonçaient délicats et douloureux.
– « Comme c'est agréable de voir de belles paires de fesses aussi bien claquées !  dit Clarisse en faisant tinter les glaçons dans son verre de Whisky pur malt.  »
Le petit doigt en l'air à l'aristocrate, Régine, toujours très distinguée même quand elle fesse, pique délicatement une olive dans le ramequin posé sur la table basse à côté des chips. Elle s'interdit d'en manger à cause de sa ligne .
– « Tout à fait !  Après ce qu'on vient de leur mettre, on peut espérer que ça leur serve de leçon et qu'ils s'abstiennent à l'avenir de faire de telles dépenses...Totalement inutiles en plus !
– Ceux qui prétendent que les femmes sont dépensières, ne connaissent pas nos chers maris.
– Tu l'as dit Clarisse... Très chers même ! »
Les deux femmes éclatent de rire et se félicitent mutuellement de la qualité de leur prestation disciplinaire en trinquant à la santé des postérieurs de ces messieurs.

 Pendant ce temps Rodolphe, angoissé, la peur au ventre, fait les cent pas devant le magasin Delaniaires. Il n'ose pas encore y rentrer. Les mains de chaque côté de son visage pour masquer le reflet de la lumière du dehors, il s'enhardit à regarder prudemment à l'intérieur par la vitre de la porte. Il a un mouvement de recul en apercevant ce qui n'est pas vraiment de nature à le rassurer. 

Il vient de distinguer Norbert Delaniaires, prostré à genoux sur un repose pied au milieu de la boutique, les fesses en l'air rouges et déculottées, visiblement en pénitence après une sévère raclée, très probablement, administrée par Madame. Celle-ci n'a pas l'air présente ou du moins n'apparaît pas dans son champ de vision.  Au comptoir, Géraldine est en train de ranger une série de martinets qu'elle accroche à un présentoir en chantonnant. Elle aime bien chantonner même en fessant. De temps en temps, son regard glisse vers le puni, et le petit sourire en coin qui apparaît sur ses lèvres, indique que son oncle en a reçu une sévère.
Rodolphe suppose que c'est à cause d'un retard accumulé dans la livraison des dernières commandes d'instruments de discipline. Victime de son succès par la qualité de ses fabrications, Norbert, artisan consciencieux, a parfois du mal à répondre à la demande de plus en plus importante. Soucieuse de satisfaire sa clientèle,  Astrid Delaniaires, ne l'entend pas de cette oreille, ni de l'autre non plus d'ailleurs... Elle connaît la fâcheuse tendance de son mari à une certaine nonchalance au travail. Sans aller jusqu'à imposer des cadences infernales, sauf en ce qui concerne l'administration des fessées, elle n'hésite pas à lui claquer régulièrement le derrière pour l’inciter à tenir un bon rythme de production. Il en va de l'image de marque de la maison et de sa réputation de fiabilité. Impensable que les sévères épouses qui constituent l'essentiel de la fréquentation du magasin, se retrouvent en manque de matériel efficace pour corriger leurs maris.

L'intérêt pour les châtiment corporels, entretenu par une curiosité notoirement perverse,  poussait Géraldine, qui n'était pas encore arrivée à ce moment-là, à savoir comment s’était passé la punition de son Oncle. A observer le rouge éclatant de son volumineux postérieur, une seule fessée lui semblait peu probable .  Elle connaissait trop bien les habitudes de sa Tante en matière de correction. Elle avait dû certainement lui en mettre plusieurs et des sévères...pour obtenir ce superbe rouge resplendissant uniformément réparti sur toute la surface, sans aucune trace de doigt ou de lanière. 

Rodolphe le nez au carreau, la voit s'approcher du malheureux mari, de sa démarche onduleuse et l'entend le questionner d'un ton ironique, avec une voix d'ingénue.

– « Alors mon oncle, on s'est encore pris une sacrée déculottée à ce que je vois. Du retard dans les livraisons ? Astrid a encore frappé... et fort ! Ah pour fesser, elle fesse bien ! »

Norbert ne peut faire mystère de l'évidence. Les séances de fessées, en privé comme en public, étant, comme tout le monde le savait,  la méthode habituelle de la maîtresse des lieux à diriger son personnel au martinet, y compris son mari, celui-ci se laisse aller aux commentaires sans retenue.
– « Oh , pour ça oui ! Mais ce ne sont pas seulement les fessées qui sont humiliantes, , c'est aussi l’obligation de rester comme ça en position, à exposer mes fesses déculottées,  jusqu’ à nouvel ordre. .
– Normal Tonton, ça fait partie de la punition !
Répond l'insolente qui a vraiment l'air de se régaler à contempler le fessier enluminé de son oncle. 
– « Et puis faire profiter la clientèle d'une paire de fesses aussi rouges, c'est plutôt un bonne publicité pour les instruments de discipline que vous fabriquez... » 
Norbert ne peut se permettre de contester les l’ensemble des punitions, mais il s’inquiète de la durée et de la fréquence des fessées à répétition.
– « Tu en sais quelque chose aussi Géraldine. Elle t'en flanque assez souvent des fessées !
– Oui mais c'est pas pareil. C'est pour montrer l'efficacité du matériel de punition. Et puis moi, les fessées ça me plaît. J'adore quand elle me chauffe le derrière et que je le vois bien rouge après dans une glace... ça m'excite même ! Et je trouve que le rouge me va bien aux fesses !»
– Oui et bien pas moi ! Ça fait trop mal ! Elle tape tellement fort ! »
Norbert dépité se dandine sur ses genoux pour lui faire constater la rougeur incandescente de son volumineux fessier. Mais il n’obtint à ce sujet que des quolibets moqueurs. 
 – « Oui, et alors ? C'est que vous le méritez !  Et ça vous fait du bien !  Vous n'avez qu'à lui obéir sans discuter !  Moi au moins quand je mérite une fessée, je ne me plains pas de la recevoir. Une fessée c’est une fessée, ça doit toujours bien claquer !
  Evidemment... Si tu aimes ça ! A ton âge, ce sont de très bonnes fessées qu’il fautmais quand même ! »
 Géraldine éclate de rire et, comme à son habitude, trouvant toujours le moyen de se moquer, d’ironiser, de provoquer.
– « En tout cas mon cher, vos fesses sont magnifiques.  Astrid a bien raison. Encore une belle fessée dont vous vous souviendrez... Voilà ce que c’est de paresser ! »
Elle lui fait la leçon sans vergogne.
« Cela vous apprendra à être bien sage et à ne pas traîner au travail! Une bonne fessée déculottée ,il n’y a rien de tel pour vous faire comprendre cela, Monsieur mon oncle !!!” 
Norbert proteste .
– « Fessée déculottée , fessée déculottée … Parce que tu connais des fessées administrées par Astrid qui ne soient pas déculottées , toi ? “ 
  Non, mais j’adore prononcer ces mots à la suite : bonne-fessséeee-dé-cu-lottée !  Ils vont bien ensemble ... Hi, Hi ! Ça sonne aussi bien à l’oreille que sur les fessssses !... Fessssssée- déculottée...comme si on entendait déjà le glissement du slip sur les cuisses et la fessée claquer sur le derrière ...Vous ne trouvez pas tonton ?
– Pfff,  tu es folle toi !  Complètement cinglée ! »
  Oh, c'est pas bien de dire ça à sa nièce... Je vois que vous êtes énervé. Tout ça parce que votre femme vous a flanqué une grosse fessée... Je suppose que vous l'avez méritée, alors vous la recevez... Normal, on est puni, on fait sa punition jusqu'au bout et voilà ! Et pas de rouspétance, sinon, une fessée déculottée supplémentaire ...non mais ! »
Elle rit, contente de sa tirade. Elle a réussi à mettre son oncle en colère. Ulcéré, et toujours en posture humiliante, il se fâche tout rouge...autant que ses fesses. 
– « Tu as beau être ma nièce, Géraldine, tu n'es vraiment qu'une sale petite garce !
– Je sais tonton...  Tu me l’as déjà dit … Tout le monde me le dit , c’est pas nouveau ! C’est ma marque de fabrique, ça fait partie de mon charme ! »
Et elle retourne vers son comptoir à martinets en tortillant outrageusement du derrière et en chantonnant joyeusement entre ses dents une petite comptine de circonstance. 
– « Un, deux, trois, la culotte en bas ! Quatre cinq six levez la chemise ! … sept huit neuf...»

Norbert allait se retourner pour répliquer, lorsque la voix autoritaire d'Astrid qui venait de sortir de la réserve avec un lot de battoir en cuir, le fait sursauter.
– « Mais qu'est-ce qu'il se passe ici ? Norbert !C'est bien une conversation que j'entends ? »
L'interpellé se trémousse sur son repose pieds en réajustant aussitôt sa position. Fesses en l'air orientées vers la porte, bras tendus de chaque côté du corps, paumes tournées vers le plafond en signe de totale soumission. Toute personne entrant dans le magasin doit pouvoir constater l'efficacité des fessées qu'administre la maîtresse des lieux.
– « C'est comme ça que tu respectes les consignes ? Tu sais pourtant que je ne veux pas entendre un seul mot pendant la mise au coin après une correction ! Si c'est une nouvelle fessée qu'il te faut mon ami, ça ne va pas traîner, tu es déjà déculotté!
– Mais... Chérie, je... Je répondais seulement à Gérald...
– Ne réponds pas, ou je t'en remets une tout de suite ! Quant à toi Géraldine, tu sais très bien que j'interdit toute discussion avec quiconque en pénitence après une fessée. Tu mériterais bien que je t'en claque une, à toi aussi, pour la peine. ! »

Géraldine rosit, l'air faussement gêné, une petite moue boudeuse sur les lèvres, elle n'en refuse pas vraiment la perspective.
– C'est que, tantine, j'ai les fesses encore un peu sensibles des deux séances d'essai de martinets de ce matin... Ou alors, une fessée à la main... et pas trop sévère.  »

Astrid sourit, amusée de la réaction de sa nièce qu'elle trouve décidément bien perverse.  Ce qui n'est pas pour lui déplaire. Quand on aime recevoir, autant qu' administrer, des fessées il faut du tempérament, et une solide paire de fesses. Géraldine ne manque ni de l'un ni de l'autre.
– « Je préfère te préserver le derrière pour d'éventuelles démonstrations. Ça m'étonnerait que je n’aie pas de nouveaux essais de battoir ou de martinet à effectuer devant quelques clientes avant la fin de la journée.
  Comme vous voulez ma tante... Mes fesses sont à votre disposition... Mais pas trop quand même, vous tapez tellement fort... Après j'ai du mal à me reculotter et à m'asseoir correctement !
– Je sais ma chérie... je sais... Mais que veux-tu, il faut bien convaincre notre clientèle de la qualité de notre production...  »

Soudain pensive, Astrid change de sujet en prenant un air interrogateur.
– « Mais dis-moi, tu n'avais pas donné rendez-vous ici à ton frère et son ami Rodolphe ? .
– Si ma tante...  Je leur ai donné un gage à tous les deux pour avoir perdu aux fléchettes hier à l'Olympic et s'être moqués de moi, en se vantant d'être les meilleurs.  
– C'est bien ça. Et tu dois doit leur flanquer une fessée à chacun ...
– Oui, d'ailleurs ils sont déjà en retard...Je ne vais pas certainement pas me contenter d'une seule,  !
– Tu as raison ma chérie, il faut savoir se faire respecter et ne pas hésiter à doubler les fessées quand c'est nécessaire ! »

Rodolphe, toujours dehors, derrière la porte, faisait attention à ne pas trop s'en approcher pour ne pas risquer d'être vu, et devait tendre l'oreille pour essayer de suivre les conversations à travers la vitre. Même s'il ne comprenait pas tout, il avait sursauté en entendant prononcer son nom et la sentence annoncée par Géraldine. Serrant les dents, il se traita, en silence, de tous les noms, pour avoir eu la bêtise de ne pas rentrer tout de suite alors qu'il était arrivé à l'heure. D'autant plus idiot que cela n'avait fait que retarder l'échéance de l'inévitable fessée et qu'il allait, du coup, s'en prendre une supplémentaire. Pris d'un moment de panique il n'osait plus bouger, espérant qu'aucune cliente n'arriverait et lui demanderait probablement ce qu'il attendait là, dehors, alors que le magasin était ouvert. C'est à ce moment qu'il vit avec étonnement, Sébastien, apparaître à l'intérieur. Il avait dû passer par la porte de derrière pour ne pas se faire remarquer de la rue. Lui aussi était sacrément en retard et ne savait pas que la punition allait être doublée.

– « Ah te voilà toi ! Quand même ! »
S'exclame Géraldine en le saisissant par l'oreille dès qu'il fut à portée de sa main.
– « Enfin Sébastien, tu n'avais tout de même pas oublié notre rendez-vous fessées ? »
– Euuuuh non... C'est juste que... que… »
Elle ne lui laisse pas le temps de finir.
– « Que quoi ? Qu'est-ce que tu vas encore inventer comme excuse ? »
Elle n’est pas vraiment en colère la petite sœur, tout juste suffisamment contrariée pour se montrer encore plus sévère. Car elle sait, de toute manière que ses fesses ne perdent rien pour attendre, bien au contraire. Maintenant qu'elles sont à sa merci, elles ne ressortiront du magasin qu'écarlates et cuisantes. Mais Il en manque tout de même un à l'appel. 
– « Et ton ami Rodolphe... Sais-tu où il est passé celui-là ? »
– Euhhh... Non ! Non ! Géraldine,  je te jure ! Comment veux-tu que je le sache ? On s'est quitté hier devant l'Olympic... Je... Je ne l'ai pas revu depuis...; 
– Même s'il le savait , il ne le dirait pas l'animal ! »
Coupe Astrid, déjà partie décrocher un martinet, bien décidée à participer à la séance.
 – « Ces petits roublards sont solidaires entre eux ! Même sous la fessée... Alors, il faut taper fort ma chérie...sans hésiter ! 

Sébastien n'en mène pas large. Il vit beaucoup sous l'influence des fortes personnalités de sa sœur et de sa tante, substituts efficaces à l'autorité parentale défaillante. Un peu à l'image de Patricia avec Robin, Géraldine distribue généreusement les fessées pour lui inculquer le sens des bonnes manières et de la discipline. Et ce ne sont pas les occasions de lui rougir les fesses qui lui manquent, vu les énergumènes qu'il fréquente. Genre Robin, Gérôme, Rodolphe, et compagnie. L'épisode des fléchettes n'est qu'un rappel, parmi d'autres, de l'inanité de la vantardise et de l'arrogance.

Norbert, toujours en position, ne bronche pas et, jusqu'à nouvelle ordre, s'applique seulement à bien présenter son derrière gonflé de claques, dont la rougeur incandescente irradie la boutique. Les Dames sont un peu énervées à cause des deux olibrius. Il y aurait encore comme de la fessée dans l'air.  Connaissant les sautes d'humeur de sa femme , il ne voudrait pas risquer de s'en prendre une nouvelle à l'occasion.  Astrid n'est pas du genre à rester inactive devant une paire de fesses disponible et de se contenter de la regarder valser sous les claques.  Elle prend donc la main sans attendre qu'on lui propose.
– « Veux-tu que je me charge de la punition de ton frère... Tu le corriges si souvent que tu dois connaître ses fesses par cœur. Tu vas sans doute préférer t'occuper d'abord de celles de Rodolphe...
– Vous avez raison Tantine. C'est bien d'y avoir pensé.  Le problème c'est que ce petit rusé n'est pas là !
– Il va bien finir par arriver. Il sait trop ce qui l'attend s'il essaye de se dérober à sa correction. »

Difficile de résister à l'impétuosité d'Astrid Delaniaires qui finit par prendre plus ou moins la direction des opérations, initiées à l'origine par sa Nièce. Elle saisit Sébastien par le bras et, martinet en main, le traîne d'autorité jusqu'au tabouret à fessées. Il se laisse faire sans protester. Ce serait parfaitement inutile et, cause d'une fessée supplémentaire. 

Elle s'assied lourdement sur l'assise en velours, retrousse sa jupe sur ses cuisses qu'elle écarte et l'attire debout entre ses jambes. Elle lui tend le martinet .
– « Tiens moi ça pendant que je te déculotte, et regarde-moi bien !  Je veux voir la honte et l’humiliation dans tes yeux alors que je descends ton slip sur tes cuisses! Voilà, tes fesses sont déculottées maintenant, prêtes pour recevoir la fessée que t'as promise, Géraldine...  Et, c'est moi qui vais te la mettre ! »

Sébastien tremblant ne dit rien. Il n’a rien à dire et doit laisser sa tante préparer tranquillement la correction qu’elle a décidé de lui administrer. Elle l'a basculé sur ses genoux et lui positionne le derrière bien déployé tendu vers la fessée.  

– « Garde le martinet et ne le laisse pas tomber ! Je vais d'abord te chauffer le derrière à la main pour bien le préparer à la fessée aux lanières ».
-        
Pas encore dans le champ de vision de Géraldine, Rodolphe, se rend compte maintenant qu'il ne peut échapper à sa raclée, et ne fait qu'aggraver son cas en attendant plus longtemps. Il a posé la main sur la poignée de la porte qu'il entre-ouvre d'abord lentement, pensant profiter de la fessée en cours pour se glisser à l'intérieur sans trop se faire remarquer...

  Madame Delaniaires a commencé à claquer vigoureusement le derrière de son neveu qui s'est mis aussitôt à gigoter sur ses genoux en pleurant. Concentrée et performante, , elle a, immédiatement trouvé le bon rythme et mène la fessée de maîtresse main en distribuant les cuisants allers et retours d’une fesse à l’autre avec une joyeuse énergie. Elle fesse bien, à cadence régulière, avec l’intention évidente de faire mal. Sébastien se met à pleurer et supplier, elle n'en a cure et au contraire, appuie davantage les claquées.

– « Les fessées, c’est pour corriger mon ami...punir ! Ça doit faire mal aux fesses, les cuire et rougir sous les claques. Pour réussir une bonne fessée au martinet, il faut bien préparer le derrière et nécessairement fesser sévère, taper dur, très fort et longtemps !  »

Cuisante, retentissante, bien rythmée, la fessée continue à claquer joyeusement sur la paire de fesses flamboyantes du pauvre neveux, accablé sous les sarcasme et remarques humiliantes de sa vicieuse tante.
  -  « Alors comme ça on se moque de sa sœur devant ses copains pour faire le malin. Elle vous a quand même mis une bonne déculottée aux fléchettes ! Et celle-là tu la sens ?  Tu la sens ta fessée? Tu la sens bien ma main claquer sur tes fesses? Elle claque fort tu ne trouves pas? Elle régale à fond ta belle paire de fesses qui rougit si bien ! Et ce n'est rien à côté de la fessée au martinet qui t'attend ! »

C’est à ce moment que Géraldine fit irruption au milieu de la boutique en tenant Rodolphe par l'oreille. Elle l'avait surpris alors qu'il ouvrait la porte avec précaution. 
– « Hé ma Tante, regardez donc ce que j’ai trouvé ! »
S’exclama-t-elle soudain d'un ton joyeux, comme soulagée d'avoir enfin mis la main sur sa victime.
Madame Delaniaires ne s’arrête pas pour autant de fesser. Bien au contraire, sans regarder sa nièce, elle accéléra le rythme en appuyant plus fort les claquées. Sébastien se met à gémir en cambrant les reins, tortillant frénétiquement ses fesses sous la douleur plus pénétrante.
– « Je t’ai dit mille fois, Géraldine, que je ne veux pas être dérangée quand je fesse! Une bonne fessée pour être efficace nécessite de la concentration et de l’énergie!  Tu n‘aimerais pas que je te perturbe pendant que tu mets une dérouillée à ton frère, par exemple ! » 

Sans cesser de claquer les fesses de Sébastien, elle finit par lever la tête et voir Rodolphe, déjà déculotté, le slip en travers des cuisses, tenu fermement par l’oreille par sa Nièce.
– « Il était en train de te regarder fesser Sébastien ! »
Dénonce Géraldine la mine réjouie.

Rodolphe comprend qu’il aurait mieux fait de rester derrière la porte à écouter, ou même de s'enfuir. Mais, le son des claques tombant sur les fesses déculottées de Sébastien avait été trop fort. La curiosité perverse avait eu raison de lui. Il ne put s’empêcher de penser que même s’il allait maintenant recevoir la fessée,  et il ne regrettait pas d’avoir pu contempler son copain se faire claquer le derrière par l'imposante madame Delaniaires.
Elle reprend la fessée de Sébastien tout en parlant pour encourager sa nièce qui n'en a pas du tout besoin. Mais elle est comme ça, toujours soucieuse d'efficacité.
– « Et bien Géraldine, qu'est-ce que tu attends... C'est maintenant la fessée ! »

Géraldine ne se le fait pas dire deux fois. Pendant que sa tante change de position pour la fessée au martinet de Sébastien qu'elle plie en deux sur sa cuisse relevée à l'horizontale, elle entraîne Rodolphe par le bras jusqu'au tabouret à fessées. Elle s'y assied, jupe retroussée, et l'allonge en travers de ses genoux en faisant crisser son ventre sur ses bas nylon.  Au passage elle s'est emparée d'un de ces battoirs en cuir toujours prêt à l’emploi sur le comptoir, et se met aussitôt à l’abattre avec vigueur sur la paire de fesses déculottées, du pénitent.

Manié d’une main ferme, l'instrument de discipline fait bien son travail et claque d'emblée très fort sur les fesses du malheureux qui, en réaction, hurle instantanément. Les deux fessées, aussi cinglantes avec le martinet que claquantes avec le battoir, résonnent avec éclat dans tout le magasin. Mais alors que Géraldine tape de plus en plus fort, et s'apprête à lancer une nouvelle claquée, le battoir lui semble soudain beaucoup plus léger qu'avant. La surface de frappe s'est détachée du manche pour aller voltiger derrière le comptoir. Stupéfaite, elle regarde le morceau de cuir qui lui reste dans la main . 

– « Et bien ça alors ! Vous avez vu ma tante ? J'ai dû taper trop fort ! Pourtant ça a l'air solide ces engins ! C'est la première fois que ça m'arrive !»
Elle regarde Astrid d'un air navré. La maîtresse de séance s'est arrêtée de fesser, le martinet pendant le long de sa cuisse. Pensive, elle cherche du regard la fine palette de cuir noir qui a disparu aux environs du comptoir.
– « Il faut croire que les fesses de Rodolphe sont encore plus solides !... Mais tout de même... Ce n'est pas une raison. Si on ne peut pas fesser comme on veut maintenant !»

une fessée déculottée pour trois



Elle rit Intérieurement, trouvant la scène plutôt comique, mais n'en laisse rien paraître. Il faut bien un responsable, elle se tourne aussitôt vers son mari, en première ligne. Celui-ci a rétréci de cinq centimètres sur son repose pieds, sans bouger d'un pouce, malgré l'inconfort de sa position.
– « Norbert ! Qu'est-ce que cela signifie ? Un battoir qui casse sur un derrière au milieu d'une fessée !!! Ce n'est pas normal ! Ça ressemblerait bien à un défaut de fabrication...On dirait ! »

Norbert se torde le cou pour répondre. Il ne lui manquait plus que ça. Ça sent la dérouillée à plein nez.
– « Euuuh, je ne sais pas ma chérie... Il faut que je regarde... peut-être, plutôt, un défaut du cuir qui entoure le manche...
– Ben, voyons... C'est certainement ça !... En tout cas ce n'est pas ta faute . C'est toi qui les fabriques, mais tu n'es pas responsable en cas d'accident. Et si c'était arrivé à l'une de nos clientes... hein ? Tu vois le tableau d'ici ! Au prix qu'on leur fait payer ces instruments !! »  

Sébastien comme Rodolphe, secoués de hoquets douloureux, courbés en attente sur les cuisses de leur fesseuse, écoutent, en pleurnichant, la conversation au-dessus d'eux, osant à peine se réjouir de ce moment de répit inespéré.
Géraldine le manche du battoir dans la main se retient de pouffer de rire... La réputation de la maison Delaniaires vient d'en prendre un coup, mais heureusement il n'y avait pas de témoins.
Les fesses de Norbert Delaniaires, en frémissent d'horreur... rétrospectivement.


Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 41
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.

6 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Rod' et Seb' arrivent premiers dans un concours de circonstances !!!
    Quelle claquée !!! La rivalité ou la complicité tante-nièce... une astuce bien pratique. L'élève dépassera t-elle la maitresse ?
    Mention spéciale pour le visage très réussi de Miss Géraldine. Qui comme Patricia, n'hésite pas à seconder activement sa mère.
    Question SAV, la maison Delaniaires échange les produits défectueux sur présentation ?
    Et si les Bellebourge faisaient une visite inattendue à la boutique ? Quel festival... de "canes" !
    Amicalement. Peter.

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  2. Bonjour
    Quelle belles fessée octroyées par Astrid et Géraldine. Ces 2 fesseuses semblent en grande forme, pourvu que les claquées continues ! D'ailleurs je n'en doute pas.

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  3. Bonjour Peter,

    C'est une idée à creuser. La maison Delaniaires échangerait le matériel défectueux sur présentation d'un derrière insuffisamment corrigé par l'interruption intempestive d'une fessée.... ( rire)
    Bravo pour le festival de "Canes". Je vois que le monde du cinéma t'inspire toujours.
    Quant aux Bellebourges, gardons la perspective d'une rencontre pour "Le jour le plus long" de la fessée, dans un chapitre à venir... Hi, hi .
    Amicalement
    Ramina

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  4. Bonjour Gladys,

    Je trouve ce pseudo ( je suppose) assez plaisant. Serait il inspiré de
    la première héroïne de CDAMF qui sévit sur les fesses de Robin... son fils, dès les premiers épisodes de la saison 1?
    En tous cas merci de votre commentaire. Je vous rassure si besoin en était... les fessées bien cuisantes vont continuer à claquer... ces "Dames aux Mains Fermes" et à poigne, ne sont pas prêtes de relâcher la discipline. Fesses rouges garanties!
    Cordialement
    Ramina

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  5. Amis des rendez-vous fessées, bonsoir,
    C'est Norbert qui va à "la battoir" pour ne pas être plus énergique que ça au travail. Pourtant il y a de la demande. L'effet COVID n'a certainement pas dû avoir de conséquence sur le carnet de commande... Celui-ci est plein et il faut honorer les engagements pris. Les punitions corporelles ne doivent pas attendre. L'école Ste CROIX en sait quelque chose !
    Par contre, le défaut de fabrication est une honte à cette fabrique. Si le fabriqué en France ne veut plus dire signe de qualité, où va-t-on ?
    Amitiés.
    Elena.

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  6. Bonsoir Elena,

    Joli jeu de mot, j'apprécie!
    Mais oui, c'est justement parce qu'il y a beaucoup de demande que le pauvre Norbert est débordé. Surtout que Ste Croix fait maintenant partie de la clientèle. L'artisanat et la fabrication à la main c'est bien, mais ça demande du temps. Et, comme dit madame Delaniaires, " Il est scandaleux de remettre à plus tard une fessée qu'on doit administrer sur le champ....
    Alors, effectivement... Judicieuse question... Où va -t-on?... Et bien directement à la chaise à fessée... A la main!
    Amicalement
    Elena

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