lundi 13 juillet 2020

Les rebelles -chapitre 39

Les vacances scolaires étant commencées et comme convenu lorsque j’avais été faire mon stage en Angleterre à MAIDENEAD, Brittany vient en France pour y passer tout le mois, à la maison. Contrairement à ce que ça aurait pu être, compte tenu qu’elle m’a corrigée sur tout le corps, d’intense façon et qu’elle y a pris du plaisir, Brittany et moi, nous nous sommes rapprochées, ce qui a fait réagir et protester mes amies d’infortune, Naia, Coralie, Samantha, Yang et Kirsten, qui ont subi le même sort. Elles me reprochent ma soumission vis-à-vis de Brittany. Et j’ai beau leur dire que ce n’est pas le cas, intérieurement, je dois avouer que cette punition m’a vaincue plus que je ne l’aurais pu le penser, au point de vouer à Brittany des sentiments ambiguës et partagés. Brittany, d’un caractère dominant se délecte de ma docilité à son égard.
Lors de nos retrouvailles sur le quai de la gare, nous nous étreignons sans plus, car Papa et Maman sont présents. Eux aussi, ne comprennent pas comment j’ai pu inviter cette fille à la maison après ce qu’elle m’a fait subir. Les films qu’ils ont vus ont largement montrés que Brittany prenait du plaisir à me cingler et à me faire hurler.
Papa et Maman l’accueillent de façon courtoise, mais froide, car elle s’en est prise à leur fille et ils peuvent difficilement l’admettre. Toutefois, ils feront contre mauvaise fortune bon cœur durant son séjour, puisque c’est moi qui en ai fait la demande.
Durant nos échanges réguliers par mails, j’ai présenté ma région, la côte d’azur, pour qu’elle ait un premier aperçu de l’environnement durant son séjour. C’est une région qu’elle ne connait pas et elle me disait qu’elle avait hâte de connaitre le coin et de sentir les rayons du soleil du sud de la France.
Aussitôt arrivés à la maison, je l’installe dans ma chambre, car j’ai négocié avec Maman qu’elle sera mieux dans mon lit que couchée dans le convertible du salon, peu confortable, et puis, nous serons entre filles pour papoter une partie de la nuit... Je lui fais découvrir la maison et en entrant dans la cuisine, Brittany découvre, accrochés au mur, les deux instruments de punition de chez DELANIERES, un martinet et un long fouet. Elle m’interroge sur leur utilité, mais je lui dis qu’ils n’ont pas encore servis.
Dès que ses affaires sont déballées, nous allons nous promener à travers la ville. J’en profite pour aller chez Ekaterina, Iourievna et Olga afin de leur présenter Brittany. L’accueil est plus cordial, mais l’incompréhension règne aussi chez mes meilleures amies, mais après tout, elles pensent que c’est mon problème et qu’elles n’ont pas à juger mes relations, car elles ont entendu parler de nos rapports lorsque nous étions ensemble à St ANDREWS, par mes autres amies qui étaient présentes et qui ont vu certaines choses les ayant étonnées, nos baisers échangés ou notre tendre complicité, par exemple.
Les premiers jours de vacances se passent en promenade, sorties en tout genre et à la plage, qui ravi Brittany, car elle n’a pas ça là où elle vit. Mes amies et moi lui faisons même connaitre la plage naturiste, à l’ouest de la ville. Je la découvre, nue. Elle a de très jolies formes, mais n’étant pas naturiste dans l’âme, on la sent un peu embarrassée, rougissant, sa pudeur prenant le dessus à la moindre occasion, lorsque par exemple, des non naturistes traversent notre espace réservé pour aller de l’autre côté de la plage. Les jeunes qui viennent le font surtout pour reluquer, prendre des photos et à l’occasion, entamer la conversation avec les jeunes femmes naturistes. Les responsables de l’association naturiste sont obligés de les faire déguerpir en leur rappelant les règles de bonne conduite.
Nous passons beaucoup de temps dans l’eau à nager ou à nous amuser toutes ensemble. En sortant, allongées sur nos serviettes et en la voyant rougir lorsque des gens la regardent, je lui rappelle ce que mes amies et moi avons dû subir comme humiliation lorsque nous avons été fouettées, nues, devant toute l’école qui se moquait de nous et elle la première ! Brittany me prend dans ses bras et dépose un baiser sur mes lèvres en me disant que je l’avais cherché et que cette punition a permis d’être ensemble aujourd’hui... Je croise le regard amusé de mes amies qui ont vu notre baiser échangé. Pour donner le change, je dis tout bas à Brittany que pour les baisers, ce sera plus tard, car sur cette plage, les relations ne sont pas autorisées. Brittany retourne s’étendre sur sa serviette, en me faisant un clin d’œil, qui en dit long sur ses intentions.
Comme nous sommes toutes les cinq à cours de discussion, Olga me demande de raconter ce que nous avons vu à la gendarmerie lorsque les deux roumains se sont fait fesser. Brittany m’incite vivement à tout raconter, dans les moindres détails. Je leur retrace la chronologie des évènements du moment où j’ai vu les deux personnes roder dans le jardin de mes voisins jusqu’à leur sévère fessée, devant plein de monde. J’insiste principalement sur les impressions lorsque les deux voleurs recevaient leur punition, des détails sur leur nudité et leur corps, leurs hurlements, la façon dont ils étaient attachés et la façon dont ils gigotaient sous les claquements sonores des lanières. Je termine par dire que ce spectacle m’a excitée et que je me suis masturbée intensément sous ma douche, dès que je suis rentrée à la maison. Brittany semble fascinée par mon récit que je fais en anglais.
Le corps tout bronzé, nous rentrons à la maison, heureuses de notre journée passée à nous prélasser et à papoter et à jouer entre amies, sur le sable. La douche prise ensemble dérape à plusieurs reprises, laissant présager de tendres contacts lorsque nous seront couchées.
Après le souper, comme à chaque repas, nous aidons Maman à ranger à laver et nous allons nous promener dans les rues de la ville. La relative fraicheur de la soirée fait du bien après la grosse chaleur pesante de la journée. Un peu ingénues, main dans la main, nous discutons de tout et de rien.
En rentrant, nous allons nous coucher et comme d’habitude, blottie l’une contre l’autre, mais cette fois, nues, des bisous, nous passons à des attouchements plus intimes et nous faisons l’amour, ma première expérience lesbienne. J’avoue ne pas être déçue, bien que mon attirance soit plus grande par rapport aux hommes que par rapport aux femmes, mais dans ce cas, le plaisir et les douces sensations étaient au rendez-vous et j’ai dû serrer les dents, la tête enfouie dans mon oreiller pour étouffer mes gémissements et mes cris au moment de la jouissance. Quant à Brittany, elle a bien failli exploser, mais a su ne pas s’abandonner. Toutes les deux comblées, nous nous endormons, enlacées.
Le lendemain, je décide d’emmener Brittany rencontrer des garçons dans les campings de la région. De cette façon, nous pourrons accéder à des activités et installations gratuitement, en profitant en plus, des beaux mâles, qui se mettront en quatre pour nous satisfaire. En été, sur la côte d’azur, les jeunes vacanciers ne pensent qu’à draguer et à profiter.
Je préviens Brittany que dans certains campings, les accès sont filtrés, car beaucoup de monde fraude. Seuls les amis des campeurs dument enregistrés sont autorisés à entrer. Les campeurs et les invités portent un bracelet les identifiant comme autorisés à être sur le site. Ces mesures de reconnaissance sont devenues impératives dans certains campings haut de gamme, car c’est un sport local que les jeunes riverains entrent sans payer ou sans être invités.
Mon camping préféré est le « BELLEVUE », le plus grand et le plus classe de la région. Il y a une grande piscine et des jeux de pleins air où nous allons bien nous amuser. En début d’après-midi, Brittany et moi allons au camping, qui se trouve non loin de mon domicile. Nous entrons dans le camping en nous mêlant à un groupe de jeunes qui rentrent de la plage, pratique infaillible et en toute discrétion.
Nous allons directement à la piscine où nous nous amusons dans les toboggans et bains à remouds. Bientôt, les deux petites blondes que nous sommes sont remarquées par un groupe d’ados de tous âges, qui ne perdent pas l’opportunité de venir nous aborder plus ou moins adroitement, d’ailleurs. Avec notre maillot échancré et surtout notre soutien-gorge bien rempli, nous faisons forte impression et les garçons ont leurs hormones en ébullition.
Nous sommes assaillies de questions en tout genre et avec Brittany qui répond en anglais, c’est plutôt la cacophonie entre les uns qui tentent de parler anglais et les autres qui tentent de traduire pour les plus jeunes. Notre petit groupe bruyant attire les foudres des vacanciers qui aimeraient se reposer au calme, ce dont nous ne tenons pas compte.
Un des surveillants du camping arrive et il hausse le ton pour tenter de remettre bon ordre dans notre brouhaha qui importune. Reconnaissant le service d’ordre, Brittany et moi dissimulons nos poignets pour échapper à sa vigilance. Lorsqu’il contrôle, Brittany et moi sommes démasquées et il nous prie de quitter les lieux au plus vite. Se sachant en faute et ne demandant pas notre reste, nous remettons notre tee-shirt et nous partons, raccompagnées par le gardien.

En dehors du camp, nous nous disons que c’est dommage d’en rester là et nous décidons de rentrer à nouveau, en faisant plus attention, cette fois.
Cachées derrière des voitures et avec un instant d’inattention de la part du gardien, nous pénétrons à nouveau dans le camping. En courant, nous rejoignons nos copains qui nous voient arriver avec joie. Nous leur expliquons qu’il faudra faire plus attention et nous partons tous vers un autre endroit, moins fréquenté.
Nos discussions reprennent, car chaque garçon tente d’avoir sa chance avec nous, même ceux qui ont à peine quinze ans. Leur approche un peu gauche nous fait rire, car nous les voyons arriver avec leurs « gros sabots ».
Un des garçons nous dit que le concours de « Mister camping » a lieu. Nous allons voir un des garçons du groupe qui se présente, Antoine dix-neuf ans. Dissimulées parmi la foule, nous regardons les défilés des concurrents. Quelques épreuves de force et d’endurance ont lieu pour départager les candidats. Antoine s’en sort plutôt bien et il devient l’un des finalistes de l’épreuve.
Alors qu’Antoine défile sur le podium, le gardien nous repère et il surgit sur nous avant même que nous puissions réagir. Nous empoignant par le bras, il nous embarque dans son bureau, pour cette fois prendre les mesures qui s’imposent. Nous réalisons que nous n’avons pas été assez prudentes et que maintenant, c’est trop tard. Le gardien nous force à dire qui nous sommes et de donner le nom de nos parents. Tout d’abord muettes, le gardien nous menace d’appeler les gendarmes, car nous sommes, toutes les deux, en récidive.
Consciente d’être en faute, je donne mon nom et le téléphone de mes parents, en précisant que Brittany est invitée chez moi et que ses parents ne sont pas là. Le gardien se fait un plaisir d’appeler Papa qui délègue à Maman le soin de venir nous récupérer, car lui est en réunion et indisponible pour le moment. Il certifie au gardien que nous allons nous en rappeler et que ça ne se reproduira plus.

Maman arrive un peu plus tard, furieuse, car elle m’avait déjà prévenue que ce genre d’entrée en fraude est interdite. De plus, nous pourrions tomber sur des jeunes qui nous molestent ou même qui nous violent. Les histoires de ce genre sont fréquentes dans les campings. Elle me rappelle, au passage, que je ne prends pas la pilule et que tous rapports, consentis ou pas, peut avoir de fâcheuses conséquences...
Toutes les deux muettes et la tête basse durant le trajet du retour à la maison, nous n’en menons pas large, honteuses de notre faute.
Aussitôt arrivées, Maman nous envoie dans ma chambre et nous ordonne de nous mettre entièrement nue, car nous allons être punies comme il se doit. Nous, qui pensions que nous allions n’avoir qu’une remontrance, là, ce n’est plus pareil, car nous allons être corrigées. Nous nous regardons, interloquées. Brittany demande pardon à Maman, mais elle lui répond qu’il fallait réfléchir avant. Même si elle ne comprenait pas le français, elle m’a suivie dans le fait d’entrer à nouveau dans le camping, malgré l’interdiction du gardien. Brittany ne peut que l’admettre. Elle était bien complice sur ce coup-là.
Dans la chambre, je demande pardon à Brittany, car c’est de ma faute si nous allons nous faire punir. Avec un grand sourire, Brittany me dit que nous nous consolerons mutuellement après... Je l’envie d’être aussi confiante, car je sais que la punition va nous laisser avec des douleurs partout. Je ne sais pas si nous aurons envie de faire autre chose...
Nous nous étreignons en nous souhaitant beaucoup de courage et nues, nous descendons, Maman nous attend avec le martinet à la main. A la vue du martinet, nous avons le sang qui se glace dans nos veines. Je sens mes tétons qui se dressent par l’angoisse de la fessée imminente. Brittany n’est pas dans un meilleur état au moi.
Maman prend Brittany par le bras et lui dit de se pencher en avant, en prenant appui sur le dossier du canapé et d’écarter les cuisses. Quant à moi, je dois me mettre à genoux, les mains sur la tête et regarder avant de passer à la correction moi aussi.
Lorsque Brittany est en position, Maman la cingle au niveau des fesses et des cuisses, faisant sursauter et crier mon amie. A plusieurs reprises, en demandant pardon, elle place ses mains en protection de son arrière-train qui est zébré de belles marques bien rouges. Lorsque Maman voit que Brittany n’obtempère pas assez vite pour retirer ses mains, elle lui cingle le dos, la faisant bondir et hurler. Cette technique est imparable pour qu’elle offre à nouveau ses fesses aux lanières de cuir.
En la regardant crier, souffrir et se contorsionner dans tous les sens, mon entrecuisse se mouille tant je suis excitée de ce spectacle. Mais en arrière-plan, une boule se noue dans ma gorge, car je sais que je vais être la proie des lanières dans quelques instants et je ne donnerais surement pas meilleure impression que mon amie.
N’en pouvant plus, Brittany finit par se faire face à Maman pour interrompre la correction, pensant qu’elle n’oserait pas lui cingler le torse. Maman lui demande à deux reprises de se remettre en position, mais Brittany, le visage inondé de larmes tente de l’en dissuader et elle se prend quelques cinglées appuyées sur les seins et sur le ventre la faisant hurler et trépigner d’une jambe sur l’autre, ce qui fait ballotter ses seins. Brittany finit par s’écrouler en se protégeant de ses bras, en sanglots. Maman la prend par le bras et la traine jusqu’à moi pour la mettre à genoux, les mains sur la tête. Secouée de pleurs, Brittany, toute tremblante, pose les mains sur sa tête et essaye de se tenir droite. Son corps lui semble être en feu.
Ayant vu mon amie se faire fouetter, je commence déjà à pleurer lorsque Maman m’empoigne et me traine jusqu’au dossier du canapé et me dit que je vais recevoir plus de fouettées que Brittany, puisque c’est moi qui l’ai emmenée là-bas. Elle me sermonne à nouveau ( et en russe, cette fois ) sur les risques de viols à force de faire les « aguicheuses » entourées de garçons qui ne demandent qu’à passer à l’acte et se moquent éperdument des conséquences. Entre deux reniflements, je lui dis que je n’y avais pas pensé et tout ce que je voulais c’était m’amuser avec Brittany. Maman me décoche une gifle qui me fait rougir instantanément la joue.
Elle me met sur mes deux pieds et me force à prendre position. Cuisses ouvertes, ma vulve luisant de cyprine se voit bien. C’est Brittany qui a une vue directe dessus.
Maman se met à me fouetter de la même manière que Brittany. Moi qui n’avais jamais expérimenté ce martinet, c’est vrai que les morsures des lanières laissent des trainées embrasées et je comprends les réactions de Brittany. Je tente de résister mais au fur et à mesure que Maman me cingle, je sens que je fais céder et hurler, ce qui ne tarde pas. Je me mets à sauter sur place et à danser d’une façon aussi ridicule que ma copine. Je supplie Maman de stopper, car ça fait trop mal, mais elle continue, visant alternativement mon dos, mes fesses et mes cuisses.
Lorsqu’elle cesse, c’est pour me dire de me retourner, ce que je fais sans lui faire répéter. Maman me dit de mettre mes mains sur ma tête, car elle va me fouetter le ventre et les seins et à chaque fois que je me protégerai, il y aura deux cinglées en plus. Je le regarde implorante, le visage en larmes.
Dès la première sur le bas ventre, je baisse mes mains en me massant la partie brulante. Consciente de ce que je viens de faire, je demande pardon et je mets mes mains prestement sur la tête. Maman continue et mes mains se positionne en pures réactions de protection, ce qui fait que la correction dure.
Ayant déjà reçu quatre-vingts coups de fouet sur tout le corps, je plie les genoux et je m’écroule. Cette fois, je n’en peux plus. En larmes, en sueur et le corps intégralement zébré de marques, Maman m’aide à me relever. Les jambes flageolantes, Brittany et moi sommes renvoyées dans ma chambre pour y rester confinées tout l’après-midi afin de méditer sur nos actes. Je n’ai que je temps d’aller aux toilette et d’uriner à moitié debout, car j’ai failli me laisser aller durant la punition.
Nous nous allongeons sur mon lit pour pleurer toutes les larmes de notre corps. Je sens Brittany me prendre la main. Je la regarde d’un petit air implorant, car c’est à cause de moi que nous avons été fouettées et je comprendrai qu’elle m’en veuille.

En ce mois de Juillet, il fait très chaud, ma chambre étant sous le toit, la chaleur a envahi la pièce. Entre ça et la chaleur de notre corps en feu, nous dégoulinons de transpiration. Allongées toutes les deux, trempées, la vulve et les cuisses maculées de cyprine, nous devons paraitre bien minables...
En fin d’après-midi, Maman entre dans la chambre, nous donne de l’eau et nous ordonne d’aller prendre une douche fraiche, car nous ne ressemblons à rien, comme ça. N’osant pas la faire répéter, nous nous levons, le corps encore en feu et nous allons nous laver. Toilette qui nous requinque un peu, car l’eau fraiche apaise la sensation de brulure. En sortant de la salle de bain, nous regagnons la chambre et nous nous apprêtions à enfiler un short et un tee-shirt lorsque Maman nous arrête en nous disant que nous allons passer les deux prochains jours, entièrement nues, ce qui nous évitera d’aller faire les « belles » avec les vacanciers. Brittany rougit jusqu’aux oreilles, car elle sait que Papa va la voir sans vêtement et ça sera très humiliant pour elle, dans une moindre mesure, pour moi aussi !
Après toute la soirée passée toutes rouges, débordant de subterfuges pour dissimuler notre nudité, nous allons nous coucher. Le corps bien chaud et l’esprit encore tout embrumé de ce que nous venons de vivre, Brittany et moi refaisons l’amour pour apaiser nos tensions internes. Nos ébats nous font un bien fou et malgré notre corps perclus de douleur, nous trouvons l’énergie pour faire jouir l’autre et comblées, nous basculons dans un sommeil entremêlé de scènes pénibles et de doux moments.


Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !

Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 38

Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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4 commentaires:

  1. Bonjour, Elena.

    Il doit être effectivement très difficile pour votre entourage et vos amies de comprendre la nature du lien qui vous unit à Britanny, sachant qu'elle a pris infiniment de plaisir à vous fouetter. C'est le genre de choses qu'on ne peut comprendre que de l'intérieur. Comment pourriez-vous expliquer que c'est précisément le fait qu'elle y ait pris du plaisir qui vous trouble en profondeur? Que vous avez ressenti une satisfaction intense à être le "moyen" par lequel Britanny a éprouvé ce plaisir? Il y a dès lors entre vous quelque chose de très fort qui ne peut pas être comparé à quoi que ce soit d'autre. Beaucoup de choses deviennent alors possible. Et jusqu'au fait de s'offrir mutuellement le spectacle d'une correction exemplaire. Parce qu'il faut bien reconnaître qu'elles la cherchent cette fessée, qu'elles provoquent, qu'elles font tout pour l'avoir. Aussi douloureuse soit-elle. Ce dont il s'agit, et peut-être surtout de la part d'Elena, c'est de faire un magnifique cadeau à l'autre.
    Amicalement.
    François

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    1. Bonjour François,
      En effet, cette flagellation a St ANDREWS m'a affectée plus que prévu. Se sentir dominée par Brittany a créé une sensation inattendue... Par contre dire que cette bêtise fut voulue, je n'irais pas jusque là. Disons que notre entêtement et notre souhait de nous amuser en faisant fi des consignes en a été la cause. Mais ça aurait passer... Cependant, la flagellation mutuelle a ouvert davantage de sensations entre nous. C'est un formidable cadeau, en effet.
      Amitiés.
      Elena.

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  2. Amis de la poésie et des galipettes sous la couette entre filles après la fessée... Bonjour!

    Encore que dans le midi, en été, on ne doit pas dormir souvent avec une couette, surtout quand on vient de se prendre une sévère correction au martinet avec le derrière et tout le reste du corps à la température d'un barbecue...
    C'est ce qui arrive aux héroïnes coquines de ce dernier récit d'Elena, qui ne manque pas d'imagination quand aux motifs de rebellitude propices à de très très terrrrribles séances de punitions. Qu'avons nous ici comme prétexte à fessée, et plus, parce que affinité...
    Une récidive de resquillade à l'entrée d'un camping trois étoiles, et maman te vous gratifie ces demoiselles d'une raclée d'un même nombre d'astres lumineux qui leur en font voir d'une seule couleur... rouge écarlate, façon homard, coquillages et crustacés!
    A nous les fesses de la petite anglaise! Brittany ne regrettera pas son séjour dans le sud de la France qui vaut son pesant de cyprine sous les cinglées de martinet.
    Au passage fructueux interface entre les auteurs, avec ce clin d'oeil complice à la maison DELANIARES, de "Ces Dames aux Mains Fermes", qui sponsorise le récit, en fournissant un matériel disciplinaire artisanal, de qualité française... monsieur!... ( mais c'est madame qui s'en sert .) et entièrement fabriqué à la main. Loin des martinets de pacotille "made in China" qu'on ne trouve même plus dans les drogueries... qui d'ailleurs n'existent pratiquement plus... Non plus!
    Mais comme dans tous les jolis contes de fesses, tout est bien qui finit bien. Pas calmées pour autant les gourgandines...elles vécurent heureuses et eurent beaucoup d'orgasmes. Papouilles sous la douche, et roucoulade au lit...
    Il s'en passe des choses dans les récits d'Elena... Et on ne nous dit pas tout, on attend le prochain pour ça.
    Cordialement
    Ramina

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    Réponses
    1. Bonjour Ramina,
      Toujours raffinés, vos commentaires et particulièrement drôles. Comme vous pouvez le voir, j'ouvre de multiples thèmes et tout sujet est bon pour agrémenter la vie de mes personnages.
      Je m'inspire des textes qui me tombent sous la main. Comme je dis, tout est bon pour écrire. Avoir un bon matériel qui corriger mes personnages me semble primordial. Rien de tel pour les remettre dans le droit chemin.
      Pour le coté coquin, j'agrémente mes textes avec un soupçon d'érotisme, d'excitation et de correction. Le tout formant un texte que j'adore écrire. Et comme dans tous mes textes, la correction passée, les compteurs sont remis à zéro et tout peut repartir sous de nouvelles bases et vers de nouvelles aventures.
      Amitiés.
      Elena.

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