jeudi 9 juillet 2020

Le journal d'Olga - chapitre 23 acte 1

« Olga…
Tout bas.
‒ Olga…
C’était Iourievna, penchée sur mon lit.
‒ Tu te lèves ? C’est l’heure.
On s’est habillées sans bruit. On a descendu tout aussi silencieusement l’escalier.
‒ S’ils se rendent compte, les parents ?
‒ On sera rentrées avant qu’ils se lèvent.
Il faisait encore nuit.
Théo était déjà là, à l’abri du petit muret. Je lui ai tendu les lèvres. On s’est pris la main. Et Iourievna a presque aussitôt chuchoté.
‒ Les v’là ! Ça y est ! Les v’là !
Ils venaient effectivement de brusquement surgir à l’angle de la rue. Dans la lumière crue des réverbères. Tous les trois. Tête basse. Tout nus. Mbe au milieu, Evenye à sa droite, Nayah à sa gauche. Et Clorinde C. fermant fièrement la marche.
Iourievna a sifflé entre ses dents, sur un ton admiratif.
‒ C’est vrai qu’il a de quoi faire, lui, là, entre les jambes. Ce morceau !
Les seins des deux filles, eux, plantureux, ballottaient fièrement au rythme de leur marche. Théo m’a serré la main plus fort. A respiré plus vite.
Quelqu’un, quelque part, a crié.
‒ Oh, les autres, eh ! Ils sont à poil.
Et il y a eu des applaudissements.
Ils ont accéléré le pas. Mais Clorinde C. les a aussitôt rappelés à l’ordre.
‒ On prend son temps.
Ils approchaient. Ils approchaient de plus en plus.
‒ Qu’est-ce que j’ai dit ? On prend son temps.
Tout près.
J’ai levé les yeux sur Théo.
‒ Tu les aimes, leurs chattes ?
Il a fait signe que oui. Oui. Sans les quitter des yeux. Et il s’est appuyé contre moi, sa queue toute dure contre ma hanche.
Iourievna a soupiré.
‒ C’est pas possible, un engin pareil. Non, mais c’est pas possible. Faut vraiment que je trouve le moyen d’en faire un tour. Tant que j’en aurai pas fait un tour…
Quand ils sont arrivés à notre hauteur, Mbe a tourné la tête dans notre direction. Et il nous a vus. Il a aussitôt détourné le regard.
Leurs fesses tuméfiées ont remué jusqu’à l’angle de l’avenue Victor Hugo. Ils s’y sont tous les trois engouffrés.
Un petit bisou, vite fait, sur les lèvres de Théo.
‒ À tout à l’heure… »
Et on s’est empressées de rentrer.

Le silence. Ils dormaient encore. On a regagné notre chambre. Sur la pointe des pieds. On s’est déshabillées et on s’est glissées entre les draps de nos lits respectifs.
« Il m’a reconnue, Mbe, tu crois ?
Peut-être. J’en savais rien.
‒ Il en voit défiler toute la journée des clients à la blanchisserie. Alors tu sais…
Elle a supplié.
‒ On y retourne demain, hein, c’était trop bien…
On s’est tues.
J’ai fermé les yeux. J’ai laissé s’installer des images. Mbe. Son regard, plein de honte, quand il s’était tourné vers nous. Les seins des filles. Leurs têtes baissées. Leurs fesses striées qui dodelinaient. Et puis Théo. Mon Théo. Sa queue contre moi. Son souffle dans mon cou. Je suis descendue me rendre visite en bas. J’ai titillé mon bouton. Je me suis envahie de mes doigts. Mon plaisir est venu. Celui de Iourievna aussi, là, à côté. En gémissements sourds qu’elle a étouffés dans l’oreiller.
Il s’en est fallu de peu. De deux ou trois minutes. Pas plus. Parce que Maman est entrée. A allumé la lumière.
‒ Eh ben, les filles ! Qu’est-ce vous fichez ? Vous vous levez pas ? Vous allez être en retard ! »

Au bahut, c’était toute une ébullition.
« Qu’est-ce qu’il se passe ?
Personne n’en savait rien.
‒ Mais toujours est-il qu’il y a eu les gendarmes ce matin, là-haut, à ce qu’il paraît, dans le bureau de la directrice.
Il se disait tout. Et le contraire de tout. Il y en avait qui prétendaient que Marie P., la secrétaire de direction, avait fait une tentative de suicide suite à une désillusion amoureuse. D’autres qu’un rôdeur s’était introduit à l’internat, du côté des filles, et qu’il avait tenté d’en violer une. D’autres encore que deux élèves de Terminales avaient entrepris de mettre en place un vaste réseau de trafic de drogue.
‒ Même qu’apparemment ce sont Yohan et Fabien qui sont derrière tout ça. »
Effectivement, ils n’étaient pas en classe.

Le fin mot de l’histoire, on l’a eu, de la bouche de Léa, notre déléguée, à la cantine, à midi. Yohan et Fabien avaient bien été arrêtés, oui. Mais ça n’avait strictement rien à voir avec quelque affaire de drogue que ce soit. Ils avaient forcé, pendant la nuit, le bureau de la directrice. Ils avaient ouvert les tiroirs, fouillé les dossiers, tout retourné.
« Mais pourquoi ? Ils cherchaient quoi ?
‒ Au départ, rien de spécial. C’était juste un pari idiot avec des copains au dortoir. « Chiche qu’on le fait ! » Sauf qu’ils se sont pris au jeu. Et qu’ils se sont mis à photocopier à-tout-va. Tout et n’importe quoi. À tout hasard. Des fois que ça puisse leur servir.
Seulement, au final, ce qui s’était passé, c’était que Mère Jolanta A., en faisant une ronde, avait aperçu de la lumière de leurs lampes de poche dans le bureau, qu’elle avait alerté le concierge et que tous les deux, croyant avoir affaire à des cambrioleurs, avaient appelé les gendarmes. Qui étaient les avaient pris sur le fait et les avaient embarqués.
Ah, oui ? Et il allait leur arriver quoi alors maintenant ?
‒ Oh, alors ça ! Depuis ce matin c’est tout un branle-bas de combat. Il y a des coups de téléphone dans tous les sens. Ça va. Ça vient. Il y a eu, dans un premier temps, un conseil de discipline restreint d’urgence. Qui a décidé le renvoi définitif immédiat. Une avocate s’en est mêlée. Leurs parents aussi. Il y a eu des tractations avec la gendarmerie. Et, à ce qu’il paraît qu’au point où ça en est à l’heure actuelle, la directrice a retiré sa plainte, que, du coup, il y aura pas de procès, mais qu’ils recevront quand même cinquante coups de canne chacun demain dans la cour de la gendarmerie. Et qu’il y aura un nouveau conseil de discipline, vu que, pour le premier, ils étaient pas présents et que c’est pas légal. »

Alicia l’attendait, mon coup de fil.
« J’en étais sûre. Je commence à te connaître depuis le temps. Tu vas être contente.
‒ Comment ça ?
‒ C’est elle qui va les leur donner, ma sœur, les coups de canne demain. Avec une autre gendarme.
‒ Super ! Elle te racontera ?
‒ Évidemment ! Et je vous raconterai. Ça coule de source. »

Le lendemain matin, ce sont les soupirs à fendre l’âme d’Iourievna qui m’ont réveillée.
‒ Qu’est-ce t’as ?
‒ T’entends pas ?
Ah, si ! Oui. J’entendais.
‒ Ils sont déjà levés, les parents. C’est mort. On va pas pouvoir aller les voir passer, les trois autres, là-bas. Quand ça s’y met, la poisse…
Elle a voulu qu’on fasse quand même un petit saut à la blanchisserie avant d’aller au bahut.
‒ Vite fait. On a bien le temps. Qu’on ait au moins ça…
‒ On va dire quoi ? On n’a pas de linge.
‒ Rien. On va rien dire. On va juste le regarder à travers la vitrine.
On était pas les seules à en avoir eu l’idée. Il y avait un petit groupe de femmes planté devant qui discutait à qui mieux mieux en jetant, de temps à autre, des coups d’œil à l’intérieur.
Une petite brune n’en croyait pas ses oreilles.
‒ Non, mais tout nus, comme ça, dans la rue !
‒ Tous les trois, oui. Le type et les deux filles.
‒ Non, mais c’est pas vrai ! C’est incroyable, un truc pareil ! Invraisemblable !
‒ Eh, si ! Et même, à ce que j’ai entendu dire, qu’ils vont remettre ça demain.
‒ Oh, mais j’irai voir. Alors là, je veux pas louper ça.
Iourievna, elle, fixait intensément Mbe des yeux à travers la vitrine.
‒ Bon, tu viens ? On y va ? Parce que si on est en retard…
‒ Oui, une minute !
Deux, des minutes. Trois. Quatre.
‒ Faut vraiment qu’on y aille, Iourievna !
Elle a fini par s’y résoudre.
‒ Il m’a même pas regardée. Quel con !

Mylène, elle, elle les avait vus passer.
« Sous ma fenêtre. J’habite sur le parcours, moi !
‒ Ah, oui, c’est vrai ! Et alors ?
‒ Oh ben, et alors, il y avait beaucoup plus de monde qu’hier, ce qu’il y a de sûr. Aux fenêtres. Et sur les trottoirs. Ils s’étaient donné le mot, les gens. Et ça y allait bon train, les commentaires. Et les réflexions. Il y en a même trois ou quatre qui les ont suivis tout au long du parcours en sautillant autour d’eux.
‒ Il réagissait comment, Mbe ?
‒ Oh, lui, j’en sais rien ! Je m’en fichais un peu de lui. Non, moi, ce qui m’intéresse, et c’est pas un scoop, ce sont les nanas. Et elles, elles étaient impassibles. Imperturbables. Comme si ça les concernait pas, tout ça. Comme si elles étaient pas en train de défiler à poil devant tout le monde. C’était d’un agaçant ! Un genre qu’elles se donnaient parce que je suis bien tranquille qu’elles devaient sacrément prendre sur elles et qu’à l’intérieur elles devaient pas en mener large. En attendant, ce qu’il y a de sûr, c’est qu’elles sont hyper bien foutues comme filles. Il y a tout ce qu’il faut là où il faut. Et ça, au moins, j’ai pu en profiter. »

Le coup de fil d’Alicia s’est fait attendre.
« Mais qu’est-ce qu’elle fabrique, bon sang ! Qu’est-ce qu’elle fabrique !
Jusqu’à onze heures du soir.
‒ Ah, enfin !
J’ai mis le haut-parleur qu’Iourievna puisse en profiter.
‒ Désolée, mais longtemps on est restées à piailler avec ma sœur. Surtout qu’elle, quand elle raconte, elle prend son temps. T’as droit à tous les détails. Et comme là, en plus, elle était du côté du manche…
‒ Ça a eu lieu alors ?
‒ Évidemment que ça a eu lieu. Quand cette juge, elle décide quelque chose, tu passes pas à travers. Jamais. T’as beau supplier, promettre tout ce que tu veux, il y a rien à faire. T’y as droit. Et eux, là, à ce qu’il paraît qu’ils étaient vraiment pas fiers quand on les a amenés, menottés dans le dos, pour qu’ils puissent pas se cacher, avec toutes les femmes gendarmes qui leur faisaient une haie d’honneur et qui se moquaient ouvertement de leurs attributs. Même que Fabien, il s’est mis à pleurer. Et que, du coup, elles en ont rajouté une couche. « Oh, le pauvre chéri ! Il a du chagrin ? Ben, qu’est-ce ce sera tout à l’heure quand son petit derrière va s’agiter sous les coups de canne ! Eh, oui ! Voilà ce que c’est d’aller jouer au petit voleur dans le bureau de madame la directrice » Le commandant de l’escadron, Jean-Luc C., faisait traîner tant qu’il pouvait. Exprès. Pour que ça leur serve de leçon, oui, bien sûr, mais aussi pour que ses subordonnées femmes puissent se défouler tout leur saoul. Dix bonnes minutes ça a duré avant qu’il donne l’ordre de les attacher, penchés en avant, à l’équerre, jambes écartées et couilles pendantes. Et la médecin major, Cindy B., sous prétexte de rectifier leur position, en a profité pour aller les tripatouiller un peu partout. Elle les a même décalottés.
‒ Ce qui les a fait bander, je suis sûre…
‒ Ah, ben ça !
‒ Non, mais comment j’aurais aimé y être !
‒ Et moi donc !
‒ C’est pas juste, hein ! Parce qu’on est les premières concernées. Ces types, toute l’année on est avec. Alors on devrait avoir le droit de systématiquement assister quand il y a des trucs comme ça.
J’ai soupiré.
‒ Bon, mais et après ? Allez, continue !
‒ Oh, ben après, ma sœur et sa collègue Gwenola G., une fois le feu vert donné par le commandant, vous pensez bien qu’elles y sont allées de bon cœur. Elles te leur ont canné les fesses à-tout-va aux deux lascars. Et elles ont aimé ça. Vous auriez vu comment ils brillaient ses yeux à Emmanuelle pendant qu’elle me racontait. Oh, oui, qu’elle aime ça ! Et elle s’en cache pas. « Attends, ils nous en font assez voir, les types, à nous, les femmes gendarmes, quand on les contrôle. À vouloir toujours avoir raison et à nous prendre de haut. Alors moi, dès que j’ai l’occasion… C’est leur rendre service n’importe comment à ces petits délinquants. Ça les calme. Et il faut. Parce qu’on commence comme ça, en visitant le bureau de la directrice, et puis on s’enhardit. Et on accumule connerie sur connerie. » Quand ça a fait vingt-cinq coups, Cindy B. a demandé une interruption. Elle leur a pris le pouls, la tension, les a examinés sous toutes les coutures et a dit que ça allait, qu’elles pouvaient continuer. Mais alors, c’est leur avocate, Maître Virginie B., qui est intervenue en disant que ça pouvait peut-être suffire, que ses clients avaient compris la leçon. Le commandant et Cindy B. se sont montrés intransigeants. « C’est non ! » Et elle n’a pas insisté. Elle est allée se rasseoir. « Pour cause, elle m’a dit, ma sœur. On voyait bien qu’elle appréciait le spectacle. » Et ça a repris de plus belle. Ils se démenaient comme de beaux diables, les deux autres. Ce qui leur servait à rien, attachés comme ils étaient. Ils se démenaient et ils braillaient tout ce qu’ils savaient. Pour la plus grande joie des femmes gendarmes. Qui riaient de bon cœur. Et qui les singeaient à qui mieux mieux. Mais alors là où ça a été du délire, c’est quand, à force de serrer et desserrer les cuisses, Fabien a carrément fini par spermer.
‒ C’est souvent les garçons, quand on les corrige. Il y en avait beaucoup ?
‒ Encore assez… Il s’est remis à chialer du coup. De honte. Et Yohan, lui, s’est mis à supplier qu’on arrête. À hurler qu’il en pouvait plus. « Pitié ! Pitié ! » Ils étaient lamentables tous les deux. De vraies mauviettes. Sans aucun courage. Sans aucune dignité. Ça les a écœurées, ma sœur et sa collègue. Si bien que les derniers coups, elles les leur ont donnés de toutes leurs forces. Quand ça a été enfin terminé, elles les ont détachés et emmenés à l’infirmerie, suivies de l’avocate qui a absolument tenu à les accompagner.
‒ Ben, tiens !
‒ Il fallait voir comment elle leur a tout bien reluqué comme il faut pendant que le médecin leur étalait de la crème un peu partout et même là où ça avait pas été touché. Et elle a tenu à les ramener personnellement, tout nus, à leurs parents qui les attendaient sur le parking. Et qui n’ont pas manqué de leur faire remarquer qu’ils étaient loin d’en avoir fini. « Vous en aurez une autre à Sainte-Croix la semaine prochaine. C’est la condition sine qua non de votre réintégration. »


Et Iourievna ? On la connait

Je veux ! Elena nous l'a longuement présentée mais si vous êtes passés à côté,  voici le premier épisode de la série : le chapitre 1

Il y a un début à cette série

Le chapitre 1
et l'épisode précédent : chapitre 22
Mais si vous voulez lire ce récit d'un autre point de vue : les rebelles chapitre 23 acte 1

Et la suite ?

François nous a écrit le chapitre 23 acte 2

N'hésitez pas pour les commentaires

Tout le monde les attend : que pensez-vous de cette série croisant l'imaginaire d'Elena et celui de François ?

4 commentaires:

  1. Bonjour François.
    Bon épisode, où nous avons une petite suite du chapitre précédent et en prime un épisode nouveau. C'est inédit. Ca permet de remettre une petit couche sur l'épisode précédent.
    Là, il s'agit d'acte inqualifiable, sous prétexte de pari, les 2 jeunes se livrent à une effraction dans le bureau de notre proviseure. La cannée a été juste et on redemanderait une autre pour qu'ils comprennent que leur attitude n'est pas en adéquation avec les principes inculqués dans l'établissement.
    Bravo.
    Amitiés.
    Elena.

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  2. Bonsoir Elena. Et bonsoir à tous.
    Peut-être n'en a-t-on pas encore tout à fait fini avec cet épisode de la blanchisserie. Après tout, c'est tous les matins, pendant une semaine que notre trio doit accomplir ce parcours.
    Quant aux deux autres cambrioleurs, il s'agit plutôt, je crois, de bêtise que d'autre chose. Ce qui n'est pas excusable pour autant. Ce qui l'est d'autant moins qu'ils ont cherché à subtiliser des documents confidentiels. En attendant, ceux qui ont beaucoup de chance, ce sont les autres protagonistes de ce pari stupide. On ne cherche pas à savoir qui ils sont.
    Amicalement.
    François

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  3. Bonsoir Elena. Et bonsoir à tous.
    Peut-être n'en a-t-on pas encore tout à fait fini avec cet épisode de la blanchisserie. Après tout, c'est tous les matins, pendant une semaine que notre trio doit accomplir ce parcours.
    Quant aux deux autres cambrioleurs, il s'agit plutôt, je crois, de bêtise que d'autre chose. Ce qui n'est pas excusable pour autant. Ce qui l'est d'autant moins qu'ils ont cherché à subtiliser des documents confidentiels. En attendant, ceux qui ont beaucoup de chance, ce sont les autres protagonistes de ce pari stupide. On ne cherche pas à savoir qui ils sont.
    Amicalement.
    François

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    Réponses
    1. Bonjour François,
      Sympa de jouer les prolongations avec les employés de la blanchisserie. Avec ça, leur envie de se rebeller sera mise en berne. C'est encore cette sale bonne femme qui s'en tirera...
      Pour le cambriolage, c'est un jeu stupide qui les a conduit là. Manque de chance pour eux de s'être fait prendre par les religieuses qui veillent au grain à Ste CROIX. On ne plaisante pas avec les principes moraux et les règles de bonne conduite.
      Pour les autres protagonistes, oui, ils sont et restent dans l'ombre, n'étant pas directement impliqués, mais complices dans le principe. Cela dit, nous ne sommes pas dans un tribunal avec tout l'arsenal juridique, ce qui explique que seuls les gens impliqués directement paient les pots cassés.
      Amitiés.
      Elena.

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