mercredi 22 juillet 2020

Chroniques de confinement - chapitre 7

Les deux femmes regardaient les deux jeunes gens immobiles dans leur coin.
« Vous rappelez-vous, Bernadette, la première fois où nous étions côte à côte pour contempler les fesses d’Aurélie, copieusement rougies après la fessée que vous lui aviez donnée ?
– Sûr que je m’en souviens ! Quel âge pouvait-elle avoir ?
– C’était quelques temps après ses dix-huit ans. Je ne sais plus combien exactement, mais il n’y avait pas plus que quelques mois… »
Oui, c’était à ce moment-là où Aurélie avait reçu sa première fessée.
Tout s’était joué lorsque Aurélie était devenue majeure. Cela faisait plusieurs années où elle parlait du jour de ses dix-huit ans comme celui où il y aurait de grands changements dans sa vie.
Aurélie avait été une petite fille sage à qu’il suffisait de faire les gros yeux pour qu’elle obéisse. Sa mère élevait parfois la voix, mais c’était assez rare. Il n’y avait pas besoin. Elle avait un peu moins de seize ans quand son père les avait quittées. Aurélie n’avait jamais su si c’était bien comme cela que ça c’était passé ou si sa mère, lasse des frasques de son mari, l’avait mis à la porte. Ce n’était pas un bien grand changement dans la vie des deux femmes. Le père d’Aurélie était absent, autant physiquement qu’affectivement.
Aurélie avait cependant eu du mal à absorber cette séparation. Elle avait commencé à prendre de mauvaises habitudes auxquelles sa mère avait rapidement mis le hôla. Elle avait, au contraire, renforcé son autorité sur sa fille, la traitant de nouveau comme une petite fille et contrôlant ses moindres faits et gestes et sélectionnant impitoyablement ses fréquentations. Aurélie avait passé quelques week-ends, consignée dans sa chambre, en punition de désobéissances et d’attitudes irresponsables. Puis, tout était revenu à la normale si ce n’est qu’Aurélie ne cessait de parler de ce qu’elle ferait quand elle serait majeure. Marianne sentait bien que sa fille obéissait, mais à contre-cœur.
Ce jour tant attendu était enfin arrivé et Aurélie avait annoncé à sa mère qu’elle s’affranchissait totalement de sa tutelle. Confrontée à sa dépendance financière, elle avait admis que sa mère eût un regard sur ce qu’elle faisait, mais sans concéder qu’elle se soumettrait aux avis maternels. Consciente des changements qui s'opéraient, Marianne avait distendu les règles qu'elle imposait à sa fille jusqu’à maintenant.
Il s’en était suivi une période de quelques semaines pendant lesquels Aurélie avait fait sauter toutes les règles qui encadraient sa vie jusqu’alors. Les accrochages verbaux entre les deux femmes, étaient devenus monnaie-courante, Mais Marianne sentait bien que son autorité sur sa fille allait en se délitant.

La situation avait basculé un samedi soir. Il était onze heures quand le téléphone avait sonné.
« Madame le Maire ? »
La poitrine de Marianne s’était serrée quand elle avait reconnu la voix. C’était l’adjudant-chef de la gendarmerie. Marianne le connaissait bien. De par ses fonctions d’élue, elle avait assez souvent affaire à lui. Ils s’estimaient mutuellement, chacun reconnaissant dans l’autre la compétence sur laquelle il était facile de construire des relations de travail.
« C’est au sujet de votre fille. Je vous rassure tout de suite. Elle va bien. »
Marianne sentit retomber toute la tension de ces quelques secondes. Elle avait eu peur de ce que le gendarme avait à lui annoncer. Pour qu’il l’appelle, cela ne devait pas être anodin, mais la vie d’Aurélie n’était pas en jeu. Des larmes de soulagement roulèrent sur ses joues.
« Elle est ici, à la gendarmerie. »
Comme elle en avait pris l’habitude, Aurélie était sortie ce samedi soir avec une bande de copains et de copines de son âge. Marianne, au vu de l’état dans lequel était Aurélie le dimanche quand elle se levait, savait que ces soirées étaient très arrosées. Cela ne cessait de l’inquiéter et elle se demandait bien comment elle devait s’y prendre pour mettre fin à ces abus. Les échanges vifs qu’elle avait eu avec sa fille sur ce sujet, n’avaient rien changé à la situation.
« Elle a eu un accident sans gravité. Compte tenu de son alcoolémie, je ne peux pas la laisser rentrer seule. Voulez-vous venir la chercher ?
– Bien sûr, adjudant-chef. J’arrive tout de suite ! »

Le quart d’heure qu’il avait fallu pour effectuer le trajet jusqu’à la gendarmerie, n’avait fait qu’accroître la colère de Marianne.
« Quelle petite inconsciente ! Je vais régler ça une bonne fois pour toutes ! »
Arrivée à destination, Marianne, dès qu’elle fut mise en présence d’Aurélie, comprit qu’il fallait différer le moment de mettre les points sur les i. Sa fille n’était pas en état de tenir une discussion. Rien de ce que Marianne pourrait lui dire, ne pourrait être compris.
« Y a-t-il des formalités, adjudant-chef ?
– Pas cette fois-ci, Madame le Maire. »
Il avait insisté sur le titre pour bien lui faire comprendre l’importance du passe-droit qu’il lui faisait.
« Nous allons régler ça entre nous. Il n’y a pas eu de conséquence, sauf pour la voiture dans laquelle circulait votre fille, mais ça, ce n’est pas mon problème. Je crains qu’elle soit bonne pour la casse. »
Marianne s’en fichait. C’est celle du fils du notaire de la ville voisine et les frais que cela entraînerait, serviraient également de leçon, autant au père qu’au fils.
« Le conducteur qui venait en face, poursuivit le gendarme, a réussi à les éviter. De justesse ! Pas de blessé, que des dégâts matériels sur la voiture du jeune homme… Nous n’allons pas entamer une procédure pour cette fois, sauf pour le conducteur qui va se retrouver sans permis pour un bon bout de temps. L’alcool au volant, vous comprenez. S’il y en a une prochaine, je ne pourrai pas être aussi laxiste, y compris pour votre fille ! »
Marianne avait dû soutenir sa fille qui peinait à marcher droit.
« Mettez les choses au point avec elle. Je sais qu’elle est majeure, mais ce n’est pas une raison. Elle se comporte comme une petite écervelée. Vous devriez y mettre bon ordre. Si c’était ma fille… »
C’est sur cette appréciation peu flatteuse pour elles deux, qu’elles avaient quitté la gendarmerie.

Aurélie avait dormi pendant presque tout le trajet, sauf quand Marianne avait dû s’arrêter sur le bas-côté pour permettre à sa fille de vomir. Marianne avait dû la soutenir et malgré cela le pantalon de sa fille avait été souillé. L’odeur dans la voiture en avait été insupportable. Heureusement qu’il ne restait plus que quelques kilomètres à parcourir.
Aurélie était indifférente à tout cela. Elle somnolait tout en se plaignant faiblement des mouvements que faisait la voiture et qui et rajoutaient à son mal de tête.
Marianne dut presque porter sa fille pour la sortit de la voiture. Sa colère n’était pas retombée, mais elle voyait bien qu’elle n’aurait aucune portée face à sa fille qui cuvait son alcool, sans reprendre contact avec la réalité.
Elle prit le temps de l’examiner des pieds à la tête. Dans quel état était-elle ! Ses cheveux tout décoiffés tombaient sur ses yeux et d’un côté seulement de sa tête. Un bouton de son corsage était déboutonné, laissant voir le bleu du soutien-gorge. Sa robe était couverte de tâches d’origines diverses. En émanait une odeur indéfinissable, mélange d’alcool et de vomi, et peut-être d’autres relents indéfinissables.
« Va prendre une douche et mets-toi au lit. Nous reparlerons de tout cela demain ! »
Comme Aurélie ne se décidait pas à monter l’escalier pour rejoindre sa chambre, Marianne lui asséna une formidable claque sur les fesses. Aurélie ne réagit même pas. A travers le tissu de la robe et compte tenu de sa léthargie, elle n’avait pas dû sentir grand-chose. Marianne en ressentit du dépit, mais elle se retint. Elle prit sa fille par le bras et elle lui fit monter l’escalier. Elle la laissa sur le pas de la porte la chambre.
« Dépêche-toi de te laver et de te mettre au lit. Je crois que tu n’es pas capable de faire autre chose ce soir ! »
Elle laissa Aurélie à sa demi-somnolence et descendit boire un verre d’eau à la cuisine, autant parce qu’elle avait soif que pour prendre le temps de se calmer avant de se coucher. Quand elle remonta, prête à gagner sa chambre, la porte de celle de sa fille était toujours entrebâillée. La lampe de chevet lui permit de vois sa fille affalée sur son lit. C’était le seul geste qu’elle avait trouvé la force de faire depuis que sa mère l’avait laissée.
« Non, non, non, non, tu ne te couche pas comme ça ! Tu mets ta chemise de nuit, mais auparavant, tu vas te laver ! »
Aurélie ne bougea pas d’un cheveu, sourde aux injonctions de sa mère. Elle ronflait doucement, allongée sur le dos en travers de son lit. Marianne l’attrapa par la main et la mit sur ses pieds.
« Ouste ! Dans la salle de bains ! »
Aurélie gémir, bredouilla une protestation qu’elle n’acheva pas, mais elle avança, fermement tenue par sa mère.
« Tu te déshabilles et tu passes sous la douche ! »
Aurélie s’assit sur le marchepied qu’elle utilisais pour être à la bonne hauteur quand elle était petite. Elle enleva une chaussure et la laissa tomber par terre. Puis… elle en resta là. Elle s’appuya contre le mur et elle reprit son sommeil, un instant interrompu.
« Non et non ! Pas question que tu dormes là ! »
Elle était certaine qu’Aurélie ne l’avait même pas entendue. Elle lui enleva la deuxième chaussure, puis elle mit sa fille debout, malgré les protestations de cette dernière.
« Grogne tant que tu veux, ma fille, mais tu vas prendre cette douche ! »
Il n’y avait pas d’autre solution. Marianne descendit la fermeture éclair de la robe et elle la fit passer par-dessus la tête de sa fille. Elle prit alors conscience que cela faisait plus de dix ans qu’elle n’avait pas déshabillé sa fille comme elle le faisait ce soir-là. Si ce n’étaient les seins qui s’étaient un peu développés, Aurélie n’avait pas tant changé que cela. Bien sûr elle était plus grande, mais elle n’avait guère pris de poids.
Aurélie ne montrait aucun signe de vouloir prendre la suite.
« Continuons, se dit Marianne ! J’ai l’impression qu’il va falloir aller jusqu’au bout ! »
Elle baissa le collant, attrapant la culotte au passage. Là, il y avait du nouveau. Entre les jambes d’Aurélie, Marianne voyait les poils de son triangle pubien pour la première fois.
« Assieds-toi que je t’enlève tout ça !
– Mais laisse-moi tranquille ! De quoi tu t’occupes ? Tu ne peux pas, pour une fois, te mêler de tes affaires ? »
Aurélie avait retrouvé un instant de lucidité, mais c’était pour montrer sa mauvaise humeur. Marianne ne réfléchit pas. Ce fut instinctif. Sa main claque les fesses nues de sa fille, deux fois sur chaque côté.
« Tu vas arrêter de rouspéter ou je t’explique, à ma manière, que je ne suis pas d’humeur à le supporter ce soir ! »
Aurélie avait accusé le coup. Elle avait crié un « aïe » sonore à chaque claque. La courte fessée l’avait un peu sorti de sa torpeur. Elle regarda sa mère avec un air étonné. Marianne acheva le déshabillage. Aurélie s’était presque rendormie sur son tabouret bas.
« Allez ! Sous la douche ! »
Aurélie ne bougea pas. Elle émit un grognement de protestation.
« Qu’est-ce que t’es chiante, marmonna-t-elle ! »
Ce fut la phrase de trop. Marianne mit sa fille debout devant elle, puis elle passa son bras dans le dos de la jeune fille et elle la courba sous son bras. La position lui sembla naturelle et parfaitement adaptée à ce qui était nécessaire. Aurélie ne pesait rien face à l’exaspération de sa mère. La main de Marianne claqua les fesses, idéalement disposées, une dizaine de fois de chaque côté, répartissant également la fessée sur les deux hémisphères. L’épiderme avait un peu rougit. Aurélie cria, battait des jambes, mais elle n’essaya pas de mettre fin à la correction qu’elle recevait.
Aurélie ne dit pas un mot quand sa mère la mit sur la douche. Elle cria, mais elle resta sous le jet glacé que sa mère avait déclenché.
« Une bonne douche froide, cela va te remettre les idées en place ! »
Aurélie grelottait quand Marianne coupa l’eau. C’est sa mère qui l’avait lavée et il avait suffi d’une petite série de claques sur les fesses pour qu’elle écartât les jambes, laissant accès à son entrejambe. Elle était maintenant tout à fait réveillée.
Marianne prit la serviette de bain et elle commença à sécher sa fille. Aurélie se tint tranquille tant qu’elle s’occupa de la tête et du dos. Elle prit conscience de la privauté que s’était donné sa mère quand celle-ci passa à ses seins.
« Je vais le faire, Maman ! Laisse !
– C’est trop tard ! J’ai commencé, je vais jusqu’au bout ! »
Quand elle descendit du ventre pour sécher le pubis d’Aurélie, la jeune fille arrêta sa main.
« Non, Maman, c’est moi !
– J’ai l’impression que tu n’as pas encore compris ! »
Marianne posa son pied sur le marchepied et elle coucha Aurélie à plat ventre sur sa cuisse. Instruite par sa récente expérience, cette dernière comprit tout de suite ce que se préparait.
« Non, cria-t-elle ! »
Mais c’était trop tard. Ses pieds ne touchaient plus le sol et ses bras n’avaient plus rien à quoi se raccrocher si ce n’était la jambe sur laquelle elle était posée en équilibre. La main tomba sur ses fesses. Il ne fallut pas plus d’une dizaine de claques pour qu’Aurélie ressentît l’urgence de mettre fin à la punition. Elle supplia sa mère.
« Maman, aïe ! Non arrête, aïe ! Je vais te laisse, aïe… te laisser faire, aïe ! »
Marianne ne tint pas compte du changement de ton de sa fille. Elle était certaine que la fessée qu’elle lui donnait, était ce dont sa fille avait le plus grand besoin. Elle n’en éprouvait pas de plaisir particulier, mais une satisfaction d’avoir trouvé comment il fallait agir face aux désobéissances et aux provocations d’Aurélie et à ses comportements irresponsables.
Une amie à elle, Madame Tolbois qui habitait à La Villeneuve sur Horto, la ville proche, lui avait vanté les mérites et les avantages de recourir à cette méthode qui avait fait ses preuves. Elle lui avait cité maints exemples, pris dans l’environnement proche, qui démontraient comment une bonne fessée, donnée au bon moment à un grand garçon ou une grande fille quel que soit son âge, avait des effets salutaires. Madame Tolbois n'avait d'ailleurs pas hésité, quelques minutes après cette déclaration, et à juste titre, à déculotter et fesser Daniel qui logeait chez elle, sans que la présence de Marianne ne fut considérée comme un obstacle. Jusqu’à aujourd’hui, Marianne avait toujours considéré que ce n’était pas la solution. Elle ne pouvait que constater combien elle avait eu tort.
Les plaintes d’Aurélie avaient cédé la place à des sanglots. Marianne avait dû bloquer la main de sa fille qui avait cherché à protéger ses fesses de l’avalanche cuisante qu’elle subissait. Cela s’était fait sans grande difficulté. Les tentatives qu’elle avait faites pour se libérer de l’étreinte de sa mère s’étaient soldées par des échecs. Elle subissait maintenant sa correction sans chercher à y mettre fin, gigotant sur la cuisse de sa mère selon le tempo que lui imposait la main maternelle.

Aurélie n’avait plus montré aucune résistance quand sa mère avait achevé de la sécher. Elle avait écarté les jambes au commandement de Marianne et elle avait attendu que sa mère soit satisfaite de son ouvrage. Elle n’avait pas plus protesté quand sa mère l’avait ramenée dans sa chambre, traversant le couloir, aussi nue que le jour de sa naissance.
Sa mère lui avait enfilé sa chemise de nuit et elle l’avait mise au lit, lui tapotant les fesses pour l’encourager à se glisser sous la couette.
« Maman, un câlin, s'il te plait ! »
La demande de sa fille avait fait sourire Marianne. Elle retrouvait la petite fille dont elle avait tant plaisir à s’occuper. Elle s’assit sur le bord du lit et Aurélie vint caler son visage contre la cuisse de sa mère, retrouvant ainsi les gestes de son enfance. Marianne eut à peine le temps de caresser un peu le dos de sa fille en glissant sous la chemise de nuit.
Les fesses d’Aurélie étaient encore échauffées par la correction qu’elle avait reçue, mais elle émit un ronronnement de bien-être quand la main de sa mère massa doucement son postérieur. Elle s’endormit aussitôt.
« Toi, ma fille, je crois que j’ai compris ce dont tu as besoin, se dit Marianne. »
Elle éteignit la lumière et sortit de la chambre. Elle songea brièvement à ce qu’elle devait faire le lendemain afin que ce qui s’était passé ce soir ne restât pas lettre morte.


Quoi ? Il y en a encore qui n'ont pas lu les chapitres précédents !

Ah, là, là, là, là, là, là ! Bon,  voici début : le chapitre 1
Et le précédent : le chapitre 6


Oui, mais est-ce qu'il y a une suite ?

Voyons, voyons eh ben ce sera le chapitre 8

Allez, un commentaire !

Alors ? Qu'en dites-vous ? Abondance de commentaire ne nuit point.

5 commentaires:

  1. Très beau récit à nouveau. Je crois que beaucoup d'entre nous se reconnaîtrons dans cette situation.

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    1. Bonjour,
      Un très beau texte, tout comme j'aime. Aurélie a pris l'ampleur de sa faute, pour cette fois, mais sa mère sait à présent ce qu'il faut à sa fille pour qu'elle se tienne enfin tranquille et mûrisse un peu.
      Merci.
      Amitiés.
      Elena.

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    2. Bonjour,
      Merci pour ces deux commentaires. Aurélie, grâce à la fessée qu'elle vient de recevoir, plonge dans son passé qu'elle croyait avoir laissé derrière elle. Cela lui rappelle toute l'utilité d'une bonne fessée donnée à bon escient.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Amis de la poésie et de l'ivresse de la fessée... Bonjour.

    Quand les enfants se mettent à boire, ce sont les parents qui trinquent... Ou, quand la mémoire de son derrière fait effectivement plonger Amélie dans ses erreurs de jeunesse du passé.
    JLG poursuit avec talent et assiduité sa quête de la fessée pédagogique et éducative, justifiée ici par les déboires, du trop boire de la jeune femme, qui s'endort les fesses aussi rouges qu'un Martini on the rock.
    Au passage, amusante la découverte par la mère de la toison pubienne de sa fille ... On ne rate aucun détail, si ce n'est à un poil près!
    Cordialement
    Ramina

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    1. Ramina,
      Et le roi du jeu de mot et du calembour, c'est... Ramina !
      Merci, cher ami, de vos commentaires.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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