mercredi 1 juillet 2020

Un accord à l'amiable


La rentrée scolaire s'était pourtant déroulée sans problème . Alicia avait peine à croire ce qu'il lui arrivait aujourd'hui. Elle angoissait. Elle était assise dans la salle d'attente du commissariat les menottes aux poignets. Tout avait commencé le matin même quand elle s'était bagarrée avec Mathilde , une fille de sa classe.

Durant cette bagarre, elle avait frappé Mathilde à la tête avec le plat de la main mais proche de l'œil .cette gifle avait laissé une trace bien visible .la mère de Mathilde en colère s'était rendue au commissariat avec l'intention de porter plainte . C'est le brigadier Colette qui l'a reçue. Colette avait une cinquantaine d'années. Grande aux larges épaules elle dégageait une autorité naturelle qui lui était bien utile dans son métier.
Colette avait réussi à persuader la mère de Mathilde que si elle lui faisait confiance elle se chargera de donner elle-même une bonne leçon à Alicia. Elle lui expliqua alors ses intentions et obtint immédiatement son approbation.
Collette téléphona à la mère d'Alicia qui trop heureuse que la plainte soit retirée accepta sans réserve le programme et les conditions de Colette .

La maman d'Alicia sorti du bureau de Colette et porta un regard plein de colère avec un léger sourire que Alicia ne compris pas sur le moment. Colette sortie sur le pas de sa porte demanda à Alicia de se lever et de la suivre dans son bureau .elle se leva et toujours menottée la suivit.
Alicia baissait la tête penaude,  persuadée que le pire était à venir et qu'elle serait conduite en prison.
« Asseyez-vous mademoiselle. Vous savez pourquoi vous êtes 'ici? Vous êtes ici car vous avez porté des coups à votre camarade. Avec l'accord de votre mère ainsi que la maman d'Alicia je vais vous demander de faire un choix. Au regard aux blessures que vous avez infligé à Mathilde, vous pourriez vous retrouver au tribunal. Cependant je vous propose une autre alternative. Vous avez le choix entre le tribunal et un châtiment corporel. Châtiments que vous recevrez ici et par moi-même, et immédiatement. »
Alicia qui se voyait déjà en prison accueilli la possibilité d'une autre alternative avec soulagement. Mais, qu’entendait-elle par "châtiment corporel " ? Des coups de règle sur les doigts?  Sur les mains? Ou pire encore?
Colette , comme si elle avait lu dans la pensée d'Alicia reprit :
« Vu l'attitude puérile que vous avez eu en vous bagarrant avec votre camarade de classe, je pense que la punition que vous méritez est celle des petites filles turbulentes. Vous n'êtes pas d'accord ?
– Mais ! Je n'étais pas seule à me battre ! Et l'autre?  Elle a rien ? C’est pas juste !
– Ne vous occupez pas de Mathilde! ce n'est pas votre problème dit sèchement Colette. Donc, reconnaissez-vous que vous avez vous eu une réaction d'une petite fille? »
Colette hésita, mais elle finit par acquiescer.
« Oui madame.
– Ne pensez-vous pas que vous avez mérité la punition des petites filles ?
– Un peu madame, mais c'est pas de ma…
– Taisez-vous mademoiselle! et répondez-moi!
– Euh...oui madame.
– Comment pensez-vous que les petites filles sont punies ?
– Par des heures de colles ?
– Non Alicia vous avez dépassé ce stade. De plus à votre âge, 19 ans, vérifie-t-elle sur la carte d'identité posée sur son bureau, les heures de colles sont inefficaces. Non je pense que vous devez ressentir à la fois de la honte pour votre geste, de la douleur pour prendre conscience et de l'embarrassement pour votre amour propre. Alors mademoiselle acceptez-vous ce châtiment corporel? Je me permets de vous préciser que votre mère s'est portée garante de vous et qu'en cas de refus de votre part c'est elle qui recevra le châtiment.
– Oh mais quel est ce châtiment dont vous parlez? Balbutia Alicia.
– Et bien, je vous propose de recevoir une fessée. Sur mes genoux. Je me permets de vous préciser qu'il s'agit d'une fessée déculottée.
– Euh…
– Soit c'est vous, soit c'est votre mère. Laquelle de vous deux recevras cette fessée déculottée mademoiselle? »
Alicia, s'imagina mentalement la scène que serait de voir sa mère allongée en travers des genoux de la policière, jupe relevée et culotte baissée recevant une fessée déculottée exposant les plus intimes parties de son corps au regard de cette colette. Quelle horreur!  Alicia ne pouvait pas faire ça à sa mère. C’est donc elle qui subirait le châtiment. Alicia inspira longuement et dit d'une petite voix:
« D'accord c'est est moi qui suis fautive , c'est donc moi qui serais punie.
– Bon , dit Colette en se levant, ne perdons pas de temps »

Elle fit le tour du bureau et enleva les menottes d’Alicia qui frotta immédiatement ses poignets endoloris. Colette déplaça une chaise et la positionna au centre de la pièce.
– Bien mademoiselle,  voici comment va se dérouler votre fessée: je vais claquer vos fesses à travers votre robe , puis je relèverai votre robe et vous claquerai les fesses sur votre sous-vêtement et enfin je vous déculotterai et vous fesserai fesses nues. Quel type de sous-vêtements portez-vous ?
– Une culotte
– Avez-vous vos règles?
– Non, madame
– Avez-vous envie d'aller aux toilettes? 
– Je ne sais pas , je ne crois pas .
– Vous savez,  parfois la douleur peut. Vous faire perdre le contrôle de votre vessie, vous êtes sûre de ne pas avoir envie ? Ne me faites pas pipi dessus !!
– Non ça ira madame.
– Bien , commençons. »
Colette prit Alicia par la main et la fit allonger en travers de ses genoux. Les mains d’Alicia touchaient le sol. Alicia frissonnait de tout son corps. Dans quelques secondes, à 19 ans, elle allait devoir exposer sa culotte, antre secret, dernière barrière protectrice. En la baissant la policière verra son entrejambe et le plus intime réceptacle de ses sécrétions. Puis elle verra son sexe et pire encore son anus. À ce stade Alicia que c'était bien pire que la douleur de la fessée.
Colette massa avec douceur les fesses par-dessus la jupe de la pénitente et annonça par une dizaine de claques modérées le début de la fessée. Alicia encaissait courageusement cette première salve.
La force des claques augmentait , réparties sur les deux fesses et même au centre. Puis Colette dit.
« Jeune demoiselle maintenant je vais vous relever le bas de votre robe et vous fesser sur votre culotte. »
La gêne d'Alicia commença à s'accroître, sa culotte était dévoilée ... Les claques reprirent toutes aussi fortes et régulières . L'angoisse d'Alicia était focalisée sur la prochaine étape: Son déculottage.

Colette était aux anges. Elle adorait donner des fessées à des femmes jeune ou matures. Aux étudiantes, aux mamans à toutes celles qui rêvaient et revenir à l'adolescence et vivre ou revivre les déculottées maternelles. Elle éprouvait un réel plaisir à chauffer les derrières de ces femmes qui, toutes redoutaient le moment où elle leurs baisserait la culotte.  À la différence d'Alicia , toutes recherchaient ces sensations et honte , toutes redoutaient et aimaient que leurs intimités soit exposée,  toutes mouillaient abondement.  Beaucoup avaient un orgasme .
Alicia, elle, était contrainte d’obéir, elle était réellement terrorisée à l'idée d'être déculottée. Colette avait déjà remarqué que l'entrecuisse de sa jeune punie s'humidifiait ce qui avait déclenché chez elle une vague de désir intense. Sa propre culotte était aussi trempée que celle d’Alicia. Collette adorait cette montée de plaisir incontrôlé.
« Mademoiselle, comme je vous l'ai indiqué cette punition va se poursuivre sur votre peau nue. Je vais donc vous baisser la culotte. »
Alicia précipita ses deux mains dans une vaine tentative d'empêcher son déculottage.
« Allons mademoiselle, c'est une fessée déculottée que je vous ai promis, assumez un peu vos actes et soyez digne ! »
Résignée Alicia dégagea ses mains et les ramena devant elle retrouvant ainsi son équilibre. Colette saisit l'élastique de la culotte et la fit glisser lentement sur les cuisses de sa prisonnière. Elle était aux anges. Quelles jolies fesses! Colorées à souhait. Alicia était au summum de la honte, une inconnue avait une vue imprenable sur tout ce qu'elle a de plus secret !
La fessée reprit. Une avalanche de claques bombardait son postérieur. Elle battait des jambes, pleurait, son nez coulait. Puis enfin, elle capitula. Elle encaissait sans bouger. C'est le moment que Colette attendait. C'est aussi le signe que la fessée devait cesser.

Elle s'arrêta, et massa affectueusement les si jolies fesses de la jeune femme.
Il lui fallut faire un énorme effort de maîtrise pour ne pas masser autre chose que le séant écarlate offert sur ces genoux. Mais elle y parvint. Elle releva en douceur Alicia, prit un mouchoir et lui essuya les yeux.
« Mouche-toi ma chérie, C'est fini. Tu as été courageuse. Tu as aussi épargné ta mère. Je te félicite. »
Elle remonta sa culotte, et lissa la jupe d'Alicia.
« Assieds-toi, nous allons rédiger le procès-verbal et tu pourras rentrer chez toi. La plainte est retirée. »
Collette se mit à pianoter sur son clavier et s'attela à la rédaction du PV. Au bout de quelques minutes elle imprima le document et le présenta à la jeune femme.
«  Lit bien et document et, si tu es d'accord avec ce qu'il y a d'écrit, signe-le ! »

Compte rendu de l'accord à l'amiable du cas de Mademoiselle Alicia C pour coups et blessures sur la personnes de Mademoiselle Mathilde R, il a été décidé que si la prévenue acceptait un châtiment corporel, la plainte serait levée.
Mademoiselle Alicia C a accepté.
Le châtiment a consisté à l'administration d'une fessée déculottée du brigadier Colette F. Celle-ci fut appliquée immédiatement.
Fait le 25 juin 2020.
PS. Le brigadier Colette F a remarqué sur la personne d'Alicia C que la fessée déculottée a provoqué la sécrétion de substance liquide indiquant clairement une excitation sexuelle.

Alicia en lisant ces derniers mots releva brusquement la tête et tomba sur le regard doux et troublant de la policière. Elle ouvrit la bouche pour protester mais aucun son ne sortit de sa bouche. Elle réalisa, au fond d'elle-même, que c'était vrai. Elle avait réellement ressenti des choses en elle.
« Tu sais, ma chérie, c'est une réaction tout à fait normale, ne t'inquiètes pas. Et rassure-toi personne ne lira ce document, c'était juste pour te faire prendre conscience des sensations que tu as eues. »
Colette prit un briquet et brûla le document.
« Tu vois, personne ne le saura. Allez, file chipie ! Et ne recommence plus, je ne pourrai pas toujours te sauver la mise. »


Une nouvelle production de Wendy


Voici la première : Christelle, punie pour avoir triché
et celle qui a précédé :Madame de Rochecourt
Gageons qu'il y en aura d'autres.

Et maintenant ?

Pas mal, non ? Une suite à ce récit ? Wendy devrait peut-être se décider à l'écrire ? Qu'en pensez-vous ?
Faites-le-lui savoir, les commentaires c'est fait pour ça.
Si vous voulez la joindre directement, adressez moi le courriel, je transmettrai.

5 commentaires:

  1. Bonjour Wendy,
    Bon texte comme on les aime.
    Alicia saura que la violence n'arrange pas tout. En acceptant la punition corporelle, elle s'est rendue compte qu'elle n'était pas dans son droit et de plus, elle a épargné à sa mère de la prendre à sa place. En étant courageuse et en acceptant de se faire corriger, elle a remis les pendules à l'heure et la brigadier Colette F a été sympa de déchirer le PV. C'est une bonne semonce qui la fera réfléchir la prochaine fois. Espérons que ça porte ses fruits.
    Amitiés.
    Elena.

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  2. Superbe récit, j'adore votre style, bravo et bises
    Sylvie

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  3. Bonjour Elena, en effet Alicia a eu du courage et surtout de la chance que Colette lui propose une solution alternative. Certe, plus cuisante et plus embarrassante mais au moins son casier judiciaire restera vierge et sans concequence pour son avenir.
    Merci Elena pour vos commentaires, ils sont pour moi des encouragements.biz

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    1. Wendy,
      J'adore votre façon d'aborder le sujet. Avec cette alternative, tout est bien qui fini bien, hormis la pudeur et la dignité d'Alicia. Mais c'est moins gênant que d'avoir une trace sur son casier judiciaire.
      Et puis, une bonne fessée fait circuler le sang...
      Bizz
      Elena.

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  4. Merci Elena, je suis très flattée par vos compliments. Biz

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