Dans
notre région, cette période estivale coïncide avec les pèlerinages organisés
par des gens du voyage, souvent issus de l’Europe centrale et des Balkans. Les
rassemblements ont lieu à Ste MARIE DE LA MER, l’une des villes les plus réputées,
mais aux alentours, se trouvent des regroupements plus modestes. En principe,
les espaces pouvant accueillir ces nomades trouvent vite preneurs. S’il y a
plus de nomades que de places disponibles, les terrains vagues sont, de fait,
également investis.
Les
fêtes et les bénédictions ont lieu durant une grande partie du mois de Juillet,
ce qui fait que cohabite dans un espace réduit, les autochtones, les vacanciers
et le contingent de nomades, faisant plus ou moins bon ménage, les uns leurs reprochent
d’être à l’origine de larcins, de dégradations et de souiller les endroits occupés
et dans le sens inverse, les autres reprochent de ne pas être bien accueillis
et d’être mis au banc de la société. De ce fait, quelques heurts éclatent de
temps à autres. Les gendarmes sont régulièrement dérangés et ils doivent vite
remettre bon ordre dans ces querelles qui menacent de vite dégénérer.
Globalement,
les fêtes tziganes se passent bien, entre la religion, les banquets et le repos
au soleil. Seules un nombre limité de personnes ternissent toute la réputation
de cette communauté.
Distante
de plusieurs centaines de kilomètres par rapport à Ste MARIE DE LA MER, une
colonie de roumains arrive sur un terrain à l’est de notre ville, seul emplacement
disponible, car les autres terrains dans les villes plus proches du grand
rassemblement sont tous occupés. Les nomades se rendent à Ste MARIE DE LA MER
pour les grandes célébrations et reviennent et rentrent dans les faubourgs de notre
ville le reste du temps.
Les
riverains et les touristes font grise mine en les voyant débarquer avec les
grosses voitures et les caravanes. La période promet d’être animée... Comme
tous les étés.
Hasard
ou pas, le nombre des petits larcins, vol à l’arrachée et cambriolages montent
en flèche durant cette période. Entre les vacanciers et les gens du voyage, il
est difficile pour les forces de l’ordre, d’établir les responsabilités précises
de chacun. Le Commandant Jean-Luc L. a fort à faire et il répartit ses hommes
en patrouille sur toute la ville y compris le littoral où, en plus, les
vacanciers en prennent à leur aise avec les mesures barrière qui sont de moins
en moins bien appliquées. Avec la période que nous avons vécue, il serait
dommageable que des gens puissent retomber malade.
Un
de nos voisins se fait voler son vélo qui se trouvait à l’intérieur de son
jardin et un autre se fait forcer sa porte d’entrée et dérober quelques bijoux
et argent.
Les
plaintes auprès de la gendarmerie affluent. Il y a presque la queue des
plaignants, presque pire que les files d’attente dans les magasins...
L’insécurité est plus forte en été, mais là, on frise des records !
A
force de se faire vandaliser, quelques voisins s’organisent pour faire des
rondes dans le quartier pour sécuriser le tout. En fait, ce ne sont pas tant
les effractions qui font peur, mais plutôt le fait qu’un cambrioleur surpris
puisse s’en prendre physiquement aux gens en cas de confrontation. On ne sait
jamais comment ça peut déraper.
Un
soir, alors que je prends le frais à mon Velux, tout éclairage éteint pour
éviter que les moustiques ne rentrent dans ma chambre, j’aperçois deux silhouettes
dans le jardin de mon voisin, en face de chez nous. Croyant, tout d’abord, que
ce sont mes voisins qui sont dans leur propriété, mais le fait qu’ils y soient
sans aucun éclairage me parait étrange. Attitude bizarre confirmée lorsqu’ils
tentent de forcer la porte du jardin.
J’appelle
Papa pour qu’il monte voir et il ne lui faut pas longtemps pour constater que
ce sont des probables cambrioleurs. Aussitôt, le groupe de voisins vigilants
est averti et ils débarquent cinq minutes plus tard.
Les
deux individus, un homme et une femme, sont maitrisés à leur sortie de la
maison, avec dans un sac quelques objets et de l’argent. La prise est de
taille, car c’est la première fois dans le quartier que des voleurs sont
interpelés par le groupe de vigilance. Mes voisins me félicitent en
héroïne pour avoir alerté. Grâce à moi, nos voisins auront leurs biens
restitués et je n’en suis toute fière. A part la porte cassée, rien d’autre
n’est à déplorer.
Les
gendarmes arrivent rapidement, font le constat vis-à-vis de l’effraction et
embarquent les deux voleurs. Lors de leur interrogatoire à la gendarmerie,
l’homme et la femme ne peuvent qu’avouer leur cambriolage. Les voleurs sont tous
deux roumains, Alexandru B. trente-six ans et sa compagne Andreea A. trente-quatre
ans. Ceux-ci ont une fille, Anaïs de onze ans, restée dans leur caravane.
Dans
la nuit, des gendarmes vont à la caravane et emmènent Anais dans un foyer
d’accueil pour enfants, car ses parents vont être emprisonnés. Andreea A. fait
un vrai scandale, car attachée à sa fille, elle ne supporte pas d’être éloignée
d’elle. Par contre, les gendarmes qui l’interrogent lui disent qu’elle s’est
montrée bien imprudente en cambriolant et elle ne peut s’en prendre qu’à
elle-même de se retrouver dans ce pétrin.
Lors
de la prise d’empreintes, on s’aperçoit qu’Alexandru B. a déjà fait parler de
lui sur d’autres villes et pour des faits plus importants qu’un simple
cambriolage. Alexandru B. et Andreea A. passent deux nuits en cellule à la
gendarmerie. Avec la recrudescence des incivilités, les tribunaux, pour le
passage en comparution immédiate, sont saturés.
Lors
de leur audition chez le juge, avec le flagrant délit et leurs aveux, Alexandru
B. et Andreea A. sont reconnus coupables et avec le passé d’Alexandru B.,
celui-ci est mal parti. L’avocat commis d’office, Virginie B. ne peut pas faire
grand-chose pour ses clients. Mais elle tente quand même de diminuer les
charges qui pèsent sur Andreea A. afin que sa fille ne soit pas toute seule en
foyer d’accueil.
La
juge rend son verdict pour les faits reprochés aux accusés :
·
Avec
la demande circonstanciée de Maître Virginie B. et vis-à-vis d’une première
arrestation, Andreea A. recevra soixante coups de fouet sur les fesses et elle
sera mise en procédure de travail d’intérêt général. A ce titre, elle pourra
récupérer sa fille et la ville lui fournira un poste pour qu’elle s’acquitte de
sa mise à l’épreuve, mais tous dérapages, même mineures, lui vaudront de
nouvelles punitions corporelles.
·
Alexandru
B. recevra soixante coups de fouet sur les fesses pour le cambriolage mais sera
incarcéré pour qu’ils soient jugés pour d’autres affaires dans lesquelles il
aurait été impliqué. En attendant sa mise en examen, il sera envoyé à la prison
centrale de MARSEILLE.
En
plus des verdicts vis-à-vis des parents, le juge se positionne sur le statut d’Anaïs,
la jeune fille du couple :
·
Anais
devra être scolarisée, car elle est en dehors des règles par rapport à ses
études et il serait temps qu’elle reprenne un cursus normal plutôt que d’être
sur les routes, en nomade.
Les
deux adultes ne trouvent rien à objecter et ils sont renvoyés en cellule, car
ils seront punis dès le lendemain, en public, dans la cour de la gendarmerie.
Les quatre cadettes gendarmes présentes lors de l’audition se réjouissent
d’assister aux fessées, car dans des cas précédents, c’était elles qui avaient
le mauvais rôle. Elles savourent déjà le spectacle qu’elles vont voir.
En
attendant leur punition, le capitaine médecin Cindy B. examine les deux
prévenus. Elle leur donne l’ordre de se dévêtir pour qu’elle puisse les
examiner complètement, car demain, ils passeront un sale quart d’heure.
Cindy
B. rigole en voyant le pénis tout rétréci d’Alexandru B. Elle se moque de lui
et ironise en lui demandant comment, avec son petit bout, il a pu faire un
enfant à sa compagne, qui elle a un physique des plus généreux. A la vue de ses
mamelles et de ses grosses tétines, au moins sa fille n’a pas dû manquer de
lait, une vraie « laitière ». Alexandru B. et Andreea A. ne peuvent
que rougir de honte, avec ces considérations très humiliantes et déplacées sur
leur physique.
Les
premiers examens sont pure routine ( poids, taille, tension, pouls, analyse
d’urine, antécédents médicaux, quelques pompes pour contrôler la faculté de
récupération ), puis la doctoresse passe aux palpations des parties du corps
qui seront la cible des lanières. Leur chair est ferme et elle juge qu’il n’y a
aucun risque de lésion et elle pourra même dire aux fesseuses de ne pas les
ménager, car ils supporteront bien leur correction et puis, ce n’est qu’une
fessée donc rien de bien méchant. Cindy B. examine le pénis, les testicules et
le gland d’Alexandru B. puis les seins, ouvre largement le vagin et titille le clitoris
d’Andreea A. puis lorsqu’elle les a menés au bord de la jouissance, enchaine
par un bon examen rectal, à l’aide d’un speculum, qui est nettement moins
agréable. Les deux patients se plaignent que ces derniers examens ne sont pas
nécessaires, ce à quoi le médecin répond qu’elle est obligée d’appliquer toute la
procédure, que ça leur plaise ou pas.
Toutes
les palpations ont largement excité les deux prévenus, bien que leur situation
soit loin d’une partie de plaisir. Lorsqu’il est en érection, Cindy B. constate
que le pénis d’Alexandru B. est d’une taille très moyenne et elle lui fait
savoir, histoire de le rabaisser un peu plus. En ce qui concerne Andreea A., le
touché vaginal l’a bien fait mouiller. Elle lui dit que ça ne l’étonnerait pas,
avec sa sensibilité, qu’elle se mette à dégouliner de cyprine durant sa fessée.
Andreea A. lui dit qu’elle saura se contenir et elle ne lui donnera pas ce
plaisir.
Afin
de respecter le protocole d’hygiène, Cindy B. épile soigneusement les deux
prévenus, ce qui fait protester Alexandru B., car il dit qu’il va ressembler à
un petit garçon impubère. Le médecin lui dit qu’il ne s’est pas comporté comme
un adulte, alors le réduire à l’état de petit garçon qu’on corrige, ça ne lui
fera que du bien. En ne les ménageant pas, le docteur leur arrache les poils à
la cire, les rendant glabre. Alexandru B. passe son temps à crier à chaque fois
que la bande de cire lui arrache une bande de poils. Le plus douloureux est l’épilation
du pubis et de l’anus. Cindy B. lui reproche de ne montrer aucun courage en faisant
le douillet. Qu’est-ce que ça sera lorsqu’il sera corrigé. Cindy B. ajoute
qu’avec les poils pubiens rasés, son pénis paraitra plus grand et il en a grand
besoin et ça paraitra moins ridicule. A la fin des épilations, le médecin est satisfait
du résultat.
Lorsque
le capitaine Cindy B. a rempli et signé les deux formulaires médicaux, Alexandru
B. et Andreea A. sont menottés et ramenés en cellule sans être rhabillés. Une
nuit, entièrement nus, en attendant leur correction leur donnera un avant-gout
de ce qui se passera le lendemain. De ce fait, leur nuit est courte et leur
sommeil léger, l’esprit est occupé par l’angoisse de leur avenir et de leur fessée
qui promet qu’être intense de par ce que le médecin leur a promis. Andreea A.,
plus fragile qu’elle ne veut bien le laisser paraitre, sanglote, commençant à
regretter ses actes.
En
matinée, les deux prisonniers sont réveillés et un gendarme les emmène chez le
commandant, qui leur signifie la procédure et l’heure de leur correction, en
présence de Maître Virginie B., leur avocat qui note chaque étape de la
procédure disciplinaire.
La
punition aura lieu vers quinze heures. Durant celle-ci, les gendarmes de la
caserne seront présents, leurs familles et certains invités, comme les responsables
de la mairie, les victimes du cambriolage, ma famille et moi ( pour nous
remercier de notre implication vis-à-vis de la sécurité locale ), et pour qu’on
les voit se faire punir. Le tout sera filmé pour les archives de la gendarmerie
et pour contrôler la procédure, pour d’éventuelles réclamations a posteriori.
Ce
sont les cadettes qui ont été désignées pour administrer les fessées. Maître
Virginie B. demande si ces très jeunes femmes sont initiées au maniement des
fouets, car ce sont des instruments redoutables et des blessures sont
possibles. Le commandant rassure l’avocate et lui dit que le maniement de tous
les instruments de discipline est enseigné à tous les gendarmes de la caserne,
car ça fait partie de la formation. Les quatre cadettes sont formées mais ce
sera leur première punition en tant qu’actrices. Il faut bien une première fois
en tout. Le commandant dit à Maître Virginie B. qu’il n’y a pas grand-chose à
craindre pour ses deux clients, car les cadettes sont de jeunes femmes et elles
n’ont pas la force nécessaire pour blesser, par contre, il est clair que les
deux punis sentiront passer leur correction car la morsure des lanières sera
cuisante et ils s’en souviendront longtemps. Le capitaine médecin Cindy B.
ajoute que juste avant leur punition, les deux punis prendront une douche afin
que leur peau soit attendrie pour que les impacts des lanières soient plus
douloureux. Elle dit que c’est triste d’en arriver là, mais s’il n’y a que ça
pour leur faire comprendre, les forces de l’ordre n’hésiteront pas, car en
cette période estivale, les infractions et délits doivent cesser.
Alors
qu’il faut une grosse chaleur dehors, les cadettes, en joie d’avoir été
choisies, et le médecin accompagnent les deux prévenus pour leur faire prendre
leur douche.
Lorsqu’ils
sont propres et séchés, Andreea A. demande au médecin, une serviette
hygiénique, car sa période débute. Le médecin Cindy B. la lui refuse en lui
disant qu’elle n’a que des couches pour adultes, mais dans la mesure où elle
doit être fessée, ce genre de protection nuirait à la bonne application de la punition
et puis qu’une punie ait ses règles durant sa fessée serait inédit et ça
ravirait les spectateurs, mais si ça arrivait, elle irait la nettoyer, mais ça
n’empêcherait pas la punition d’aller jusqu’à son terme.
Les
cadettes les menottent, mains dans le dos, et les mènent jusque dans la cour où,
au moment de sortir, Andreea A., tétanisée d’être vue, nue, refuse de sortir.
Les cadettes sont obligées de l’y contraindre sous ses hurlements de peur.
Au
centre de la cour, fermement maintenue à genoux, Andreea A. et Alexandru B.
sont présentés au public. Ainsi exhibés, les réactions de honte ne tardent pas.
Andreea A. est rouge pivoine et ses tétons dressés tandis Alexandru B. est en
érection, dont la faible amplitude fait rire tout le monde, augmentant sa
mortification. Les femmes présentes pouffent de rire en disant qu’on dirait un
pénis d’enfant et qu’avec ce « spaghetti », sa compagne ne doit pas
sentir grand-chose lorsqu’ils font l’amour.
Alexandru
B. est emmené le premier vers la poutre de punition où il est attaché bras et
jambes écartés, les poignets liés à la traverse et les chevilles liées à des
anneaux au sol. Ainsi attaché, le corps des punis est entièrement offert aux
lanières et aucune protection n’est possible. De par l’imminence de leur
punition et la chaleur moite ambiante, les punis sont moites de sueur et la
chaleur va augmenter au fur et à mesure que la punition va être appliquée.
Maître
Virginie B. surveille les préparatifs afin de voir si la procédure est respectée,
mais en fait, très excitée, elle est bien heureuse d’être aux premières loges
pour assister aux deux punitions. Maître Virginie B. ne bronche pas lorsque Cindy
B. retrousse complètement le prépuce d’Alexandru B. pour que son gland soit
bien exposé, car aucune partie intime ne doit être cachée au public, venu pour se
rincer l’œil et les entendre brailler et se contorsionner de façon impudique.
Le
lieutenant Helga K., la responsable des fesseuses donne les fouets à Lucie S.
et Marina de St T. qui sont en tee-shirt. Munies des terribles lanières, Lucie
S. et Marina de St T. se placent de part et d’autre du puni et elles lui
cinglent les fesses puis les cuisses et enfin le bas du dos. Il ne tarde pas à
gémir, à grogner en se débattant comme un damné, ce qui fait, à notre plus
grande joie, ballotter son pénis, puis à hurler de douleur. Les traces bien
rouges zèbrent le bas de son corps. Les cadettes, euphoriques du pouvoir
qu’elles ont sur cet homme de dix-huit ans plus âgé qu’elles, s’appliquent à
faire claquer leur lanière sur les endroits sensibles d’Alexandru B. C’est
ainsi qu’elles lui cinglent, entre autres, l’intérieur des cuisses et
s’arrangent pour que le bout de la lanière s’enroule autour de son corps et
cingle son ventre ou son bas ventre. Lorsqu’une fouettée atteint une zone
sensible, on peut entendre Alexandru B. pousser un hurlement strident en se
secouant dans tous les sens.
En
regardant ce spectacle, mon souffle est court, je sens que ma culotte se
souillée de cyprine, tant l’excitation m’envahit et mes tétons se dressent sous
mon tee-shirt, ce qui se soit très bien, car le soutien-gorge assez fin que je
porte ne masque rien. Je n’ai qu’une envie, c’est de me masturber avec vigueur,
mais je suis en public et mes parents près de moi. En tournant légèrement la
tête, je vois que des femmes n’hésitent pas à se mettre la main dans la culotte
et de la façon dont elles s’agitent, elles ne vont pas tarder à jouir. Même
Maman a les pommettes rouges...
Mon
excitation est à son comble lorsque je vois qu’Alexandru B., en se convulsant,
éjacule deux fois. Il n’a peut-être pas un gros pénis, mais vu comment ça a
giclé, c’est un sacré reproducteur.
Lorsque
les soixante coups de fouet ont été donnés, Lucie S. et Marina de St T. le
détachent. Alexandru B. gémit, trempé de sueur, en larmes et reprenant son
souffle avec peine et lorsqu’il se retourne, nous voyons que son ventre n’a
rien à envier ni à ses fesses ni à ses cuisses. Il n’y a pas à dire, les
cadettes sont douées pour châtier un puni. S’affaissant sous la douleur, Alexandru
B. est relevé et mis à genoux face à nous, pour qu’il récupère de ce qu’il
vient de subir. Le bas du corps en feu, il grimace en gémissant.
Andreea
A. doit aller à la poutre mais effrayée par le spectacle auquel elle vient
d’assister et des marques rouges sur le bas du corps de son compagnon, refuse d’avancer.
Les gendarmes doivent la lever de force et la porter pour la mettre en place et
l’attacher, tant elle se débat en hurlant. A plusieurs reprises, elle échappe
aux gendarmes. Alors qu’Andreea A., criant et courant pour prendre la fuite,
passe à mes côtés, je lui fais un crochepied, la faisant trébucher et chuter,
permettant aux gendarmes d’enfin la maitriser. Lorsqu’on la relève, Andreea A.
me fusille du regard. Sans la ménager, les gendarmes l’emmènent et l’attachent
solidement à la poutre, bras et cuisses largement écartés comme son compagnon. Sa
punition n’a pas commencé qu’elle est déjà toute moite de transpiration, se
contorsionnant et en pleurs.
Les
cadettes, Alicia H. et Fiona V., prennent la suite de leurs amies pour corriger
Andreea A. Dès la première cinglée, elle hurle en se trémoussant. Consciente
qu’elles vont soumettre la punie, Alicia H. et Fiona V. amplifient leur
mouvement et les lanières claquent plus sèchement sur sa chair offerte, lui
arrachant des hurlements de plus en plus stridents, preuves de la punition est intense
et bien ressentie. A force de contracter ses fesses et la chaleur qui se
diffuse dans tout son bassin et dans son entrejambe, lui procure une réaction similaire
à l’excitation sexuelle d’Alexandru B. et nous pouvons voir des gouttes de
cyprine perler, ce qui fait rire la plupart d’entre nous.
Avec
les encouragements des spectateurs, les deux cadettes se lâchent et chaque
fouettée fait rugir Andreea A. Au fur et à mesure des cinglées, nous voyons de
belles stries orner le bas de son corps. Andreea A. s’agrippe à ses liens pour
tenter de résister à l’intense douleur. Aux réactions d’Andreea A. et à la
façon dont les lanières s’enroulent sur son bassin, nous devinons qu’elle doit aussi
avoir le ventre en feu. De plus, elle secoue le haut de son corps avec rage, ce
qui fait ballotter ses « mamelles » comme disent certaines femmes que
j’entends derrière moi. Certains spectateurs aimeraient qu’on lui fouette le
dos et le devant du corps, ainsi ils pourraient mieux voir les seins de la
condamnée tressaillir et se balancer à chaque claquée.
A
la fin de la correction, le lieutenant Helga K. nous dit que la justice a été
rendue et que les deux voleurs vont être dirigés vers l’infirmerie pour leurs
soins. Andreea A., toujours en pleurs et toute tremblante de douleur est
détachée. Maître Virginie B. vient dire un mot d’encouragement à sa cliente qui
a été bien éprouvée. Alors qu’elle nous fait face, nous voyons des traces boursouflées
sur son ventre et sur son pubis allant jusqu’à la vulve. Ayant les cuisses
largement écartée, les parties intimes découvertes, le bout des lanières les
cinglait. Voyant ces marques, j’imagine bien qu’elle atroce souffrance elle a pu
ressentir, sans toutefois la plaindre.
Les
spectateurs commencent à se lever et c’est alors que le regard d’Andreea A. et
le mien se croisent pour la seconde fois. J’y lis de la détresse et une grande
souffrance, le tout teinté de colère. Soumise et humiliée, elle baisse
rapidement le regard, mais je sais qu’elle m’en voudra toujours. C’est alors
que Fabienne D., la proviseure de Ste CROIX, vient me voir et me félicite pour
avoir permis de les arrêter et ainsi de les avoir vu être châtiés, elle s’est
régalée. Mes parents acquiescent simplement, conscient que notre plaisir s’est
fait avec leur intense douleur. Fabienne D. nous dit que ça leur servira de
leçon.
Fabienne
D. nous annonce qu’Andreea A. sera affectée à Ste CROIX pour sa période de travail
d’intérêt général, pour environ dix ans, le temps que son compagnon purge sa prochaine
peine de prison. Elle y sera femme de ménage, ce qui permettra à sa fille,
Anais, de suivre une scolarité normale. Cette nouvelle me bouleverse, car ça
veut dire que nous allons nous croiser quotidiennement à l’école et de la façon
dont elle me perçoit, il n’y aura pas de bienveillance à mon égard. Si elle
peut me faire punir, elle le fera sans remords.
Aidés
pour avancer, les cuisses écartées et boitant comme s’ils marchaient sur des
œufs, Andreea A. et Alexandru B. sont ramenés dans le bâtiment, sous le soleil
de plomb. Cette chaleur moite a dû largement peser sur les deux punis et leur
correction en a été que plus éprouvante.
Pour
avoir soumis ces deux voleurs, les quatre jeunes cadettes ont éprouvé beaucoup
de plaisir et le fond de leur culotte peut en témoigner. Leurs tétons dressés
sont visibles sous leur simple tee-shirt. Heureusement que leur pantalon d’uniforme
est foncé, car on y verrait nettement une belle auréole. Elles auraient aimé
continuer de les cingler.
Lors
de la douche des punis, supervisée par la doctoresse, l’eau fraiche sur leur
corps a des effets opposés sur chacun d’eux. Alexandru B. a le pénis quasiment
recroquevillé, tandis qu’Andreea A. a les tétons qui se durcissent. Cindy B.
rigole en disant que les tétons d’Andreea A. sont presque plus longs que le
pénis d’Alexandru B. Celui-ci en rougit intensément jusqu’aux oreilles, mais
n’ose répliquer.
En
inspectant le bas des corps, Cindy B. leur dit qu’ils pourront retrouver leur mobilité
sous une semaine, mais les traces disparaitront complètement un peu plus tard.
Les deux punis sont badigeonnés de crème et une couche et des bandages enveloppant
le bassin, le ventre et les cuisses leur sont placés. Vêtus de cette façon, ils
ressemblent à des enfants !
De
notre côté, lorsque nous sommes rentrés à la maison après le spectacle, mes
parents s’isolent dans leur chambre, prétextant vouloir se reposer du fait de
la chaleur, mais en fait, je pense savoir ce qu’ils vont faire. Pour ma part, dans
ma chambre, je retire ma culotte qui est en un état... et je prends une douche
pour me rafraichir et me laver. En me lavant, le puissant jet d’eau dirigé sur mon
clitoris que je décapuchonne, me transporte dans un autre monde. Les images des
punitions tournent dans ma tête et je m’imagine à leur place. Finissant à
genoux, je dois serrer les dents pour ne pas gémir et crier de jouissance.
Après
quelques jours de repos en cellule, Alexandru B. est emmené à la maison d’arrêt
de MARSEILLE en attendant ses autres procès quant à Andreea A., elle récupère
sa fille et toutes deux, sont envoyées à Ste CROIX pour prendre leurs quartiers
avec Mère supérieure Weronika S. et Sœur Jolanta O. Ayant récupéré que très
lentement de sa fessée, Andreea A. ne peut s’assoir qu’avec mille précautions,
les fesses toujours tartinées de crème et emmaillotées dans une couche et les
cuisses enveloppées dans des bandages.
Les
élèves et professeurs étant en congés scolaire, Andreea A. est autorisée à
faire le ménage dans tout le périmètre de Ste CROIX, le bas du corps nu, voire
entièrement nue, même lorsqu’elle est dans la cour de l’établissement, lorsque Mère
supérieure Weronika S. le décide, pour éviter les frottements du tissu sur sa
chair.
Une série écrite par Elena
Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 37
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Bonjour Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerVoici une fessée dont ce couple se souviendra. Et les jeunes stagiaires aussi. Par ailleurs il y a toujours, dans vos textes, des ouvertures qui permettent au lecteur de s'y immiscer et de développer tel ou tel aspect à son gré. Je pense ici au croche-pied fait par Elena à Andreea A. qui peut être lourd de conséquences puisque, dix ans durant, cette dernière va devoir travailler à Sainte-Croix. La confrontation entre les deux femmes a toutes les chances d'être particulièrement "investie". Le lecteur peut alors se la représenter et en faire ce qu'il veut. À moins que vous ne décidiez, vous, de donner votre propre version de cette confrontation.
Amicalement.
François
Bonjour François,
SupprimerVous me connaissez tellement bien, que vous anticipez sur un prochain épisode. Bien sûr qu'il y aura confrontation à Ste CROIX. C'est pas arrivé là par hasard. Je n'ai pas encore déterminé le scénario, mais il y aura du "crêpage de chignons" entre mon personnage et Andreea A. et des fessées à la clé.
Amitiés.
Elena.
Très beau récit, au moins c'est efficace et peu onéreux. Un exemple à suivre ? Merci pour ces belles histoires Elena..biz
RépondreSupprimerBonjour Chère Caroline,
SupprimerToujours fidèle à vos commentaires sympas qui font plaisir. En effet, avec ces méthodes, c'est la fin de la surpopulation carcérale ( pour les petits délits ) avec à la clé des gens qui se tiennent tranquille.
Amitiés.
Elena.
Bonjour Élisabeth
RépondreSupprimerBeau récit à bientôt de vous relire
Bises Nathan
Bonjour Nathan,
SupprimerMerci de votre gentil commentaire, par contre, peut-être vous êtes vous trompé de texte ou d'auteure, car mon prénom est Elena, pas Elisabeth.
Amitié
Elena.