lundi 6 juillet 2020

Les rebelles -chapitre 38

Ce début de vacances d’été est une période privilégiée pour les cambriolages des maisons dont les habitants sont partis pour leurs congés d’été.
Dans notre région, cette période estivale coïncide avec les pèlerinages organisés par des gens du voyage, souvent issus de l’Europe centrale et des Balkans. Les rassemblements ont lieu à Ste MARIE DE LA MER, l’une des villes les plus réputées, mais aux alentours, se trouvent des regroupements plus modestes. En principe, les espaces pouvant accueillir ces nomades trouvent vite preneurs. S’il y a plus de nomades que de places disponibles, les terrains vagues sont, de fait, également investis.
Les fêtes et les bénédictions ont lieu durant une grande partie du mois de Juillet, ce qui fait que cohabite dans un espace réduit, les autochtones, les vacanciers et le contingent de nomades, faisant plus ou moins bon ménage, les uns leurs reprochent d’être à l’origine de larcins, de dégradations et de souiller les endroits occupés et dans le sens inverse, les autres reprochent de ne pas être bien accueillis et d’être mis au banc de la société. De ce fait, quelques heurts éclatent de temps à autres. Les gendarmes sont régulièrement dérangés et ils doivent vite remettre bon ordre dans ces querelles qui menacent de vite dégénérer.
Globalement, les fêtes tziganes se passent bien, entre la religion, les banquets et le repos au soleil. Seules un nombre limité de personnes ternissent toute la réputation de cette communauté.
Distante de plusieurs centaines de kilomètres par rapport à Ste MARIE DE LA MER, une colonie de roumains arrive sur un terrain à l’est de notre ville, seul emplacement disponible, car les autres terrains dans les villes plus proches du grand rassemblement sont tous occupés. Les nomades se rendent à Ste MARIE DE LA MER pour les grandes célébrations et reviennent et rentrent dans les faubourgs de notre ville le reste du temps.
Les riverains et les touristes font grise mine en les voyant débarquer avec les grosses voitures et les caravanes. La période promet d’être animée... Comme tous les étés.
Hasard ou pas, le nombre des petits larcins, vol à l’arrachée et cambriolages montent en flèche durant cette période. Entre les vacanciers et les gens du voyage, il est difficile pour les forces de l’ordre, d’établir les responsabilités précises de chacun. Le Commandant Jean-Luc L. a fort à faire et il répartit ses hommes en patrouille sur toute la ville y compris le littoral où, en plus, les vacanciers en prennent à leur aise avec les mesures barrière qui sont de moins en moins bien appliquées. Avec la période que nous avons vécue, il serait dommageable que des gens puissent retomber malade.
Un de nos voisins se fait voler son vélo qui se trouvait à l’intérieur de son jardin et un autre se fait forcer sa porte d’entrée et dérober quelques bijoux et argent.
Les plaintes auprès de la gendarmerie affluent. Il y a presque la queue des plaignants, presque pire que les files d’attente dans les magasins... L’insécurité est plus forte en été, mais là, on frise des records !
A force de se faire vandaliser, quelques voisins s’organisent pour faire des rondes dans le quartier pour sécuriser le tout. En fait, ce ne sont pas tant les effractions qui font peur, mais plutôt le fait qu’un cambrioleur surpris puisse s’en prendre physiquement aux gens en cas de confrontation. On ne sait jamais comment ça peut déraper.
Un soir, alors que je prends le frais à mon Velux, tout éclairage éteint pour éviter que les moustiques ne rentrent dans ma chambre, j’aperçois deux silhouettes dans le jardin de mon voisin, en face de chez nous. Croyant, tout d’abord, que ce sont mes voisins qui sont dans leur propriété, mais le fait qu’ils y soient sans aucun éclairage me parait étrange. Attitude bizarre confirmée lorsqu’ils tentent de forcer la porte du jardin.
J’appelle Papa pour qu’il monte voir et il ne lui faut pas longtemps pour constater que ce sont des probables cambrioleurs. Aussitôt, le groupe de voisins vigilants est averti et ils débarquent cinq minutes plus tard.
Les deux individus, un homme et une femme, sont maitrisés à leur sortie de la maison, avec dans un sac quelques objets et de l’argent. La prise est de taille, car c’est la première fois dans le quartier que des voleurs sont interpelés par le groupe de vigilance. Mes voisins me félicitent en héroïne pour avoir alerté. Grâce à moi, nos voisins auront leurs biens restitués et je n’en suis toute fière. A part la porte cassée, rien d’autre n’est à déplorer.
Les gendarmes arrivent rapidement, font le constat vis-à-vis de l’effraction et embarquent les deux voleurs. Lors de leur interrogatoire à la gendarmerie, l’homme et la femme ne peuvent qu’avouer leur cambriolage. Les voleurs sont tous deux roumains, Alexandru B. trente-six ans et sa compagne Andreea A. trente-quatre ans. Ceux-ci ont une fille, Anaïs de onze ans, restée dans leur caravane.
Dans la nuit, des gendarmes vont à la caravane et emmènent Anais dans un foyer d’accueil pour enfants, car ses parents vont être emprisonnés. Andreea A. fait un vrai scandale, car attachée à sa fille, elle ne supporte pas d’être éloignée d’elle. Par contre, les gendarmes qui l’interrogent lui disent qu’elle s’est montrée bien imprudente en cambriolant et elle ne peut s’en prendre qu’à elle-même de se retrouver dans ce pétrin.
Lors de la prise d’empreintes, on s’aperçoit qu’Alexandru B. a déjà fait parler de lui sur d’autres villes et pour des faits plus importants qu’un simple cambriolage. Alexandru B. et Andreea A. passent deux nuits en cellule à la gendarmerie. Avec la recrudescence des incivilités, les tribunaux, pour le passage en comparution immédiate, sont saturés.
Lors de leur audition chez le juge, avec le flagrant délit et leurs aveux, Alexandru B. et Andreea A. sont reconnus coupables et avec le passé d’Alexandru B., celui-ci est mal parti. L’avocat commis d’office, Virginie B. ne peut pas faire grand-chose pour ses clients. Mais elle tente quand même de diminuer les charges qui pèsent sur Andreea A. afin que sa fille ne soit pas toute seule en foyer d’accueil.
La juge rend son verdict pour les faits reprochés aux accusés :
·        Avec la demande circonstanciée de Maître Virginie B. et vis-à-vis d’une première arrestation, Andreea A. recevra soixante coups de fouet sur les fesses et elle sera mise en procédure de travail d’intérêt général. A ce titre, elle pourra récupérer sa fille et la ville lui fournira un poste pour qu’elle s’acquitte de sa mise à l’épreuve, mais tous dérapages, même mineures, lui vaudront de nouvelles punitions corporelles.
·        Alexandru B. recevra soixante coups de fouet sur les fesses pour le cambriolage mais sera incarcéré pour qu’ils soient jugés pour d’autres affaires dans lesquelles il aurait été impliqué. En attendant sa mise en examen, il sera envoyé à la prison centrale de MARSEILLE.
En plus des verdicts vis-à-vis des parents, le juge se positionne sur le statut d’Anaïs, la jeune fille du couple :
·        Anais devra être scolarisée, car elle est en dehors des règles par rapport à ses études et il serait temps qu’elle reprenne un cursus normal plutôt que d’être sur les routes, en nomade.
Les deux adultes ne trouvent rien à objecter et ils sont renvoyés en cellule, car ils seront punis dès le lendemain, en public, dans la cour de la gendarmerie. Les quatre cadettes gendarmes présentes lors de l’audition se réjouissent d’assister aux fessées, car dans des cas précédents, c’était elles qui avaient le mauvais rôle. Elles savourent déjà le spectacle qu’elles vont voir.
En attendant leur punition, le capitaine médecin Cindy B. examine les deux prévenus. Elle leur donne l’ordre de se dévêtir pour qu’elle puisse les examiner complètement, car demain, ils passeront un sale quart d’heure.
Cindy B. rigole en voyant le pénis tout rétréci d’Alexandru B. Elle se moque de lui et ironise en lui demandant comment, avec son petit bout, il a pu faire un enfant à sa compagne, qui elle a un physique des plus généreux. A la vue de ses mamelles et de ses grosses tétines, au moins sa fille n’a pas dû manquer de lait, une vraie « laitière ». Alexandru B. et Andreea A. ne peuvent que rougir de honte, avec ces considérations très humiliantes et déplacées sur leur physique.
Les premiers examens sont pure routine ( poids, taille, tension, pouls, analyse d’urine, antécédents médicaux, quelques pompes pour contrôler la faculté de récupération ), puis la doctoresse passe aux palpations des parties du corps qui seront la cible des lanières. Leur chair est ferme et elle juge qu’il n’y a aucun risque de lésion et elle pourra même dire aux fesseuses de ne pas les ménager, car ils supporteront bien leur correction et puis, ce n’est qu’une fessée donc rien de bien méchant. Cindy B. examine le pénis, les testicules et le gland d’Alexandru B. puis les seins, ouvre largement le vagin et titille le clitoris d’Andreea A. puis lorsqu’elle les a menés au bord de la jouissance, enchaine par un bon examen rectal, à l’aide d’un speculum, qui est nettement moins agréable. Les deux patients se plaignent que ces derniers examens ne sont pas nécessaires, ce à quoi le médecin répond qu’elle est obligée d’appliquer toute la procédure, que ça leur plaise ou pas.
Toutes les palpations ont largement excité les deux prévenus, bien que leur situation soit loin d’une partie de plaisir. Lorsqu’il est en érection, Cindy B. constate que le pénis d’Alexandru B. est d’une taille très moyenne et elle lui fait savoir, histoire de le rabaisser un peu plus. En ce qui concerne Andreea A., le touché vaginal l’a bien fait mouiller. Elle lui dit que ça ne l’étonnerait pas, avec sa sensibilité, qu’elle se mette à dégouliner de cyprine durant sa fessée. Andreea A. lui dit qu’elle saura se contenir et elle ne lui donnera pas ce plaisir.
Afin de respecter le protocole d’hygiène, Cindy B. épile soigneusement les deux prévenus, ce qui fait protester Alexandru B., car il dit qu’il va ressembler à un petit garçon impubère. Le médecin lui dit qu’il ne s’est pas comporté comme un adulte, alors le réduire à l’état de petit garçon qu’on corrige, ça ne lui fera que du bien. En ne les ménageant pas, le docteur leur arrache les poils à la cire, les rendant glabre. Alexandru B. passe son temps à crier à chaque fois que la bande de cire lui arrache une bande de poils. Le plus douloureux est l’épilation du pubis et de l’anus. Cindy B. lui reproche de ne montrer aucun courage en faisant le douillet. Qu’est-ce que ça sera lorsqu’il sera corrigé. Cindy B. ajoute qu’avec les poils pubiens rasés, son pénis paraitra plus grand et il en a grand besoin et ça paraitra moins ridicule. A la fin des épilations, le médecin est satisfait du résultat.
Lorsque le capitaine Cindy B. a rempli et signé les deux formulaires médicaux, Alexandru B. et Andreea A. sont menottés et ramenés en cellule sans être rhabillés. Une nuit, entièrement nus, en attendant leur correction leur donnera un avant-gout de ce qui se passera le lendemain. De ce fait, leur nuit est courte et leur sommeil léger, l’esprit est occupé par l’angoisse de leur avenir et de leur fessée qui promet qu’être intense de par ce que le médecin leur a promis. Andreea A., plus fragile qu’elle ne veut bien le laisser paraitre, sanglote, commençant à regretter ses actes.
En matinée, les deux prisonniers sont réveillés et un gendarme les emmène chez le commandant, qui leur signifie la procédure et l’heure de leur correction, en présence de Maître Virginie B., leur avocat qui note chaque étape de la procédure disciplinaire.
La punition aura lieu vers quinze heures. Durant celle-ci, les gendarmes de la caserne seront présents, leurs familles et certains invités, comme les responsables de la mairie, les victimes du cambriolage, ma famille et moi ( pour nous remercier de notre implication vis-à-vis de la sécurité locale ), et pour qu’on les voit se faire punir. Le tout sera filmé pour les archives de la gendarmerie et pour contrôler la procédure, pour d’éventuelles réclamations a posteriori.
Ce sont les cadettes qui ont été désignées pour administrer les fessées. Maître Virginie B. demande si ces très jeunes femmes sont initiées au maniement des fouets, car ce sont des instruments redoutables et des blessures sont possibles. Le commandant rassure l’avocate et lui dit que le maniement de tous les instruments de discipline est enseigné à tous les gendarmes de la caserne, car ça fait partie de la formation. Les quatre cadettes sont formées mais ce sera leur première punition en tant qu’actrices. Il faut bien une première fois en tout. Le commandant dit à Maître Virginie B. qu’il n’y a pas grand-chose à craindre pour ses deux clients, car les cadettes sont de jeunes femmes et elles n’ont pas la force nécessaire pour blesser, par contre, il est clair que les deux punis sentiront passer leur correction car la morsure des lanières sera cuisante et ils s’en souviendront longtemps. Le capitaine médecin Cindy B. ajoute que juste avant leur punition, les deux punis prendront une douche afin que leur peau soit attendrie pour que les impacts des lanières soient plus douloureux. Elle dit que c’est triste d’en arriver là, mais s’il n’y a que ça pour leur faire comprendre, les forces de l’ordre n’hésiteront pas, car en cette période estivale, les infractions et délits doivent cesser.
Alors qu’il faut une grosse chaleur dehors, les cadettes, en joie d’avoir été choisies, et le médecin accompagnent les deux prévenus pour leur faire prendre leur douche.
Lorsqu’ils sont propres et séchés, Andreea A. demande au médecin, une serviette hygiénique, car sa période débute. Le médecin Cindy B. la lui refuse en lui disant qu’elle n’a que des couches pour adultes, mais dans la mesure où elle doit être fessée, ce genre de protection nuirait à la bonne application de la punition et puis qu’une punie ait ses règles durant sa fessée serait inédit et ça ravirait les spectateurs, mais si ça arrivait, elle irait la nettoyer, mais ça n’empêcherait pas la punition d’aller jusqu’à son terme.
Les cadettes les menottent, mains dans le dos, et les mènent jusque dans la cour où, au moment de sortir, Andreea A., tétanisée d’être vue, nue, refuse de sortir. Les cadettes sont obligées de l’y contraindre sous ses hurlements de peur.
Au centre de la cour, fermement maintenue à genoux, Andreea A. et Alexandru B. sont présentés au public. Ainsi exhibés, les réactions de honte ne tardent pas. Andreea A. est rouge pivoine et ses tétons dressés tandis Alexandru B. est en érection, dont la faible amplitude fait rire tout le monde, augmentant sa mortification. Les femmes présentes pouffent de rire en disant qu’on dirait un pénis d’enfant et qu’avec ce « spaghetti », sa compagne ne doit pas sentir grand-chose lorsqu’ils font l’amour.
Alexandru B. est emmené le premier vers la poutre de punition où il est attaché bras et jambes écartés, les poignets liés à la traverse et les chevilles liées à des anneaux au sol. Ainsi attaché, le corps des punis est entièrement offert aux lanières et aucune protection n’est possible. De par l’imminence de leur punition et la chaleur moite ambiante, les punis sont moites de sueur et la chaleur va augmenter au fur et à mesure que la punition va être appliquée.
Maître Virginie B. surveille les préparatifs afin de voir si la procédure est respectée, mais en fait, très excitée, elle est bien heureuse d’être aux premières loges pour assister aux deux punitions. Maître Virginie B. ne bronche pas lorsque Cindy B. retrousse complètement le prépuce d’Alexandru B. pour que son gland soit bien exposé, car aucune partie intime ne doit être cachée au public, venu pour se rincer l’œil et les entendre brailler et se contorsionner de façon impudique.
Le lieutenant Helga K., la responsable des fesseuses donne les fouets à Lucie S. et Marina de St T. qui sont en tee-shirt. Munies des terribles lanières, Lucie S. et Marina de St T. se placent de part et d’autre du puni et elles lui cinglent les fesses puis les cuisses et enfin le bas du dos. Il ne tarde pas à gémir, à grogner en se débattant comme un damné, ce qui fait, à notre plus grande joie, ballotter son pénis, puis à hurler de douleur. Les traces bien rouges zèbrent le bas de son corps. Les cadettes, euphoriques du pouvoir qu’elles ont sur cet homme de dix-huit ans plus âgé qu’elles, s’appliquent à faire claquer leur lanière sur les endroits sensibles d’Alexandru B. C’est ainsi qu’elles lui cinglent, entre autres, l’intérieur des cuisses et s’arrangent pour que le bout de la lanière s’enroule autour de son corps et cingle son ventre ou son bas ventre. Lorsqu’une fouettée atteint une zone sensible, on peut entendre Alexandru B. pousser un hurlement strident en se secouant dans tous les sens.
En regardant ce spectacle, mon souffle est court, je sens que ma culotte se souillée de cyprine, tant l’excitation m’envahit et mes tétons se dressent sous mon tee-shirt, ce qui se soit très bien, car le soutien-gorge assez fin que je porte ne masque rien. Je n’ai qu’une envie, c’est de me masturber avec vigueur, mais je suis en public et mes parents près de moi. En tournant légèrement la tête, je vois que des femmes n’hésitent pas à se mettre la main dans la culotte et de la façon dont elles s’agitent, elles ne vont pas tarder à jouir. Même Maman a les pommettes rouges...
Mon excitation est à son comble lorsque je vois qu’Alexandru B., en se convulsant, éjacule deux fois. Il n’a peut-être pas un gros pénis, mais vu comment ça a giclé, c’est un sacré reproducteur.
Lorsque les soixante coups de fouet ont été donnés, Lucie S. et Marina de St T. le détachent. Alexandru B. gémit, trempé de sueur, en larmes et reprenant son souffle avec peine et lorsqu’il se retourne, nous voyons que son ventre n’a rien à envier ni à ses fesses ni à ses cuisses. Il n’y a pas à dire, les cadettes sont douées pour châtier un puni. S’affaissant sous la douleur, Alexandru B. est relevé et mis à genoux face à nous, pour qu’il récupère de ce qu’il vient de subir. Le bas du corps en feu, il grimace en gémissant.
Andreea A. doit aller à la poutre mais effrayée par le spectacle auquel elle vient d’assister et des marques rouges sur le bas du corps de son compagnon, refuse d’avancer. Les gendarmes doivent la lever de force et la porter pour la mettre en place et l’attacher, tant elle se débat en hurlant. A plusieurs reprises, elle échappe aux gendarmes. Alors qu’Andreea A., criant et courant pour prendre la fuite, passe à mes côtés, je lui fais un crochepied, la faisant trébucher et chuter, permettant aux gendarmes d’enfin la maitriser. Lorsqu’on la relève, Andreea A. me fusille du regard. Sans la ménager, les gendarmes l’emmènent et l’attachent solidement à la poutre, bras et cuisses largement écartés comme son compagnon. Sa punition n’a pas commencé qu’elle est déjà toute moite de transpiration, se contorsionnant et en pleurs.
Les cadettes, Alicia H. et Fiona V., prennent la suite de leurs amies pour corriger Andreea A. Dès la première cinglée, elle hurle en se trémoussant. Consciente qu’elles vont soumettre la punie, Alicia H. et Fiona V. amplifient leur mouvement et les lanières claquent plus sèchement sur sa chair offerte, lui arrachant des hurlements de plus en plus stridents, preuves de la punition est intense et bien ressentie. A force de contracter ses fesses et la chaleur qui se diffuse dans tout son bassin et dans son entrejambe, lui procure une réaction similaire à l’excitation sexuelle d’Alexandru B. et nous pouvons voir des gouttes de cyprine perler, ce qui fait rire la plupart d’entre nous.
Avec les encouragements des spectateurs, les deux cadettes se lâchent et chaque fouettée fait rugir Andreea A. Au fur et à mesure des cinglées, nous voyons de belles stries orner le bas de son corps. Andreea A. s’agrippe à ses liens pour tenter de résister à l’intense douleur. Aux réactions d’Andreea A. et à la façon dont les lanières s’enroulent sur son bassin, nous devinons qu’elle doit aussi avoir le ventre en feu. De plus, elle secoue le haut de son corps avec rage, ce qui fait ballotter ses « mamelles » comme disent certaines femmes que j’entends derrière moi. Certains spectateurs aimeraient qu’on lui fouette le dos et le devant du corps, ainsi ils pourraient mieux voir les seins de la condamnée tressaillir et se balancer à chaque claquée.
A la fin de la correction, le lieutenant Helga K. nous dit que la justice a été rendue et que les deux voleurs vont être dirigés vers l’infirmerie pour leurs soins. Andreea A., toujours en pleurs et toute tremblante de douleur est détachée. Maître Virginie B. vient dire un mot d’encouragement à sa cliente qui a été bien éprouvée. Alors qu’elle nous fait face, nous voyons des traces boursouflées sur son ventre et sur son pubis allant jusqu’à la vulve. Ayant les cuisses largement écartée, les parties intimes découvertes, le bout des lanières les cinglait. Voyant ces marques, j’imagine bien qu’elle atroce souffrance elle a pu ressentir, sans toutefois la plaindre.
Les spectateurs commencent à se lever et c’est alors que le regard d’Andreea A. et le mien se croisent pour la seconde fois. J’y lis de la détresse et une grande souffrance, le tout teinté de colère. Soumise et humiliée, elle baisse rapidement le regard, mais je sais qu’elle m’en voudra toujours. C’est alors que Fabienne D., la proviseure de Ste CROIX, vient me voir et me félicite pour avoir permis de les arrêter et ainsi de les avoir vu être châtiés, elle s’est régalée. Mes parents acquiescent simplement, conscient que notre plaisir s’est fait avec leur intense douleur. Fabienne D. nous dit que ça leur servira de leçon.
Fabienne D. nous annonce qu’Andreea A. sera affectée à Ste CROIX pour sa période de travail d’intérêt général, pour environ dix ans, le temps que son compagnon purge sa prochaine peine de prison. Elle y sera femme de ménage, ce qui permettra à sa fille, Anais, de suivre une scolarité normale. Cette nouvelle me bouleverse, car ça veut dire que nous allons nous croiser quotidiennement à l’école et de la façon dont elle me perçoit, il n’y aura pas de bienveillance à mon égard. Si elle peut me faire punir, elle le fera sans remords.
Aidés pour avancer, les cuisses écartées et boitant comme s’ils marchaient sur des œufs, Andreea A. et Alexandru B. sont ramenés dans le bâtiment, sous le soleil de plomb. Cette chaleur moite a dû largement peser sur les deux punis et leur correction en a été que plus éprouvante.
Pour avoir soumis ces deux voleurs, les quatre jeunes cadettes ont éprouvé beaucoup de plaisir et le fond de leur culotte peut en témoigner. Leurs tétons dressés sont visibles sous leur simple tee-shirt. Heureusement que leur pantalon d’uniforme est foncé, car on y verrait nettement une belle auréole. Elles auraient aimé continuer de les cingler.
Lors de la douche des punis, supervisée par la doctoresse, l’eau fraiche sur leur corps a des effets opposés sur chacun d’eux. Alexandru B. a le pénis quasiment recroquevillé, tandis qu’Andreea A. a les tétons qui se durcissent. Cindy B. rigole en disant que les tétons d’Andreea A. sont presque plus longs que le pénis d’Alexandru B. Celui-ci en rougit intensément jusqu’aux oreilles, mais n’ose répliquer.
En inspectant le bas des corps, Cindy B. leur dit qu’ils pourront retrouver leur mobilité sous une semaine, mais les traces disparaitront complètement un peu plus tard. Les deux punis sont badigeonnés de crème et une couche et des bandages enveloppant le bassin, le ventre et les cuisses leur sont placés. Vêtus de cette façon, ils ressemblent à des enfants !
De notre côté, lorsque nous sommes rentrés à la maison après le spectacle, mes parents s’isolent dans leur chambre, prétextant vouloir se reposer du fait de la chaleur, mais en fait, je pense savoir ce qu’ils vont faire. Pour ma part, dans ma chambre, je retire ma culotte qui est en un état... et je prends une douche pour me rafraichir et me laver. En me lavant, le puissant jet d’eau dirigé sur mon clitoris que je décapuchonne, me transporte dans un autre monde. Les images des punitions tournent dans ma tête et je m’imagine à leur place. Finissant à genoux, je dois serrer les dents pour ne pas gémir et crier de jouissance.
Après quelques jours de repos en cellule, Alexandru B. est emmené à la maison d’arrêt de MARSEILLE en attendant ses autres procès quant à Andreea A., elle récupère sa fille et toutes deux, sont envoyées à Ste CROIX pour prendre leurs quartiers avec Mère supérieure Weronika S. et Sœur Jolanta O. Ayant récupéré que très lentement de sa fessée, Andreea A. ne peut s’assoir qu’avec mille précautions, les fesses toujours tartinées de crème et emmaillotées dans une couche et les cuisses enveloppées dans des bandages.
Les élèves et professeurs étant en congés scolaire, Andreea A. est autorisée à faire le ménage dans tout le périmètre de Ste CROIX, le bas du corps nu, voire entièrement nue, même lorsqu’elle est dans la cour de l’établissement, lorsque Mère supérieure Weronika S. le décide, pour éviter les frottements du tissu sur sa chair.



Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !

Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 37

Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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6 commentaires:

  1. Bonjour Elena. Et bonjour à tous.

    Voici une fessée dont ce couple se souviendra. Et les jeunes stagiaires aussi. Par ailleurs il y a toujours, dans vos textes, des ouvertures qui permettent au lecteur de s'y immiscer et de développer tel ou tel aspect à son gré. Je pense ici au croche-pied fait par Elena à Andreea A. qui peut être lourd de conséquences puisque, dix ans durant, cette dernière va devoir travailler à Sainte-Croix. La confrontation entre les deux femmes a toutes les chances d'être particulièrement "investie". Le lecteur peut alors se la représenter et en faire ce qu'il veut. À moins que vous ne décidiez, vous, de donner votre propre version de cette confrontation.
    Amicalement.
    François

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    1. Bonjour François,
      Vous me connaissez tellement bien, que vous anticipez sur un prochain épisode. Bien sûr qu'il y aura confrontation à Ste CROIX. C'est pas arrivé là par hasard. Je n'ai pas encore déterminé le scénario, mais il y aura du "crêpage de chignons" entre mon personnage et Andreea A. et des fessées à la clé.
      Amitiés.
      Elena.

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  2. Très beau récit, au moins c'est efficace et peu onéreux. Un exemple à suivre ? Merci pour ces belles histoires Elena..biz

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    1. Bonjour Chère Caroline,
      Toujours fidèle à vos commentaires sympas qui font plaisir. En effet, avec ces méthodes, c'est la fin de la surpopulation carcérale ( pour les petits délits ) avec à la clé des gens qui se tiennent tranquille.
      Amitiés.
      Elena.

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  3. Bonjour Élisabeth
    Beau récit à bientôt de vous relire
    Bises Nathan

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    1. Bonjour Nathan,
      Merci de votre gentil commentaire, par contre, peut-être vous êtes vous trompé de texte ou d'auteure, car mon prénom est Elena, pas Elisabeth.
      Amitié
      Elena.

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