mardi 14 juillet 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 40

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

LA BARAQUE A FRITES 2 : LA PUNITION.

La remarque menaçante de Clarisse ne laissait planer aucun doute sur la suite des événements. Il était évident pour Gérôme et Rodolphe, qu'ils allaient recevoir une raclée mémorable devant tous les témoins présents, passablement excités. Extirpés sans ménagement de leur placard-abri, par les cheveux , ils commencèrent l’un et l’autre à recevoir une série de paires de gifles à toute volée pendant qu'ils se faisaient copieusement admonester. Par leurs mères absolument furieuses, mais aussi par les femmes de cuisine et, bien sûr, la pauvre vendeuse de frites qui revenait de la pharmacie, un pansement sur sa cheville pommadée pour atténuer la brûlure. Une cuisson d'un autre genre attendait les fesses des deux malappris.

– « Mais Rodolphe, qu'est-ce qui vous est passé par la tête? Vous êtes complètement cinglés ! Vous venez de démolir l'instrument de travail de cette pauvre dame ! Sa seule source de revenus ! »
Hurlait Clarisse en secouant son fils qu'elle tenait d'une main par le col de sa veste, de l'autre le giflant à plusieurs reprises. Elle le dominait tellement du haut de ses quinze centimètres de talons aiguilles, qu'il ne touchait pratiquement plus le sol. Rodolphe n'était ni très grand ni très lourd et ne faisait pas le poids entre les mains de sa mère. La forte femme n'éprouvait aucune difficulté à le manipuler à sa guise pour lui flanquer ses fessées dans n'importe quelle position et prenait beaucoup de plaisir en l'obligeant à lui présenter ses fesses dans les posture les plus humiliantes possible. Elle le bousculait tellement, qu'il ne parvenait pas à prononcer un mot correctement et ne faisait que bredouiller lamentablement .
– « Mais...ais... ais... ma... aa...man...an... On... On...!
Thérez, dans un premier temps, stupéfaites devant l'étendue des dégâts, s'était vite reprise et ne ménageait pas mon plus Gérôme qu'elle secouait comme un arbre fruitier...  Dans ce cas-là c'est souvent un prunier... Elle ne crie pas, se contentant d'élever la voix.
– « C’est même à se demander si seulement vous vous rendez compte de ce que vous avez fait ! »
Gérôme, essayait d'en placer une, en se protégeant la figure de son bras replié. Mais, moins habile que son ami à embrouiller ses interlocuteurs, il ne faisait qu'aggraver son cas avec des arguments plus fantaisistes les uns que les autres.
– « Si ma... man ! Si ! Ouiiile ! On... On s'est bien rendu compte... Aiiie !  Ça faisait tellement de bruit ! »
Thérez pour le coup, finit par se mettre en colère, et, au moment où il baisse son bras pour regarder par-dessus son coude, elle trouve une ouverture pour lui flanquer une claque retentissante. 
– Ah oui... Et celle-là... Elle fait du bruit sur ta joue celle-là  ?
– Aiiiie, Ah ça oui maman ! Ouille ! S'il te plaît, pas sur la tête !... Mais... mais le toit c'est pas nous... Il est … Il est tombé tout seul !
– La bonne blague ! Evidemment, vous avez démoli à coups de pieds tout ce qu'il y avait en dessous pour le soutenir ! Continue comme ça, Gérôme, et tu vas voir, si ce qui va te tomber sur les fesses va arriver tout seul ! »
Clarisse, le regard brillant d'une colère froide, lance un coup d'œil éclair à sa voisine, avec un sourire carnassier.
– « Vous voyez bien qu'ils se fichent de nous, Thérez. Et vous avez raison, il est grand temps de sévir pour de bon. C'est l'occasion ou jamais. Une bonne fessée déculottée devant tout le monde, il n'y a rien de mieux pour leur remettre les idées en place !  En attendant, bien sûr, celle qu'on va leur flanquer une fois rentrés à la maison ! Il ne comprenne que les fesses écarlates !
– Tout à fait... C'est bien le moins qu'ils méritent ! »  
En moins de deux, Rodolphe se retrouve dans une humiliante position, soulevé de terre, la tête coincée entre les fortes cuisses de sa mère. Le maintenant solidement dans l'étau charnu, elle lui monte le fessier à la bonne hauteur, délibérément orienté vers les spectateurs pour le déculotter devant un public frémissant d'impatience.  Avec un sens particulier de la mise en scène en prélude à l'administration de la fessée, elle s'offre le plaisir pervers d'un excitant déculottage.

une double fessée déculottée


Un murmure d'enthousiasme, parcoure les témoins de la scène lorsque, après un savoureux glissement de nylon sur les courbes opulentes du derrière, elle s'amuse à tendre au maximum l'élastique du slip de chaque côté des cuisses et la lâche d'un coup pour la faire bruyamment claquer sur la peau. Les mains nouées autour du buste de sa proie, ses épaules reposant sur ses genoux, elle la fait sautiller plusieurs fois dans ses bras pour assurer sa prise et le caler, fesses en l'air, maintenant déculottées, largement épanouies vers l'assistance. Le fessier est prêt à claquer... tendu vers la main qui doit le corriger. Tel qu'il est positionné, personne ne doit manquer une seule claque de l'humiliante fessée,  qui s'annonce spectaculaire et parfaitement avilissante pour le jeune homme. Après ce qui s'est passé, il ne plane aucun doute sur la légitimité de la punition qui doit être exemplaire. .  
Gérôme, n'est pas vraiment en meilleure posture. Calé sous le bras maternel, le slip descendu au milieu des cuisses, il doit exhiber sa grosse paire de fesses aux regards impatients d'un public maintenant hilare. 
Et les claques, tonitruantes, se mettent aussitôt à tomber à un rythme immédiatement insoutenable, sur les deux paires de fesses bien charnues et rebondies. Motivées par la volonté d'infliger à leur garçon une magistrale correction, les deux mamans avaient une force décuplée par la colère !  De plus, elles étaient évidemment encouragées à la sévérité par toutes les femmes réunies autour d’elles qui ne manquaient pas de se moquer des punis en commentant l’effet visible de la fessée sur leur gros derrière tressautant.
Malgré leur entraînement à recevoir de fréquentes et solides fessées, en réaction à celle-ci particulièrement sévère, Rodolphe et Gérôme n'avaient pu s'empêcher de se mettre à pleurer dès les premières claques.  Des claques monumentale à vous faire éclater un slip sur le derrière ! Ce que Clarisse, au meilleur de sa forme, réussissait à faire sur les fesses de son fils. Et pour exploser le nylon d'un slip à fessée sur un postérieur en ne laissant que les élastique, et à la main, il faut taper vraiment très fort et longtemps.  
La fessée en cours était d'autant plus cuisante pour les deux jeunes gens que, chacun de leur côté, ils avaient déjà reçu une magistrale déculottée maternelle la veille au soir pour des raisons autres, et que leurs postérieurs n’en étaient pas complètement remis … Mais une succession de fessées n’étaient ni pour Rodolphe, ni pour Gérôme un événement exceptionnel . Toutefois, pleurant à chaudes larmes comme des gamins, en trémoussant leur derrière rougissant devant toutes ces femmes qui se moquaient d'eux, ils étaient honteux, à la fois de leur méchanceté, de leur bêtise, et surtout de la fessée déculottée administrée en public. Ça claquait de concert, sec et serré, si fort, qu'on devait entendre retentir les deux fessiers jusque dans le restaurant.
Fortes de leur légitimité à les corriger, et tout en fessant avec une constante efficacité,   leurs mères les sermonnaient sans arrêt pour renforcer la portée de la punition. Clarisse criant presque pour couvrir les hurlements de son rejeton et le formidable claquement de ses fesses qu'elle faisait sauter entre ses cuisses.
– « Alors, mon chéri, tu es fier de toi et de tes bêtises ? Tu l'as, maintenant, ta fessée, et bien méritée encore ! Sens tu comme la main de maman se régale sur tes grosses fesses !  Garde les bien tendues, bien présentées, pour montrer comment tu sais recevoir tes fessées déculottées devant tout le monde ! »
Thérez admoneste son fils qui trépigne sous les claquées. Elle exige que tous les deux présentent des excuses en règle à leur victime.
– « On dirait que tes fesses commencent à bien chauffer... Ça vaut bien ça pour avoir insulté et outragé cette pauvre femme ! Vous allez promettre d'aller lui demander pardon, à genoux, déculotté les fesses rouges bien en vues, sur la place et devant la baraque à frites... Ou ce qu'il en reste ! »
Clarisse suspend un bref instant sa frappe pour repositionner son puni qu'elle sent progressivement s'affaisser vers le sol sous la puissance des claques. Devant les témoins ravis du spectacle, elle passe les bras sous son ventre et tout en resserrant l'étau de ses cuisses autour sa tête, le soulève afin de l'obliger à mieux arrondir le derrière. Satisfaite, elle reprend aussitôt la fessée qui claque de plus belle sur un fessier de nouveau parfaitement présenté.  Les joues, du malheureux, soumises, en rythme, au frottement continue des bas nylon, sont presque aussi rouges que ses fesses.  Ayant perdu tout sens de la dignité dès le début de sa fessée, il se laisse complètement aller. Il pleure sans retenue en couinant de douleur et bavant ses larmes, tout en prenant garde toutefois à ne pas mouiller les bas de sa mère sous peine de se prendre une deuxième fessée sur le champ. 
– « Tu peux pleurer et crier tant que tu veux, mon petit chéri, tu régales tout le monde. Gardes les fesses bien tendues, il faut que ça claque ! Et je te garantis que cette fessée n’est pas près de s’arrêter... Et tu vas même t'en prendre tous les jours, matin et soir pendant toute la semaine, comme ton beau-père ! On va bien s'amuser à la maison ! » 
Thérez n'est pas en reste et annonce, elle aussi, un suivi de punitions fessières à la maison tout aussi rigoureuses.
– « Puisque apparemment les fessées de Patricia pendant tes cours d'Anglais ne suffisent pas, je vais compléter le traitement en augmentant les doses ! »
Le public essentiellement féminin applaudit presque, sans couvrir pour autant le formidable claquement des deux magnifiques fessées en simultané.  Evidemment , aucune des fesseuses ne voulant se montrer moins sévère que l’autre... les deux jeunes gens furent incapables de savoir combien de temps dura cette séance.
Il leur fallut après retraverser une partie de la place, le pantalon sur les chevilles, le slip baissé en dessous de leurs fesses écarlates et, comme promis, demander pardon à genoux devant la ''vieille ''. De plus, elle fut invitée par les mamans, décidément impitoyables, à les prendre elle-même sous le bras et de leur flanquer une nouvelle fessée déculottée à l’un et à l’autre, sur le lieu de leur forfait. Heureusement pour eux, elle tapait moins fort que leur mère et surtout se contenta d’une cinquantaine de claques sur chaque fesse. Étant donné la durée et l'intensité de la fessée précédente, ça chauffait tout de même très dur quand elle les relâcha, les laissant trépigner sur place sous le regard goguenard de leurs mères. . 
Les main sur les hanches, bien campée sur ses talons aiguille, Clarisse, ironisa en les voyant danser tous les deux d'un pied sur l'autre, exécutant un ballet désordonné .
– « Si vous voulez une autre tournée sur les fesses tout de suite, il vous suffit de finir le travail... Il reste des morceaux de la baraque encore debout ! » 
Seul Rodolphe, en larmes, eu le courage de répondre en murmurant entre deux hoquets de sanglots.
– « Oh non, maman... J'ai trop mal aux fesses ! Tu... Tu as encore tapé fort... On a compris, ça suffit... On ne recommencera pas... ».
Ils durent subir la nouvelle humiliation de devoir plonger, la tête en avant, coincée entre les cuisses de leur mère, pour se faire reculotter sans ménagement, fesses en l'air, bien arrondies pour faciliter la remontée du slip. Elles s'appliquèrent à le leur ajuster très serré, les élastiques tendues, coincées dans la raie des fesses, afin d'en offrir les volumineuses rondeurs cramoisies, gonflées de claques, au regard de l'assistance qui applaudit, ravie du spectacle. D'aussi belles paires de fesses aussi sévèrement claquées méritaient bien ce vibrant hommage.

Le pantalon à la main, fermement tenus par une oreille, Rodolphe et Gérôme, entamèrent une marche chaotique, trottinant comme des gamins à côté de leur mère qui marchaient d'un pas alerte. Leurs chemins se séparèrent chacun regagnant son domicile. Mais au bout de quelques dizaines de mètres, Clarisse fit rentrer Rodolphe avec elle chez une fleuriste qu'elle connaissait, pour lui emprunter une sorte de lien de raphia et une baguette d’osier.
– « Ne te fais aucune illusion mon petit chéri, je suis loin d'en avoir terminé avec tes fesses ! Crois-moi,  tu vas t'en souvenir longtemps de la baraque à frites, c'est moi qui te le dis ! Aller, marche devant et tiens bien ton slip dans la raie des fesses! »
Rodolphe ne dit pas un mot ; Ce n'était pas le moment de discuter. Elle se plaça derrière lui, à la distance adéquate pour lui cingler les fesses en continu avec la baguette d’osier. Ils traversèrent ainsi une partie de la ville, lui pleurant et elle lui fouettant les fesses toutes rouges,
– « Rien de tel pour entretenir la cuisson, avant la nouvelle fessée qui t'attend en rentrant ! »
Elle allait lui faire payer très cher, ses petits délires de démolisseur et son attitude insultante vis à vis de la pauvre dames de la baraque à frites. Ils arrivèrent à la maison où l'inévitable fessée déculotté lui était garantie. Une déculottée d'autant plus évidente que Clarisse estimait que le terme '' fessée déculottée'' relevait tout simplement du pléonasme !
A peine entrés, sa mère lui commanda d’aller ouvrir la fenêtre en grand afin que sa fessée s’entende bien à l’extérieur, notamment de l'amie Bettina, et qu’il n’y ait aucun doute sur la nature de la fessée et l’identité de celui qui allait la recevoir. Il y courut et, docile, s’apprêtait à se mettre en “bonne position” pour bien présenter ses fesses, lorsqu’il les aperçut dans la glace. Débordantes des élastiques de son slip englouti dans la raie, elles reluisaient déjà d’un beau rouge flamboyant, strié par des traînées plus foncées, tracées par la baguette d’osier qui lui avait cinglé le derrière pendant pratiquement tout le trajet. Il n’eut même pas le temps de prendre la position habituelle, Clarisse l'avait repris par l'oreille, traîné vers la chaise à fessée, et déjà basculé sur ses genoux. Après une énergique descente de slip,  il se retrouva le nez au ras du sol, le postérieur entièrement déculotté un mètre plus haut, les pieds battant déjà l’air.

La fessée recommença tout de suite, cuisante, claquante, violente. Il voyait, dans la glace, le visage sévère de sa mère, sourcils froncés, le regard fixé sur son fessier écarlate qui se trémoussait en tous sens. Il se me mit à pleurer comme un sale gosse, qu'il était encore sans nul doute malgré ses vingt ans passés, sans même oser demander pardon. Il savait pertinemment que c’était parfaitement inutile. Elle claquait de toutes ses forces , furieuse , faisant littéralement bondir ses fesses sur lesquelles il n’avait plus aucun contrôle pour tenter de maîtriser leur agitation désordonnée. Dressé à bien présenter son derrière pour faciliter l'administration de ses corrections, il s’efforçait seulement, par réflexe conditionné, de le maintenir dans la position exigée, sachant que le moindre relâchement serait considéré comme une désobéissance. La nouvelle fessée qui suivrait aussitôt, n’en serait que plus sévère et plus longue.

C'est, peut-être, au bout d'un quart d’heure environ, que Bettina, rayonnante, vint du dehors, s’accouder à la fenêtre après avoir traversé le jardin. Malgré le claquement retentissant de sa fessée, Rodolphe l'entendit, avec sa voix, évidemment, toute réjouie.

– « Et bien dites donc, quelle déculottée ! Encore une sévère ! On entend claquer ses fesses jusqu'au trottoir d'en face !  Qu’est-ce qu’il vous a encore inventé ce grand garçon, pour en mériter une si bonne? »

Totalement concentrée sur l'administration de la fessée et appliquée à bien ajuster les claques sur le gros fessier qu'elle faisait rebondir sur ses cuisses avec entrain, Clarisse ne répondit pas tout de suite. Rodolphe quant à lui, n’essayait même pas d'apercevoir l'incontournable voisine. Il savait qu’elle n’en perdrait pas une miette et devinait son visage mauvais. Mais au bout du compte il s'en fichait. Ce qui lui importait, la seule chose qui comptait, c’était son postérieur en feu et les claques qui retentissaient dessus avec la régularité d'un métronome .

Tout en continuant à lui claquer vigoureusement le derrière, et sans perdre la cadence, Clarisse raconta à Bettina, l’épisode épique de la baraque à frite. Comment il l'avait pratiquement démolie avec la complicité de son cousin Gérôme, la fessée qu’elle lui avait déjà administrée en ville sur la place, en compagnie de Thérez, et celles qu'il allait encore recevoir chaque jour pendant toute la semaine.
Fidèle à elle-même, Bettina, exagérant son indignation en rajoutait tant qu’elle pouvait. 
– « Incroyables, ces jeunes gens. Ils se croient tout permis ! C'est pourtant pas faute de les corriger, et ils s'en prennent des fessées... A leur âge ! Et bien pas encore assez ! C'est qu'ils auraient pu la tuer la pauvre Dame !  Moi, pour tout dire... J'appelle ça une tentative d’assassinat... ! »

Rodolphe se fichait de tout ça. Son seul problème c’était l’immédiat. La terrible cuisson de son derrière qu’il devait maintenir en l’air, bien tendu, bien arrondi ...et la fessée qu'il était en train de recevoir. Le reste, on verrait bien...
Brusquement, il se retrouva projeté par terre et tomba sur les genoux, empêtré dans son slip, tendu en travers de ses cuisses, presque aussi brûlantes que ses fesses. Pour que ses corrections soient bien efficaces, Clarisse se plaisait à élargir la surface à claquer en faisant quelques allers et retours bien cuisants sur le haut des cuisses, Elle lui cria.

– « File au coin et attends ! Tu vas voir petit voyou !  Ta raclée n'est toujours pas terminée !».
Maintenant terrorisé, il se précipita au coin en se frottant les fesses et s'agenouilla nez au mur, fessier bien en vue. Malgré l’interdiction de se retourner, il vit sa mère aller chercher le fameux Dolpic, et s'en enduire généreusement la main droite. Elle ne lui laissa donc pas le temps de récupérer au piquet.

– « Aller, ramène encore tes fesses par ici, il leur manque une petite finition au Dolpic !''
Elle l’attrapa par une oreille et l’entraina vers la fameuse chaise à fessée où il dû, de nouveau s’installer en bonne position. La jupe retroussée sur ses hanches pour fesser à l'aise, toutes jarretelles dehors, elle posa son talon aiguille sur le siège. Il sentit aussitôt une poigne ferme le soulever comme une plume, et il se retrouva littéralement plié en deux, fesses en l'air sur sa cuisse, le ventre frottant douloureusement sur sa jarretelle. Tendues par la position ses grosses fesses rouges et cuisantes s'épanouirent d'elles même au-dessus du slip, développant leur volumineuses rondeurs charnues, entièrement offertes à la nouvelle fessée. Il entendit Bettina stimuler sa mère avec un enthousiasme pervers.

 «  Allez-y Clarisse, allez , allez   ! Ne vous laissez surtout pas attendrir ! Tapez fort ; très fort ! Son gros derrière est solide, il peut en encaisser ! Une belle ! Bien cuisante, qu'on entende claquer ses fesses jusque dans la rue ! »

Clarisse n'avait pas besoin d'encouragement et démarra la fessée au Dolpic à toutes volées, sur un fessier extrêmement sensible, car bien échauffé par les fessées précédentes. Elle savait, par expérience, qu'il fallait en général plusieurs fessées successives et un postérieur alors en pleine cuisson, pour obtenir son meilleur rendement sonore. En clair, selon la sévère épouse et mère, plus les fesses sont rouges et cuisantes mieux elles claquent. C'était le cas de celles de Rodolphe et surtout celles de Douglas, qu'elle entretenait régulièrement depuis longtemps et dont elle savait profiter des retentissantes performances.  

Sévèrement fessé pour la troisième fois de la journée, Rodolphe criait et pleurait assez fort pour que, par la fenêtre grande ouverte, les voisins entendent que c’était bien lui et pas son beau-père qui recevait cette fessée magistrale. Il y avait, en tout cas, un témoin attentif et qui participait à sa manière à sa punition : c’était Bettina la voisine, toujours aussi excitée par le spectacle de sa belle paire de fesses bien rouges en train de se tortiller sur les genoux de sa mère sous les vigoureuses claquées qu'elle alternait avec les frictions au Dolpic.

Il gigotait tellement sous la puissance des claques, qu’elle devait le repositionner régulièrement pour lui maintenir le derrière bien calé sur sa cuisse, rendue glissante par le nylon de ses bas.  Elle décida donc de le mettre, à nouveau, à plat ventre sur ses genoux et il dû reprendre la position réglementaire : derrière en l’air, bien tendu et tête en bas. Elle recommença alors à lui frotter vigoureusement les fesses de sa main enduite de Dolpic.  La terrible pommade diffusait une chaleur intense, piquante, qui lui enflammait tout le postérieur.  Lorsqu'il fut entièrement incandescent, elle recommença à le fesser vigoureusement, de la même main, sous les encouragements pervers de Bettina, l'incitant à taper toujours plus fort.
 – « Allez Clarisse, corrigez-le comme il le mérite, ce dangereux petit voyou ! Il faut qu'il s'en souvienne de cette fessée !  Claquez bien ses grosses fesses... Une paire comme celle-là, ça en encaisse des cuisantes ! »

Tout en exhortant à toujours plus de sévérité, elle s’efforçait de repérer les endroits du fessier où la couleur pourpre était moins intense, incitant Clarisse à insister sur ces parties, pourtant déjà bien servies. Au plus fort de son hystérie disciplinaire, la vicieuse créature commençait à sentir une chaleur humide lui inonder le slip qui lui collait aux fesses comme une seconde peau. Le feu du brasier infernal qui incendiait le fessier de Rodolphe atteignait son apogée, lorsque sa mère ralentit la cadence et mit fin à son calvaire d'un monumental aller et retour sur chaque fesse qui rebondirent de plus belle sur sa cuisse.
Le malheureux, épuisé, vaincu, resta prostré, en larmes sur la cuisse de sa mère, bras et jambes ballant dans le vide. Ses fesses incandescentes irradiaient le salon et dégageaient une intense chaleur qui semblaient envahir toute la pièce. Il eut presque du mal à réaliser que la fessée était enfin finie quand Clarisse décida de le reposer par terre. Mais elle égrena immédiatement les sanctions qu’elle avait décidées : Une bonne fessée chaque matin avant d’être envoyé avec Gérôme,  remettre en état la baraque à frites de la malheureuse femme, privée de son gagne-pain. Annonce de correction immédiate, s'il s'offrait le luxe d'y mettre de la mauvaise volonté, et, si elle le jugeait utile, et il y avait de grande chance pour que ce soit le cas, nouvelle fessée déculottée le soir pour bien terminer la journée... Dans l’immédiat , une heure de coin, slip aux cuisses... le dîner et au lit !

Cela faisait longtemps que Rodolphe n'avait pas obéi aussi vite en faisant preuve d'autant de soumission. Pour un peu il aurait rampé pour aller se mettre au coin. Il faut dire que, bien qu'il s'en prenne régulièrement, des longues et toujours bien claquées, il venait de se ramasser une magistrale série de fessées, particulièrement éprouvantes. Il se promettait d'appeler Gérôme pour savoir à quel traitement il avait été soumis, lui aussi. 

 Le pire, c'est que, dès le lendemain, il avait rendez-vous avec Géraldine au magasin de sa tante pour recevoir la fessée déculottée annoncée en guise de gage pour avoir perdu aux fléchettes à l'Olympic.  Il devait d'ailleurs y retrouver son frère Sébastien pour la même raison. Vu l'humeur particulièrement fessante de la jeune femme, il valait mieux éviter de lui poser un lapin, sous peine de s'en prendre deux au lieu d'une ; Elle ne devait pas avoir besoin de prétexte pour augmenter le tarif...


Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 39
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.

5 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Voilà un épisode qui restera inscrit dans les annales !! J'ai bien rigolé.
    Un vrai "One-Spanking-Show " !!! Public féminin ravi ! Prestation parfaite, Vraies fessées et larmes sincères ! Tout y est. Bravo au metteur en scène.
    J'ai terminé hier soir ma version de la baraque remise à neuf. Et toujours des maladresses...
    Amicalement. Peter.

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  2. Bonjour Ramina,
    Nos deux garnements s'en prennent des sévères, aussi sévères que mes personnages, ce qui n'est pas peu dire... Est-ce des fessées à la mode belge ? Car la baraque à frites ayant souffert, au moins, les femmes présentes se seront régalées d'une autre façon, celles de voir punir nos deux énergumènes.
    Rentrer les fesses à l'air et la fenêtre ouverte une fois rentrés est une bonne entame pour que l'entourage écoute le brame de nos mâles. De quoi les calmer, quoi que !
    Superbe récit.
    Amitiés.
    Elena.

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  3. Bonjour Peter
    Effectivement les larmes sont aussi sincères que les fessées sont sévères... Que veux tu... Avec des oiseaux pareils, aussi perturbants, pas étonnant qu'ils y laissent des plumes !
    J'attends avec curiosité la remise en état de la baraque. Tu as une belle capacité d'anticipation car elle n'est même pas encore écrite!
    Amicalement
    Ramina

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  4. Bonjour Eléna,

    J'apprécie votre réactivIté et la réciprocité de vos commentaires, ce qui révèle, à mon avis, un sens de l'équité et du devoir de rendre les manifestation d'attention.
    Je ne sais pas si les fessées ont une identité selon la nationalité mais le rapprochement, avec la belgitude de la frite est assez pertinent.
    Moi qui suis parfois impressionné par l'extrême rigueur des corrections infligées à vos personnages, je dois reconnaître que, même sans instruments de discipline, les corrections dans CDAMF n'en sont pas moins vigoureuses... Mais quel plaisir, n'est ce pas ?
    L'allusion aux mâles ( en rut ) bramant sous les fessées, ne sous entendrait elle pas la persistance d'un amusant contentieux avec la gens masculine ? ... N'est il pas ?
    Amicalement
    Ramina

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    1. Bonjour Ramina,
      Pour donner de bonnes fessées, il faut avoir la frite, sinon, elles sont molles et inefficaces ! j'dis ça, j'dis rien...
      Les fessées avec instruments sont plus démonstratives, en tout cas, à mon sens, car elles rapprochent plus de ce que subissaient les suppliciés d'autrefois, lorsqu'ils étaient corrigés en place publique, souvent dans le plus simple appareil. Et vous aviez 2 corrections en une. La punition par elle-même et l'humiliation de la personne punie face à tout tout le monde. C'est une conception toute personnelle qui est omniprésente dans mes fictions.
      Pour l'allusion, en effet, nous les filles souffrons toujours de notre infériorité. Et ce ne sont pas les maigres tentatives des uns et des autres qui y changeront grand chose. Les inégalités sont là et les réflexions désobligeantes avec, lorsque ça ne va pas plus loin.
      Pour une fois que le gente féminine prend le dessus, ne nous plaignons pas. J'adore.
      Amitiés.
      Elena.

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