–
Cela suffit, Jérôme. Je t’ai dit que tu passeras la semaine chez les Stewart,
tu passeras la semaine chez les Stewart point. Et si je t’entends encore tu
iras avec les fesses bien rouges ! »
Martine
Lepand vient d’être extrêmement claire. Comme prévu la semaine dernière, son
pupille devra passer la semaine chez les voisins. Hors de question qu’il soit
livré à lui-même pendant ce déplacement professionnel.
Pendant
qu’elle préparé sa valise, Jérôme se lamentait et angoissait à l’avance sur ce
qu’il attendait chez les voisins. Sa vie avec Madame Lepand depuis un mois
n’était pas facile certes mais elle avait fini par le comblé pleinement. Il se
sentait bien. Même si c’était difficile à vivre et assumer, cela le rassurer.
Mais là il n’avait pas du tout envie d’aller chez cette inconnue et d’être puni
par elle. Remarque au début tante
Martine était une inconnu se dit il…
Alors qu’elle termine la valise, Il tente tout de même une dernière
tentative.
« Ma
tante je vous en prie s’il vous plait.
–
Bon ça suffit, je t’avais prévenu gronde sa tutrice !
Elle
attrape Jérôme par l’oreille et le conduit dans le bureau
« Pitié
ma tante, je vous demande pardon. Pas la fessée s’il vous plait. »
Cela
fait une semaine que Jérôme a évité une vraie une correction mais visiblement
il rejoindra l’appartement voisin les fesses rouges.
Martine
Lepand lâche l’oreille de son pupille. Nul besoin de parler. Elle le déculotte
tandis qu’il met docilement ses mains sur la tête pour lui faciliter la tâche.
Culotte courte et slip au bas des pieds, elle couche sur ses genoux. Elle le
calle bien de façon à ce qu’il ne puisse pas se débarrasser de son
emprise. Munie de sa règle, avec de
amples mouvements, elle lui fait passer l’envie de contester ses décisions. Comme toujours, elle donne cette punition avec
fermeté et conviction. Les coups de
règle sont appuyés et laissent de belles marques sur les fesses de Jérôme. Elle ne tient aucunement compte des demandes
de pitié de son pupille. Elle continue d’appliquer longuement cette correction.
Jérôme doit comprendre qu’il doit juste obéir et ne pas contester les décisions
qui sont prises pour son bien. Bien
prisonnier sur les genoux de sa tante adoptive, le jeune homme ne peut que
faire gesticuler ses jambes à chaque coup. Il pleure mais résiste à ne pas
bouger ses mains de sa tête pour ne pas déclencher encore plus de foudre de Madame
Lepand.
La
fessée s’arrête enfin quand elle est satisfaite de la couleur et de la cuisson
de l’arrière-train du garçon. Sans
prendre le temps de le reculotter, elle le prend par la main et le conduit chez
les Stewart. Au passage dans l’entrée, elle ordonne à Jérôme de prendre sa
valise. Heureusement il n’y a que le palier à traverser mais Madame Stewart met
un peu de temps à venir ouvrir. Jérôme a peur que quelqu’un ne vienne à monter
ou descendre dans l’immeuble et le remarque ainsi les fesses à l’air et bien
écarlate.
« Bonjour
Martine, désolé j’allais faire la toilette des garçons, Jérôme va pouvoir venir
que je lui fasse la sienne par la même occasion déclare Mrs Stewart à peine
après avoir ouverte la porte.
–
Je vous remercie encore Margaret. J’ai mis tout ce dont mon garnement aura
besoin pour cette semaine dans sa valise.
–
Je vous en prie, c’est bien normal de s’entraider entre voisine. Faites bon
voyage et ne vous inquiétez de rien.
–
Merci à la semaine prochaine. »
La
maitresse de maison conduit son invité dans la chambre des enfants et termine
de le déshabiller.
« En
voilà des fesses et des cuisses bien rouges. Je crois qu’il y a eu une bonne
fessée avant l’arrivée ici, n’est-ce pas, interroge Mrs Stewart
–
Oui Madame
–
Et pourquoi cette fessée ? »
Jérôme
ne répond pas, il baisse les yeux. Il ne veut surtout pas avouer la cause de la
punition qu’il a reçue de sa tutrice.
« Je
t’ai posé une question ! nsiste son
hôte en lui claquant promptement la cuisse.
–
Je ne voulais pas venir chez vous Madame.
–
Oh et pourquoi donc ?
–
J’ai peur de vos fessées Madame.
–
A toi de les éviter en te comportant bien ! »
Arrivé
dans la salle de bain, il découvre les enfants de Mrs Stewart à genoux et les
bras en croix dans la vaste douche à l’italienne. Ils sont dos à dos et
attendent bien sagement.
« Les
garçons relevez-vous. Je vais commencer
par notre invité. C’est bien normal. »
Elle
fait passer Jérôme sous le jet d’eau froide. Visiblement ici pas besoin d’être
puni pour avoir le droit à une douche glacée. C’est la coutume. Elle fait passer
ses fils chacun son tour également. Une fois tout le monde mouillé, elle
s’apprête à prendre le premier gant de toilette mais se ravise.
–
Ah, c’est vrai, pour toi il faut du shampoing pour mes fils un coup de gant de
toilette suffit. »
Mrs Stewart va chercher dans un placard
un flacon de shampoing puis elle lave les cheveux de Jérôme. Il apprécie
l’odeur du parfum du produit même s’il le trouve trop féminin. Cela le change
du « Dop » aux œufs que lui impose sa tutrice. Pendant ce temps
Elliot et Andrew doivent patienter. Une fois rincé à l’eau froide toujours,
elle remouille ses deux garçons qui ont un peu trop séché à son goût. Elle
poursuit la toilette des trois jeune gens. Là encore Jérôme apprécie d’être
lavé au savon liquide même s’il préfèrerait autre chose que l’odeur vanille. En
revanche cette dame est aussi douce et délicate que sa tante adoptive et elle
lave parfaitement sans oublier le moindre millimètre carré de peau. Elle aussi
se moque éperdument qu’il est du savon dans les yeux et cela est difficile à
supporter quand il doit patienter pendant qu’elle lave ses enfants. Une fois
tout le monde rincé, à l’eau glacé bien sûr, la maman met son pyjama à Jérôme
et une chemise de nuit aux jumeaux.
Le repas se déroule bien. Jérôme bien
dressé par Madame Lepand parvient à manger de tout. Même la nourriture un peu
« spéciale » anglaise. Puis comme chez lui le couché se fait de
bonheur.
Le lendemain matin après une toilette
rapide l’habillage et le petit déjeuner les garçons se brossent les dents avant
de rejoindre la salle de classe. Ils sont rejoints par 3 autres garçons que
Jérôme ne connait pas. Quels âges
peuvent-ils avoir ? Ils paraissent bien jeunes. Mais après tout lui aussi.
Mrs Stewart organise pour ses enfants et
pour les enfants d’amis des stages de révisions scolaires. De ce fait Jérôme
doit y participer cette semaine.
Alors qu’il est censé faire des
problèmes de mathématiques, Jérôme se prend à rêvasser en regardant par la
fenêtre. Mrs Stewart le surprend et lui décroche une calotte derrière la tête.
Elle vérifie son travail
« Oh
mais c’est quoi ce torchon ! De qui te moques-tu ? »
Elle l’attrape par le bras et le traîne
jusqu’au-devant de la salle. Jérôme n’a pas le temps de réagir qu’il se
retrouve accroché à un pilori. La tête coincée entre deux planches tenue par
deux cadenas. Idem pour les bras et les pieds. Il ne peut plus bouger. Il a les
fesses parfaitement tendues. Mrs Stewart lui descend immédiatement sa culotte
et son slip. Munie d’une twase épaisse, elle commence par le fesser. Chaque
coup résonne dans la salle et font parfois sursauter les autres élèves. Jérôme
serre les dents. Il ne veut pas se montrer faible devant les autres. Il tente
de résister à ne pas crier et surtout à ne pas pleurer. Cependant il ne tarde
pas à craquer devant la détermination de sa fesseuses. Il commence à pousser
des cris à chaque coup et fini même par sangloter.
Mrs Stewart est donc satisfaite. Elle
attrape Jérôme par les cheveux et lui ordonne de réfléchir ainsi, attaché au
pilori. Il est placé de profil si bien que toute la classe peut l’observer
ainsi en pénitence. Très vite à la brulure et à la douleur de s’ajoute une
autre douleur celle d’être ainsi placé sans bouger. Cela lui tire dans le dos
et dans les jambes. Il sait que cet après midi, il est aussi condamné à rester
dans cette salle pour terminer son travail et en faire en supplément.
Jérôme reste ainsi pendant plus d’une
heure qu’il lui parait une éternité. Il est enfin libéré grâce à Benjamin qui
s’amuse à faire des dessins sur sa feuille plutôt que faire les exercices
demandés. Tout comme Jérôme avant lui, il est amené manu militari près du
pilori. Le temps de libérer le premier puni, le garçon est à son tour
prisonnier à l’instrument de torture.
Il reçoit à son tour sa dose de coup de
twase. Il est toutefois moins résistant, et pleure et hurle très vite. Cela ne
l’empêche pas de recevoir son compte avant d’être abandonné lui aussi à son
sort. Lui aussi a le fessier et les
cuisses en feux et vermillon. Jérôme se doute que le sien est dans le même
état. Mrs Stewart préviens les parents de Benjamin au téléphone qu’il restera
lui aussi en retenue chez elle cet après-midi.
Jérôme a aussi à son tour tout loisir d’observer son compagnon
d’infortune coincé dans le pilori. Il sait ce qu’il ressent et ce qu’il va
ressentir après.
Arès le déjeuner alors que les autres
sont rentrés et qu’Andrew et Elliot peuvent se divertir devant un film, les
deux paresseux doivent retourner au travail. Fort heureusement pour eux ils
fournissent un travail sérieux qu’il leurs évitent une sanction
supplémentaire.
Jérôme a encore mal au derrière. En
effet, si la douleur est similaire à celle de la règle elle est pourtant plus
intense et reste plus persistante. Il se promet d’être plus assidu et plus sage
pour le reste du séjour. Il est toutefois
soulagé d’avoir pu échapper à la strap. Le soir dans son lit il ne ressent plus
la cuisson mais lorsqu’il se masse le derrière il ressent encore une petite
douleur aigue. Cela a le mérite de lui rappeler sa promesse.
Le reste de la semaine va se dérouler
sans évènement majeur, jusqu’ à ce dernier soir. Après les avoir couchés, Mrs
Stewart vaque à ses occupations jusqu’ à ce qu’elle entende des rires et des
bavardages dans la chambres des garçons.
D’un pas décidé elle se dirige vers ce brouhaha. Au passage elle
n’oublie pas de se munir de la Strap. Elle ouvre la porte avec fracas.
« Qu’est-ce
que ce chahut ! C’est très grave ! Je vais vous expliquer que quand
on est au lit c’est pour dormir ! Vous allez comprendre croyez-moi ! Levez-vous ! Vous allez au salon. Face au mur en position
pour la grosse fessée. »
Jérôme imite Andrew et Elliot qui ne
savent que trop bien ce qu’ils doivent faire. Chacun se pressent pour se rendre
au salon et prennent position sur l’un des murs, côte à côté. Les mains bien à
plat contre le plâtre et les fesses bien tendues, les jambes légèrement
écartées.
Mrs
Stewart relève la chemises de nuits des jumeaux, qu’elle parvient à coincer
dans le col. Elle baisse ensuite le pantalon de pyjama de Jérôme qu’elle
accompagne jusqu’aux chevilles.
« Vous
allez recevoir chacun 20 coups de strap Déclare Mrs Stewart. Andrew, explique à
ton camarade les règles de cette punition. Ajoute-t-elle.
–
Nous allons devoirs compter les coups que nous recevons. Si l’un de nous se
trompe ou n’énonce pas assez clairement le nombre, la punition redémarre à zéro
pour nous tous. »
Andrew
donne son explication avec la voix déjà nouée. Il sait par expérience qu’il
s’apprête à vivre un moment difficile.
Sans
la moindre hésitation, Mrs Stewart commence par frapper les fesses d’Elliot
puis d’Andrew et de Jérôme. Elle enchaine aléatoirement les fesses ou les
cuisses de l’un ou de l’autre des punis. Tous font l’effort de compter et
d’articuler malgré les brûlures et les souffrances qu’ils endurent. Entre
chaque coup ils ont le souffle coupé et les larmes coulent à flot. Ils hurlent
à chaque coup tant la conviction de Mrs Stewart est forte.
Jérôme
tombe au dixième coup. Sans ménagement, Madame Stewart le relève en le
remontant par l’oreille. Il reprend sa position et le châtiment se
poursuit. Ce qu’il redoutait tant fini
par arriver. Alors qu’Elliot compte quinze, le coup suivant atterrit en plein
entre les deux globes fessiers de Jérôme. Il annonce seize entre deux
hurlements. Mais il n’en est qu’à Treize. Il tente de se reprendre mais trop
tard. Il lit dans le regard de ses deux compagnons d’infortune de la colère. En
effet pour tout le monde la punition repart à zéro. Chacun des 3 garçons se demande comment il va
pouvoir résister.
Pour
Mrs Stewart, là n’est pas la question. Elle reprend rigoureusement sa besogne
et fouette parfaitement ses trois punis.
Les derrière sont cramoisis, les yeux pleins de larmes et les cris
redoublent. Ils évitent de se tromper. Ils s’appliquent à bien articuler et ne
savent pas comment ils réussissent à endurer un tel châtiment. Surtout Jérôme
qui n’a pas l’habitude et qui montre une belle résistance.
« Il
est inadmissible de s’amuser quand on est couché ! Je crois que maintenant
l’envie de rire vous est passée. Allez
chacun dans un coin et laissez-moi admirer vos beaux derrières bien rouges
comme des fraises. »
Chacun dans leurs piquets, les trois bavards
ont bien du mal à retrouver leur souffle. Mrs Stewart les mouche rapidement.
Elle leur rappelle qu’elle ne veut rien entendre et part s’installer
tranquillement dans son sofa avec un livre.
Dans
un premier temps, Jérôme est obnubilé par le feu qui lui brûle les fesses et
les cuisses. Rien d’autre ne hante ses pensées.
Il ne pense qu’à la souffrance. Puis il envisage de fuir. Cette femme
est folle. C’est pire que tante Martine. Mais j’irai où ? Surtout en
pyjama…
Puis
il trouve le temps très long. Ça doit bien faire une heure qu’ils sont là.
Elliot et Andrew doivent être de vraies statues… Une démangeaison sur la jambe gauche vient le
déranger dans son esprit. Comment faire pour se soulager sans se faire
remarquer par Mrs Stewart ? Il tente de résister de réfléchir à autre
chose. Mais cela devient obsessionnel. Il en oublie presque la chaleur de son
fessier. Discrètement avec son pied droit il vient frotter sa jambe
gauche. Un véritable numéro d’acrobate
avec ses pieds empêtrés dans son pantalon de pyjama.
Jérôme
pense avoir réussi à tromper la vigilance de sa gardienne. Cependant entre deux
lignes, sur son sofa, Margareth à bien remarqué son petit manège. A pas feutré,
elle se rapproche et lui claque magistralement les fesses à trois
reprises. La sensation de brûle et vite
ravivé et le mal réapparait immédiatement
« Aie
pardon. Pardon. Aie… Jérôme comprends très bien pourquoi il est à nouveau
battu.
–
Visiblement tu ne comprends pas ce que signifie rester immobile. Je vais me
charger de t’apprendre l’obéissance. »
Elle
attrape Jérôme et l’entraine jusqu’au canapé. Empêtré dans son pantalon, il tombe à genoux
« Tu
restes comme ça tandis que je vais coucher Elliot et Andrew. »
Elle disparaît avec ses fils tandis que Jérôme patiente en angoissant sur ce qui
l’attend.
Vous n'avez pas lu ce qui a précédé ?
Eh bien voici le début : le chapitre 1
Et le chapitre 7 qui précède celui-ci
Une suite à cet épisode ?
Elle va venir, la semaine prochaine.
Allons-y pour les commentaires
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