samedi 4 juillet 2020

Fini la liberté - chapitre 8

« Ma tante, s’il vous plait, faites-moi confiance je ne ferai pas de bêtises.
– Cela suffit, Jérôme. Je t’ai dit que tu passeras la semaine chez les Stewart, tu passeras la semaine chez les Stewart point. Et si je t’entends encore tu iras avec les fesses bien rouges ! »
Martine Lepand vient d’être extrêmement claire. Comme prévu la semaine dernière, son pupille devra passer la semaine chez les voisins. Hors de question qu’il soit livré à lui-même pendant ce déplacement professionnel. 
Pendant qu’elle préparé sa valise, Jérôme se lamentait et angoissait à l’avance sur ce qu’il attendait chez les voisins. Sa vie avec Madame Lepand depuis un mois n’était pas facile certes mais elle avait fini par le comblé pleinement. Il se sentait bien. Même si c’était difficile à vivre et assumer, cela le rassurer. Mais là il n’avait pas du tout envie d’aller chez cette inconnue et d’être puni par elle.  Remarque au début tante Martine était une inconnu se dit il…  Alors qu’elle termine la valise, Il tente tout de même une dernière tentative.
« Ma tante je vous en prie s’il vous plait.
– Bon ça suffit, je t’avais prévenu gronde sa tutrice !
Elle attrape Jérôme par l’oreille et le conduit dans le bureau
« Pitié ma tante, je vous demande pardon. Pas la fessée s’il vous plait. »
Cela fait une semaine que Jérôme a évité une vraie une correction mais visiblement il rejoindra l’appartement voisin les fesses rouges.
Martine Lepand lâche l’oreille de son pupille. Nul besoin de parler. Elle le déculotte tandis qu’il met docilement ses mains sur la tête pour lui faciliter la tâche. Culotte courte et slip au bas des pieds, elle couche sur ses genoux. Elle le calle bien de façon à ce qu’il ne puisse pas se débarrasser de son emprise.  Munie de sa règle, avec de amples mouvements, elle lui fait passer l’envie de contester ses décisions.  Comme toujours, elle donne cette punition avec fermeté et conviction.  Les coups de règle sont appuyés et laissent de belles marques sur les fesses de Jérôme.  Elle ne tient aucunement compte des demandes de pitié de son pupille. Elle continue d’appliquer longuement cette correction. Jérôme doit comprendre qu’il doit juste obéir et ne pas contester les décisions qui sont prises pour son bien.  Bien prisonnier sur les genoux de sa tante adoptive, le jeune homme ne peut que faire gesticuler ses jambes à chaque coup. Il pleure mais résiste à ne pas bouger ses mains de sa tête pour ne pas déclencher encore plus de foudre de Madame Lepand.
La fessée s’arrête enfin quand elle est satisfaite de la couleur et de la cuisson de l’arrière-train du garçon.  Sans prendre le temps de le reculotter, elle le prend par la main et le conduit chez les Stewart. Au passage dans l’entrée, elle ordonne à Jérôme de prendre sa valise. Heureusement il n’y a que le palier à traverser mais Madame Stewart met un peu de temps à venir ouvrir. Jérôme a peur que quelqu’un ne vienne à monter ou descendre dans l’immeuble et le remarque ainsi les fesses à l’air et bien écarlate.

« Bonjour Martine, désolé j’allais faire la toilette des garçons, Jérôme va pouvoir venir que je lui fasse la sienne par la même occasion déclare Mrs Stewart à peine après avoir ouverte la porte.
– Je vous remercie encore Margaret. J’ai mis tout ce dont mon garnement aura besoin pour cette semaine dans sa valise.
– Je vous en prie, c’est bien normal de s’entraider entre voisine. Faites bon voyage et ne vous inquiétez de rien.
– Merci à la semaine prochaine. »

La maitresse de maison conduit son invité dans la chambre des enfants et termine de le déshabiller.
« En voilà des fesses et des cuisses bien rouges. Je crois qu’il y a eu une bonne fessée avant l’arrivée ici, n’est-ce pas, interroge Mrs Stewart
– Oui Madame
– Et pourquoi cette fessée ? »
Jérôme ne répond pas, il baisse les yeux. Il ne veut surtout pas avouer la cause de la punition qu’il a reçue de sa tutrice.
« Je t’ai posé une question !  nsiste son hôte en lui claquant promptement la cuisse.
– Je ne voulais pas venir chez vous Madame.
– Oh et pourquoi donc ?
– J’ai peur de vos fessées Madame.
– A toi de les éviter en te comportant bien ! »
Arrivé dans la salle de bain, il découvre les enfants de Mrs Stewart à genoux et les bras en croix dans la vaste douche à l’italienne. Ils sont dos à dos et attendent bien sagement.
« Les garçons relevez-vous.  Je vais commencer par notre invité. C’est bien normal. »
Elle fait passer Jérôme sous le jet d’eau froide. Visiblement ici pas besoin d’être puni pour avoir le droit à une douche glacée. C’est la coutume. Elle fait passer ses fils chacun son tour également. Une fois tout le monde mouillé, elle s’apprête à prendre le premier gant de toilette mais se ravise.
– Ah, c’est vrai, pour toi il faut du shampoing pour mes fils un coup de gant de toilette suffit. »
Mrs Stewart va chercher dans un placard un flacon de shampoing puis elle lave les cheveux de Jérôme. Il apprécie l’odeur du parfum du produit même s’il le trouve trop féminin. Cela le change du « Dop » aux œufs que lui impose sa tutrice. Pendant ce temps Elliot et Andrew doivent patienter. Une fois rincé à l’eau froide toujours, elle remouille ses deux garçons qui ont un peu trop séché à son goût. Elle poursuit la toilette des trois jeune gens. Là encore Jérôme apprécie d’être lavé au savon liquide même s’il préfèrerait autre chose que l’odeur vanille. En revanche cette dame est aussi douce et délicate que sa tante adoptive et elle lave parfaitement sans oublier le moindre millimètre carré de peau. Elle aussi se moque éperdument qu’il est du savon dans les yeux et cela est difficile à supporter quand il doit patienter pendant qu’elle lave ses enfants. Une fois tout le monde rincé, à l’eau glacé bien sûr, la maman met son pyjama à Jérôme et une chemise de nuit aux jumeaux.    
Le repas se déroule bien. Jérôme bien dressé par Madame Lepand parvient à manger de tout. Même la nourriture un peu « spéciale » anglaise. Puis comme chez lui le couché se fait de bonheur.

Le lendemain matin après une toilette rapide l’habillage et le petit déjeuner les garçons se brossent les dents avant de rejoindre la salle de classe. Ils sont rejoints par 3 autres garçons que Jérôme ne connait pas.  Quels âges peuvent-ils avoir ? Ils paraissent bien jeunes. Mais après tout lui aussi.  Mrs Stewart organise pour ses enfants et pour les enfants d’amis des stages de révisions scolaires. De ce fait Jérôme doit y participer cette semaine.
Alors qu’il est censé faire des problèmes de mathématiques, Jérôme se prend à rêvasser en regardant par la fenêtre. Mrs Stewart le surprend et lui décroche une calotte derrière la tête. Elle vérifie son travail
« Oh mais c’est quoi ce torchon ! De qui te moques-tu ? »
Elle l’attrape par le bras et le traîne jusqu’au-devant de la salle. Jérôme n’a pas le temps de réagir qu’il se retrouve accroché à un pilori. La tête coincée entre deux planches tenue par deux cadenas. Idem pour les bras et les pieds. Il ne peut plus bouger. Il a les fesses parfaitement tendues. Mrs Stewart lui descend immédiatement sa culotte et son slip. Munie d’une twase épaisse, elle commence par le fesser. Chaque coup résonne dans la salle et font parfois sursauter les autres élèves. Jérôme serre les dents. Il ne veut pas se montrer faible devant les autres. Il tente de résister à ne pas crier et surtout à ne pas pleurer. Cependant il ne tarde pas à craquer devant la détermination de sa fesseuses. Il commence à pousser des cris à chaque coup et fini même par sangloter.
Mrs Stewart est donc satisfaite. Elle attrape Jérôme par les cheveux et lui ordonne de réfléchir ainsi, attaché au pilori. Il est placé de profil si bien que toute la classe peut l’observer ainsi en pénitence. Très vite à la brulure et à la douleur de s’ajoute une autre douleur celle d’être ainsi placé sans bouger. Cela lui tire dans le dos et dans les jambes. Il sait que cet après midi, il est aussi condamné à rester dans cette salle pour terminer son travail et en faire en supplément.
Jérôme reste ainsi pendant plus d’une heure qu’il lui parait une éternité. Il est enfin libéré grâce à Benjamin qui s’amuse à faire des dessins sur sa feuille plutôt que faire les exercices demandés. Tout comme Jérôme avant lui, il est amené manu militari près du pilori. Le temps de libérer le premier puni, le garçon est à son tour prisonnier à l’instrument de torture.
Il reçoit à son tour sa dose de coup de twase. Il est toutefois moins résistant, et pleure et hurle très vite. Cela ne l’empêche pas de recevoir son compte avant d’être abandonné lui aussi à son sort.  Lui aussi a le fessier et les cuisses en feux et vermillon. Jérôme se doute que le sien est dans le même état. Mrs Stewart préviens les parents de Benjamin au téléphone qu’il restera lui aussi en retenue chez elle cet après-midi.  Jérôme a aussi à son tour tout loisir d’observer son compagnon d’infortune coincé dans le pilori. Il sait ce qu’il ressent et ce qu’il va ressentir après.

Arès le déjeuner alors que les autres sont rentrés et qu’Andrew et Elliot peuvent se divertir devant un film, les deux paresseux doivent retourner au travail. Fort heureusement pour eux ils fournissent un travail sérieux qu’il leurs évitent une sanction supplémentaire. 
Jérôme a encore mal au derrière. En effet, si la douleur est similaire à celle de la règle elle est pourtant plus intense et reste plus persistante. Il se promet d’être plus assidu et plus sage pour le reste du séjour.  Il est toutefois soulagé d’avoir pu échapper à la strap. Le soir dans son lit il ne ressent plus la cuisson mais lorsqu’il se masse le derrière il ressent encore une petite douleur aigue. Cela a le mérite de lui rappeler sa promesse.
Le reste de la semaine va se dérouler sans évènement majeur, jusqu’ à ce dernier soir. Après les avoir couchés, Mrs Stewart vaque à ses occupations jusqu’ à ce qu’elle entende des rires et des bavardages dans la chambres des garçons.  D’un pas décidé elle se dirige vers ce brouhaha. Au passage elle n’oublie pas de se munir de la Strap. Elle ouvre la porte avec fracas.
« Qu’est-ce que ce chahut ! C’est très grave ! Je vais vous expliquer que quand on est au lit c’est pour dormir ! Vous allez comprendre croyez-moi !  Levez-vous !  Vous allez au salon. Face au mur en position pour la grosse fessée. »
Jérôme imite Andrew et Elliot qui ne savent que trop bien ce qu’ils doivent faire. Chacun se pressent pour se rendre au salon et prennent position sur l’un des murs, côte à côté. Les mains bien à plat contre le plâtre et les fesses bien tendues, les jambes légèrement écartées. 
Mrs Stewart relève la chemises de nuits des jumeaux, qu’elle parvient à coincer dans le col. Elle baisse ensuite le pantalon de pyjama de Jérôme qu’elle accompagne jusqu’aux chevilles.
« Vous allez recevoir chacun 20 coups de strap Déclare Mrs Stewart. Andrew, explique à ton camarade les règles de cette punition. Ajoute-t-elle.
– Nous allons devoirs compter les coups que nous recevons. Si l’un de nous se trompe ou n’énonce pas assez clairement le nombre, la punition redémarre à zéro pour nous tous. »
Andrew donne son explication avec la voix déjà nouée. Il sait par expérience qu’il s’apprête à vivre un moment difficile.
Sans la moindre hésitation, Mrs Stewart commence par frapper les fesses d’Elliot puis d’Andrew et de Jérôme. Elle enchaine aléatoirement les fesses ou les cuisses de l’un ou de l’autre des punis. Tous font l’effort de compter et d’articuler malgré les brûlures et les souffrances qu’ils endurent. Entre chaque coup ils ont le souffle coupé et les larmes coulent à flot. Ils hurlent à chaque coup tant la conviction de Mrs Stewart est forte.
Jérôme tombe au dixième coup. Sans ménagement, Madame Stewart le relève en le remontant par l’oreille. Il reprend sa position et le châtiment se poursuit.  Ce qu’il redoutait tant fini par arriver. Alors qu’Elliot compte quinze, le coup suivant atterrit en plein entre les deux globes fessiers de Jérôme. Il annonce seize entre deux hurlements. Mais il n’en est qu’à Treize. Il tente de se reprendre mais trop tard. Il lit dans le regard de ses deux compagnons d’infortune de la colère. En effet pour tout le monde la punition repart à zéro.  Chacun des 3 garçons se demande comment il va pouvoir résister.
Pour Mrs Stewart, là n’est pas la question. Elle reprend rigoureusement sa besogne et fouette parfaitement ses trois punis.  Les derrière sont cramoisis, les yeux pleins de larmes et les cris redoublent. Ils évitent de se tromper. Ils s’appliquent à bien articuler et ne savent pas comment ils réussissent à endurer un tel châtiment. Surtout Jérôme qui n’a pas l’habitude et qui montre une belle résistance.
« Il est inadmissible de s’amuser quand on est couché ! Je crois que maintenant l’envie de rire vous est passée.  Allez chacun dans un coin et laissez-moi admirer vos beaux derrières bien rouges comme des fraises. »
 Chacun dans leurs piquets, les trois bavards ont bien du mal à retrouver leur souffle. Mrs Stewart les mouche rapidement. Elle leur rappelle qu’elle ne veut rien entendre et part s’installer tranquillement dans son sofa avec un livre.

Dans un premier temps, Jérôme est obnubilé par le feu qui lui brûle les fesses et les cuisses. Rien d’autre ne hante ses pensées.  Il ne pense qu’à la souffrance. Puis il envisage de fuir. Cette femme est folle. C’est pire que tante Martine. Mais j’irai où ? Surtout en pyjama…
Puis il trouve le temps très long. Ça doit bien faire une heure qu’ils sont là. Elliot et Andrew doivent être de vraies statues…  Une démangeaison sur la jambe gauche vient le déranger dans son esprit. Comment faire pour se soulager sans se faire remarquer par Mrs Stewart ? Il tente de résister de réfléchir à autre chose. Mais cela devient obsessionnel. Il en oublie presque la chaleur de son fessier. Discrètement avec son pied droit il vient frotter sa jambe gauche.  Un véritable numéro d’acrobate avec ses pieds empêtrés dans son pantalon de pyjama.
Jérôme pense avoir réussi à tromper la vigilance de sa gardienne. Cependant entre deux lignes, sur son sofa, Margareth à bien remarqué son petit manège. A pas feutré, elle se rapproche et lui claque magistralement les fesses à trois reprises.  La sensation de brûle et vite ravivé et le mal réapparait immédiatement
« Aie pardon. Pardon. Aie… Jérôme comprends très bien pourquoi il est à nouveau battu.
– Visiblement tu ne comprends pas ce que signifie rester immobile. Je vais me charger de t’apprendre l’obéissance. »
Elle attrape Jérôme et l’entraine jusqu’au canapé.  Empêtré dans son pantalon, il tombe à genoux
« Tu restes comme ça tandis que je vais coucher Elliot et Andrew. »
Elle disparaît avec ses fils tandis que Jérôme patiente en angoissant sur ce qui l’attend.



Vous n'avez pas lu ce qui a précédé ?

Eh bien voici le début : le chapitre 1

Et le chapitre 7 qui précède celui-ci

Une suite à cet épisode ?

Elle va venir, la semaine prochaine.

Allons-y pour les commentaires

Alors ? Qu'en pensez-vous ? Les commentaires, les appréciations, les critiques, les propositions, les encouragements... sont tous bienvenus.
Vous voulez les lui adresser directement ? Pas de problème ! Voici son adresse courriel : Jonas
Dans tous les cas, il vous répondra.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.