samedi 18 juillet 2020

Fini la liberté - chapitre 10

Cela fait combien de temps que Jérôme patiente dans ce coin ? Ses genoux le font souffrir. Ils sont violets. Il est dans cette position quasi depuis le matin. Ses fesses et ses cuisses le cuise encore. Elles sont aussi bleues, violettes, jaunes avec les stries du martinet bien visibles.  Ses bras se tétanisent il est à la limite de la crampe. Le nez toujours bien collé au mur, il se demande quand Justine va enfin le libérer. Il pense aussi à sa punition qui n’avance pas. Tante Martine ne sera pas contente. Elle va surement bien le punir elle aussi.Visiblement c’est journée fessée dans l’immeuble. En effet pendant ce temps chez madame Chopin et sa fille l’heure est à la punition également.
Alors qu’elle est censée récurer la salle de bain, Marie Camille se fait surprendre par sa mère en train de se maquiller. Elle s’est permise de détacher ses cheveux et à déboutonner son chemisier. Elle s’est aussi débarrassée de son tablier.
«  Petite dévergondée, tu n’as pas honte ! J’espère que tu as honte. »
Madame Chopin, très fâchée, vient claquer les cuisses de sa fille à trois reprises puis se saisissant d’un coton qu’elle humidifie légèrement, elle lui nettoie le visage en frottant sans ménagement.
«  Non seulement tu ne fais pas ton travail mais en plus tu utilises mes affaires pour te transformer en prostituée.  Parce que désolé je ne trouve pas d’autre mot. Une jeune fille bien élevée ne fait pas ce genre de chose. Je vais te faire regretter tes errements jeune fille.  Crois-moi tu vas prendre cher ! »
Une fois le nettoyage terminé, elle entraîne Marie Camille dans sa chambre en la tirant par les cheveux. Elle s’assoit sur le lit et ordonne à sa fille se baisser sa culotte puis la prend par la main pour qu’elle se place à sa droite. Agrippée par l’oreille cette fois, elle couche la fautive à plat ventre sur ses genoux. Cette dernière sait très bien qu’elle s’apprête à recevoir une sévère correction qu’elle n’oubliera pas de sitôt. Mme Chopin coince les jambes de sa fille avec une de ses jambes et immobilise fermement de sa main gauche les mains de Marie Camille.
Elle retire de son pied sa claquette et s’en saisit de sa main libre. Une claquette souple mais à l’épaisse semelle. La fessée commence. Une valse de claque qui résonne dans la pièce. Les fesses, les cuisses, l’instrument de fessées atterrit aléatoirement sur l’épiderme qui trouve très vite une couleur rouge vif. Marie Camille pleure de suite tant la correction est donnée avec conviction. Elle tente vainement de se dégager. Elle est si bien maintenue que la manœuvre n’est même pas constatée par sa mère.
C’est une très longue et redoutable fessée que lui administre sa génitrice. Marie Camille trouve le temps interminable. Les coups tombent à foison et les sanglots et supplications de sa gamine ne font pas faiblir Mme Chopin bien décidée à lui faire regretter amèrement son attitude. Après 12 minutes de claques, elle relâche enfin son étreinte. Elle relève sa progéniture et la place face à elle pour de nouvelles remontrances.
« J’espère que cette première fessée te sera salutaire. Mais je n’en ai pas terminé avec toi. Crois-moi tu vas pouvoir encore pleurer. Va m’entendre au piquet. »
 Tête basse, la culotte au pied, Marie Camille se place dans le coin entre son armoire et le mur. Elle renifle ses sanglots tandis que sa mère s’affaire visiblement dans sa chambre juste à côté. Elle ne reste pas longtemps en pénitence. Cinq minutes à peine et sa mère revient munie de la ceinture
« Va te coucher à plat ventre sur ton lit ordonne t’elle
– Maman pitié non. Je vous demande pardon. S’il vous plait
–Dépêche-toi ou je double la dose ! »
Marie Camille forcée d’obtempérer se couche donc sur son lit docilement. Sa mère lui place un oreiller sur le ventre pour lui relever un peu les fesses. La jeune fille s’accroche aux barreaux du lit. Madame Chopin replie la ceinture, relève la jupe de sa fille sur sa tête et commence sa punition.
Sans aucune hésitation, elle vient cingler le séant de sa gamine ainsi que ses cuisses et ses jambes. La douleur de la fessée de la séance précédente s’accentue. Marie Camille crie et supplie sa mère d’arrêter. Au huitième coup elle lui demande encore pardon mais sa génitrice ne faiblit pas. Elle lui inflige encore 12 bonnes cinglées.  
Sitôt la punition terminée, Madame Chopin Oblige sa fille à se relever. Elle lui réajuste son chemisier, la recoiffe correctement en l’affublant de deux couettes et en l’attrapant par le poignet l’oblige à la suivre la culotte au bas des pieds et la jupe toujours retroussée.
« Tu viens chez madame Lepand. La baby-sitter de Jérôme va s’occuper de toi pendant mon rendez-vous. »
Toujours en pleurs, Marie Camille ne répond rien. Elle prend garde de ne pas tomber dans les escaliers avec sa petite culotte au bas des pieds et sa maman qui l’a fait avancer vite en la tirant toujours par le poignet.
Lorsque l’on sonne à la porte, Jérôme toujours à genoux, mains sur la tête, le pan chemise relevée et les fesses à l’aire, se demande qui cela peut être. Personne ne peut venir rendre visite à tante Martine. Tout le monde sait qu’elle est absente aujourd’hui. Un samedi après-midi ce ne peut pas être le facteur ou un livreur se dit-il. Il sent l’angoisse lui monter au nez. Il se rassure car personne n’a sonné à l’interphone. Ça ne peut que des voisins. Tout le monde sait comment il est traité dans l’immeuble… Et si c’était la dame qui occupe son ancien studio ? Il serait une fois de plus humilié. Toute façon qui que ce soit il va avoir la honte.
« Bonjour Mademoiselle. Nous sommes un peu en retard, désolé. J’ai dû corriger cette petite peste. Laissez là au coin un bon moment comme son camarade qui je vois a dû lui aussi être puni.
– Très bien madame répond Justine en reprenant fermement le poignet de Marie Camille
– Et si besoin n’hésitez pas à sévir, soyez très ferme
– N’ayez crainte madame. J’ai l’habitude
– Parfait j’en ai pour environs trois heures à tout à l’heure. »
Justine conduit la jeune fille qui doit avoir trois de moins qu’elle au coin. De sa main libre elle relève Jérôme par l’oreille puis s’adressant à Marie Camille.
« Toi tu prends sa place, puis à Jérôme quant à toi tu retournes à la table basse faire ta punition
– Pitié mademoiselle Justine supplie Jérôme pas genoux j’ai trop mal »
Il reçoit pour seule réponse une bonne claque sur ses fesses nues. Justine le replace sur ses genoux et lui ordonne de se mettre au travail
Le spectacle dans le salon vaut le détour. Dans un coin Marie Camille fesses à l’air. La culotte aux chevilles et la jupe retroussée sur son dos. Elle a les mains sur la tête et le nez au mur. Elle médite sur le fait de vouloir se déguiser en jeune fille de mauvais genre.  A droite Jérôme. Tout nu. A genoux en train d’écrire sa longue punition. Les fesses de Marie Camille sont rouges écarlates et l’on y distingue très bien les marques de la ceinture. Celles de Jérôme virent au violet avec en plus les zébrures rouge du martinet.
Une demi-heure. Cela fait une demi-heure que la jeune fille est au coin. Elle ne tient plus et tente de soulever un genou puis l’autre le plus discrètement possible.
Rien n’échappe à l’œil de Justine. A pas de loup elle s’approche de la punie et lui inflige une violente cinglée sur les cuisses
« Qu’est-ce que tu ne comprends pas dans le fait de ne pas bouger l’interroge t’elle en lui rajoutant 3 bon coups de martinet. »
Pour seule réponse, elle a des sanglots de Marie Camille
L’après-midi s’achève sans autres accidents. Quand Madame Chopin vient récupérer sa fille, Justine lui fait part de l’accident, sa mère lui promet une fessée après son bain et lui promet d’aller se coucher le ventre vide. Elle remercie et rémunère la baby-sitter et prend congés non sans oublier de faire remercier sa fille
« Merci mademoiselle
– De rien Chipie. A l’avenir évites les bêtises lui conseille Justine. A nous vilain garçon ! Il est l’heure de la douche ordonne ensuite la baby-sitter. »

Docilement Jérôme suit Justine. Il n’a aucune envie de la contredire. Il a assez souffert et souffre encore. Il ne supporterait pas une nouvelle correction. Il se concentre pour éviter de nouveau toute érection. C’est compliqué car depuis longtemps il ne résiste pas au charme de sa gardienne. Il y parvient toutefois même quand elle insiste longuement sur son pénis et ses parties génitales.

A son retour Madame Lepand n’est pas seule. Visiblement son déplacement était pour aller chercher son fils Laurent âgé de vingt-huit ans soit quatre ans de plus que Jérôme. On ne lui donne pas son âge bien que Jérôme fasse beaucoup plus jeune. Ce n’est pas bien compliqué, Jérôme à l’allure, le corps et la tête d’un gamin.

Evidemment, Justine ne manque pas de raconter dans les moindres détails les sottises de Jérôme. Au fur et à mesure, le regard sévère de Madame Lepand se penche sur le jeune garçon et quand elle lui annonce qu’il sera encore puni, il n’est pas surpris et montre un regard conscrit.

Madame Lepand prend congé de Justine et revient dans le salon. D’un ton qui ne laisse pas le choix que d’acquiescer, elle enjoint Jérôme à se rendre dans la cuisine pour éplucher des légumes pour la soupe du soir. Se radoucissant, elle dicte à son fils d’aller ranger ses affaires dans l’armoire vide qu’il partagera pendant son séjour avec celui qu’elle lui demande de considérer comme son petit frère.

Jérôme est étonné de la façon qu’à Laurent à obéir promptement à sa mère. Sa façon de répondre « oui Maman » à chaque fois le sidère. Cependant quand une fois revenu d’avoir ranger sa valise, elle lui demande d’aller prendre sa douche et de se mettre en pyjama avant le dîner, il proteste :

« Mais enfin maman à mon âge je peux me doucher avant d’aller me coucher
– Laurent tu connais les règles de cette maison alors dépêche-toi d’aller faire ta toilette »

Laurent rouspète et marmonne entre ses dents sans pour autant obtempérer. Du coup madame Lepand ne tergiverse pas. Comme s’il était toujours le petit garçon qu’il était avant de prendre son envol, elle se saisit d’une cuillère en bois dans la cuisine et se rue sur son grand garçon et sans qu’il n’ait le temps de réagir, elle lui baisse son pantalon et son slip. Sachant pertinemment qu’il ne peut résister à sa mère et connaissant parfaitement les règles de la maison, Laurent se laisse courber sous son bras et fesser grandement. Elever depuis toujours ainsi il sait qu’il a mérité cette sanction et se laisse administrer cette fessée comme un petit garnement qui vient d’être insolent.
De grandes claques explosives avec la cuillère alternent entre fesse gauche et fesse droite. Entre cuisse gauche et cuisse droite également.  Comme toujours Martine Lepand montre une dextérité bien huilée. Ce n’est que quand elle constate que ses fesses et ses cuisses ont atteint le degré de cuisson voulu et que comme un petit chenapan, Laurent pleurer à chaudes larmes qu’elle le prend par l’oreille et l’entraine dans la chambre.

Comme quand il habitait encore chez elle, elle le déshabille et le conduit ensuite dans la salle de bain. Jérôme qui subjugué par la scène à laquelle il assiste, les suit comme un petit chien. 

« Jérôme va éplucher les légumes pour la soupe. Lui dicte madame Lepand
– Oui ma tante ! »
Mais Jérôme se cache encore et observe la représentation qui se déroule. Comme elle le fait pour lui, Martine Lepand donne la douche à son grand garçon qui se laisse facilement faire.
Pour ne pas être puni Jérôme sort de sa cachette et part exécuter les consignes de sa tante adoptive.  Quand elle revient dans la cuisine, Laurent l’accompagne. Parfaitement coiffé lui aussi et en pyjama. Il aide son « petit frère » à terminer sa corvée puis il mange tranquillement tous les trois. Le repas terminé et la cuisine rangée et nettoyée, Jérôme poursuit sa punition à la table de la salle à manger tandis que Laurent doit lui aussi copier « je dois obéir à maman en toute circonstance et sans rechigner. »


Vous n'avez pas lu ce les épisodes précédents ?

Eh bien voici le début : le chapitre 1

Et le chapitre 9 qui précède celui-ci

Une suite à cet épisode ?

Elle va venir, la semaine prochaine.

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1 commentaire:

  1. Amis de la poésie et de la cuillère en bois sur les fesses...Bonjour.

    On connaissait le roman du marquis de Sade" Justine et les infortunes de la vertu" , mais nous avons ici une autre Justine, cause des infortunes des fesses de Marie Camille qui en prend pour son grade tout au long du récit.
    Sa mère, madame Chopin, connaît la musique et lui fait valser le derrière d'abord à coup de semelle de cuir, puis de ceinture pour battre la mesure. Le rimmel dont la demoiselle a eu grand tort de se maquiller les yeux doit couler abondamment sur ses joues. Quand ce ne sont pas les garçons qu'on infantilise avec le port de la culotte courte, ce sont les filles, en culotte de coton et en couette, interdites de rouge à lèvres...Le seul rouge en vigueur est celui qui doit enluminer les fesses après une sévère déculottée.

    Si certains sont bien nés avec une petite cuillère en argent entre les dents, d'autres le sont moins en se retrouvant, souvent, une cuillère en bois sur les fesses. C'est le cas du pauvre Laurent que madame Lepand en pleine forme, mène à la baguette en lui cuisinant le derrière à sa manière! Ah, les bonnes recettes de tante Martine!

    S'il y a parfois des déculottées qui se perdent, ce n'est pas, en tout cas, dans ces récits où la multiplication des fessées pour les uns commencent là ou finit la liberté des... mêmes!
    Cordialement
    Ramina

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