samedi 25 juillet 2020

Fini la liberté - chapitre 11

Comme Jérôme, Laurent a été couché tôt par sa mère hier soir. Sitôt sa punition terminée, ils ont dû se brosser les dents et se coucher vers vingt heure.  Il a obéi sans rechigner. Ce matin il est déjà réveillé. Il a une forte envie d’aller aux toilettes. Jérôme qui a dû migrer dans un lit d’appoint à côté de son lit habituel (pour sa faible corpulence) se montre quant à lui agit.
« Jérôme tu dors ? l’interroge son « nouveau » grand frère
– Non, mais chut si ta mère nous attrape on va passer un sale quart d’heure et mes fesses ne le supporteront pas lui répond Jérôme
– J’ai envie de pipi
– Retiens-toi si non t’es mort
– Je sais bien mais c’est dur ! »
Les deux garçons attendent patiemment. Jérôme n’est guère pressé. Il sait qu’il lui reste encore un paquet de lignes à copier. Laurent est plus tendu. Il rêve de se soulager.
En tous cas, madame Lepand ne semble pas pressée. Elle a eu une semaine éreintante et profite que l’on soit dimanche pour se reposer. Malgré tous ses efforts, Laurent ne tient plus. Il finit par mouiller son pyjama et son lit. « C’est sur ta mère va être furieuse » lui dit Jérôme en l’apprenant. En plus de l’inconfort, Laurent angoisse fortement à la réaction de sa maman. C’est certain il va être sévèrement puni.
Dix minutes plus tard, madame Lepand fait irruption dans la chambre des enfants. Comme elle en a l’habitude elle ouvre directement la fenêtre.
« Mais qu’est-ce que cette odeur nauséabonde ? Laurent je rêve ou tu as fait pipi au lit ? »
 Le fils de Martine Lepand ne répond, honteux il sait inéluctablement qu’il ne peut pas mentir ni se dérober au sort qui l’attend.
« Non mais je rêve tance madame Lepand en le sortant furieusement du lit. A ton âge tu n’as pas honte ? »
A moins de temps qu’il ne faut pour le dire, Laurent est mis tout nu. Sa mère lui fait enjamber sa culotte de pyjama et lui claque vigoureusement les fesses. Bien qu’elle n’ait pas l’habitude de sévir à main nue, elle montre une redoutable efficacité.  Les fesses du grand garçon prennent vite une couleur rouge vif. Ses larmes et lamentations ne changent rien. Il reçoit déjà une vingtaine de claques avant d’être tiré par les cheveux hors de la chambre. Il doit attendre au coin dans le couloir que sa mère fasse passer Jérôme aux WC. Elle l’essuie puis prend de nouveau la parole
« Jérôme va mettre la table du petit déjeuner pendant que je lave ce cochon. »
Joignant le geste à la parole elle reprend Laurent par les cheveux et l’entraine dans la salle de bain
« Avance dégoutant personnage » gronde-t-elle.
Jérôme s’exécute tandis que sa tutrice lave pour ne pas dire étrille son fils. Elle n’a pas l’habitude de faire les toilettes avec douceur mais là encore elle est effectuée sans ménagement et avec rigueur. Quelques claques tombent encore quand il n’obtempère pas assez rapidement. Une fois parfaitement propre, sa mère l’habille. Elle lui enfile son maillot de corps sa chemise et son gilet. Elle lui chausse également ses chaussettes. En revanche le slip et la culotte courte reste dans ses mains.
« Va te mettre au piquet le temps que l’on prenne notre petit déjeuner. Tu connais la position et ne t’avise pas de bouger d’un cil. Je te donnerai la correction que tu mérites juste après.’

Jérôme prend son petit déjeuner en observant scrupuleusement les règles édictées par sa tutrice. Vu l’ambiance ce matin il ne faudrait pas grand-chose pour que ses fesses en pâtissent lui aussi. Madame Lepand prend le temps de déjeuner. Elle garde un œil sur son puni et sur le comportement de son pupille. Laurent quant à lui, médite dans son coin. Main sur la tête, on peut voir encore quelques traces légères de sa fessée d’hier. Le stress commence à monter. Il sait que sa punition sera très dure. Il a peur et se prépare à endurer un châtiment exemplaire.  Après que Jérôme a nettoyé la cuisine, Martine Lepand se resserre un café et demande à son fils de s’approcher.

« Mon garçon ton comportement est intolérable. Faire dans son lit à ton âge, je le répète est inadmissible. »
Elle détache parfaitement les syllabes. Elle boit une gorgé de café, repose la tasse sur un meuble pour laisser la table dégagée et prend Laurent par l’oreille pour coucher son ventre sur la table. Les jambes légèrement écartée et les fesses bien tendues en arrière. Tranquillement, elle décroche la badine de son crochet et se rapproche de son fils.
« Mon garçon tu vas te souvenir longtemps de cette correction. Crois-moi je vais te faire passer l’envie de souiller encore tes draps et ton pyjama. »

Une première fouettée vient barrer les cuisses de Laurent. Jérôme a sursauté en voyant la force avec laquelle Madame Lepand a donné ce coup. Il est heureux que pour une fois, ce ne soit pas lui la victime de cette punition. Laurent pousse déjà un petit gémissement. Martine Lepand manie la badine avec vigueur et cingle les fesses et les cuisses sans ménagement. On attend siffler l’air entre chaque coup suivit d’un aie, d’un ouille d’un pitié… que Laurent ne peut retenir entre ses larmes. Ses demandes de pardon restent vaines et il reçoit implacablement environ quarante coups, tous biens appuyés. Les zébrures s’entremêlent sur les cuisses et les fesses. Tétanisé Jérôme le plaint vraiment.

Sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, sa mère l’attrape par oreille et le conduit à la table de la salle à manger. Elle lui tend une pancarte en carton assez grande. Dessus elle a écrit bien gros et bien lisiblement des deux côté : « J’AI 28 ANS ET JE FAIS PIPI AU LIT »
Le reprenant par l’oreille elle lui fait quitter l’appartement et le descend dans la cour de l’immeuble. Elle l’oblige à exposer bien haut au-dessus de sa tête sa belle affiche. Les fesses à l’air, les stigmates de la punition bien en vue il doit rester ainsi en pénitence à la vue de tous les habitants du bâtiment. Ses larmes coulent le long de ses joues. Il a pour consigne de ne pas bouger.

Laurent va devoir rester ainsi un long moment. Bien à la vue de tous. L’humiliation est totale. Madame Lepand est remontée à l’appartement. Elle donne la douche et prépare Jérôme avant de le renvoyer à sa punition scripturale qui n’est pas encore terminée. Logique vu la longueur de ce pensum.
Madame Lepand vaque à ses occupations. Elle contrôle tout de même régulièrement la position de son fils dans la cours et le travail de son pupille. L’un est l’autre se montrent des plus obéissants. Jérôme s’applique avec soin tandis que Laurent résiste à l’envie de bouger malgré la tétanie de ses bras.

Plusieurs personnes passent dans la cour. Il y a d’abord madame Chopin et sa fille qui partent faire des courses. Laurent doit subir le sourire narquois de Marie Camille et les remarques désobligeantes de sa mère. Il doit ensuite supporter le fou rire de la factrice qui vient distribuer le courrier. Il endure aussi les rires des frères Stewart qui ont dû discrètement ouvrir la fenêtre pour l’insulter de gros bébé. 

Cela fait bien trois heures que Laurent est montré à la vue de tous quand sa mère redescend enfin. Elle a à ses mains ses gants caoutchouc et elle est munie d’un panier en osier et se dirige vers un coin touffue de la cours ou on laisse pousser un massif d’orties vertes bien charnues et piquantes. Avec ses gants et une paire de ciseaux elle coupe un gros bouquet d’orties et le place dans son panier avant de revenir vers Laurent.

« Remonte à la maison on va s’occuper de la suite de ta punition gros dégoutant. »

Laurent sait très bien ce qui l’attend. Il a déjà subi ce genre de peine quand il habitait chez sa mère. En revanche Jérôme qui depuis la fenêtre observe la situation, il se demande ce qui se trame. La réponse ne tarde pas à venir.

En rentrant dans l’appartement elle prend place sur une chaise de la salle à manger. Elle prend sa cueillette. Elle attache les tiges avec de la ficelle pour transformer les végétaux en une sorte de martinet. Elle commande à Laurent de venir la rejoindre pour subir la suite de sa punition.  

Résigné, il s’avance lentement tête basse. Avec assurance, Martine l’empoigne par un bras et le fait passer à sa droite. Avec la même détermination elle le force à basculer à travers ses cuisses. Elle ajuste la position de son fils. La tête près du sol et les jambes en l’air. Elle le ceinture du bras gauche. Elle prend un bouquet d’orties et appuie son coude a mis dos.

Les fesses de Laurent se resserrent étroitement le long de la fente fessière et font bloc en prévision de la punition qui l’attend.  Madame Lepand lève son bras a mis hauteur mais ne frappe pas avec vigueur. Elle vient frôler les fesses, les cuisses les mollets. Elle n’hésite pas relever son fils pour l’avant soit touché aussi.

Sur l’instant, Laurent ne montre aucune réaction. Au second passage du sommet de la croupe aux chevilles, Laurent commence à s’ébrouer. Il arque son dos et pousse de petits cris. Sa mère renouvelle l’opération. Cette fois elle donne des coups plus francs et plus appuyés en insistant sur certains endroits avant de passer au suivant.

La peau que les feuilles viennent toucher se rosit à travers les zébrures de la badine toujours bien présentes.  A mesure qu’elle promène le bouquet de long en large, de petites cloques se forment sur l’ensemble de la zone punie.

Son derrières, ses cuisses et mêmes son bas ventre visités par légers balayages, Laurent ne se montre plus si calme. Ses gémissements se transforment en petits cris et ses supplications laissent sa mère de marbre.

« Je te promets que je te passerai l’envie de recommencer déclare-t-elle en mettant Laurent debout face à elle et en renouvelant une fois encore l’opération. »
Laurent se tortille comme un ver et poursuit ses petits cris. Sa peau est maintenant tapissée de petits granulés rouges mêlés à des plaques blanchâtres et boursouflées. Le tout mélange aux stries de la badine reçue ce matin même.  Elle lui écarte les fesses pour ne pas oublier de passer les orties dans sa raie fessière. Laurent éclate en sanglots. C’est le moment que choisit sa mère pour le rhabiller. Le contact des vêtements sur la peau ravive l’irritation. C’est justement le but recherché.

Durant toute la journée, Laurent ressent des élancements et des picotements encore plus sensibles à l’intérieur des fesses. La douche du soir ne l’apaise que légèrement. Au coucher les démangeaisons toujours présente il espère que cette nuit il n’aura pas besoin de souiller son lit.


Vous n'avez pas lu les épisodes précédents ?

Eh bien voici le début : le chapitre 1

Et le chapitre 10 qui précède celui-ci

Une suite à cet épisode ?

Elle va venir, la semaine prochaine.

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3 commentaires:

  1. Amis de la poésie et de la santé par les plantes... Bonjour!

    Ouawww!!!
    Vaisselle casée c'est la fessée... Pipi au lit, fessée aux orties!
    Madame Lepand... pan, cul cul, n'y va pas de main morte mais avec une poignée de plantes urticaires. Après la fessée à la badine, le pauvre Laurent se fait dépoussiérer le fondement avec un joyeux balayage de la raie des fesses. Au lit avec un incendie de forêt au derrière, n'a plus qu'à bien se retenir...
    Cordialement
    Ramina

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  2. Laurent a mérité de recevoir cette sévère fessée malgré ses 28 ans vu qu'il a fait pipi au lit a 28 ans on n'est capable de se retenir pour aller a toilette , sa mère a eu bien raison de le laver elle même , sa fessée été largement mérite , j'ai également eu la même histoire j'ai fait pipi au lit est j'ai reçu une grosse fessée par ma mère , ma mère ma emmené jusqu'a la salle de bain , elle m'a déshabiller elle même et elle a laver entièrement le corps , je me suis laisse déshabiller et laver après elle m'a dit que j'allais être puni avec une fessée elle ma fait allongée sur ses genoux . J'aurais trouvé sa parfaitement normal que ma mère ma laver et me donne une bonne fessée , je l'avais vraiment mérité .

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  3. La fessee été méritée , si j’aurais fait la même chose sur pipi au lit j’aurais trouvé ça normal d’être puni et recevoir une bonne fessee et même à mon âge ( 35 ans ) elle aurait été largement mérité. Pour ce genre de bêtises la punition la plus adaptée c’est la fessée . C’est aussi normal que sa mère l’ai laver après . Moi aussi j’aurais été lavé après ce qui serait parfaitement normal . Pour ce genre de bêtises ne parents donc pas fermer les yeux. La fessée est très largement mérité

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