« Jérôme
tu dors ? l’interroge son « nouveau » grand frère
– Non, mais
chut si ta mère nous attrape on va passer un sale quart d’heure et mes fesses
ne le supporteront pas lui répond Jérôme
– J’ai envie
de pipi
– Retiens-toi
si non t’es mort
– Je sais bien
mais c’est dur ! »
Les
deux garçons attendent patiemment. Jérôme n’est guère pressé. Il sait qu’il lui
reste encore un paquet de lignes à copier. Laurent est plus tendu. Il rêve de se
soulager.
En
tous cas, madame Lepand ne semble pas pressée. Elle a eu une semaine éreintante
et profite que l’on soit dimanche pour se reposer. Malgré tous ses efforts,
Laurent ne tient plus. Il finit par mouiller son pyjama et son lit.
« C’est sur ta mère va être furieuse » lui dit Jérôme en l’apprenant.
En plus de l’inconfort, Laurent angoisse fortement à la réaction de sa maman.
C’est certain il va être sévèrement puni.
Dix
minutes plus tard, madame Lepand fait irruption dans la chambre des enfants.
Comme elle en a l’habitude elle ouvre directement la fenêtre.
« Mais qu’est-ce que
cette odeur nauséabonde ? Laurent je rêve ou tu as fait pipi au lit ? »
Le fils de Martine Lepand ne répond, honteux
il sait inéluctablement qu’il ne peut pas mentir ni se dérober au sort qui
l’attend.
« Non mais je rêve
tance madame Lepand en le sortant furieusement du lit. A ton âge tu n’as pas
honte ? »
A
moins de temps qu’il ne faut pour le dire, Laurent est mis tout nu. Sa mère lui
fait enjamber sa culotte de pyjama et lui claque vigoureusement les fesses.
Bien qu’elle n’ait pas l’habitude de sévir à main nue, elle montre une
redoutable efficacité. Les fesses du
grand garçon prennent vite une couleur rouge vif. Ses larmes et lamentations ne
changent rien. Il reçoit déjà une vingtaine de claques avant d’être tiré par
les cheveux hors de la chambre. Il doit attendre au coin dans le couloir que sa
mère fasse passer Jérôme aux WC. Elle l’essuie puis prend de nouveau la parole
« Jérôme va
mettre la table du petit déjeuner pendant que je lave ce cochon. »
Joignant le
geste à la parole elle reprend Laurent par les cheveux et l’entraine dans la
salle de bain
« Avance
dégoutant personnage » gronde-t-elle.
Jérôme
s’exécute tandis que sa tutrice lave pour ne pas dire étrille son fils. Elle
n’a pas l’habitude de faire les toilettes avec douceur mais là encore elle est
effectuée sans ménagement et avec rigueur. Quelques claques tombent encore
quand il n’obtempère pas assez rapidement. Une fois parfaitement propre, sa
mère l’habille. Elle lui enfile son maillot de corps sa chemise et son gilet.
Elle lui chausse également ses chaussettes. En revanche le slip et la culotte
courte reste dans ses mains.
« Va te
mettre au piquet le temps que l’on prenne notre petit déjeuner. Tu connais la
position et ne t’avise pas de bouger d’un cil. Je te donnerai la correction que
tu mérites juste après.’
Jérôme prend
son petit déjeuner en observant scrupuleusement les règles édictées par sa
tutrice. Vu l’ambiance ce matin il ne faudrait pas grand-chose pour que ses
fesses en pâtissent lui aussi. Madame Lepand prend le temps de déjeuner. Elle
garde un œil sur son puni et sur le comportement de son pupille. Laurent quant
à lui, médite dans son coin. Main sur la tête, on peut voir encore quelques
traces légères de sa fessée d’hier. Le stress commence à monter. Il sait que sa
punition sera très dure. Il a peur et se prépare à endurer un châtiment
exemplaire. Après que Jérôme a nettoyé
la cuisine, Martine Lepand se resserre un café et demande à son fils de
s’approcher.
« Mon
garçon ton comportement est intolérable. Faire dans son lit à ton âge, je le
répète est inadmissible. »
Elle détache
parfaitement les syllabes. Elle boit une gorgé de café, repose la tasse sur un
meuble pour laisser la table dégagée et prend Laurent par l’oreille pour
coucher son ventre sur la table. Les jambes légèrement écartée et les fesses
bien tendues en arrière. Tranquillement, elle décroche la badine de son crochet
et se rapproche de son fils.
« Mon
garçon tu vas te souvenir longtemps de cette correction. Crois-moi je vais te
faire passer l’envie de souiller encore tes draps et ton pyjama. »
Une première
fouettée vient barrer les cuisses de Laurent. Jérôme a sursauté en voyant la
force avec laquelle Madame Lepand a donné ce coup. Il est heureux que pour une
fois, ce ne soit pas lui la victime de cette punition. Laurent pousse déjà un
petit gémissement. Martine Lepand manie la badine avec vigueur et cingle les
fesses et les cuisses sans ménagement. On attend siffler l’air entre chaque
coup suivit d’un aie, d’un ouille d’un pitié… que Laurent ne peut retenir entre
ses larmes. Ses demandes de pardon restent vaines et il reçoit implacablement
environ quarante coups, tous biens appuyés. Les zébrures s’entremêlent sur les
cuisses et les fesses. Tétanisé Jérôme le plaint vraiment.
Sans lui
laisser le temps de reprendre son souffle, sa mère l’attrape par oreille et le
conduit à la table de la salle à manger. Elle lui tend une pancarte en carton
assez grande. Dessus elle a écrit bien gros et bien lisiblement des deux côté :
« J’AI 28 ANS ET JE FAIS PIPI AU LIT »
Le reprenant
par l’oreille elle lui fait quitter l’appartement et le descend dans la cour de
l’immeuble. Elle l’oblige à exposer bien haut au-dessus de sa tête sa belle
affiche. Les fesses à l’air, les stigmates de la punition bien en vue il doit
rester ainsi en pénitence à la vue de tous les habitants du bâtiment. Ses
larmes coulent le long de ses joues. Il a pour consigne de ne pas bouger.
Laurent va
devoir rester ainsi un long moment. Bien à la vue de tous. L’humiliation est
totale. Madame Lepand est remontée à l’appartement. Elle donne la douche et
prépare Jérôme avant de le renvoyer à sa punition scripturale qui n’est pas
encore terminée. Logique vu la longueur de ce pensum.
Madame Lepand
vaque à ses occupations. Elle contrôle tout de même régulièrement la position
de son fils dans la cours et le travail de son pupille. L’un est l’autre se
montrent des plus obéissants. Jérôme s’applique avec soin tandis que Laurent
résiste à l’envie de bouger malgré la tétanie de ses bras.
Plusieurs
personnes passent dans la cour. Il y a d’abord madame Chopin et sa fille qui
partent faire des courses. Laurent doit subir le sourire narquois de Marie
Camille et les remarques désobligeantes de sa mère. Il doit ensuite supporter
le fou rire de la factrice qui vient distribuer le courrier. Il endure aussi
les rires des frères Stewart qui ont dû discrètement ouvrir la fenêtre pour
l’insulter de gros bébé.
Cela fait bien
trois heures que Laurent est montré à la vue de tous quand sa mère redescend
enfin. Elle a à ses mains ses gants caoutchouc et elle est munie d’un panier en
osier et se dirige vers un coin touffue de la cours ou on laisse pousser un
massif d’orties vertes bien charnues et piquantes. Avec ses gants et une paire
de ciseaux elle coupe un gros bouquet d’orties et le place dans son panier
avant de revenir vers Laurent.
« Remonte
à la maison on va s’occuper de la suite de ta punition gros dégoutant. »
Laurent sait
très bien ce qui l’attend. Il a déjà subi ce genre de peine quand il habitait
chez sa mère. En revanche Jérôme qui depuis la fenêtre observe la situation, il
se demande ce qui se trame. La réponse ne tarde pas à venir.
En rentrant
dans l’appartement elle prend place sur une chaise de la salle à manger. Elle prend
sa cueillette. Elle attache les tiges avec de la ficelle pour transformer les
végétaux en une sorte de martinet. Elle commande à Laurent de venir la
rejoindre pour subir la suite de sa punition.
Résigné, il
s’avance lentement tête basse. Avec assurance, Martine l’empoigne par un bras
et le fait passer à sa droite. Avec la même détermination elle le force à
basculer à travers ses cuisses. Elle ajuste la position de son fils. La tête
près du sol et les jambes en l’air. Elle le ceinture du bras gauche. Elle prend
un bouquet d’orties et appuie son coude a mis dos.
Les fesses de
Laurent se resserrent étroitement le long de la fente fessière et font bloc en
prévision de la punition qui l’attend.
Madame Lepand lève son bras a mis hauteur mais ne frappe pas avec
vigueur. Elle vient frôler les fesses, les cuisses les mollets. Elle n’hésite
pas relever son fils pour l’avant soit touché aussi.
Sur l’instant,
Laurent ne montre aucune réaction. Au second passage du sommet de la croupe aux
chevilles, Laurent commence à s’ébrouer. Il arque son dos et pousse de petits
cris. Sa mère renouvelle l’opération. Cette fois elle donne des coups plus
francs et plus appuyés en insistant sur certains endroits avant de passer au
suivant.
La peau que
les feuilles viennent toucher se rosit à travers les zébrures de la badine
toujours bien présentes. A mesure
qu’elle promène le bouquet de long en large, de petites cloques se forment sur
l’ensemble de la zone punie.
Son derrières,
ses cuisses et mêmes son bas ventre visités par légers balayages, Laurent ne se
montre plus si calme. Ses gémissements se transforment en petits cris et ses
supplications laissent sa mère de marbre.
« Je te
promets que je te passerai l’envie de recommencer déclare-t-elle en mettant
Laurent debout face à elle et en renouvelant une fois encore l’opération. »
Laurent se
tortille comme un ver et poursuit ses petits cris. Sa peau est maintenant
tapissée de petits granulés rouges mêlés à des plaques blanchâtres et
boursouflées. Le tout mélange aux stries de la badine reçue ce matin même. Elle lui écarte les fesses pour ne pas
oublier de passer les orties dans sa raie fessière. Laurent éclate en sanglots.
C’est le moment que choisit sa mère pour le rhabiller. Le contact des vêtements
sur la peau ravive l’irritation. C’est justement le but recherché.
Durant toute
la journée, Laurent ressent des élancements et des picotements encore plus
sensibles à l’intérieur des fesses. La douche du soir ne l’apaise que
légèrement. Au coucher les démangeaisons toujours présente il espère que cette
nuit il n’aura pas besoin de souiller son lit.
Vous n'avez pas lu les épisodes précédents ?
Eh bien voici le début : le chapitre 1
Et le chapitre 10 qui précède celui-ci
Une suite à cet épisode ?
Elle va venir, la semaine prochaine.
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Amis de la poésie et de la santé par les plantes... Bonjour!
RépondreSupprimerOuawww!!!
Vaisselle casée c'est la fessée... Pipi au lit, fessée aux orties!
Madame Lepand... pan, cul cul, n'y va pas de main morte mais avec une poignée de plantes urticaires. Après la fessée à la badine, le pauvre Laurent se fait dépoussiérer le fondement avec un joyeux balayage de la raie des fesses. Au lit avec un incendie de forêt au derrière, n'a plus qu'à bien se retenir...
Cordialement
Ramina
Laurent a mérité de recevoir cette sévère fessée malgré ses 28 ans vu qu'il a fait pipi au lit a 28 ans on n'est capable de se retenir pour aller a toilette , sa mère a eu bien raison de le laver elle même , sa fessée été largement mérite , j'ai également eu la même histoire j'ai fait pipi au lit est j'ai reçu une grosse fessée par ma mère , ma mère ma emmené jusqu'a la salle de bain , elle m'a déshabiller elle même et elle a laver entièrement le corps , je me suis laisse déshabiller et laver après elle m'a dit que j'allais être puni avec une fessée elle ma fait allongée sur ses genoux . J'aurais trouvé sa parfaitement normal que ma mère ma laver et me donne une bonne fessée , je l'avais vraiment mérité .
RépondreSupprimerLa fessee été méritée , si j’aurais fait la même chose sur pipi au lit j’aurais trouvé ça normal d’être puni et recevoir une bonne fessee et même à mon âge ( 35 ans ) elle aurait été largement mérité. Pour ce genre de bêtises la punition la plus adaptée c’est la fessée . C’est aussi normal que sa mère l’ai laver après . Moi aussi j’aurais été lavé après ce qui serait parfaitement normal . Pour ce genre de bêtises ne parents donc pas fermer les yeux. La fessée est très largement mérité
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