jeudi 23 juillet 2020

Le journal d'Olga - chapitre 23 acte 3

Je suis rentrée à la maison la boule au ventre. On allait être soumises à un interrogatoire en règle, toutes les deux, et devoir payer, une fois que les motifs en seraient connus, notre escapade du petit matin au prix fort. Or, à notre grande surprise, il n’en a rien été. Ni avant le repas. Ni pendant. Ni après. Pas la moindre allusion. Comme s’il ne s’était strictement rien passé. Qu’on n’avait pas reçu, quelques heures auparavant, une sévère correction. Comme si papa ne nous avait pas promis qu’on en reparlerait. C’était étrange. Incompréhensible. Cela ne leur ressemblait pas.
Le lendemain non plus. Ni le mercredi.
« Tu sais ce que je pense, moi, Iourievna ?
‒ Non. Quoi ?
‒ Ben, que c’est reculer pour mieux sauter. Qu’ils attendent qu’on ait digéré la première, qu’elle se soit complètement effacée de notre derrière, pour nous en coller une autre. Et alors là, à mon avis, celle-là, elle sera particulièrement gratinée. Tu m’écoutes ?
‒ Oui, je t’écoute, oui.
‒ Non, tu m’écoutes pas. C’est quoi, ce truc ?
Je me suis approchée. Elle était en train de contempler, avec ravissement, un dessin de Mbe. Représentant Mbe, l’air fier, altier, et arborant une impressionnante érection.
‒ C’est Mylène, hein ?
‒ Évidemment que c’est Mylène.
‒ Elle te l’a donné ?
‒ Elle est en train d’en faire un de moi en échange.
‒ Toute nue ?
‒ Oh, ben ça, évidemment toute nue ! Avec elle ! Oui, oh, mais bon, ça va ! Ça va ! Elle m’a déjà vue à poil n’importe comment. Il y a eu des fessées où elle était là. Non, c’est juste qu’il y a des détails qu’elle se rappelait pas bien. Mes seins surtout. Mais pas seulement. N’empêche… N’empêche qu’une femme, elle a une façon de te regarder… C’est bien plus gratifiant que quand c’est un homme, finalement. Elle apprécie mieux. Pas pareil. Oh, mais va pas t’imaginer des trucs, hein ! Elle m’a pas touchée.
‒ Je m’imagine rien du tout. Et tu fais bien ce que tu veux. C’est toi que ça regarde.
Elle a longuement contemplé le dessin.
‒ Tu crois, toi ?
‒ Je crois quoi ?
‒ Que ça pourrait le faire avec lui. Il me plaît trop. Oh, mais même juste comme ça, hein ! Je lui demande pas la love story. Ni la lune. Non. Être dans ses bras. Poser mes mains sur ses fesses. Le sentir entrer en moi. S’y répandre. Et ses yeux ! Ses yeux ! Si pleins d’envie de moi. Si pleins de reconnaissance. Oh, non ! Il me le faut. Je t’assure, il me le faut ! »

À Sainte-Croix, toute la semaine durant, en attendant le vendredi, ça a été l’effervescence. Parce que la directrice avait décidé qu’ils devaient rester sans arrêt tout nus, Yohan et Fabien. Partout. Tout le temps. Alors, évidemment, nous, les filles, on en profitait pour les reluquer tout ce qu’on savait. On s’en lassait pas. Surtout que là on pouvait le faire sans se cacher. Au contraire même. Ça faisait partie de leur punition. Comment ils avaient honte, ça se voyait, d’avoir tous nos regards rivés à eux ! Et nous, comment on aimait ça qu’ils aient honte ! Parce que ce qu’il se disait, c’était que le mercredi, quand ils avaient le droit de sortir, ils allaient dans les bars et ils racontaient à tous les garçons du pays les fessées qu’on se prenait. Et que cette fille-ci, elle criait comme un cochon qu’on égorge. Et que celle-là, elle avait les seins en gants de toilette. Que cette autre encore, elle en avait pas du tout. Que c’était plat de chez plat. Et même qu’il y en avait une, il était trop marrant son minou, parce que ses crénelures, elles pointaient le nez loin à l’extérieur. On y passait toutes. Et ils donnaient les noms. Alors sûrement qu’on allait se gêner, nous, maintenant qu’on avait l’occasion de leur rendre la monnaie de leur pièce. Et ça y allait, les commentaires. Qu’on se demandait, vu la façon dont ils étaient équipés, s’ils pouvaient arriver à faire jouir des filles.
« Tu parles que non ! Ils sont puceaux.
‒ Et ils risquent de le rester un moment !
‒ Surtout que tu vois pas comment une fille, elle pourrait avoir envie de quoi que ce soit avec eux !
‒ Pas moi en tout cas !
‒ Ni moi non plus !
Il y en a une qui a proclamé avec une petite moue méprisante
‒ Je préférerais me passer carrément de cul, moi, tiens, plutôt que d’être obligée de me servir de ça…
On voyait qu’ils avaient envie de répondre, mais qu’ils faisaient tout ce qu’ils pouvaient pour se retenir. En serrant les poings.
Et puis, petit à petit, au fil du temps, il y a des filles qui ont commencé à les toucher. De plus en plus de filles. Pour finir, on s’y est toutes mises. En même temps. En mains un peu partout sur eux. Ce qui les faisait bander, évidemment. Alors on en rajoutait une couche.
‒ Vous croyez qu’ils sont à fond, là ?
‒ Sûr que oui ! Ils peuvent pas plus.
‒ Eh, les filles, peut-être que nous aussi, on pourrait aller dans les bars du coup, le mercredi, histoire de raconter ce qu’on a vu et que, justement, il y a pas grand-chose à voir… »
Et Laura a expédié une petite claque sur les couilles de Yohan.

C’est Théo qui m’en a parlé. Parce qu’il a un copain qu’est interne, Théo. Et qu’au dortoir des garçons à ce qu’il paraît, il se passe plein de choses. Le premier soir, quand la mère Jolanta O. et la sœur Weronika S. ont ramené Yohan et Fabien dans leur chambre, elles ont commencé par les expédier à la douche. Et voulu vérifier, après, jusque dans les moindres recoins, qu’ils s’étaient bien lavés comme il faut. Ce qui, d’après elles, n’était absolument pas le cas. « À votre âge ! Vous n’avez pas honte ? Oui, ben vous y retournez ! Ah, si ! Si ! » Et elles ont, d’autorité, décidé de les laver elles-mêmes. « Puisque tout seuls vous n’y arrivez pas. » Et il a fallu qu’ils y passent. Malgré leurs protestations indignées. « Vous faites ce qu’on vous dit. Et vous la fermez. Parce que n’oubliez pas que, vendredi, le martinet, c’est nous qui l’abattrons sur vos fesses. Plus ou moins fort, ce sera selon… » L’argument était convaincant. Et ils se sont laissé asperger, savonner, frotter, frictionner aussi longtemps qu’elles l’ont voulu. Et partout où elles l’ont voulu.
Il a eu ce petit sourire coquin que j’aime tant.
« Et il y a un endroit où elles se sont tout particulièrement attardées. Tu te doutes bien lequel…
J’ai voulu savoir.
‒ Ils ont bandé ?
‒ Le moyen de faire autrement…
‒ Et giclé ?
‒ Fabien, oui. Mais pas Yohan.
Et ce n’était pas tout. Parce que, du coup, elles avaient voulu vérifier aussi l’état de propreté de tous les internes, les sœurs. Elles les avaient fait mettre en rang d’oignons et défiler tout nus devant elles. Et les trois ou quatre dont l’hygiène laissait sérieusement à désirer, elles s’étaient occupées personnellement de leur cas.
‒ Et c’est tous les soirs comme ça maintenant. Pas question d’y échapper.
‒ Eh ben dis donc, quand je vais leur raconter ça aux autres filles… »

Iourievna m’a à peine écoutée.
« Ah, oui ? Au dortoir ?
Elle avait manifestement autre chose en tête.
‒ Tu sais quoi ? Eh bien, ça y est.
‒ Qu’est-ce qui y est ?
‒ Mais Mbe, tiens ! Enfin pas tout à fait, pas complètement, mais ça y est quand même. Au flan, j’y suis allée. Je suis entrée dans la blanchisserie en trombe, l’air affolé, tout essoufflée, en criant qu’il y avait deux types qui me suivaient, que j’avais peur, que j’osais plus rentrer chez moi. Et Clorinde C. a demandé à Mbe de me raccompagner. Mais lui il a pas été dupe. Il a bien vu, dès qu’on a été dehors, qu’il y avait personne qui me suivait. « Mais ils sont où, hein ? Ils sont où ? » Et il m’a menacée du doigt. « C’est pas beau de raconter des mensonges. » À son air, c’était clair qu’il avait tout compris. Quand on a été dans les jardins de la mairie, il s’est arrêté du coup. Et il m’a regardée. Non, mais t’aurais vu ce regard ! Comment il m’a fait fondre ! Et j’ai été dans ses bras. Et il m’a embrassée. Et il y a eu son truc tout dur contre ma cuisse. Même qu’il palpitait. Et qu’après ça a été hyper difficile pour se quitter. On n’y arrivait pas. Mais on doit se revoir. Demain. Et ça va le faire. Sûr que ça va le faire. Je suis contente, Olga. Tu peux pas savoir ce que je suis contente.

Le vendredi, la correction de Yohan et de Fabien, c’est au réfectoire qu’elle a eu lieu. Parce que, vu le froid qu’il faisait dehors, l’infirmière s’était fermement opposée à ce que ça se passe dans la cour. Cette bronca quand ils sont arrivés ! Quand Léa les a amenés. Sifflets, applaudissements, hurlements. Surtout qu’au réfectoire pour résonner, ça résonne ! Ils étaient dans leurs petits souliers, les deux autres, d’autant qu’avec l’appréhension, ils avaient commencé à bander un peu et qu’il y avait des filles hilares qui leur criaient de continuer à se les faire monter.
« Plus haut ! Plus dur ! Allez, un petit effort, quoi !
Théo a fendu la foule pour venir me rejoindre, m’a pris la main. J’aime trop ça qu’on assiste ensemble. Ce qu’est presque toujours le cas maintenant. Quand c’est des filles qui ramassent, c’est surtout lui que je regarde. Je le regarde regarder. Ça le rend trop beau. J’adore. Et quand c’est des garçons, ben c’est l’inverse. Il me quitte pas des yeux. Ça me mettait mal à l’aise au début, mais plus maintenant. Au contraire. C’est trop bien qu’il ait du plaisir en me regardant en avoir.
Avant de les fouetter, la mère Jolanta O. et la sœur Weronika S. les ont fait mettre à genoux, les ont obligés à se repentir, à demander pardon et à reconnaître que les cinglées qu’ils allaient recevoir étaient parfaitement méritées. Ce qu’ils ont fait, les larmes aux yeux.
‒ À toi l’honneur, mon garçon !
Et elles ont commencé par Yohan. Elles lui ont entravé les chevilles, attaché les bras au-dessus de la tête, l’ont fait se pencher légèrement en avant.
‒ Là ! Et maintenant tu vas nous montrer quelle belle voix tu as…
Le silence s’est fait dans la salle. Un silence impressionnant.
Dès qu’il a vu les grands martinets à sept lanières qu’elles sont venues lui brandir sous le nez, il s’est mis à gémir et à pleurnicher. Elles ont lancé une première cinglée. Il a hurlé, s’est efforcé de s’arracher à ses liens sans autre résultat que de les resserrer un peu plus encore. Les coups suivants, elles ont pris leur élan pour les lui lancer sur les fesses le plus fort possible.
Iourievna m’a poussée du coude.
‒ Regarde-les, les sœurs ! Elles prennent leur pied.
C’était vrai. Ça se voyait à leurs têtes. Elles tapaient, elles tapaient tout ce qu’elles savaient. Plus il hurlait, plus il se débattait et plus elles tapaient fort.
‒ Ça y est ! Il gicle.
Ce qui a fait pousser des cris de joie aux filles. Et scandalisé les deux sœurs.
‒ Oh, alors là ! Alors là !
Et elles se sont complètement déchaînées.
Je me suis réfugiée contre Théo. J’ai passé un bras autour de son cou. Je me suis frottée contre lui. Contre ses fesses. Et c’est venu. Plein. Intense.
‒ Oh, Théo ! Oh, Théo !
Murmuré à son oreille.
Quand j’ai repris mes esprits, ça faisait trente coups. L’infirmière venait d’interrompre la punition. Elle a examiné consciencieusement Yohan et dit que oui, oui, il supportait bien, qu’elles pouvaient continuer. Sur le dos cette fois.
Mais il y a des filles qui se sont mises à crier qu’il fallait encore le taper sur les fesses, que sûrement ça allait une nouvelle fois le faire jaillir. Ce qui a mis la directrice en colère.
‒ Vous vous tenez tranquilles, Mesdemoiselles ! À moins qu’il y en ait parmi vous qui veuillent prendre sa place…
Ça a calmé tout le monde. Et, du coup, on a bien mieux entendu ses hurlements quand les sœurs lui ont cinglé le dos.
‒ Cinquante !
Elles l’ont détaché. Il était tout bariolé, des épaules jusqu’aux cuisses, de longues traînées rougeâtres.
Il y en a une qui a proclamé tout fort, derrière.
‒ Ben, il va se gratter un moment…
Et ça a été le tour de Fabien. Qui a essayé de s’enfuir en fendant la foule des élèves. Mais il y a des filles qui l’ont arrêté. Qui l’ont ramené en lui balançant quelques claques parce qu’il se débattait.
‒ Mais lâchez-moi ! Lâchez-moi !
Et il y a des professeurs qui ont été obligés de leur venir en aide. Qui l’ont immobilisé tandis que Fabienne D. décidait que, pour avoir tenté de se sauver, il aurait dix coups de plus.
Les sœurs l’ont empoigné, mis en place et tout le réfectoire s’est mis à claquer des mains en rythme avec les cinglées. En les comptant. Tout le monde ensemble. On l’entendait presque plus crier, Fabien, du coup. Mais ça faisait rien. C’était pas pareil. Ça changeait de d’habitude. Et puis on le voyait quand même se contorsionner dans tous les sens quand ça tombait.
Comme les autres fois, dès que ça a été fini, ça a été la ruée vers les sanitaires des filles. On s’est toutes précipitées. À qui arriveraient les premières. Ça pressait trop de se soulager.
Théo a voulu me retenir.
‒ Mais t’as déjà…
‒ Je sais, Théo, je sais, mais j’ai encore envie.
Et j’ai emboîté le pas aux autres.
Évidemment, là-bas, toutes les cabines étaient déjà prises. Et il y avait une bonne douzaine de filles qui attendaient leur tour. Et qui s’impatientaient.
‒ Mais qu’est-ce qu’elles foutent ?
C’était clair ce qu’elles foutaient, vu qu’il y avait tout un tas de halètements, de gémissements, de clapotis qui sortaient de là-dedans.
‒ Elles pourraient se grouiller au moins ! Faut pas six mois pour se faire une gratouille.
Laura nous a appelées.
‒ Venez voir !
‒ Quoi ?
‒ Mais venez voir !
À la fenêtre.
Yohan et Fabien passaient en sautillant, tout nus, sous la conduite de Léa qui leur donnait de petits coups de martinet sur les chevilles.
‒ Comment ils ballottent leurs trucs !
‒ Oh, et puis zut !
C’est Margaux qui a commencé. Elle a enfoui sa main dans sa culotte. Et on l’a toutes fait. Les unes après les autres. Comment c’était excitant, toutes ensemble comme ça ! Avec les deux autres en train de gambader dehors et les filles qui gémissaient dans les cabines. On se l’est toutes fait. Et on a toutes crié. On l’a toutes proclamé notre plaisir. Sans la moindre retenue. Sans la moindre pudeur.
Théo m’attendait dehors.
‒ Alors ?
‒ Viens ! Je vais te raconter.


Et Iourievna ? On la connait

Je veux ! Elena nous l'a longuement présentée mais si vous êtes passés à côté,  voici le premier épisode de la série : le chapitre 1

Il y a un début à cette série

Le chapitre 1
et l'épisode précédent : chapitre 23 acte 1
Mais si vous voulez lire ce récit d'un autre point de vue : les rebelles chapitre 23 acte 2

Et la suite ?

François nous a écrit le chapitre 24

N'hésitez pas pour les commentaires

Tout le monde les attend : que pensez-vous de cette série croisant l'imaginaire d'Elena et celui de François ?

6 commentaires:

  1. Amis de la poésie et de la fessée au réfectoire... Bonjour!

    Oula la , on ne sait pas si l'été sera chaud, mais dans cet épisode, la température ambiante n'arrête pas de grimper, comme les anatomies masculines sous les cinglées. Les demoiselles en transe,véritables furies en chaleur, font la queue (sans jeu de mot!) aux toilettes pour se soulager les hormones...
    Les corrections dépassent le cadre punitif pour devenir des motifs d'excitation collective avec prise de pied en commun. On jouit sans entrave avec un sens aigu du partage. On est loin de la petite fessée pan pan cucul de papa ou maman.
    L'été donne chaud aux fesses. Sous les pavés la plage, sous la ceinture le plaisir... Viens danser, sous la cuisson des coups de triques!
    Cordialement
    Ramina

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    1. Bonjour Ramina,
      Oui, les panpan cucul sont réserver aux enfants, ici, nous sommes avec des adultes, donc, punitions d'adultes. A chaque âge son type de correction.
      Pour dire vrai, je ne suis pas sûre que des châtiments corporelles soient plus douloureuses que des années derrière des barreaux, où le psychisme en prend un sérieux coup !
      Ne plaignons pas les personnages qui sont corrigés, ils ont enfreint les règles et doivent assumer.
      Telle est la morale de ces textes.
      Amitiés.
      Elena.

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    2. Bonjour, Ramina. Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
      Aller "cambrioler" le bureau de la directrice est une atteinte grave à l'autorité. Sans compter que ces deux garnements ont pu avoir accès à des données sensibles. La punition est en conséquence. Et le fait qu'elle soit donnée au réfectoire, lieu de convivialité, n'est pas neutre. D'autant que dans cet espace confiné le bruit des claques et des cinglées se trouve démultiplié.
      Plus on avance dans le récit, plus il y a de fessées données à Sainte-Croix et plus les spectatrices et spectateurs sont désinhibés. Ils ont parfaitement compris que, si on ne les encourage pas ouvertement, leurs réactions sont toutefois souhaitées. Elles font partie de la punition. Aussi s'en donnent-ils tous de plus en plus à cœur joie.
      Amicalement.
      François

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    3. Erratum : Le panpan cucul, c'est pour moi ! pour les fautes d'orthographe dans mon commentaire, vues trop tard : "sont réservés" + "châtiments corporels soient plus douloureux"

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  2. Bonjour François,
    Les filles vont pouvoir se venger en les regardant se faire corriger, surtout avec ce que les deux garçons ont colportés sur leur physique, lorsqu'elles sont à la punition. Il n'y a rien de plus humiliant qu'on commente le physique d'une femme. Déjà qu'on se trouve tous les défauts de la terre ( trop ceci, pas assez cela ), alors, si on vient en rajouter une couche...
    Que ce soit les deux religieuses qui aient le martinet en main revêt un caractère plus solennel et les punition sera mieux intégrée.
    Le spectacle a l'air de ravir Théo et Olga. Et c'est le but recherché, d'ailleurs. Un peu d'excitation en regardant leurs deux camarades se faire rougir le fessier. Ca se voit au nombre de demoiselles qui se précipitent aux toilettes pour se soulager, en repensant au spectacle auquel elles viennent d'assister.
    Amitiés.
    Elena.

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    1. Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
      Effectivement c'est, je crois, une dimension importante dans la réaction de ces demoiselles qui ne "lâchent pas l'affaire": elles ont subi les réflexions moqueuses des garçons sur leur physique. C'est quelque chose qu'elles ne sont pas près de leur pardonner.
      Dans les textes à l'origine desquels vous vous trouvez, on ne perd jamais de vue que le châtiment corporel a une fonction cathartique et exemplaire: il s'agit de faire prendre conscience qu'un comportement est inacceptable et doit être corrigé. Et il remplit généralement bien sa fonction.
      D'une certaine façon on peut dire, je crois, que la fessée est le ciment de la relation entre Olga et Théo: c'est à travers elles qu'ils apprennent à se connaître l'un l'autre et à accepter ce qu'ils sont.
      Amicalement.
      François

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