samedi 11 juillet 2020

Fini la liberté - chapitre 9

Après avoir couché ses fils, Mrs Stewart est de retour dans le salon munie d’une badine.  Un instrument que Jérôme connait bien puisque que Tante Martine en possède une également. Elle la fait siffler une première fois dans l’air en demandant à Jérôme de se mettre en position : couché sur le ventre en appuis sur ses avant-bras, les fesses bien relevées.
Elle s’approche de lui, la badine fend l’air et vient s’abattre sur les fesses de Jérôme qui pousse un premier cri.  Schlaaak un deuxième coup vient barrer ses fesses juste au-dessus et parallèle au premier coup. Jérôme s’étale par terre et pleure déjà à chaudes larmes
« Reprends la position ordonne sa correctrice. Tu vas comprendre que lorsque j’exige l’immobilité au piquet, on reste immobile »
Shlaak troisième coup sur les cuisses puis un quatrième. Jérôme s’effondre de nouveau.
« Pitié supplie t’il entre 2 sanglots ! »
Mrs Stewart l’aide à se relever
« Tu oses demander pitié. Schlaak. Tu as osé défier mon autorité. Schlaak. Tu as eu ce courage. Schlaak. Maintenant tu vas avoir le courage d’assumer ton acte. Schlaak. »
Jérôme renifle entre chaque volée. Il pleure et souffre beaucoup. Il a envie de s’écrouler et de se masser les fesses mais résiste.  Il reçoit encore cinq fouettées avant d’être reconduit au lit.
Dans la chambre ses deux amis sont endormis ou font semblant. Jérôme exténué s’endort vite sur le ventre malgré la douleur.

Le réveil est difficile. Jérôme est courbaturé. Ses fesses et ses cuisses le font encore pâtir et lui rappelle la nécessité de se montrer discipliné.  Après la toilette au lavabo et le petit déjeuner, puisse que c’est ainsi que cela se passe chez les Stewart, on entend sonner à porte.
« Oh bonjour Martine, rentrez donc pour prendre un petit café accueille la maitresse de maison
– Bonjour Margareth. Merci volontiers.  Comment s’est comporté mon petit diable ?
– Dans l’ensemble très bien. Je n’ai dû le corriger qu’à deux reprises. »
Les enfants venaient saluer Madame Lepand. Tout le monde dit bonjour à Martine Lepand et Margareth Stewart raconte de long en large la semaine et en particulier les deux fois où elle a dû punir Jérôme.
« Vous avez vraiment bien fait Margareth. Jérôme viens me montrer tes fesses demande sa tutrice ! »
Elle lui baisse culotte courte et slip et le couche sur ses genoux comme si elle allait le fesser.  Jérôme se crispe déjà s’attendant à une correction. Il sait que quand il est puni par une tierce personne, tante Martine redonne à son tour un sévère châtiment.
« Détends-toi ! Je ne vais pas te fesser. Madame Stewart a bien fait les choses. Cela dit ça ne t’empêcheras pas d’être puni.  En attendant vas te mette au coin. »
Jérôme commence à vouloir se reculotter. Une bonne claque sur les mains le rappelle à l’ordre.
« Qui t’as demandé de remonter tes habits ? Tu vas piquet ainsi et tu remontes bien ton pan de chemise que l’on puisse admirer tes fesses. »
Les jumeaux sont renvoyés dans leur chambre. On peut constater que Jérôme est encore bien marqué de la terrible correction de la veille. Pendant que ces da mes papotent en buvant leur café, il se tient parfaitement droit et le nez collé au mur comme l’exige toujours sa tutrice. Il sait pertinemment qu’il ne supporterait pas une nouvelle fessée aujourd’hui. Il écoute la conversation qui porte comme souvent sur l’éducation. Son esprit vagabonde aussi sur la façon dont il devrait se comporter, ce qui lui éviterait tant de promptitude à être sanctionné.

Après avoir remercié et dis au revoir à leurs hôtes, Martine Lepand et son pupille rentre chez eux.
« Aller tu viens à la salle de bain que je puisse te donner une douche. D’après ce que j’ai compris ce n’est qu’une douche le soir chez Madame Stewart.
– Mais ma tante, Madame Stewart m’a fait ma toilette ce matin.
– Et alors. As-tu eu une douche ? Non donc je vais te laver correctement et cesse de contester tu as compris
– Oui ma tante répond Jérôme en soufflant et d’un ton nonchalant. »
Ni une, ni deux, Martine vient claquer les cuisses du petit impudent à trois reprises.
« Et d’où te permets tu de souffler gronde tante Martine. Après ta douche tu copieras deux cents fois en français, anglais, Allemand, Espagnol et latin : je dois obéir aux consignes et respecter les règles qui me sont fixées. Ce qui fait 1000 Lignes. Tu les apporteras dans deux jours maximum à Madame Stewart. Cela va te faire réfléchir à ton comportement.  D’autre part tu vas dire adieu définitivement à ton téléphone portable et jusqu’à la fin des vacances tu n’auras aucun loisir sauf la lecture. »

Pendant qu’elle lui lave les cheveux, on entend sonner à la porte.  
« Tu restes sans bouger d’un cil prévient madame Lepand en allant ouvrir ! »
Jérôme reste donc à genoux, les mains dans le dos, avec du shampoing qui lui a coulé dans les yeux et qui le brûle. Il hâte que sa tutrice vienne le rincer. Il ne parvient pas à garder à les garder ouvert.
« Venez Justine,  je termine de lui donner sa douche. »
Qui peut être cette Justine qui vient de rentrer dans la salle de bain avec tante Martine ? Qui peut maintenant le voir nu dans cette position humiliante ? Madame Lepand reprend son ouvrage.  Elle masse encore un peu le cuir chevelu de son pupille puis le rince. Jérôme peut enfin ouvrir les yeux. Et là, il se transforme en « tomate » Humiliation suprême. Devant lui se dresse Justine, une camarade qui était dans son ancienne classe. Cette fille qu’il apprécie et qu’il trouve très jolie le voit se faire laver comme un petit garçon. Elle peut constater l’état de ses fesses qui montre comment il est encore puni.
Dans son joli tailleur BCBG, avec ses cheveux tiré en arrière et sa queue de cheval, il la trouve encore plus sexy. Il est surpris de la voir si élégante. D’habitude elle est en jean basket et les cheveux détachés.  Madame Lepand lui explique qu’elle est venue pour le garder pour la journée car elle doit encore s’absenter aujourd’hui.  
Pendant qu’elle le savonne comme toujours avec conviction et application, Madame Lepand donne ses recommandations à la baby-sitter
« Surtout n’hésitez pas à le punir à la moindre incartade.  Il est puni de tout loisir et à des lignes à faire donc pas besoin de l’occuper. J’ai préparé le déjeuner pour vous deux dans le frigidaire. N’oubliez pas de le doucher à 18H. Je devrai être rentrée pour le dîner. »
Après avoir rincé Jérôme, elle invite Justine à l’essuyer et l’habiller. La jeune fille accompagne Madame Lepand et revient pour essuyer Jérôme.
« Allez mon petit bonhomme à nous deux annonces Justine ! »
 Mais elle se prend pour qui à m’appeler son petit bonhomme se dit Jérôme. Alors qu’elle lui essuie son pénis il ne peut contrôler une érection.
« Mais qu’est-ce que c’est que ça vilain garçon, tu n’as pas honte le dispute Justine ! »
Elle l’emmène en le tenant par le cou et en lui maintenant une main dans le dos pour ne pas qu’il tente de se libérer.
« Tu ne bouges pas ordonne t’elle ! »
Elle se saisit du martinet qui est accroché et se rapproche de Jérôme. Elle lui donne un premier coup sur le mollet gauche puis un autre sur le droit ce qui fait danser Jérôme. Il baisse les yeux. Tout nu dans le salon il n’ose pas regarder sa baby-sitter
« Tu es très vilain. Tu dois avoir honte dit-elle en le flagellant encore à quatre reprises toujours sur les mollets. »
Jérôme ne bande plus du tout.  Il s’agite d’une jambe sur l’autre.
« Mets-toi à genoux ordonne-t-elle ! »
Elle s’assoit sur une chaise et commence par à lui fouetter les cuisses énergiquement. Bien que jeune, la jeune fille semble savoir parfaitement manier le martinet. Comme pour un petit garçon elle ne tarde pas à faire pleurer le jeune homme.
« Méchant garçon je vais t’apprendre à avoir des vilaines pensées. C’est honteux ! Tu n’es qu’un sale petit pervers. »
Après cette bonne volée elle dicte au garnement de rester en place et part chercher sa brosse à cheveux.  Jérôme n’en mène pas large quand elle fait son retour. Elle reprend sa place sur la chaise et coiffe parfaitement Jérôme, comme l’exige madame Lepand. Une fois terminé, elle lui soulève le menton et l’oblige à la regarder.
« Tu es fier de toi l’interroge-t-elle ?
– Non ! »
Une gifle tonitruante atterrit sur la joue de Jérôme.
« Non qui « ? Redemande-t-elle. »
« Non Justine ! »
Vlan seconde gifle. Un revers sur l’autre joue
« Non mademoiselle !  Je ne suis pas ta copine !
– Non, mademoiselle bafouille t’il
– On fait quoi au petit vicieux dans ton genre ?
– Je ne sais pas mademoiselle pleure Jérôme
– On leur met une bonne fessée pour pas qu’il recommence. »
Joignant le geste à la parole, elle le courbe contre elle. Il a le nez dans sa jupe et avec la brosse, elle lui inflige une nouvelle sévère fessée. Elle frappe fort sur chaque fesses et les pleures de Jérôme s’accentuent ainsi que ses hurlements. Non seulement Justine cogne fort et ses coups font très mal mais ses fesses sont aussi encore très sensibles suite à la dure correction de la veille.  Elle ne cesse de lui répéter qu’il est un pervers, un sale gosse qu’il faut dresser, un vilain garçon. Ces paroles lui font aussi très mal d’autant qu’il en pince depuis longtemps pour Justine.

Jérôme termine la matinée à genoux devant la table du salon. Toujours tout nu il doit faire la punition que sa tutrice lui a donnée tout à l’heure.  Il est étroitement surveillé par sa nounou. Quand vient l’heure du repas, il n’a écrit qu’à peine soixante lignes.
« A mon avis, tata ne vas pas être contente mon grand se moque Justine en l’habillant enfin. »
Après le repas, Jérôme continue d’être humilié. Bien entendu, sa baby-sitter le conduit aux toilettes et l’essuie comme le fait tante Martine mais elle entreprend aussi de lui brosser les dents.
« Mais enfin Justine tente de contester Jérôme. »
Une claque sur la cuisse l’empêche de terminer
« Mademoiselle Justine s’il vous plait se reprend Jérôme ! »
Vlan deuxième claque pour Jérôme
« D’où tu te permets de contester mes décisions ! Tu vas me chercher le martinet ! De suite ! »
Le pauvre Jérôme retourne déconfit décrocher le martinet dans la cuisine. Il revient et le tend à Justine qui lui décoche à nouveau un claque sur chaque cuisse.
« Présente-le-moi respectueusement. A genoux !
Jérôme enrage. Il n’en peut plus de passer son temps à genoux. Ils le font énormément souffrir, ils en sont devenus bleu. Il a bien envie de l’envoyer promener. Seulement si le fait elle va encore plus le punir et elle va le dénoncer à sa tutrice qui le punira elle aussi. Toute façon tante Martine lui a laissé carte blanche.  Il lui doit donc un respect et une obéissance absolue.  Si ça lui chante de lui brosser les dents elle-même alors il doit se laisser faire. Cette punition il l’a bien cherché après tout à vouloir encore la ramener.
N’ayant pas le choix, Jérôme s’exécute. Il se met à genoux et tend des deux mains l’instrument qui va le faire regretter ses contestations. Il le tend humblement, les deux mains à plat, comme si c’était un plateau. C’est ce que veut sa baby-sitter. Jérôme est ensuite contraint de devoir se mettre nu. Il retire son short qu’il replie sur le meuble de la salle de bain, puis ses chaussettes, son slip, son pull. Il retire sa chemise qu’il pend au radiateur mural et enfin son tricot de corps « marcel »
Pendant ce temps, Justine l’observe en caressant les lanières du martinet. Jérôme se présente à elle nu les mains sur la tête comme elle le lui a imposé.  Dans un silence pesant, elle l’effleure avec le fouet sur toutes les parties du corps.
Jérôme ferme les yeux. Il angoisse. Il sait pertinemment ce qu’il attend. Justine va de nouveau le fouetter sans scrupule.  Tout cela à cause de son manque d’obéissance. Pourquoi à t’il fallut qu’il conteste.  Jérôme ne tarde pas à danser d’un pied sur l’autre. La nounou commence à lui flageller les mollets.  Comme le matin Jérôme danse d’un pied sur l’autre.  Très vite il ne peut s’empêcher de retirer ses mains de sa tête pour essayer de calmer la chaleur sur ses mollets.
« Tu vas laisser tes mains ou elles sont oui ! se fâche Mademoiselle Justine. »
Jérôme n’y parvient pas malgré ses efforts.  Justine le force alors à se courber sur le meuble vasque. La tête dans le lavabo, il reçoit une pluie de coup sur les fesses et les cuisses. Les lanières viennent lui mordre l’épiderme et le font hurler de douleur. La douleur est accentuée par le fait que depuis hier soir, la peau des fesses et des cuisses n’est pas ménagée.
Jérôme ne résiste pas à tenter de se protéger. Il met ses mains en protection ce qui agace la jeune fille. Malgré ses menaces et ses ordres, Jérôme se protège. Justine retourne le martinet et lui frappe les mains avec le manche du fouet. Devant l’insistance de sa correctrice, il est obligé de retirer ses mains. Justine reprend la correction avec les lanières. Jérôme tombe à genoux. Justine cesse enfin de le battre. Sans prendre le temps de le moucher ou de l’essuyer, elle lui brosse les dents puis elle le met au piquet dans le salon. Nu, à genoux, les mains sur la tête, le garçon doit rester sans bouger. Justine le surveille en révisant ses cours.


Vous n'avez pas lu ce les épisodes précédents ?

Eh bien voici le début : le chapitre 1

Et le chapitre 8 qui précède celui-ci

Une suite à cet épisode ?

Elle va venir, la semaine prochaine.

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