Elle s’approche de lui, la badine fend l’air et vient s’abattre sur les fesses de Jérôme qui pousse un premier cri. Schlaaak un deuxième coup vient barrer ses fesses juste au-dessus et parallèle au premier coup. Jérôme s’étale par terre et pleure déjà à chaudes larmes
« Reprends
la position ordonne sa correctrice. Tu vas comprendre que lorsque j’exige
l’immobilité au piquet, on reste immobile »
Shlaak
troisième coup sur les cuisses puis un quatrième. Jérôme s’effondre de nouveau.
« Pitié
supplie t’il entre 2 sanglots ! »
Mrs
Stewart l’aide à se relever
« Tu
oses demander pitié. Schlaak. Tu as osé défier mon autorité. Schlaak. Tu as eu
ce courage. Schlaak. Maintenant tu vas avoir le courage d’assumer ton acte.
Schlaak. »
Jérôme
renifle entre chaque volée. Il pleure et souffre beaucoup. Il a envie de
s’écrouler et de se masser les fesses mais résiste. Il reçoit encore cinq fouettées avant d’être
reconduit au lit.
Dans
la chambre ses deux amis sont endormis ou font semblant. Jérôme exténué
s’endort vite sur le ventre malgré la douleur.
Le
réveil est difficile. Jérôme est courbaturé. Ses fesses et ses cuisses le font
encore pâtir et lui rappelle la nécessité de se montrer discipliné. Après la toilette au lavabo et le petit
déjeuner, puisse que c’est ainsi que cela se passe chez les Stewart, on entend
sonner à porte.
« Oh
bonjour Martine, rentrez donc pour prendre un petit café accueille la maitresse
de maison
– Bonjour
Margareth. Merci volontiers. Comment
s’est comporté mon petit diable ?
– Dans
l’ensemble très bien. Je n’ai dû le corriger qu’à deux reprises. »
Les
enfants venaient saluer Madame Lepand. Tout le monde dit bonjour à Martine
Lepand et Margareth Stewart raconte de long en large la semaine et en
particulier les deux fois où elle a dû punir Jérôme.
« Vous
avez vraiment bien fait Margareth. Jérôme viens me montrer tes fesses demande
sa tutrice ! »
Elle lui baisse culotte courte et slip
et le couche sur ses genoux comme si elle allait le fesser. Jérôme se crispe déjà s’attendant à une
correction. Il sait que quand il est puni par une tierce personne, tante
Martine redonne à son tour un sévère châtiment.
« Détends-toi ! Je ne vais pas
te fesser. Madame Stewart a bien fait les choses. Cela dit ça ne t’empêcheras
pas d’être puni. En attendant vas te
mette au coin. »
Jérôme commence à vouloir se reculotter.
Une bonne claque sur les mains le rappelle à l’ordre.
« Qui t’as demandé de remonter tes
habits ? Tu vas piquet ainsi et tu remontes bien ton pan de chemise que
l’on puisse admirer tes fesses. »
Les jumeaux sont renvoyés dans leur
chambre. On peut constater que Jérôme est encore bien marqué de la terrible
correction de la veille. Pendant que ces da mes papotent en buvant leur café,
il se tient parfaitement droit et le nez collé au mur comme l’exige toujours sa
tutrice. Il sait pertinemment qu’il ne supporterait pas une nouvelle fessée
aujourd’hui. Il écoute la conversation qui porte comme souvent sur l’éducation.
Son esprit vagabonde aussi sur la façon dont il devrait se comporter, ce qui
lui éviterait tant de promptitude à être sanctionné.
Après avoir remercié et dis au revoir à
leurs hôtes, Martine Lepand et son pupille rentre chez eux.
« Aller
tu viens à la salle de bain que je puisse te donner une douche. D’après ce que
j’ai compris ce n’est qu’une douche le soir chez Madame Stewart.
– Mais
ma tante, Madame Stewart m’a fait ma toilette ce matin.
– Et
alors. As-tu eu une douche ? Non donc je vais te laver correctement et
cesse de contester tu as compris
– Oui
ma tante répond Jérôme en soufflant et d’un ton nonchalant. »
Ni
une, ni deux, Martine vient claquer les cuisses du petit impudent à trois
reprises.
« Et
d’où te permets tu de souffler gronde tante Martine. Après ta douche tu copieras
deux cents fois en français, anglais, Allemand, Espagnol et latin : je
dois obéir aux consignes et respecter les règles qui me sont fixées. Ce qui
fait 1000 Lignes. Tu les apporteras dans deux jours maximum à Madame Stewart.
Cela va te faire réfléchir à ton comportement.
D’autre part tu vas dire adieu définitivement à ton téléphone portable
et jusqu’à la fin des vacances tu n’auras aucun loisir sauf la lecture. »
Pendant qu’elle lui lave les cheveux, on
entend sonner à la porte.
« Tu
restes sans bouger d’un cil prévient madame Lepand en allant ouvrir ! »
Jérôme
reste donc à genoux, les mains dans le dos, avec du shampoing qui lui a coulé
dans les yeux et qui le brûle. Il hâte que sa tutrice vienne le rincer. Il ne
parvient pas à garder à les garder ouvert.
« Venez
Justine, je termine de lui donner sa
douche. »
Qui
peut être cette Justine qui vient de rentrer dans la salle de bain avec tante
Martine ? Qui peut maintenant le voir nu dans cette position
humiliante ? Madame Lepand reprend son ouvrage. Elle masse encore un peu le cuir chevelu de
son pupille puis le rince. Jérôme peut enfin ouvrir les yeux. Et là, il se
transforme en « tomate » Humiliation suprême. Devant lui se dresse
Justine, une camarade qui était dans son ancienne classe. Cette fille qu’il
apprécie et qu’il trouve très jolie le voit se faire laver comme un petit
garçon. Elle peut constater l’état de ses fesses qui montre comment il est
encore puni.
Dans
son joli tailleur BCBG, avec ses cheveux tiré en arrière et sa queue de cheval,
il la trouve encore plus sexy. Il est surpris de la voir si élégante.
D’habitude elle est en jean basket et les cheveux détachés. Madame Lepand lui explique qu’elle est venue
pour le garder pour la journée car elle doit encore s’absenter aujourd’hui.
Pendant
qu’elle le savonne comme toujours avec conviction et application, Madame Lepand
donne ses recommandations à la baby-sitter
« Surtout
n’hésitez pas à le punir à la moindre incartade. Il est puni de tout loisir et à des lignes à
faire donc pas besoin de l’occuper. J’ai préparé le déjeuner pour vous deux
dans le frigidaire. N’oubliez pas de le doucher à 18H. Je devrai être rentrée
pour le dîner. »
Après
avoir rincé Jérôme, elle invite Justine à l’essuyer et l’habiller. La jeune
fille accompagne Madame Lepand et revient pour essuyer Jérôme.
« Allez
mon petit bonhomme à nous deux annonces Justine ! »
Mais elle se prend pour qui à m’appeler son
petit bonhomme se dit Jérôme. Alors qu’elle lui essuie son pénis il ne peut
contrôler une érection.
« Mais qu’est-ce que c’est que ça
vilain garçon, tu n’as pas honte le dispute Justine ! »
Elle l’emmène en le tenant par le cou et
en lui maintenant une main dans le dos pour ne pas qu’il tente de se libérer.
« Tu ne bouges pas ordonne t’elle ! »
Elle se saisit du martinet qui est accroché et se rapproche de Jérôme. Elle lui donne un premier coup sur le mollet gauche puis un autre sur le droit ce qui fait danser Jérôme. Il baisse les yeux. Tout nu dans le salon il n’ose pas regarder sa baby-sitter
Elle se saisit du martinet qui est accroché et se rapproche de Jérôme. Elle lui donne un premier coup sur le mollet gauche puis un autre sur le droit ce qui fait danser Jérôme. Il baisse les yeux. Tout nu dans le salon il n’ose pas regarder sa baby-sitter
« Tu es très vilain. Tu dois avoir
honte dit-elle en le flagellant encore à quatre reprises toujours sur les
mollets. »
Jérôme ne bande plus du tout. Il s’agite d’une jambe sur l’autre.
« Mets-toi à genoux ordonne-t-elle ! »
Elle s’assoit sur une chaise et commence
par à lui fouetter les cuisses énergiquement. Bien que jeune, la jeune fille
semble savoir parfaitement manier le martinet. Comme pour un petit garçon elle
ne tarde pas à faire pleurer le jeune homme.
« Méchant garçon je vais
t’apprendre à avoir des vilaines pensées. C’est honteux ! Tu n’es qu’un
sale petit pervers. »
Après
cette bonne volée elle dicte au garnement de rester en place et part chercher
sa brosse à cheveux. Jérôme n’en mène
pas large quand elle fait son retour. Elle reprend sa place sur la chaise et
coiffe parfaitement Jérôme, comme l’exige madame Lepand. Une fois terminé, elle
lui soulève le menton et l’oblige à la regarder.
« Tu es fier de toi
l’interroge-t-elle ?
– Non ! »
Une gifle tonitruante atterrit sur la
joue de Jérôme.
« Non qui « ?
Redemande-t-elle. »
« Non Justine ! »
Vlan seconde gifle. Un revers sur
l’autre joue
« Non mademoiselle ! Je ne suis pas ta copine !
– Non, mademoiselle bafouille t’il
– On fait quoi au petit vicieux dans ton
genre ?
– Je ne sais pas mademoiselle pleure
Jérôme
– On leur met une bonne fessée pour pas
qu’il recommence. »
Joignant le geste à la parole, elle le
courbe contre elle. Il a le nez dans sa jupe et avec la brosse, elle lui
inflige une nouvelle sévère fessée. Elle frappe fort sur chaque fesses et les
pleures de Jérôme s’accentuent ainsi que ses hurlements. Non seulement Justine
cogne fort et ses coups font très mal mais ses fesses sont aussi encore très
sensibles suite à la dure correction de la veille. Elle ne cesse de lui répéter qu’il est un
pervers, un sale gosse qu’il faut dresser, un vilain garçon. Ces paroles lui
font aussi très mal d’autant qu’il en pince depuis longtemps pour Justine.
Jérôme termine la matinée à genoux
devant la table du salon. Toujours tout nu il doit faire la punition que sa
tutrice lui a donnée tout à l’heure. Il
est étroitement surveillé par sa nounou. Quand vient l’heure du repas, il n’a écrit
qu’à peine soixante lignes.
« A mon avis, tata ne vas pas être
contente mon grand se moque Justine en l’habillant enfin. »
Après le repas, Jérôme continue d’être
humilié. Bien entendu, sa baby-sitter le conduit aux toilettes et l’essuie
comme le fait tante Martine mais elle entreprend aussi de lui brosser les
dents.
« Mais enfin Justine tente de
contester Jérôme. »
Une claque sur la cuisse l’empêche de
terminer
« Mademoiselle Justine s’il vous
plait se reprend Jérôme ! »
Vlan
deuxième claque pour Jérôme
« D’où tu te permets de contester
mes décisions ! Tu vas me chercher le martinet ! De suite ! »
Le pauvre Jérôme retourne déconfit
décrocher le martinet dans la cuisine. Il revient et le tend à Justine qui lui
décoche à nouveau un claque sur chaque cuisse.
« Présente-le-moi respectueusement.
A genoux !
Jérôme enrage. Il n’en peut plus de
passer son temps à genoux. Ils le font énormément souffrir, ils en sont devenus
bleu. Il a bien envie de l’envoyer promener. Seulement si le fait elle va
encore plus le punir et elle va le dénoncer à sa tutrice qui le punira elle
aussi. Toute façon tante Martine lui a laissé carte blanche. Il lui doit donc un respect et une obéissance
absolue. Si ça lui chante de lui brosser
les dents elle-même alors il doit se laisser faire. Cette punition il l’a bien
cherché après tout à vouloir encore la ramener.
N’ayant
pas le choix, Jérôme s’exécute. Il se met à genoux et tend des deux mains
l’instrument qui va le faire regretter ses contestations. Il le tend
humblement, les deux mains à plat, comme si c’était un plateau. C’est ce que
veut sa baby-sitter. Jérôme est ensuite contraint de devoir se mettre nu. Il
retire son short qu’il replie sur le meuble de la salle de bain, puis ses
chaussettes, son slip, son pull. Il retire sa chemise qu’il pend au radiateur
mural et enfin son tricot de corps « marcel »
Pendant
ce temps, Justine l’observe en caressant les lanières du martinet. Jérôme se
présente à elle nu les mains sur la tête comme elle le lui a imposé. Dans un silence pesant, elle l’effleure avec
le fouet sur toutes les parties du corps.
Jérôme
ferme les yeux. Il angoisse. Il sait pertinemment ce qu’il attend. Justine va
de nouveau le fouetter sans scrupule.
Tout cela à cause de son manque d’obéissance. Pourquoi à t’il fallut
qu’il conteste. Jérôme ne tarde pas à
danser d’un pied sur l’autre. La nounou commence à lui flageller les mollets. Comme le matin Jérôme danse d’un pied sur
l’autre. Très vite il ne peut s’empêcher
de retirer ses mains de sa tête pour essayer de calmer la chaleur sur ses
mollets.
« Tu vas laisser tes mains ou elles
sont oui ! se fâche Mademoiselle Justine. »
Jérôme n’y parvient pas malgré ses
efforts. Justine le force alors à se
courber sur le meuble vasque. La tête dans le lavabo, il reçoit une pluie de
coup sur les fesses et les cuisses. Les lanières viennent lui mordre l’épiderme
et le font hurler de douleur. La douleur est accentuée par le fait que depuis
hier soir, la peau des fesses et des cuisses n’est pas ménagée.
Jérôme ne résiste pas à tenter de se
protéger. Il met ses mains en protection ce qui agace la jeune fille. Malgré
ses menaces et ses ordres, Jérôme se protège. Justine retourne le martinet et
lui frappe les mains avec le manche du fouet. Devant l’insistance de sa
correctrice, il est obligé de retirer ses mains. Justine reprend la correction
avec les lanières. Jérôme tombe à genoux. Justine cesse enfin de le battre.
Sans prendre le temps de le moucher ou de l’essuyer, elle lui brosse les dents
puis elle le met au piquet dans le salon. Nu, à genoux, les mains sur la tête,
le garçon doit rester sans bouger. Justine le surveille en révisant ses cours.
Vous n'avez pas lu ce les épisodes précédents ?
Eh bien voici le début : le chapitre 1
Et le chapitre 8 qui précède celui-ci
Une suite à cet épisode ?
Elle va venir, la semaine prochaine.
Allons-y pour les commentaires
Alors ? Qu'en pensez-vous ? Les commentaires, les appréciations, les critiques, les propositions, les encouragements... sont tous bienvenus.
Vous voulez les lui adresser directement ? Pas de problème ! Voici son adresse courriel : Jonas
Dans tous les cas, il vous répondra.
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