mercredi 19 août 2020

Chroniques de confinement - chapitre 11

 « Je passerai par là si je veux ! »

Dès qu’elle eût proféré cette insolence, Aurélie sut qu’elle n’aurait pas dû. Elle était agacée d’avoir dû obéir à Madame Bernadette et de la claque sur les fesses que cette dernière lui avait donné en guise de dernier avertissement. Aurélie avait décidé qu’il n’y avait pas besoin d’aller cueillir ce bouquet d’herbes aromatiques dans le jardin. La cuisinière avait exigé qu’Aurélie y aille séance tenante.

« Veux-tu une fessée, Aurélie ? »

Aurélie avait cédé, tout en montrant sa mauvaise humeur, juste assez pour que ça se vît, mais pas trop pour éviter que Madame Bernadette considérât qu’une bonne fessée était nécessaire. La main sur les fesses, même sur le fond de la jupe, avait fait comprendre à Aurélie que Madame Bernadette n’était pas dupe, mais qu’elle s’en tiendrait là si Aurélie mettait un terme sur le champ à sa comédie.

Une fois la porte fermée derrière elle, Aurélie avait laissé s’exprimer toute sa frustration. A peine deux semaines que sa mère et Madame Bernadette la déculottaient pour la fesser à la moindre anicroche. Elle avait dû modérer son comportement et réapprendre à obéir immédiatement. Plus moyen de leur montrer qu’elle était majeure et qu’elle exerçait son libre arbitre comme bon lui semblait.

Chacune de ses tentatives, pour faire valoir ses prérogatives d’adulte à juste titre selon elle mais à tort selon sa mère ou Madame Bernadette, s’était soldée par une fessée déculottée et une cuisson dissuasive sur son postérieur et presque à chaque fois un long temps de méditation au coin, faisant admirer à ceux qui étaient présents la belle couleur de ses fesses. Même pas deux semaines et c’était devenu un rituel bien réglé. Aurélie avait découvert tout ce que les deux femmes avaient décidé de changer dans le comportement d’Aurélie. Il y avait une liste interminable, toujours des choses nouvelles. Il y avait peu de jour où les fesses d’Aurélie n’avaient pas été mise à contribution.

C’était enrageant d’être punie de cette façon à dix-huit ans, mais Aurélie en comprenait la nécessité. Elle n’avait pas pu prendre en défaut ni sa mère, mi Madame Bernadette. Chaque fessée avait été parfaitement justifiée et, avant de se lancer dans une nouvelle désobéissance, elle hésitait, songeant aux conséquences. Cela ne l’arrêtait pas toujours, mais elle avait maintenant conscience de faire une bêtise. Sa mère considérait que c’était un progrès.

« Aurélie, j’ai dit non ! »

La grosse voix grondante de Monsieur Antoine aurait dû suffire pour qu’elle renonçât. Après tout, ce n’était pas bien compliqué de faire le tour de la plate-bande que le jardinier venait de préparer, plutôt que de la traverser, l’obligeant à recommencer son travail. Mais elle devait faire payer à quelqu’un la rage d’avoir dû céder à la cuisinière, sous peine d’une fessée. C’est Monsieur Antoine qui s’était trouvé là. Au mauvais endroit, au mauvais moment.

Aurélie lui tourna le dos pour cueillir le persil qu’elle était venue chercher. D’avoir montré son libre arbitre l’avait un peu soulagé, mais cela l’inquiétait également. Si elle se l’était permis en présence d’une des deux femmes, la fessée aurait été inévitable. Monsieur Antoine n’oserait pas. Elle le surveillait du coin de l’œil. Elle n’était pas si certaine que ça d’avoir fait le bon choix.

Son cœur fit un bon dans sa poitrine quand elle le vit planter sa bêche dans la terre et se diriger vers elle.

« Non, se dit-elle, pas ça ! »

Ça, c’était une fessée dans le jardin à moins de deux mètres de la route sur laquelle, ce matin, passaient régulièrement les gens du village.

« Peut-être ne va-t-il que me gronder… ou me ramener à Madame Bernadette afin qu’elle se charge de la fessée… »

Aurélie savait qu’elle avait mérité une correction, mais elle ne voulait ni que ce fût Monsieur Antoine qui la lui administrât, ni que ce fût dans un endroit aussi exposé. Recevoir la fessée, dans la cuisine, de la main de Madame Bernadette, n’avait rien de réjouissant, mais c’était un moindre mal. Une situation devenue banale, difficile à accepter, mais si courante.

« Mais ici… par Monsieur Antoine… »

Quand le jardinier l’avait empoignée par le bras et qu’il l’avait courbé sous son bras, elle avait su qu’une fois encore, ses prières ne seraient pas exaucées.

« Je t’avais prévenue !

– Non, attendez ! Je ne le ferai plus ! Je vous demande pardon ! »

Les regrets tardifs n’avaient pas arrêté Monsieur Antoine. Il avait relevé l’arrière de la jupe.

« Pas la culotte, avait brièvement pensé Aurélie. Il ne va pas me baisser la culotte ! »

Ce mince espoir ne fut pas plus entendu que les autres. Aurélie sentit des doigts se glisser sous l’élastique de son sous-vêtement. Monsieur Antoine baissait sa culotte qui tomba sur ses mollets.

« Non, cria-t-elle, désespérée ! »

Elle eut une ruade instinctive qui n’eut aucun effet. En resserrant sa prise sur la taille de la jeune femme, Monsieur Antoine lui effleura la toison pubienne. Aurélie sentit une petite décharge électrique parcourir son bas-ventre. La sensation suivante, ce fut la brûlure que provoqua la main de Monsieur Antoine sur ses fesses. D’un côté, puis de l’autre.

Une dizaine de secondes à ce régime et autant de fois la main sur ses fesses et Aurélie avait oublié le lieu dans lequel elle était punie et que c’était Monsieur Antoine qui lui rougissait les fesses. La honte et la douleur qu’elle ressentait était très semblable à celle qu’elle ressentait lors des précédentes fessées qu’elle avait reçues.

Il y avait cependant une petite différence. Le contact de la main sur ses fesses était légèrement différent. La main était plus lourde et elle couvrait une plus grande surface que celles de sa mère ou de Madame Bernadette. Le bruit qui en résultait était plus retentissant, mais elle ne trouvait pas de différence quant à la cuisson provoquée. Tout cela, elle ne se le dit qu’a posteriori, une fois mise au piquet devant la porte de la cuisine. Elle avait bien d’autres choses à penser alors que la brûlure ne cessait de croître sur ses fesses. De ce côté-là, c’était très semblable à ce qu’arrivaient à obtenir ses précédentes fesseuses.

C’était ce qui s’était passé au milieu de la fessée qui emplissait Aurélie de honte. Ça, jamais de sa vie elle ne l’oublierait. Une voix entre deux claques sur ses fesses.

« Bonjour Monsieur Antoine, comment allez-vous ,

– Ah, bonjour Madame Fraboulet. Fort bien, et vous-même ? »

Madame Fraboulet ! La voisine qui habitait un peu plus loin ! Aurélie tenta de se relever, mais le bras de monsieur Antoine rendait la chose impossible et une forte claque sur les fesses la dissuada de recommencer.

« Je vois que vous êtes très occupé. 

– Eh oui, que voulez-vous, il n’y a pas moyen d’obtenir un comportement raisonnable de cette donzelle, sans lui rougir les fesses. Alors, que voulez-vous…

– Une bonne fessée, c’est encore ce qu’il y a de plus efficace ! »

La voisine s’était arrêtée de l’autre côté de la haie. Elle devait avoir une vue imprenable sur les fesses nues d’Aurélie. Monsieur Antoine avait suspendu l’administration de la correction, mais il maintenait Aurélie ployée sous son bras. La fessée n’était pas finie, Aurélie ne se faisait pas d’illusion. Si Monsieur Antoine s’en tenait là, ce ne serait qu’une petite punition.

« Continuez, Monsieur Antoine ! Je m’en voudrais d’interrompre votre travail. Vous faites œuvre utile ! »

Monsieur Antoine ne se fit pas prier. Il reprit la fessée, tout aussi vigoureuse qu’avant tout en saluant la voisine et en la remerciant de ses encouragements. Aurélie savait que dans une heure, la moitié du village serait au courant de sa mauvaise fortune. Madame fraboulet se ferait un plaisir de colporter la nouvelle.

Il y eut, presque tout de suite après le départ de Madame Fraboulet, deux voitures qui passèrent. Alors qu’elle avait été mise au piquet, quelques minutes plus tard, Aurélie chercha à visualiser la direction qu’elles avaient prises et l’angle de vue que leurs passagers avaient eu. Il n’y avait peu de doute. Les fesses nues d’Aurélie étaient positionnées face à un virage. Il était donc fort probable que qu’ils aient eu une vue complète sur son postérieur que Monsieur Antoine s’employait à rougir copieusement.

 

Quatorze ans avaient passé mais Aurélie se souvenait encore de cette fessée dans ses moindres détails. Elle avait mis plusieurs jours à pouvoir regarder de nouveau Monsieur Antoine, sans rougir jusqu’à la racine des cheveux. Puis, il avait fallu se faire une raison, d’autant plus que moins d’une semaine après, Monsieur Antoine lui avait de nouveau administré une autre fessée déculottée.

Comme pour le reste, cela entra dans la norme, une norme difficile à intégrer, mais une norme tout de même. Combien de fessées avait -elle reçues de la main de Monsieur Antoine ? Elle ne savait plus les compter. C’était bien moins que celles qu’elle avait reçues de sa mère ou de Madame Bernadette, mais Monsieur Antoine n’avait jamais hésité à la corriger quand cela avait été nécessaire.

Aurélie avait toujours recherché une relation de proximité avec Monsieur Antoine. Celle-ci était un peu sa grande fille et lui jouait le rôle de père, en absence de celui qui avait été le géniteur d’Aurélie. Après la fessée maternelle donnée par sa mère et par Madame Bernadette, celle qui la suppléait depuis qu’elle était toute petite, c’était, en quelque sorte, la première correction paternelle qu’Aurélie avait reçue.

Malgré son âge et le trouble que cela avait provoqué chez elle les premières fois, elle ne lui en avait jamais voulu. C’était la confirmation de l’autorité qu’il avait sur elle depuis toujours et elle pouvait se traduire par une fessée quand Monsieur Antoine l’estimait nécessaire puisque cette façon de la punir était la règle depuis sa majorité.

Cela ramena Aurélie à sa situation présente. Rien ne lui garantissait que Monsieur Antoine ne déciderait pas qu’il devait la punir une nouvelle fois. Serait-ce pareil avec Philippe ? Comme Monsieur Antoine passait la plus clair de son temps dehors, cela signifiait d’être punie à l’extérieur, avec le risque de la présence de témoins. C’était arrivé à plusieurs reprises.

 

Depuis la fessée de Monsieur Antoine, tout le village était au courant de la façon dont Marianne avait repris en main l’éducation de sa fille. Quand Aurélie était envoyée faire des courses à l’épicerie qui se tenait sur la place, elle était scrutée avec attention et elle ne doutait pas que sa mère serait mise au courant du moindre écart.

Ce qui la consolait un peu, c’était qu’elle n’était pas la seule à se retrouver dans la même situation. Trois des quatre autres jeunes gens que leurs parents avaient dû aller chercher à la gendarmerie, avaient reçu également une fessée séance tenante. Sébastien, celui qui conduisait, avait été déculotté par sa mère et fessé dans l’entrée de la gendarmerie et devant tout le monde, sa mère lui avait promis la ceinture dès leur retour à la maison.

Elodie, la cinquième passagère de la voiture, elle, n’avait pas été fessée immédiatement par ses parents. Ils s’étaient contentés, dans un premier temps, de la priver de sortie jusqu’à la fin de l’année. Quand ils avaient appris comment avaient été punis ses camarades de la virée en automobile, ils avaient fessé leur fille, deux jours après les autres, dans un souci d’égalité, lui avaient-ils dit.

Les cinq jeunes gens, tous privés de sortie pour un long moment, ne s’étaient pas revus depuis. Aurélie ne souhaitait pas les rencontrer de si tôt, incertaine sur la conduite à tenir en leur présence, alors que son statut d’adulte et celui de ses amis avaient subi de sérieux accrocs. A sa connaissance, elle était cependant la seule à subir régulièrement la fessée, qui plus est en public, ce qui en rajoutait encore à sa honte. Aucun des trois adultes qui la punissaient, ne prenait garde à l’endroit cela se passait, ni de la présence d’autres personnes.

Le paroxysme fut atteint un matin. C’était jour de marché sur la place du village et Marianne avait décidé d’y emmener sa fille.

 

« J’ai pas envie d’y aller, Maman !

– Je ne crois pas t’avoir demandé si tu voulais venir. Je t’ai dit que tu venais avec moi ! »

Aurélie n’avait pas eu d’autre choix que d’obéir. Elle serait volontiers restée allongée sur son lit à écouter de la musique. C’était l’un des rares temps où elle pouvait envisager de faire ce qu’elle voulait sans avoir ni sa mère ni Madame Bernadette sur le dos. Ses plans pour la matinée venaient d’être ruinés.

Aurélie avait traîné des pieds durant tout le trajet qui les menait vers le village. Bien entendu, sa mère n’avait pas laissé passer cette mauvaise volonté évidente.

« Aurélie, tu cesses de bouder tout de suite ! Si j’ai à te le redire… »

Elles étaient à l’entrée du village. Aurélie n’avait pas envie de tester la résolution de sa mère à cet endroit. Ce n’est pas qu’il y avait foule, le marché était petit, mais il y avait suffisamment de monde pour constituer un public indésirable aux yeux d’Aurélie.

Il n’y avait pas plus de cinquante personnes au marché, tous habitants de la commune. Sa mère et elle étaient connues de tout le monde et elles connaissaient tous ceux qu’elles croisaient. Il lui semblait que tous le regardaient avec curiosité.

Pourtant, que des adultes de genres et d’âges divers fussent fessés, n’avait plus rien d’exceptionnel dans la région de La Villeneuve sur Horto. Il y avait même eu un reportage à la télévision nationale sur le sujet. Il avait montré plusieurs personnes soumises à la fessée. Aurélie ne s’habituait cependant pas à être l’un d’eux. Le recours à la fessée déculottée faisait pourtant tâche d’huile. Aurélie et ses camarades de sortie avaient importé, à leur corps défendant, la coutume dans le village.

Plus elle avançait dans le marché, plus son angoisse montait. C’était plus qu’inconfortable d’être entourée de personnes qui peut-être savaient de quelle façon elle était punie, sans savoir s’ils le savaient réellement. Aurélie était tellement préoccupée par le regard que les autres personnes posaient sur elle, qu’elle oublia de suivre sa mère comme elle en avait eu la consigne. Quand elle leva la tête, sa mère n’était plus là.

Elle la chercha du regard. Elle ne risquait pas de se perdre, le marché n’était pas assez grand et elle connaissait par cœur la route pour rentrer à la maison. Non, le souci c’était d’être accusée de désobéissance et les conséquences qui en découleraient.

Elle n’eut pas le temps de réparer son erreur. Sa mère arrivait vers elle, visiblement furieuse.

« Mais où étais-tu ? Je tourne la tête et tu disparais ! Je ne t’avais pas dit de rester près de moi ? »

La main de Marianne claqua les fesses de sa fille. C’était par-dessus sa jupe. Cela ne lui fit pas bien mal, mais c’était vexant d’être traitée ainsi, surtout en public.

« Depuis le début de la matinée, tu cherches la fessée ! Je t’avais prévenu que je ne supporterais pas tes bouderies ! Je vais te montrer ce qu’il en coûte !

L’instant d’après, Aurélie était coincée sous le bras de sa mère. Elle regarda affolée autour d’elle. La plupart des personnes s’étaient arrêtées et attendaient la suite de cette démonstration d’autorité maternelle. Aurélie songea un bref instant à se débattre, mais les conséquences en étaient trop prévisibles et elle avait perdu cette habitude, bien aidée par les corrections que ses résistances avaient provoquées.

La position dans laquelle sa mère l’avait mise ne laissait place à aucune équivoque. La fessée était certaine. Elle espéra que sa mère n’irait pas plus loin, mais cet espoir ne dura pas. La jupe fut relevée, et sans attendre Marianne baissa la culotte de sa fille. Aurélie eut un haut-le-cœur et elle eut un mouvement instinctif, comme si elle avait voulu se défaire de la prise de sa mère. Cela n’alla pas bien loin et elle ne fut pas certaine que sa mère eût remarqué cette courte résistance.

« Puisqu’il n’y a qu’avec une fessée que tu comprends… »

Aurélie eut juste le temps de voir tous les regards des spectateurs converger sur ses fesses. Après, les effets de la fessée qu’elle recevait suffirent à l’occuper. Ce qu’elle exposait aux autres passait au second plan. La main claquait sur les fesses et Aurélie criait sans s’occuper de qui pouvait l’entendre ni voir son postérieur nu.

Marianne s’assurait qu’Aurélie comprît qu’elle n’admettrait plus jamais ce genre d’attitude et Aurélie était certaine qu’elle ferait désormais attention. Dans ce moment-là, le lieu où elle se trouvait importait peu. Cinq minutes plus tard, elle n’avait plus le même avis, quand il lui fallut suivre sa mère à travers le marché avec toutes les personnes qu’elle croisait qui la regardait avec une lueur amusée ou curieuse dans le regard. Il y eut des hochements de têtes approbateurs de quelques mères de familles quand, sans s’en rendre compte, Aurélie porta sa main à ses fesses pour les frotter dans une vaine tentative pour atténuer la douleur.



Quoi ? Il y en a encore qui n'ont pas lu les chapitres précédents !

Ah, là, là, là, là, là, là ! Bon,  voici début : le chapitre 1
Et le précédent : le chapitre 10


Oui, mais est-ce qu'il y a une suite ?

Voyons, voyons eh ben ce sera le chapitre 12 par exemple !

Allez, un commentaire !

Alors ? Qu'en dites-vous ? Abondance de commentaire ne nuit point.

2 commentaires:

  1. Bonjour JLG ,
    la pauvre Aurélie et Philippe vont ils aller au village et les risques de fessées
    Au plaisir de vous lire avec impatience

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    Réponses
    1. Cher lecteur anonyme,
      Pour le savoir... et oui, il faudra attendre les prochains épisodes !
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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