vendredi 21 août 2020

La nouvelle baby-sitter

 Et tu me disais que tu ne comprenais pas pourquoi ta Maman éprouve le besoin d'embaucher une baby-sitter pour te garder lorsqu'elle s'absente le soir ? Que c'était de l'argent gâché, qu'à vingt-quatre ans tu étais bien capable de rester seul une après-midi et une soirée.

J'ai bien vu ton étonnement quand tu as constaté que c'était moi qui étais chargée de cette tâche. Tu as protesté, jugeant que je ne pouvais accomplir ce travail correctement vu que j'avais le même âge que toi que nous avons été au lycée dans la même classe et que j'habite tout à côté.

Moi, je trouve ça, au contraire, bien pratique. En cinq minutes, je suis ici si ta Maman a besoin de moi. Et puis, nous nous connaissons depuis que nous sommes tout petits. Nous avons souvent joué ensemble. Rappelle-toi !

C'était avant que tu me snobes quand tu as grandi et que tu t'es entouré d'une bande de petites pimbêches et de grands nigauds comme toi qui ne pouvaient pas parler à la meilleure élève du lycée, ça les aurait fait déchoir ! J'étais bien trop sérieuse pour vous, alors que toi tu as toujours été insouciant des conséquences de tes actes, tête-en-l'air, écervelé, inattentif à tout ce qui ne concernait pas ta petite personne, bref bien que tu aies grandi, tu es resté un petit garçon dans ta tête.

Si j'ai bien compris ce que m'a dit ta Maman quand elle m'a embauchée, cela ne s'est pas amélioré. Tu en es à ta troisième deuxième année à la fac, alors que moi je viens d'avoir un master 2. La raison ? Uniquement par manque de travail ! Quel gâchis, alors que tu es un garçon très intelligent.


D'ailleurs, j'en ai eu la preuve ce soir. Tu étais censé travailler dans ta chambre à une fiche de lecture du bouquin que tu dois étudier. C'est du moins ce que tu m'as dit pour que je t'autorise à venir t'enfermer dans ta chambre. Croyais-tu que je n'allais pas vérifier ? Et sur quoi je tombe ? Sur un garçon qui fait tout autre chose que travailler avec son ordinateur.

Ta Maman a été claire : j'ai toute latitude pour prendre toutes les décisions nécessaires. Elle a bien précisé, devant toi, que tu devais m'obéir en toute chose. Que j'avais totale autorité sur toi et que j'avais le droit de te punir si je le jugeais nécessaire. C'est moi qui avais négocié ces conditions avant d'accepter de devenir ta baby-sitter, tu penses bien !

Elle a bien insisté sur les conséquences si tu n'étais pas sage avec moi : elle n'accepterait plus de financer tes études alors que cela ne sert à rien et qu'elle t'avait trouvé du travail comme vendeur à temps partiel dans une quincaillerie que tient l'une de ces amies. Tu te doutes que je ne suis pas pour rien dans les décisions qu'elle vient de prendre. C'est moi qui les lui ai soufflées. Tu sais je passe pour une jeune fille qui a la tête sur les épaules. J'ai beaucoup d'influence sur ta mère et comme elle est dépassée par ton comportement, qu'elle ne sait plus quoi faire avec le grand jeune homme indolent que tu es devenu, mes conseils ont porté.


J'ai eu un peu plus de mal à ce qu'elle me donne carte-blanche en matière de discipline. Quand je lui ai expliqué de quelle façon je comptais m'y prendre, elle a d'abord été incrédule. "Vous n'y songez pas réellement ?" m'a-t-elle dit. Puis "vous pensez que cela peut marcher ?" et c'est quand elle a conclu "il n'y a pas de raison que je ne vous laisse pas essayer. Je ne sais pas quoi faire d'autre !" que j'ai su que j'avais emporté le morceau.

Bref, pour faire court, j'ai la bénédiction de ta Maman pour te donner la fessée déculottée quand je le jugerai nécessaire. Je ne pensais pas que tu allais me donner une raison de passer à l'acte aussi vite. Une demi-heure après que ta Maman t'a laissé sous ma garde, tu as déjà besoin d'une bonne correction. Et bien tu vas l'avoir !



Ah, je sais, ce n'est pas très facile, pour un grand garçon comme toi, de te retrouver à plat ventre en travers de mes genoux, la culotte baissée. Il va pourtant falloir que tu t'y habitues, car si c'est le première fois que je te corrige, ce ne sera pas la dernière.

La suite des mes études va me laisser du temps libre. J'ai convenu, avec ta maman, que je vais m'occuper de toi. Non seulement je vais te faire travailler, mais je vais aussi revoir toutes les petites choses que ta Maman, de guerre lasse, a laissé passer.

Je te parle d'une douche tous les matins, de ta participation aux tâches ménagères de la maison, du rangement de ta chambre. Je vais aussi insister sur la politesse avec les voisins, tu sais le "bonjour" qu'on dit quand on les croise et qu'on est un grand garçon bien poli. Et aussi de toutes les petites choses qui feront de toi un grand garçon bien élevé.


Je vais reprendre tout cela avec toi et tu te doutes que quand je ne serai pas satisfaite de tes progrès et à chaque bêtise ou désobéissance ou quand tu te comporteras mal, ce sera la fessée. En fait, je te punirai dès que je m'apercevrai que tu l'as mérité. Et ce ne sera pas toujours dans ta chambre.

Pour que les grands garçons comprennent que ce qu'il ont fait n'est pas admissible, il faut leur rougir les fesses aussitôt qu'ils ont fait une bêtise. Je n'attendrai pas d'être dans ta chambre. Ce sera sur le champ. Tu peux donc être certain que ta Maman assistera à l'une de tes prochaines fessées et cela ne m'empêchera pas de te baisser la culotte, au contraire.

En fait ta Maman ne sera certainement pas la seule à être témoin d'une de tes corrections. Il serait très étonnant que je n'aie pas à te déculotter et à te fesser sur un trottoir ou dans un magasin. J'envisage même de demander, aux personnes avec qui tu te montreras incorrect, de te punir elles-mêmes. Si j'en juge par la façon dont tu te comportes avec les filles, tu vas te retrouver bien souvent courbé sous leur coude ou à plat ventre sur leur genoux pour y recevoir la punition dont tu auras besoin. Et si elles n'osent pas te baisser la culotte, c'est moi qui le ferai !


Que voilà des fesses bien rouges à souhait. Oh que non, ta punition n'est pas terminée. Tu vas aller réfléchir au coin aux inconvénients qu'il y a à me désobéir. Et j'espère, pour tes fesses, que tu vas t'y faire oublier jusqu'à ce que je t'autorise à en sortir.

Non ! On ne se frotte pas les fesses ! Mets plutôt tes mains dans ton dos et le nez bien dans l’angle du mur. Je ne veux plus t'entendre ! Ce sera comme ça après chaque fessée ! Si j'ai à te le redire, ma brosse est encore prête à servir.



C'est parfait ! Au coin avec la culotte baissée et les fesses toutes rouges, c'est tout ce que mérite le vilain garçon que tu es. Puisque tu n'étais pas pressé de travailler, c'est que tu as le temps d'y rester un bon moment. Après nous reprendrons le travail que tu as laissé en plan.

J'espère pour toi que tu avanceras vite et bien. Sinon...



Merci à ...

... Banjo pour l'emprunt de son dessin. J'espère qu'il ne m'en voudra pas de l'avoir fait aussi cavalièrement. Vous trouverez d'autres de ces œuvres sur son site, avec, malheureusement, peu de production récente.

Quand la baby-sitter doit prendre en charge la discipline

  pyajama baissée pour une bonne fessée          La brosse sur les fesses dénudées


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4 commentaires:

  1. Bonjour JLG,

    Merci pour ce court récit.
    La baby-sitter : thème récurrent dans l'éducation Adultes/ados. Et une situation délicate et quelque peu humiliante pour les jeunes gens quant la personne chargée de cette fonction est une amie ou une parente . La punition est "mieux" acceptée (?) si la dite-personne est une adulte confirmée. "Nounou, elle est méchante !". Rires.
    Amicalement. Peter'.

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    1. Peter Pan,
      Sans doute avez-vous raison, mais il existe des situations où le choix de la baby-sitter s'impose, compte tenu de l'attitude du jeune homme ou de la jeune femme qu'il faut reprendre en mains.
      Dans ce cas précis, il fallait une personne qui acceptât d'assumer le maintien de la discipline dont ce grand garçon a, à l'évidence, besoin. Qu'elle ait juste son âge, de ce point de vue, est indifférent. Pour le jeune homme, évidemment...
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Bonjour, superbe commencement ! j'ai hâte de connaitre la suite....

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    1. Bonjour Gadys,
      Hélas, il n'y a jamais de suite aux histoire courtes illustrant un dessin, comme celle-ci. Plus exactement, il n'est pas prévu que j'en écrive une, mais il n'y a aucun problème à ce que vous releviez le défi.
      Sans doute vous verriez-vous bien à la place de la jeune fille ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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