dimanche 15 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – vendredi 13 juin 2025 – 14 h 51

Honnêtement, j’avais craint, une fois convaincue que je lui avais sciemment désobéi, que ma compagne me donne une très grosse fessée, une de celles qui laisse des traces douloureuses sur les fesses durant plusieurs jours. Il n’en avait rien été. Certes, la fessée qu’elle m’avait donnée n’était pas anodine, mais j’étais certain de ne pas en souffrir plus de quelques dizaines de minutes. C’est d’ailleurs ce qui s’est passé.

Il est vrai qu’elle n’avait pas eu beaucoup de temps pour me punir. Nous étions attendus au restaurant et nous ne pouvions pas trop différer notre arrivée. Je ne savais pas si elle considérait que j’avais été suffisamment puni pour ma désobéissance ou si elle envisageait de reprendre la correction dès notre retour à la maison. Je n’osais pas lui poser la question, de peur que cela lui donne l’idée de continuer ma fessée alors qu’elle n’y avait pas pensé.

J’avais fait le trajet avec les fesses cuisantes, ce que je ressentais bien, assis sur le siège de la voiture. Mon postérieur devait être tout rouge et porter quelques marques laissées par la baguette. Je n’avais pas pu le vérifier, mais j’en sentais les traces sur mes fesses. La position assise n’était pas très confortable, mais après une fessée, il n’y avait rien d’étonnant.

Ce n’est qu’une fois installé dans le restaurant que ma compagne revint sur le sujet.

« Tu n’as pas trop mal aux fesses ? »

Je regardais autour de nous. Nul ne semblait nous prêter attention. Elle avait parlé sans élever la voix, mais d’un ton normal, comme s’il s’agissait d’une conversation anodine. Il s’agissait bien d’une conversation anodine. Ma compagne considérait qu’il était de son devoir de maman de me punir quand elle le jugeait nécessaire. Me déculotter et me fesser relevait d’un acte banal qui n’était que l’expression de ses prérogatives maternelles vis-à-vis de moi.

Je partageais son avis, mais je ne tenais pas à ce que toutes les personnes qui nous entouraient le sachent. Je faisais confiance à ma compagne. S’il entrait dans ses attributions de me déculotter et de me fesser n’importe où, je savais qu’elle ne le ferait que là où exposer mes fesses nues ne posait pas de problème.

J’avais déjà observé qu’elle prenait moins de précautions quand il s’agissait d’évoquer à voix haute comment elle me punissait. Quand c’étaient des personnes croisées brièvement, elles pouvaient toujours croire à une plaisanterie. Là, en plein restaurant, la durée de notre cohabitation aidant, elles se demanderaient immanquablement quelle part de vérité il y avait dans l’évocation de ma punition. Je ne tenais pas à supporter quelques regards interrogateurs jusqu’à la fin du repas.

« Si, Maman, répondis-je aussi brièvement que possible.

– Eh bien, c’est normal, c’est à ça que sert une fessée. »

Des yeux, je fis le tour de la salle. Le restaurant n’était pas plein. Les tables à côté de la nôtre n’étaient pas occupées. Les oreilles inopportunes étaient donc un peu plus éloignées que ce que je craignais, ce qui ne voulait pas dire qu’elles n’avaient pas entendu. Cependant, je ne surpris aucun regard étonné. J’avais probablement eu de la chance. Je ne pus m’empêcher de protester.

« Maman, dis-je à mi-voix !

– Qu’est-ce qu’il y a ? Tu veux une fessée maintenant ?

– Ici, dis-je d’un ton désespéré ? »

Je savais qu’elle ne pouvait pas me déculotter au milieu du restaurant. Ce n’était pas que ça lui poserait, à elle, un problème insurmontable, mais il y avait des personnes qui pourraient être choquées par ma nudité. Elle regrettait souvent, ouvertement, qu’il ne soit pas possible de donner une fessée déculottée quand elle était méritée, aussi bien à un enfant qu’à un adulte. Autrement, je pense que cela aurait fait longtemps que j’aurais reçu une fessée culotte baissée en présence de témoins.

Par contre, je ne savais pas si elle oserait me coincer sous son bras et me donner, en public, une fessée sur le fond du pantalon. Évidemment, cela ne me ferait pas grand mal, mais cela mettrait en évidence, malgré mon âge, la précarité de mon statut d’adulte. Elle l’avait déjà fait une fois, dans un endroit où elle avait estimé qu’elle ne pouvait pas me déculotter. La honte que j’en avais ressentie avait été alors incommensurable. Il était préférable de faire profil bas.

« Non, Maman, s’il te plaît ! »

Elle me fixa quelques secondes avec des yeux noirs, puis son regard s’adoucit tout en restant autoritaire.

« Alors, je ne veux plus t’entendre sur ce sujet ! Nous rediscuterons de cela quand nous serons à la maison. »

Je me le tins pour dit. Je me demandais toutefois si sa menace de réaborder la question à notre retour à la maison serait suivie d’effets. La conversation, quand elle reprit, dériva sur d’autres sujets.



Ma compagne n’avait pas pour projet de reprendre la fessée du matin dès notre retour à la maison. Je le craignais, mais cela n’a pas eu lieu. Elle avait, par contre, noté une tâche que je m’étais faite sur ma chemisette en mangeant. J’ai aussi redouté que cela me vaille une fessée, mais il n’en a rien été. J’étais surpris de cette mansuétude. Je n’y étais pas habitué. Mais je serais malvenu à m’en plaindre.

« Tu te changes tout de suite, m’a-t-elle ordonné. »

J’ai donc enlevé ma chemisette, mon pantalon et ma culotte. Et je n’ai mis qu’un tee-shirt.

« Tu restes les fesses nues ? La fessée de ce matin ne t’a pas suffi ?

– Oh si, Maman, mais je vais faire une sieste, non ? Pour ça, d’habitude, tu ne veux pas que j’aie une culotte.

– Et c’est toi qui en décides ?

– Non, Maman, c’est toi, dis-je, montrant que je lui obéissais.

– Je préfère comme cela. Fais attention, ces derniers jours tu frises l’insolence ! »

L’insolence, voilà un mot que j’avais du mal à cerner. Parfois, au cours de nos discussions d’adulte, ma compagne m’accuse d’insolence et elle me menace d’une fessée. Je ne sais pas toujours jusqu’où je peux aller sans qu’elle estime que j’ai dépassé les bornes.

« Mets-toi dans le lit ! »

Je me suis couché et ma compagne est venue s’occuper de moi.


C’est, un peu plus tard, en discutant que les choses se sont enflammées. Tout a commencé alors que, pensant à la fessée reçue le matin, je touchais mes fesses. Bien évidemment, ma compagne me gronda. Je sais que je n’ai pas le droit de le faire, particulièrement après avoir reçu une fessée.

« Mais je n’ai plus mal, plaidai-je !

– Pourtant tu as eu une grosse fessée ! »

J’ai haussé les épaules, geste que ma compagne n’aime pas que je fasse. Cela fait partie des habitudes qu’elle veut que je perde.

« Pas si grosse que ça, rajoutai-je d’un ton détaché ! »

Il est vrai que je m’attendais à une punition beaucoup plus sévère. Désobéir sciemment en me promenant sans culotte, chercher à cacher ma bêtise et mentir pour le faire. J’avais accumulé les raisons pour lesquelles, selon ma compagne, une fessée serait la bienvenue.

« D’ailleurs, je n’ai plus de marques sur les fesses ! »

Ma compagne a examiné mes fesses.

« Il y a encore quelques traces de la fessée. Elle n’était donc pas si anodine que ça !

– Bof, répondis-je, ça ne fait plus mal du tout. »

Je savais que j’étais au bord de l’insolence, mais j’estimais que je pouvais pousser encore un peu cet avantage sans en recevoir la punition que cela méritait.

« Si tu veux, je peux te donner une autre fessée pour compléter celle de ce matin ? »

Je haussai de nouveau les épaules.

« Si tu continues comme cela, je vais te montrer ce qu’est une grosse fessée ! Je ne veux plus t’entendre. Encore un mot et je te le montre !

– Ce n’est pas juste. Tu dis cela parce que c’est moi qui ai raison !

– Bon, conclut-elle, tu l’auras voulu ! Lève-toi ! »

J’étais allé trop loin. Ma compagne n’avait pas supporté mon insolence. Elle avait estimé que je devais en être puni et elle s’y attelait sur-le-champ.

« Mais, Maman... »

Je protestais faiblement, mais je me levais. Ma compagne s’assit sur le lit et, en me prenant par le coude, elle m’obligea à me coucher à plat ventre sur sa cuisse. Elle n’avait même pas besoin de me baisser la culotte, je n’en avais pas.

Elle me donna une longue fessée. Allongé sur ses genoux, je ne pouvais plus rien dire, sauf à crier à chaque fois qu’elle augmentait la fournaise qu’elle avait entrepris d’installer sur mes fesses.

« Je vais t’apprendre à me répondre et à être insolent ! »

Les quelques secondes d’interruption pour me gronder ne marquaient pas la fin de la correction. Elle reprit de plus belle. Je ne sais pas exactement combien de temps elle dura, mais suffisamment pour que je regrette de ne pas avoir su me comporter comme ma compagne l’attendait.

Deux fois dans la journée que je testais les limites et deux fois que j’en récoltais une sévère punition. Je ne sais pas si j’apprendrai un jour à être plus poli avec les grandes personnes, particulièrement quand ma compagne est dans les parages. Mais ma compagne entreprenait de me montrer ce qui arrive aux garçons qui ne savent pas tenir leur langue. Elle y arrivait très bien, même si ni elle ni moi ne nous faisions d’illusions : il faudrait bien d’autres fessées pour que je retienne cette leçon et que je la mette en pratique.

Je n’en pouvais plus quand ma compagne mit fin à la punition.

« Retourne au lit, maintenant !

Je me recouchai, mais sur le ventre.


Quelques minutes plus tard, alors que ma compagne s’était absentée de la maison, j’allais regarder dans un miroir les dégâts que cette correction avait causés. Mes fesses étaient encore bien douloureuses et je les vis toutes rouges. Ma compagne avait bien fait son travail.

N’empêche que je n’avais toujours pas reçu une de ces fessées qui laisse des marques sur les fesses pour plusieurs jours alors que, objectivement, si ma compagne m’en avait donné une, cela n’aurait été que justice.




 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

1 commentaire:

  1. Quelle insolence ! En poussant à bout sa maman, ça ne peut que finir comme ça. Je vous comprends. Ce genre de situation me manque énormément : Tester la patience, rester en équilibre et malheureusement, le mot de trop, les regrets immédiats, mais c'est trop tard. La fessée bien méritée. J'ai connu tout cela par le passé. Ce sont des sensations étranges. Que j'aimerais les revivre !

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