lundi 23 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – vendredi 20 juin 2025 – 10 h 10

Avec la chaleur qu’il a fait ces dernières nuits, il est difficile de dormir, donc de récupérer. C’est valable pour tout le monde, mais quand, comme ma compagne, on travaille encore, il n’est pas possible de se reposer en journée. Alors que moi, je le peux.

Le gros inconvénient de cette situation, c’est qu’il lui était plus difficile d’assumer son rôle maternel. L’attention constante qu’il demande et l’énergie qu’il faut mettre pour donner une fessée qui compte deviennent une difficulté. J’avais bien vu, ce matin-là, que ma compagne n’avait plus la volonté nécessaire pour assumer les engagements qu’elle avait pris à mon égard.


Pendant le petit déjeuner, comme je commençais à en prendre maintenant l’habitude, je faisais très attention à fermer ma bouche quand je mastiquais. Comme cela s’était déjà produit, cela ne tint qu’au début du repas. Bientôt, mon contrôle sur moi se fit plus lâche et je me surpris à ouvrir la bouche, comme ma compagne ne voulait plus que je le fasse.

Je la fermais aussi vite que je pus et je jetai un œil vers elle. Visiblement, elle avait vu ce qui s’était passé, mais elle ne réagit pas. Je m’attendais à entendre l’ordre de me lever pour recevoir ma punition, au demeurant bien méritée. Rien. J’en fus content… et également dépité. Mais je lus dans son regard une sorte de renoncement qui m’alerta.

Un peu plus tard, j’eus l’explication.

« Tu es fatiguée ?

– Oui, ce n’est pas la grande forme aujourd’hui.

– Tu as mal dormi ?

– Quasiment pas de la nuit !

– Au point de ne pas me donner la fessée même si je la mérite ?

– Oui, même ça, je n’y arrive pas. »

Elle ne faisait pas preuve de son allant habituel.

« Alors que tu l’aurais méritée ! Combien de fois as-tu ouvert la bouche pendant que tu mangeais durant le petit déjeuner ? »

Elle avait donc vu. Ce n’était pas de l’indifférence.

« Mais je n’ai même pas eu le courage de te donner la fessée ou plutôt les fessées que tu méritais. »

C‘était donc pour cela que je n’avais pas pris de correction. Je me collais contre elle et tout cela finit par un câlin.

Ma compagne se reposa un peu, mais, bien que nous ne soyons que le matin, la chaleur était étouffante. Elle n’était pas propice au repos.



Avant que la montée de la température prévue dans la journée, il fallait passer un peu au jardin. Je résolus de m’y atteler et de laisser ma compagne récupérer un peu.

« Où vas-tu ? »

Je lui expliquais ce que j’avais l’intention de faire.

« Il faut que tu te changes. Tu ne vas pas y aller habillé comme ça. Tu vas te salir.

– Oui, Maman, mes vêtements de travail sont là-bas.

– Je vais te changer ! »

J’ouvris la bouche pour protester, et puis je me ravisai. Ma compagne tenait tout de même à tenir son rôle maternel. De toute façon, elle ne dormait pas. Se reposer devenait impossible. Il allait bientôt faire bien trop chaud.



Ma compagne commença par m’enlever le polo et par me mettre celui qui était réservé pour les travaux salissants. Il était long et me descendait au ras des fesses. Ma compagne dénoua la ceinture de mon short, puis elle le baissa et me l’ôta complètement. On voyait à peine ma culotte blanche pratiquement dissimulée par le bas de mon polo.

« Je pourrai y aller comme ça, suggérai-je par provocation.

– Oui, et pourquoi pas sans culotte ?

– Oui, c’est vrai ! »

Une forte claque atterrit sur le haut de ma cuisse droite. Rien ne me protégeait du mordant de la main de ma compagne.

« Aïe, criai-je !

– Je t’ai interdit de te promener sans culotte ! »

Mon impertinence naturelle reprit le dessus.

« Mais tu es trop fatiguée pour me donner une fessée !

– Et toi, tu cherches à en profiter ! »

Elle fit passer son bras derrière mon dos et elle me ceintura la taille, m’obligeant à me courber sous son bras. Il n’y eut plus aucun doute sur ce qu’elle envisageait de faire quand elle me baissa la culotte.

« Je vais quand même m’occuper de ton insolence !

Sa main claqua mes fesses. Je poussais un cri de douleur. Elle n’avait peut-être pas beaucoup de vitalité, mais celle qui lui restait suffisait pour me chauffer fortement les fesses.



Ce ne fut pas une grosse fessée, mais elle lui permit tout de même par m’apprendre que je ne pouvait me montrer irrespectueux envers elle qu’à mes dépens. Une bonne fessée déculottée pour ce faire, cela se concevait.




 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

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