Il va vraiment falloir que je change mes habitudes. Je ne peux plus être aussi inconséquent et continuer à manger la bouche ouverte, sans m’inquiéter de ce qu’en pensent les personnes qui sont attablées avec moi. Je sais que c’est très désagréable pour elle. Jusqu’à maintenant, je ne m’en rendait même pas compte.
Il n’y a que depuis que ma compagne m’en a fait la remarque que je sais que, souvent, quand je mastique, j’ai la bouche ouverte. Les premiers temps, ça a duré pendant trois ans, elle s’est contentée de me montrer son agacement. Évidemment, ça n’a rien changé. J’ai continué comme si de rien n’était. Bien sûr j’étais irrité que ma compagne m’en fasse le reproche bien plus que par mon attitude. Jusqu’au jour où elle a décidé de me faire changer de force puisque je ne la faisais pas volontairement.
Face à un adulte récalcitrant, moi en l’occurrence, qui ne veut pas faire les efforts nécessaires pour modifier ses façons de faire, ma compagne sait comment il faut s’y prendre. Elle administre une bonne fessée déculottée et là, je n’ai pas d’autre choix que de prendre conscience de ce que je viens de faire. C’est encore ce qui m’est arrivé ce matin-là.
Nous prenions tranquillement notre petit déjeuner et la conversation se cantonnait, autant que je m’en souvienne, sur des sujets banals. Soudain, j’ai vu la physionomie de ma compagne changer. Elle fronçait les sourcils et me faisait ds yeux noirs. Ces signaux sont clairs. Ils signifient que ma compagne est passé en mode éducatrice et que je viens de faire une bêtise.
J’ai tout de suite su de quoi il s’agissait. Ce n’est tout de même pas pour rien que j’ai déjà reçu la fessée pour cette raison. Je me souviens encore de chacune d’elle et je garde en moi le souvenir de la brûlure causées par les orties et de la démangeaison persistante qui en a découlé. J’avais encore failli à me maîtriser et ma compagne devait faire ce qu’il fallait pour que je m’en rappelle.
« Josip, qu’est-ce qu’on avait dit ? »
J’avalais la bouchée que je venais de mastiquer et je gardais le silence. Je ne savais plus comment me comporter. Je regardait ma compagne, sans oser soutenir son regerd. Chaque fois que je levais la tête, je voyais bien qu’elle était fâchée contre moi. Elle en avait une très bonne raison.
« Alors ? Qu’est-ce qu’on avait dit ? »
Ne pas répondre c’était m’exposer à une accusation de désobéissance qui se rajouterait à la première. Ce n’était pas nécessaire d’aggraver mon cas. Mais reconnaître ma bévue, c’était également reconnaître qu’une punition était indispensable. Jusqu’à cet instant, je pouvais espérer y échapper. Cela ne dura pas.
« Que je devais fermer ma bouche quand je mange ?
– Exactement ! Et as-tu respecté cette consigne pourtant simple ?
– Non, Maman, mais je ne m’en suis pas rendu compte.
– Eh bien, je vais t’aider à t’en apercevoir ! »
La conversation prenait une tournure déplaisante pour moi. Ma compagne comme moi savions où elle nous conduisait.
« Puisque tu ne sais pas te discipliner tout seul comme doit le faire tout adulte responsable, je vais m’en charger ! »
Il y avait là, dans cette phrase, résumés tous les principes que ma compagne utilisait pour parfaire mon éducation.
« Lève-toi et viens ici ! »
Je me mis debout. Il n’y avait que deux pas à faire, mais ils montraient clairement que je reconnaissais avoir mérité la punition que ma compagne envisageait. Mais comment faire autrement ? Toute autre attitude serait interprétée par ma compagne comme un refus. Je ne voulais pas, pour rien au monde, en connaître les conséquences. Je parcourus la courte distance qui me séparait d’elle. Cela paraît toujours trop rapide quand on sait quelle punition m’attendait au bout.
Sans plus attendre, ma compagne entoura ma taille de son bras gauche, puis elle m’eut pas à peser bien pour sur mon dos pour que je me courbe sous son bras. Elle ne faisait que son devoir et, aussi désagréable qu’il puisse être pour moi, je savais qu’elle avait raison. Ce n’était pas sous le coude de ma compagne que j’attendais une correction, mais sous celui d’une autorité maternelle qui allait me punir comme elle le ferait avec un petit garçon.
Je ne pouvais m’en prendre qu’à moi. En refusant d’assumer mes obligations d’adulte, j’avais, par défaut, choisi d’être traité de façon aussi infantilisante. Pourtant, j’en connaissais à l’avance les conséquences, mais je n’arrivais pas à me maîtriser. Ma compagne saurait me le faire comprendre. L’expérience me l’avait appris. Courbé sous son bras, j’étais bien à ma place.
Qu’elle laissât mon short et ma culotte là où ils étaient ne m’effleura même pas l’idée. La punition en serait amoindrie et ce n’était pas ce que souhaitait ma compagne.
« C’est malheureux qu’à ton âge, je sois obligée d’en venir là ! »
Elle tira sur le short pour le baisser. Ce ne faut pas aussi simple qu’elle l’avait imaginé. Ce n’était pas que je me montrait récalcitrant. Je m’attendais à ce qu’elle me déculotte. L’idée même du contraire serait risible. Ce n’était pas dans ses habitudes. Mais elle avait omis de dénouer le lacet qui retenait mon short autour de ma taille. Il lui fallut forcer pour que mon vêtement passe l’obstacle de mes hanches. Après, cela alla tout seul. Baisser ma culotte ne fut qu’une formalité.
Là où nous étions, il n’y avait aucun inconvénient à me déculotter. Ça ne présentait que des avantages. Baisser mon short et ma culotte permettait à ma compagne de souligner la perte de mon statut d’adulte, ce que la position dans laquelle elle m’avait mis avait déjà indiqué, et la correction qui en découlerait serait bien plus rigoureuse.
« Non, Maman, pas la fessée, dis-je faiblement. »
Ce n’était que pure rhétorique. Il ne pouvait en aller autrement. Elle comme moi, nous le savions.
« Parce que tu ne l’as pas méritée, peut-être ? »
Elle n’attendit pas ma réponse. Sa main claqua sur mes fesses.
« Aïe, criais-je ! »
Pour faire bonne mesure, elle en fit autant de l’autre côté. Je réagis de la même façon. Je ne pouvais rien faire d’autre. J’agrippais à son pantalon afin d’être certain de lui laisser toute liberté pour me corriger. Je savais que je devais rester dans la position qu’elle m’avait assignée jusqu’à ce qu’elle m’autorisât à me relever.
A chaque fois que sa main s’abattait sur mes fesses, je ne pouvais retenir ni le cris de douleur, ni le tressaillement qui parcourait mon dos. Consciencieusement, elle entreprenait de me rougir les fesses. Je ne pouvais pas voir quelle couleur elles prenaient, mais la cuisson qui montait m’en donnait une bonne indication. Je crispais les fesses, mais cela ne changea rien du tout. La brûlure qu’elle entretenait sur mes fesses était toujours aussi forte.
Il me fallait des fesses bien cuisantes pour que je me souvienne que je devais fermer la bouche en mangeant. Ma compagne y arriva sans difficulté. Je me tortillais sous son bras quand elle insistait, trop longtemps à mon goût, au même endroit. Mais cela ne l’empêchait nullement de me fesser comme elle l’entendait.
Quand elle me laissa me relever, j’avais les fesses brûlantes. C’était certainement le résultat auquel ma compagne voulait arriver. Je me gardais bien d’y porter mes mains. C’était interdit.
« Es-tu maintenant certain que cette fessée suffise ?
– Oui, Maman !
– Oh, moi, je n’y crois pas un seul instant. Je suis persuadée qu’il faudra que je te donne d’autres fessées avant que tu manges correctement. Mais s’il le faut... »
Je restais debout devant elle, la culotte baissée, attendant son bon vouloir. Finalement, elle remonta ma culotte et fit de même avec mon short après avoir dénoué le lacet, ce qu’elle avait oublié de faire quand elle l’avait baissé.
« Va finir de déjeuner ! »
Bien qu’il y ait un coussin sur la chaise, la position assise raviva la douleur. Je grimaçais, mais je ne fis aucune remarque. Que mes fesses soient douloureuse pendant de longues minutes encore, faisait partie de la punition. Il aurait été mal venu de m’en plaindre. Je serrais les dents. Ma compagne me surveillait, mais elle ne fit aucune remarque. Tout était normal.
J’appréhendais la fin du déjeuner. Une fois déjà, elle avait attendu que j’ai fini de manger avant de me donner l’ordre d’aller cueillir des orties. Avait-elle l’intention de faire pareil ? Je craignais qu’elle s’y soit résolu. Heureusement, il n’en fut rien.
Une seule fessée, même si elle avait été grosse ? Je m’en tirais pas trop mal compte tenu de mon obstination à recommencer la même bêtise.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
La première fessée du journal relatée ici
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
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