J’ai dit à ma compagne, ce week-end, qu’elle avait adopté une attitude plus maternelle vis-à-vis de moi. Je retrouve l’attention dont elle faisait preuve à mon égard quand nous n’habitions pas encore ensemble. Elle a reprit l’habitude de m’habiller et de me déshabiller, de me mettre sur les toilettes quand elle l’estime nécessaire, de m’essuyer les fesses… Il n’y a que la douche qu’elle ne fait plus, mais le lieu ne se prête pas à cet exercice, cependant, de temsp en temps, elle prend le temps de me sécher avec la serviette de toilette.
Malheureusement, tous ces gestes quotidiens incluent également la fessée déculottée et je peux vous assurer qu’il s’agit bien de punitions. Quand elle me punit, c’est toujours qu’elle a une raison valable. Je n’ai rien à dire sur ce sujet. Elle formule plus facilement des exigences, comme ses prérogatives de maman l’y autorisent, et quand je ne m’y conforme pas, elle me punit d’une bonne fessée. C’est l’inconvénient, mais je ne peux pas avoir l’un sans l’autre, alors je prends le tout.
Nous avions fini de manger et nous avions commencé à ranger. Il faut vous dire que dans cette maison, la proximité d’une étable amène plein de mouches. Elles n’hésitent pas à venir se poser sur les aliments, ce que je déteste. Quand elles sont proches de moi, je tente de les écraser soit avec un chiffon quand j’en ai un, soit avec la main.
Maman me dit souvent :
« Laisse les mouches tranquilles ! »
Je n’en tiens rarement compte. Elle ne m’a jamais donné de fessée pour cette raison. Je crois que tant qu’il n’y a pas d’autre dégât que pour les mouches, cela l’arrange bien que j’en diminue le nombre dans la maison.
Comme j’en ai donc l’habitude, n’ayant pas de chiffon, j’ai tenté d’écraser avec la main la mouche qui s’était posée sur la table. Pour avoir une chance de l’avoir, j’ai tapé assez vite et assez fort. Rien n’a fonctionné comme je le souhaitais. La mouche s’est envolée, je l’avais ratée, mais le contrecoup sur la table a renversé une canette ouverte, et ça a giclé partout, y compris par terre.
« Non, mais ce n’est pas vrai ! »
Maman m’a pris par l’oreille et j’ai dû me lever de ma chaise. Elle m’a traîné ainsi jusqu’à un fauteuil sur lequel elle s’est assise. Elle n’a pas prononcé un mot, mais aurait-ce été utile ? Je savais ce qui allait m’arriver. La sentence n’avait pas besoin d’être verbalisée. La punition allait de soi et sa nature était claire pour elle comme pour moi.
Debout devant elle, je n’ai pas esquissé un geste pendant qu’elle dénouait le lacet qui retenait mon short sur mes hanches. Ses deux doigts glissés sous l’élastique de deux côtés l’ont baissé, le laissant tomber sur mes pieds.
« Mets-toi à genoux là ! »
Là, c’était entre ses deux pieds. Je pris la position qu’elle m’indiquait. Il était normal qu’elle me punisse non seulement de ma désobéissance, mais aussi des conséquences de mon geste. Il ne me vient pas une seconde l’idée de me révolter contre le traitement qu’elle s’apprêtait à m’infliger, bien que, selon certains, je n’avais plus l’âge de recevoir une fessée. Ce n’était pas vrai. Je ne l’ignorais pas, elle non plus. Je savais qu’elle en avait parfaitement le droit et qu’elle allait l’exercer. Sans doute ferai-je plus attention à l’avenir.
Elle me prit par le bras et m’obligea à m’allonger à plat ventre sur sa cuisse, puis, sans plus attendre, elle baissa ma culotte. Tout était prêt pour une bonne fessée déculottée. Ma compagne n’hésita pas.
Sa main claqua fortement sur ma fesse gauche, puis sur la droite. Elle recommença une fois, deux, trois… dix fois, et la chaleur montait inexorablement sur mon postérieur. Elle y mettait de l’énergie et cela faisait mal aux fesses. Mais c’est exactement ce que ma compagne cherchait à faire. Il me fallait de fesses cuisantes pour me punir de ce que j’avais fait et pour m’apprendre à ne pas recommencer.
Elle s’attardait quatre ou cinq fois au même endroit avant de recommencer de l’autre côté, puis de revenir au premier, mais en décalant un peu l’endroit où sa main s’abattait. Elle ne cessait de me gronder.
« Quand est-ce que tu vas apprendre à faire attention ? Je t’avais pourtant interdit de t’occuper des mouches. Je veux que tu obéisses du premier coup ! »
Cela me faisait parfaitement sentir combien j’avais agi de façon irréfléchie, sans penser aux conséquences de mon geste. Maintenant, je le regrettais, mais c’était bien tard. Je gigotais sur sa cuisse. Mes pieds battaient frénétiquement dans l’air. Mais tout cela était bien inutile. Je ne tentais pas d’échapper à son emprise. Elle avait décidé que je méritais une fessée, je devais donc la recevoir jusqu’à ce qu’elle jugeât que j’avais été assez puni.
« Est-ce que tu recommenceras ?
– Non, Maman , non ! Je ne recommencerai plus !
– Eh bien sûr je t’y reprend, tu auras une bien plus grosse fessée que celle-ci ! »
Après une dizaine de claques bien fortes de chaque côté, elle mit fin à la correction et remonta ma culotte.
« Remets-toi debout ! »
Elle rajusta mon short et renoua le lacet qu’elle avait défait pour me déculotter.
« Tu vas aller essuyer ce que tu as mis par terre ! En vitesse ! »
Une claque sur le haut de ma cuisse me montra l’urgence qu’il y avait à lui obéir. Je n’avais aucune intention de ne pas le faire, mais elle prévenait une future désobéissance. Je pris un essuie-tout et je tâchais de faire un travail le plus propre possible, guettant son approbation. Je ne voulais pas risquer une nouvelle fessée. Celle-là m’avait suffi.
J’avais quand même échappé à une mise au coin. C’était la seule bonne nouvelle pour moi.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
La première fessée du journal racontée ici
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
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