dimanche 22 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 19 juin 2025 – 09 h 25

Évidemment, se faire déculotter et fesser par sa compagne sans avoir son mot à dire, ce n’est pas commun. Pourtant, depuis que j’ai admis que j’avais besoin de cette supervision pour corriger mes comportements enfantins et mes mauvaises habitudes, je dois avouer que mes écarts sont moins nombreux ou qu’ils durent moins longtemps. Les fessées que je reçois n’y sont pas pour rien.

Ma compagne sait donner la fessée. Même les plus courtes sont toujours cuisantes. Je les crains toutes, mais j’ai une véritable terreur quand elle décide que j’ai besoin de sentir la brûlure des orties sur mes fesses. Ces végétaux ne présentent aucun risque de blessure ou de provoquer un bleu. Elle peut donc les appliquer aussi longtemps qu’elle le juge nécessaire et je les sens au moins pendant une journée entière. Ma compagne dit que c’est tout à fait ce qu’il me faut et qu’ainsi je garde longtemps en mémoire ce qui m’a valu la fessée aux orties et ça me dissuade de recommencer. En général, elle a raison.

J’avais fini mon petit déjeuner.

« Tu vas cueillir une bonne poignée d’orties, des jeunes, afin qu’elles soient bien urticantes !

– Maman…

– En vitesse ! Si c’est moi qui doit y aller, ce sera bien pire. »

La mort dans l’âme, je lui obéis. Je n’avais de toute façon pas le choix. C'était logique qu'elle projette de me donner une fessée aux orties, mais j'avais espéré y échapper.


Je mis des gants pour me protéger les mains et j’allais là où il y avait des orties qui repoussaient. J’étais un peu plus serein, si l’on peut dire, que la dernière fois. J’avais dû aller cueillir des orties en ne portant qu’une culotte. Si j’avais alors dû expliquer à une tierce personne ce que je faisais à cueillir des orties en petite culotte, je ne sais pas ce que j’aurais bien pu leur répondre. Aujourd’hui, j’avais un short pour couvrir ma petite culotte. Qu’aurais-je pu répondre ? Je ne sais pas bien, mais ma tenue plus conforme à celle que portait un adulte me réconfortait. Sans doute à tort, mais je m’en contentais.

Je cueillais une poignée d’orties dont la plupart étaient encore humides. La rosée du matin. Ma poignée de végétaux à la main, je revins là où ma compagne m’attendait. Ce n’était pas exactement le cas. Elle consultait son ordinateur et je ne savais plus quoi faire. Je restais indécis au milieu de la pièce. Si, au moins, elle m’avait mis au coin, j’aurais su comment me comporter, mais là, je n’avais aucune consigne.

« Ne bouge pas, j’arrive ! »


Je restais au milieu de la pièce, la poignée d’orties à la main. Heureusement, ma compagne ne tarda pas à me rejoindre. Elle me prit les orties de la main et les posa sur la table. Puis elle défit le nœud qui empêchait mon short de tomber. Alors m’obligea, sans que je résistasse, à me courber sous son bras en enlaçant son bras autour de mes reins.

Il lui était alors simple de baisser mon short, puis ma culotte. Évidemment, fesser avec les orties suppose de d’abord déculotter. Il ne fallait pas que le tissu, recouvrant mes fesses, absorbe l’effet urticant des orties.

Je serrai les fesses, mais c’était bien inutile. Elle commença par une fessée à main nue. Je ressentis aussitôt les sensations que j’avais éprouvées au cours de la précédente fessée : un échauffement aigu de mon épiderme fessier avec sans aucun doute la coloration qui va avec, mais, vu la position qu’elle m’avait fait prendre, je ne le voyais pas.

La courte interruption lui permit de prendre la poignée d’orties qu’elle avait posée à portée de main. Elle en frappa mes fesses. La brûlure fut instantanée. Je crispais mes poings, chiffonnant le tissu de son pantalon entre mes mains. J’eus un bref sursaut, mais ma compagne devait s’y attendre. Elle raffermit sa prise autour de ma taille, me contraignant à laisser mes fesses nues à disposition de la morsure des orties.

Je n’avais, en aucun cas, l’intention de me dégager de là et d’interrompre la fessée malgré l’intensité de la brûlure que provoquaient les plantes urticantes, mais mon corps réagissait sans que je n’y puisse rien. C’étaient des réflexes et heureusement que ma compagne me maintenait en place, freinant mes mouvements intempestifs sous la fessée.

Je ne sais combien de fois, elle appliqua les orties sur mes fesses. Elle prenait soin de ne pas oublier un centimètre carré de peau depuis le haut de mes fesses jusqu’à mes cuisses. La brûlure avait été intense dès le début de la fessée, mais elle augmenta encore quand le pouvoir urticant des orties donna tout son potentiel.

Je savais que j’en avais maintenant pour de longues heures à ressentir la brûlure. Je ne sais pas si c’était parce que les orties que j’avais cueillies étaient encore pleines de rosée, mais la cuisson, tout en étant très forte, me paraissait moins intense qu’avec celles que j’avais dû aller cueillir quelques jours auparavant. Je ne m’en plaignais pas.

Ma compagne reposa les orties et la fessée à main nue reprit. Se superposant à la cuisson provoquée par les orties, cette fessée fut mémorable. Je ne sais pas comment faire comprendre que ce n’était pas comme quand ma compagne me donnait une fessée ordinaire : là, la cuisson était sublimée par celle d’avant. Les effets se multipliaient pour atteindre le point où la fessée devenait insupportable. Et je savais que j’en avais pour longtemps.

Le pouvoir urticant des orties n’était pas épuisé. Ma compagne me le démontra en reprenant la poignée des végétaux et en frappant mes fesses encore de nombreuses fois. Je sentais leur piqûre, suivie aussitôt par une brûlure qui irradiait toutes mes fesses tout en restant localisée là où les orties m’avaient été données.

« Tu vas au coin ! »

Elle m’avait relâché. Ma compagne me donna une claque sur les fesses. Elle était assez forte et surtout elle se rajoutait à la morsure des orties. Je me dépêchais de rejoindre le coin et de croiser mes mains dans mon dos, remontant un peu mon polo afin qu’il n’y ait pas d’obstacle à la vue de mes fesses. Le nez enfoncé dans l’angle du mur, je m’immobilisais. Je devrais conserver cette position durant de longues minutes, jusqu’à ce que ma compagne estimât que j’avais eu le temps de prendre les bonnes résolutions qui s’imposaient après une telle fessée.

J’étais encore puni. D’ailleurs, quelques bonnes claques sur les fesses vinrent opportunément me rappeler qu’elle pouvait, si c’était nécessaire, me redonner une fessée. Je tentais de rester en position, même si c’était difficile.

Quand j’étais mis au coin après une grosse fessée, durant les premières minutes, je ne pouvais songer qu’à la cuisson qui embrasait mes fesses, souhaitant ardemment qu’elle veuille bien diminuer un peu. La fessée aux orties prolongeait ce temps. Puis progressivement, les élancements de mon postérieur devinrent plus espacés.

C’est à ce moment que j’ai pris réellement conscience du tableau que je devais offrir à ma compagne. Je n’étais plus qu’un petit garçon qui venait de recevoir une bonne fessée déculottée. Mon corps d’adulte ne faisait que souligner que je n’étais pas capable d’en assumer les contraintes. Il était nécessaire de me donner une fessée déculottée, puis de me mettre au coin, pour être sûr que j’avais bien compris que je devais faire disparaître cette mauvaise habitude.


En acceptant la supervision de ma compagne sur mon éducation, je savais que cela se traduirait par de cuisantes fessées déculottées. Elle me l’avait dit et j’avais pris ma décision en connaissance de cause. Je lui avais donné le droit de me punir quand elle l’estimait nécessaire et de la façon qu’elle jugeait pertinente. Adepte de la fessée déculottée, elle me faisait profiter de ses bienfaits. Elle considérait que le décalage entre la nature de la punition et mon âge, que je ressentais quand elle me déculottait et qu’elle me fessait et qu’ensuite elle me mettait au coin, faisait partie du processus d’éducation dont j’avais besoin. Certes, c’était infantilisant, mais il aurait été malvenu que je le conteste.

Il n’était, maintenant, plus question de revenir en arrière. Notre relation filiale et les punitions qui en découlaient faisaient partie de ma vie. J’étais reconnaissant à ma compagne de prendre le temps de s’occuper de moi. Je n’aimais pas quand ma compagne me baissait la culotte et qu’elle me donnait une fessée, pas plus quand elle me mettait au coin, mais je n’avais pas le choix.

Je savais que je devais lui obéir et qu’au moindre manquement elle pouvait décider que j’avais mérité une bonne fessée. Dès qu’elle trouvait un endroit et un moment qui lui convenaient, elle me punissait. Je n’avais pas mon mot à dire. Je savais, c’était déjà arrivé, qu’elle me baisserait la culotte et qu’elle me fesserait en présence d’autres personnes. Quand elle l’avait décidé, ma pudeur m’avait plus cours. Si les conditions le permettaient, me donner une fessée déculottée en public ne lui posait pas de problème. Elle regrettait seulement de ne pouvoir le faire aussi souvent que j’en avais besoin.

Le temps passé au coin est très favorable pour les introspections.


Ma compagne ne s’occupait plus de moi. Heureusement, il n’y avait personne d’autre dans la maison. Cela n’aurait gêné que moi, certainement pas ma compagne. Seuls les bruits qu’elle faisait en se livrant à ses tâches quotidiennes me renseignaient sur ses activités. Le nez enfoncé dans le coin, je ne voyais rien.

J’entendis ses pas quitter la pièce où nous nous tenions pour se rendre dans celle d’à côté. Rapidement, je passais ma main sur mes fesses. La peau n’était plus lisse comme elle l’était avant l’utilisation des orties. Elle était couverte de petites cloques que le liquide urticant avait fait apparaître. Je savais que cela ne présentait aucun danger pour mon intégrité physique. Ma peau retrouverait son aspect d’origine au bout de quelques heures. Mais j’en avais pour bien plus longtemps avant que la brûlure de mes fesses ne soit plus présente à chaque instant, et encore bien plus longtemps avant que la peau de mes fesses ne soit plus sensible au toucher.

Je remis ma main dans mon dos avant que ma compagne ne revienne. Je savais ce qui m’attendait si elle s’apercevait que je prenais des libertés avec la position que je devais garder quand elle me mettait au coin.


Elle ne m’y laissa qu’un bon quart d’heure. Je devais aller faire des courses, mais pour une pénitence après une aussi grosse fessée, c’était très court. Je n’avais même pas eu le temps de m’y ennuyer. Elle me reculotta.

« Va te laver les dents, puis tu vas aller en courses.

– Oui, Maman ! »

Je suivis ses ordres avec empressement. J’étais toujours très obéissant après avoir reçu une bonne fessée. Cela avait au moins cet avantage.




 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.