Très souvent, je profite de l’absence de ma compagne pour faire tout ce qu’elle me défend. Il s’agit pour moi, de goûter au plaisir de l’interdit, de faire ce qui est défendu, tout en le sachant, avec une boule au ventre qui me rappelle ce qui m’arrivera si ma compagne s’en aperçoit.
J’ai déjà évoqué cette question dans un précédent article. Ce n’est vraiment pas que j’éprouve du plaisir à recevoir une fessée. Certes, je n’ai plus du tout honte de montrer mes fesses nues en présence de ma compagne que ce soit dans l’intimité ou quand elle envisage de me punir, sans doute l’habitude. Cela-dit, c’est toujours ennuyeux quand elle me baisse la culotte avec l’intention de m’administrer une correction. Je n’ai plus du tout l’impression que nous avons une relation entre deux adultes, ce qui est vrai. A ces moments-là, elle dispose de toutes les prérogatives d’une maman, donc de me punir en me déculottant et en me fessant, et moi, je dois obéir. Elle considère qu’elle doit me donner une fessée quand je l’ai méritée et je dois avouer que je ne saurai m’y opposer.
En ce moment, il fait très chaud et je suis bien plus à l’aise avec juste un tee-shirt et rien du tout autrement. Ma compagne n’est pas d’accord. Elle dit que seuls les petits enfants peuvent montrer leurs fesses à tout va, sans que cela porte à conséquence.
« Tu dois apprendre à rester correctement habillé, quelles que soient les circonstances : au minimum des chaussons ou des chaussures, un tee-shirt, une culotte et un short. Comme cela, quelles que soient les personnes qui te voient, tu sais que tu as une tenue décente ! »
Elle a raison, comme souvent l’ont les grandes personnes responsables. Mais je ne peux m’empêcher de préférer mon plaisir immédiat sur mes obligations d’adulte. Je ne sais pas comment cela se passerait si d’autres grandes personnes m’apercevaient dans cette tenue inconvenante. Là où je suis, dans le jardin ou dans la maison, c’est assez improbable. Je ne m’en préoccupe donc pas.
Mais ma compagne ne l’entend pas de cette oreille. C’est la voix de la sagesse. Elle m’a donc interdit de me promener en dehors de ma chambre sans au moins une culotte qui recouvre mes fesses et sans chaussons aux pieds à chaque fois que je me déplace dans la maison.
« Si je te prends sans culotte ou les pieds nus, tu auras une fessée, m’a-t-elle promis ! »
Quand elle est là, je fais attention, mais quand elle s’absente, je reviens à mon intention première. Il faut juste gérer les moments délicats, c’est-à-dire quand elle revient.
Ce matin-là, ma compagne était absente. Comme il faisait chaud, j’avais mis la tenue la plus légère possible. Je n’avais sur le dos, qu’un tee-shirt qui descendait assez bas, au ras de mes fesses. Je ‘avais de chaussures que lorsque je devais aller dehors et je ne portais pas de culotte tout en ayant dans un coin de ma tête l’obligation que me faisait ma compagne de m’habiller décemment. Il suffisait juste de le faire un peu avant qu’elle n’arrive.
Elle avait prévu de revenir vers midi. Comme elle est toujours en retard, je comptais plutôt midi et demi. J’ai donc vaqué à mes occupations toute la matinée dans le jardin sans trop me soucier de l’heure. Je ne l’avais pas sur moi. J’allais la consulter, de temps en temps, à l’intérieur de la maison.
12h15. J’ai encore largement le temps. Je suis retourné dans le jardin.
12h30. Il fallait commencer à être prudent. Je regardai discrètement si sa voiture était là. Ce n’était pas le cas.
12h35. Toujours pas de voiture. Je décidais, malgré tout, de jouer la prudence et de rentrer m’habiller correctement, comme ma compagne le voulait. J’allais rentrer dans la maison quand je me suis rappelé qu’il y avait une toute petite chose que je n’avais pas faite dans le jardin ? Cela ne me prendrait que deux minutes. J’y allais. J’en revenais quand j’entendis ma compagne m’appeler.
« Mon petit cœur, où es-tu ? »
Je la vis qui arrivait par la porte du jardin. Elle ne pouvait pas me voir, espérais-je. Je m’immobilisais. J’étais encore à l’extérieur et je n’avais qu’un tee-shirt et des chaussures. Pas suffisant selon les consignes de ma compagne. Heureusement, elle fit demi-tour et elle se dirigea vers la porte de la maison.
Je me dépêchais de rentrer. J’abandonnais mes chaussures aussi vite que je le pus et, pieds nus mais il y avait urgence, je filais vers la chambre. J’enlevais rapidement mon tee-shirt et je mis une culotte. J’avais presque mis ma chemisette quand j’entendis ma compagne.
« Où es-tu ?
– Ici, criais-je !
– Mais que fais-tu ?
– Eh bien, je m’habille.
– Et avant, tu faisais quoi ?
– Je ne sais pas… euh… j’étais dans le jardin.
– Ah, tu étais dans le jardin et comment étais-tu habillé ?
– J’avais un tee-shirt et une culotte, celle-là et puis des chaussures ! »
Je désignais le sous-vêtement que je portais.
« Et pourquoi n’as-tu pas répondu quand je t’appelais ?
– Je ne sais pas. Je n’ai pas entendu.
– Comment se fait-il alors que tu es rentré en courant ?
– ... »
La conversation prenait une tournure qui devenait dangereuse. Ma compagne bluffait-elle ou savait-elle réellement quelque chose ?
« Tu croyais peut-être que je ne t’ai pas vu ?
– …
– Je ne vois qu’une raison qui t’aurait poussé à agir de la sorte : c’est que tu ne portais pas de culotte ! »
Je ne voyais plus comment me sortir de ce mauvais pas, même en lui mentant. Je l’avais déjà largement fait, peut-être valait-il mieux ne pas s’y enferrer. Je restais silencieux. Ma compagne l’interpréta, et elle avait raison, comme un aveu de culpabilité. Elle m’avait laissé lui mentir, puis elle avait abattu ses cartes maîtresses et je n’avais plus rien de pertinent dans mon jeu.
« Pose ce pantalon ! »
J’avais fait comme si tout était normal en continuant à m’habiller. Mais maintenant, il fallait faire face. Je savais ce qui allait suivre et c’était bien normal, je l’avais mérité.
« Viens-ici ! »
Je savais ce qui allait m’arriver si je franchissais les quelques pas qui me séparaient de ma compagne et pourtant je les fis.
« Mets-toi à genoux là ! »
Elle me désignait le sol entre ses deux pieds. Je m’y agenouillais. Elle me prit par le bras et, comme agacée, elle m’allongea su son genou gauche. Elle s’empara alors de ma culotte et la fit glisser le long de mes cuisses. Elle frappa alors ma fesse droite, puis la gauche. Je ne pus retenir un cri de douleur. Sans doute satisfaite de ce qu’elle avait obtenu, elle insista de la même façon. La brûlure de mes fesses devint très rapidement intense. Cela n’arrêta pas ma compagne. Elle continua la fessée. C’était la deuxième fois dans la semaine qu’elle me trouvait avec une tenue trop infantile à son goût, désobéissant ouvertement à ses consignes. Il fallait me donner une grosse fessées afin de m’ôter l’envie de recommencer. Elle s’y employait.
« As-tu bien compris que je ne veux pas que tu ailles te promener dehors sans culotte ?
– Oui, Maman, … aïe, j’ai compris… aïe, j’ai compris… aïe ! »
Si elle stoppait brièvement d’appliquer sa main sur mes fesses pour me questionner, elle ne me laissait pas me redresser sur mes pieds et elle reprenait la correction sans me laisser ni le temps de répondre, ni le temps de récupérer un peu de la punition qu’elle m’infligeait. Je crispais mes fesses et mes cuisses. Cela me donnait le sentiment de pouvoir supporter la fessée plus aisément, mais je ne crois pas que cela eut un effet quelconque. La cuisson de mes fesses devenait de plus en plus soutenue.
Quand elle me laissa me remettre sur mes pieds, ce ne fut pas encore la fin de la correction.
« Va me chercher une baguette ! Et dépêche-toi ! »
Les baguettes souples en bois étaient dans la pièce à côté. Je m’y dirigeais aussi vite que je pouvais malgré la culotte, descendue à hauteur de mes genoux, qui gênait ma progression. Mais je savais que je ne devais pas prendre l’initiative de la remonter. Cela m’était interdit ? De toute façon, c’est elle qui s’en chargerait, me signifiant ainsi la fin de la punition.
Je revins avec quatre ou cinq baguette dans la main.
« Je ne savais pas laquelle tu voulais.
– Je vais peut-être bien les utiliser toutes ! »
Elle en éprouva la flexibilité et en choisit une. Puis, me prenant par le coude, elle me réinstalla à plat ventre sur sa cuisse gauche. La fessée à main nue reprit et avec elle ma litanie de cris de douleur. Elle n’eut besoin que de marquer une courte pause pour prendre la baguette. J’entendis un léger sifflement dans l’air au dessus de mon postérieur et la baguette traça un trait de feu qui barra mes fesses.
Ma compagne l’y appliqua une bonne dizaine de fois. Sans doute rassurée par mais cris devenus plus aigus et par les marques que la baguette avait tracé sur mes fesses, ma compagne reposa le terrible instrument. Elle avait jugé que cela suffisait mais la fessée reprit avec sa main nue. Elle ne l’interrompit qu’une fois.
« Es-tu certain d’avoir bien compris ?
– Ouin Maman, oui, j’ai compris ! »
La correction reprit. Elle me fessa encore une bonne dizaine de faois.
« Je ne te retrouverai plus jamais dans le jardin sans culotte ?
– Non, Maman, j’ai compris… aïe, … j’ai compris … aïe ! »
La punition avait reprit sans attendre ma réponse. Finalement, elle s’en tint là. Je sentais la chaleur rayonner de mes fesses et des élancements douloureux la traversaient. Elle me remit debout devant elle.
Comme souvent à la fin d’une fessée, la culotte toujours baissée, je dus lui demander pardon et lui promettre de ne plus recommencer. Si cela se produisait, j’ai admis qu’il me faudrait une autre fessée, comme si ma compagne avait besoin de mon autorisation pour me déculotter et me corriger.
Enfin, elle remonta ma culotte.
« Va mettre ton pantalon. Nous sommes en retard ! »
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
La première fessée du journal racontée ici
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
Bonjour Josip. Je reconnais que sortir dans le jardin en teeshirt sans rien dessous en bas, fesses à l’air c’est réservé aux tellement petits gamins. Je t’ai raconté comment moi aussi après une sévère fessée qui m’avait rougi les fesses et les cuisses je me suis laissé aller à rester en teeshirt un peu long et sans culotte. Je trouvais ça tellement agréable, aucun contact de textile. Ma compagne me l’a rigoureusement interdit et elle m’avait déjà grondé plusieurs fois me promettant le martinet. Mais tu t’en doutes je n’en ai pas tenu compte. Non seulement j’ai circulé dans la maison mais je suis sorti dans le jardin. Ma compagne étant occupée au garage je croyais être tranquille. Je suis allé jusqu’au bout du jardin assez loin de la maison où elle ne pouvait pas me voir. C’est ce que je craignais. Lorsque j’ai entendu ma compagne arriver derrière moi c’était trop tard. Inutile de nier, j’avais désobéi, j’allais être puni. Tant pis pour moi. J’ai tout de suite vu que ma compagne tenait un bouquet d’orties à la main. Ni une ni deux, elle m’attrape par une oreille m’attire vers elle et me courbe vigoureusement sous son bras gauche. Elle n’avait même pas à me déculotter j’étais fesses nues. Elle a simplement remonté un peu mon teeshirt avant de frictionner longuement mes fesses et mes cuisses. Elle m’a ensuite accompagné jusqu’à la maison en me tenant par le bras, sa main droite faisant des aller-retour rapides sur mes fesses clac clac clac et elle m’a expédié dans ma chambre avec une bonne admonestation et une vingtaine de claques bien sonores sur le haut des cuisses. Je suis resté dans la chambre jusqu’au soir sans prendre même la peine de mettre une culotte. Ça m’a brûlé pendant des heures. Le soir lorsque ma compagne m’a appelé j’ai mis un petit short en nylon très court. Mes cuisses étaient toute rouges. Depuis je fais très attention et j’obéis. Depuis plus de fesses nues ni dans la maison et encore moins au jardin lorsque ma compagne est là. Il m’arrive cependant de le faire lorsqu’elle s’absente plusieurs jours. C’est le cas lorsqu’elle va chez une cousine ou un copine sans qu’elle me demande de l’accompagner. Ça arrive parfois. Alors je me fais un plaisir de désobéir. Notre jardin est très grand et je sais que personne ne peut me voir. Sauf peut-être quelqu’un de la route, et encore je ne suis pas sûr parce que c’est quand même loin. Alors j’en profite sans risquer de me faire prendre. Je sais trop ce qu’il en coûte. Dernièrement ma compagne s’est absentée trois jours et j’ai pris beaucoup de libertés.
RépondreSupprimerÀ plaisir de te lire. Pascal