Souvent, quand ma compagne ne travaille pas, nous allons marcher le long d’un plan d’eau. Nous sommes toujours à la recherche de lieux que nous ne connaissons pas. Nous prenons, la plupart du temps, la précaution de trouver un endroit où, si nécessaire, ma compagne pourra me déculotter et me fesser ou me changer quand j’en aurai besoin. En fait, quand elle a besoin de me changer, je ne coupe pas à une bonne fessée déculottée.
Je sais que ma compagne surveille mes passages aux toilettes. Elle ne me fait pas complètement confiance pour gérer mes mixtions. Il m’est déjà arrivé de faire pipi dans ma culotte au cours de nos promenades et je ne compte plus le nombre de fois où j’ai été puni pour avoir sali ma culotte. Ma compagne me considère, à ces moments-là, comme un petit garçon, mais elle n’admet pas que je ne sois pas complètement propre.
« Je vais prendre un change, décida-t-elle ! »
Évidemment, c’était une précaution utile. Une culotte et un short propres, cela paraît à tous les accidents qui pouvaient se dérouler.
Nous avions repéré, sur la carte, un étang au bord duquel il était possible de se promener. Nous étions un dimanche et il risquait d’y avoir beaucoup de monde aux endroits dont nous avions l’habitude. Là, il nous semblait que, si nécessaire, elle pourrait prendre son temps pour me changer, me nettoyer les fesses et bien sûr me fesser.
Nous nous y rendîmes, mais nous fûmes tout de suite déçus. Pas moyen d’y avoir accès. Depuis que les photos avaient été prises sur internet, des panneaux « propriété privée, défense d’entrer » avaient été rajoutés partout. Bien sûr, la route n’était pas physiquement barrée, mais nous n’avons pas l’habitude de faire fi de ce genre d’interdiction. Il fallait nous rabattre sur un lieu que nous connaissions et probablement nous mélanger avec la foule des badauds du dimanche après-midi.
Il s’agissait d’un plan d’eau pas très loin d’un bourg dans les environs. Nous entamâmes le tour de l’étang. Ma compagne, compte tenu de la situation, n’avait pas voulu s’encombrer du sac dans lequel se trouvait ce qu’il fallait pour me changer.
« De toute façon, avec autant de monde autour de nous, tu ne pourras pas faire pipi dans ta culotte ! »
Elle avait raison, ce n’était pas envisageable. J’allais devoir me retenir. Lorsque nous marchions et qu’il n’y avait pas d’oreilles indiscrètes trop près, la conversation tournait autour de la fessée. Ma compagne me rappelait que ce n’était pas parce qu’il y avait du monde qu’elle ne pourrait pas me baisser la culotte et me fesser. Je ne la croyais pas du tout. Je me sentais protégé par les personnes qui soit nous précédaient, soit surgissaient au détour du chemin. Mon ton devint ironique. Insolent a décrété ma compagne.
« Attends un peu que je trouve un endroit où je pourrai te déculotter et te fesser ! »
J’étais bien persuadé que cet endroit, là où nous étions, n’existait pas. Par jeu, je fis monter la pression.
« Je pense que je vais faire pipi dans ma culotte, et toi tu n’as rien amené pour me changer.
– Si ton short est mouillé, ça va se voir !
– Eh bien, tant pis ! »
Je n’avais, bien sûr, aucune intention de me livrer à une activité qui attirerait immédiatement l’attention sur moi et me signalerait comme un adulte se comportant comme un petit garçon. Je voulais bien que ma compagne s’occupe de moi, mais je ne voulais pas que d’autres le sachent. Cela impliquait une certaine discrétion que le lieu ne favorisait pas. J’étais donc tranquille.
En avançant sur notre parcours, nous avons pris un petit chemin qui nous menait vers un autre étang, plus petit. Je savais qu’autour de celui-ci, il y avait moins de monde. Quand nous arrivâmes sur la piste qui en faisait le tour, nous fûmes dépassés par une famille. Tant qu’il y avait des enfants, je ne risquais rien. Ma compagne ne leur imposerait pas la vue d’un adulte recevant une fessée. Elle me l’avait souvent dit.
Avisant un coin calme, un peu à l’écart du chemin sur lequel ne passait pas grand-monde, ma compagne m’annonça.
« Je vais te mettre à faire pipi là-bas. Comme ça tu ne feras pas dans ta culotte ! »
Je dus la suivre. Un peu éloigné du passage, nous étions malgré tout encore visibles pour des personnes qui auraient regardé dans notre direction. De l’autre côté, un peu derrière un fourré, il y avait une route sur laquelle personne ne passait.
Arrivés là, ma compagne me baissa la culotte et elle ordonna :
« Tu fais pipi ! »
Je ne pouvais pas faire autrement. Elle avait neutralisé la menace que j’agitais sous son nez. Il y eut un petit moment de stress pour moi quand des promeneurs passèrent sur le chemin.
« Maman, il y a du monde ! »
Ma compagne regarda.
« Ils sont loin. Tu continues. Fais attention à ne pas mouiller ta culotte. Je serais obligée de te donner une fessée. »
C’était la sanction automatique quand mon sous-vêtement n’avait pas la propreté qu’elle requérait.
« Tu as fini ?
– Oui, Maman. »
Alors que je m’attendais à ce qu’elle me reculotte et que nous poursuivions notre promenade, elle me regarda dans les yeux.
« Qui disait que je ne pouvais pas te donner une fessée déculottée au cours de cette promenade ? »
J’ai tout de suite compris ses intentions. J’étais déculotté face à elle, nous étions dans un endroit un peu reculé du chemin sur lequel il ne passait plus personne.
« Mais, Maman, on peut nous voir !
– Eh bien, tant pis ! »
Joignant le geste à la parole, elle me courba sous son coude. Ainsi penché, je ne pouvais plus surveiller les alentours. Elle me donna une dizaine de fessées. Elle les appuya un peu, mais la fessée était courte. Elle était plus vexante que douloureuse.
« Alors, est-ce que cette fessée te suffit ?
– Oui, Maman, oui. »
Je n’osais plus argumenter sur la proximité d’éventuels témoins. Visiblement, elle avait décidé de prendre le risque, et qu’on puisse me voir recevant une fessée déculottée était préférable à laisser mon insolence impunie.
Cette petite fessée achevée, elle me rhabilla correctement.
« Nous allons continuer, mais ne crois pas que tu vas t’en tirer à si bon compte. Nous allons aller voir où nous étions hier. C’était bien tranquille. Sans doute assez pour que je puisse te déculotter et te fesser convenablement. »
Mes provocations étaient bien loin. C’était une sérieuse fessée qui se profilait à l’horizon.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
La première fessée du journal racontée ici
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
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