Je n’ai eu la réponse aux questions que je me posais que le lendemain, mais elle fut extrêmement claire. Et la journée a confirmé ce dont je me doutais : ma compagne avait décidé de passer à la vitesse supérieure en matière d’éducation. Ce dont nous avions parlé et le courriel que je lui avais envoyé avaient porté leurs fruits.
Tout a commencé au cours du petit déjeuner. J’étais, à ce moment-là, encore dans l’incertitude et toutes mes questions n’avaient pas reçu de réponse. Je ne savais pas encore si ma compagne entendait s’attaquer à mes mauvaises habitudes. Je l’ai compris bien vite.
Nous étions donc attablés, dégustant notre petit déjeuner. Discrètement, pour voir quelle serait la réaction de ma compagne, j’ai ouvert la bouche en mastiquant ma tartine. Le résultat ne s’est pas fait attendre. Sans hésiter une seule seconde, elle m’a grondé.
« Qu’est-ce que j’avais dit à propos de la bouche ouverte quand tu manges ? Et tu le fais quand même ? Tu vas avoir une fessée. Lève-toi ! »
Ma compagne a reculé sa chaise. Elle m’a fait venir devant elle.
« Je vais t’apprendre à contrôler la façon dont tu manges ! »
Tout en disant cela, elle défit le cordon de mon short, puis elle le baissa. Il tomba sur mes pieds quand elle le lâcha. Enfin, elle glissa ses deux pouces sous l’élastique de la culotte, de chaque côté de mes hanches. Elle fit glisser mon sous-vêtement le long de mes cuisses jusqu’à ce qu’il soit arrivé juste au-dessus de mes genoux.
Alors elle m’attrapa par le coude et le mouvement qu’elle lui fit faire me conduisit à plat ventre en travers de ses genoux. Une fessée déculottée. Ce n’était pas la première que je prenais pour avoir mangé en ouvrant ma bouche pleine. Serait-ce une petite fessée ou quelque chose de plus sérieux ? Ma compagne ne me le dit pas, mais, de sa main, elle commença à claquer mes fesses.
Je sentis les premières claques, mais elles étaient loin de constituer une mémorable fessée. Je ne réagis pratiquement pas durant la première vingtaine de fessées. Ma compagne dut s’en apercevoir. Soudain, la fessée devint bien plus consistante. Chaque fois que sa main claquait sur mes fesses, je sentais la cuisson augmenter. Je commençais à geindre, puis à crier et enfin à supplier ma compagne de mettre fin à cette correction. Il n’en fut rien.
Sans doute consciente de la responsabilité qui était la sienne, elle continua la fessée me laissant gigoter sur ses genoux, me tortiller pour éviter sa main, tout cela bien en vain. Mes pieds étaient lancés dans une danse folle, ce qui n’empêchait pas ma compagne de continuer la correction. Instinctivement, je les maintenais en dehors de la trajectoire de sa main. Cette fessée était méritée et ma compagne était complètement dans son droit de me l’administrer. Comme un enfant, puni par sa maman, je la laissais me corriger, aussi difficile que ce fût. Mais je ne pouvais pas m’y opposer sans remettre en cause l’ensemble de notre relation. Et ça, il n’en était pas question.
« Est-ce que tu penses encore que ce n’est pas important de manger la bouche ouverte ?
– Non, Maman, non. Je vais faire attention ! »
La fessée reprit de plus belle. Je ne tentais plus de supplier. Cette étape était passée, la fessée ne m’en laissait pas le loisir. Je consacrais mon énergie à tenir bon face à la correction que ma compagne me donnait.
« Es-tu sûr d’avoir bien compris ? »
La fessée recommença au moins aussi forte qu’avant. Elle m’attendait pas de réponse et je ne lui en donnais pas. Elle n’avait pas encore considéré que j’avais été suffisamment puni. Je n’en pouvais plus et pourtant je la laissais me fesser à sa guise quand elle arrêta.
Le bruit que faisaient les claques sur mes fesses cessa et avec lui mes cris de désespoir. Je restais silencieux, sans chercher à bouger de la position dans laquelle elle m’avait mis. Je ne savais pas encore si ce n’était qu’une pause dans la correction ou si elle avait estimé que la punition avait porté ses fruits. Je savais que toute tentative d’influer sur sa décision se traduirait par des claques supplémentaires sur mes fesses et ça, je ne le voulais pour rien au monde.
« Remets-toi debout ! »
Elle m’aida à retrouver la station verticale. Mon short entourait mes chevilles et ma culotte tomba sur mes genoux, mais elle n’alla pas plus loin. J’attendais qu’elle me dise ce que je devais faire. Une obéissance absolue était de bon aloi si je ne voulais pas reprendre la position qui avait été la mienne durant les quelques minutes précédentes, et la fessée qui allait avec.
« Si tu recommences, promis ma compagne, tu vas aller cueillir des orties ! »
Je savais ce que cela voulait dire. Je n’irai pas seulement cueillir des orties, mais j’aurai une fessée avec elles et j’en ressentirai la brûlure bien longtemps après que celle-ci ait pris fin.
« Tu retournes t’asseoir pour finir ton petit déjeuner, mais j’espère bien que tu vas faire attention !
– Oui, Maman ! »
Elle m’avait remonté le short et la culotte, mais mes fesses étaient encore cuisantes quand je les posais sur la chaise. Mais je n’en fis pas la remarque. Je savais que ma compagne ne voulait pas entendre la moindre plainte, ni que je frotte mes fesses. Il était plus sage d’accéder à ses souhaits.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
La première fessée du journal relatée ici
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
Merci pour cette série de récits. On peut facilement se projeter et s'imaginer à votre place.
RépondreSupprimerMerci Caroline de cette appréciation. Josip fait des efforts pour rendre vivantes les fessées que je lui donne. il a un certain talent pour cela.
RépondreSupprimerMais je n'oublie pas que vous devez venir ici pour y recevoir la vôtre, à moins que vous voyez plus comme donneuse de fessées que comme réceptrice.
J'attends votre réponse,
Huguette
Bonjour Huguette, je sais qu'une bonne fessée déculottée m'attend chez vous. Et encore une fois, vous avez vu juste, j'apprécie aussi à en donner. En fait, j'aime les deux. Biz
RépondreSupprimerBonjour Caroline,
RépondreSupprimerVous dites que vous aimez recevoir la fessée autant que de la donner. J'entends bien, mais pour savoir cela, il faut avoir fait l'expérience des deux situations. Est-ce votre cas ?
S'il vous plait, ne me resservez pas les fables que vous m'aviez écrites à propos des fessées que votre maman vous aurait données. Je n'y crois pas un seul instant. Je préfèrerai la vérité, même si elle est moins dans l'optique de ce blog.
J'attends votre réponse
Huguette
Bonjour Huguette, je veux bien débattre avec vous mais j'apprécierais que vous fassiez la différence entre des conversations privées et celles de ce blog.
RépondreSupprimerMerci
Caroline,
RépondreSupprimerJe suis d'accord, mais comment voulez-vous faire ? Si vous préférez une conversation privée, écrivez-moi sur mon adresse courriel si cela vous semble plus satisfaisant. Vous devez l'avoir, mais au cas où, vous la trouverez en cliquant sur le champ "pour contacter Huguette" en haut à droite de cette page. Est-ce que cela vous va comme cela ?
J'attends votre réponse
Huguette
Entendu, je vous contacte sur votre mail
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