vendredi 20 juin 2025

Journal d’un grand garçon fessé – mercredi 18 juin 2025 – 09 h 15

Il est normal, pour toute personne, quel que soit son âge, qui est placée sous l’autorité d’une autre, de tester la validité des exigences qui lui sont imposées, comme il est normal, dans un processus d’éducation, de contraindre celui qui est placé sous la responsabilité d’une autre, de l’obliger à respecter certaines règles.

Ces contraintes doivent être judicieusement choisies parmi ce qui fait partie des difficultés rencontrées, mais qui dépendent de la volonté de celui qui doit les respecter. C’est ainsi que ma compagne a décidé que je n’avais plus le droit de mastiquer mes aliments la bouche ouverte. Je suis d’accord avec elle. Ce n’est pas quelque chose que je veux infliger à ceux qui mangent en face de moi.

Mais, pour aller vers l'éradication des mauvaises habitudes, surtout chez les adultes, il est nécessaire de ne rien laisser passer et que la punition qui découle des manquements soit suffisamment dissuasive pour ôter l’envie de recommencer.

C’est là où j’avais des doutes concernant ma compagne : avait-elle la volonté de me punir à chaque fois que je mangeais la bouche ouverte et les fessées qu’elle m’en donnerait seraient-elles dissuasives ? J’ai donc testé, pratiquement certain de ne rien risquer.

Le mardi soir, au cours du dîner, j’ai sciemment ouvert la bouche alors que j’y avais des aliments. La première fois, ma compagne m’a grondé.

« Ta bouche ! Je ne te le redirai pas ! »

Mais il n’y a pas eu de fessée. Je m’attendais à ce laxisme. Je n’ai donc rien changé. J’ai mastiqué mes aliments sans prendre la précaution de fermer ma bouche. Je l’ai fait ouvertement et ma compagne s’en est aperçu. Comme elle me l’avait annoncé, elle ne m’a pas redit de fermer ma bouche en mangeant, mais il ne s’est rien passé non plus. Pas de fessée. À la fin du repas, j’ai volontairement mis mon doigt dans mon nez. Pas plus de réaction.

Comme j’ai déjà eu l’occasion de l’écrire, je ressentis un sentiment mitigé. J’étais heureux de ne pas avoir eu de fessée, mais déçu que ma compagne ne soit pas plus rigoureuse dans l’application des règles qu’elle m’avait fixées. Avec une telle permissivité, je n’étais pas près de perdre cette détestable habitude.


Comme souvent, alors qu’elle m’avait promis de me rejoindre rapidement, elle a pris un long moment pour regarder des vidéos sur son ordinateur. J’en fus encore plus dépité. Alors que nous étions couchés, ma compagne sentit que quelque chose me turlupinait. D’habitude, je ne lui donne jamais satisfaction quand elle veut savoir ce que je pense.

Mais là, après plusieurs demandes insistantes, j’ai accédé à sa demande. Je lui ai expliqué le sentiment mitigé que je ressentais. Je lui fis part de ma déception autant quand, souvent, elle ne tenait pas ses engagements que du laisser-aller dont elle faisait preuve dans le maintien des exigences qu’elle avait elle-même formulées.

Je lui ai redit que j’avais besoin d’elle pour me maintenir fermement dans le droit chemin, comme devrait le faire un adulte responsable. Et je lui ai dit que j’avais l’impression qu’elle ne voulait pas me donner la fessée à chaque fois que je la méritais.

Je lui ai dit également que je lui écrirai tout cela, le lendemain, dans un courriel.

Enfin, je lui ai réaffirmé qu’elle, en tant que personne, ne me décevait pas, mais que certaines de ses façons de faire, en tant que Maman, le faisaient. Je lui ai écrit tout cela le lendemain. J’en livre ici un extrait :

« Ce qui est également décevant, c’est quand tu sembles refuser d’éradiquer, par des punitions, mes comportements inadmissibles. Cela demande, en effet, une très grande attention. Il ne faut laisser passer que le moins possible de comportements coupables, que ceux que l’on n’a pas vus et dont on n’a pas eu connaissance. Il faut alors m’administrer une fessée mémorable dont le souvenir me dissuadera de recommencer. Ce sont des grosses fautes et il faut les traiter comme telles.

Il est alors important que la punition soit à la hauteur de la bêtise, sans tenir compte des conséquences. C’est à moi de savoir si je prends le risque de cette magistrale correction ou si je fais ce qu’il faut pour l’éviter. Si j’ai mérité de recevoir une fessée avec les orties, tous les jours pendant une semaine ou plus, il est de ton devoir de me les donner. Tant pis pour la brûlure que j’en ressentirai et les difficultés à dormir que cela provoquera. C’était à moi de faire attention et non à toi.

S’il te semble important de me faire perdre certaines habitudes, il va falloir que tu y mettes plus d’énergie dans les punitions que tu me donneras... »


Elle a écouté attentivement ce que je disais et a convenu que j’avais raison. Elle m’a dit qu’elle allait tenir compte de tout cela.


Pendant le petit déjeuner, j’ai, un peu volontairement, laissé ma bouche ouverte pendant que je mangeais. J’ai senti que ma compagne hésitait. Elle prit finalement sa décision.

« Je t’ai dit que je ne voulais plus que tu manges la bouche ouverte ! Viens-ici, tu vas avoir une fessée ! »

J’étais à la fois satisfait qu’elle prenne en main mon éducation, j’avais mérité cette fessée, et effrayé par la correction qu’elle m’avait annoncée. Si elle était à la hauteur de ma désobéissance, j’allais recevoir une mémorable correction.

Elle recula la chaise sur laquelle elle était assise et m’ordonna de venir devant elle. Je n’en menais pas large, mais j’obéis. Elle défit le lacet de mon short et elle le laissa tomber sur mes chevilles. Puis ma culotte prit le même chemin. En me tenant par le coude, elle m’obligea à me coucher à plat ventre en travers de ses genoux.

Puis sa main claque sur mes fesses, une première fois, puis une deuxième. Elle continua ainsi pendant un petit moment. La cuisson sur mes fesses était réelle, mais supportable. La fessée se poursuivit pendant quelques temps.

« As-tu bien compris ce que je t’ai dit ?

– Oui, Maman !

– J’espère bien, ou je recommencerai ! »

Elle me remit debout. Certes, la fessée m’avait chauffé les fesses, mais c’était loin de ce que je craignais. Dans une dizaine de minutes tout au plus, je n’en ressentirai plus la cuisson, et je ne croyais pas qu’une fessée de ce genre puisse laisser des marques durables sur mes fesses.


Quelques temps plus tard, je lui fis part de ma perplexité.

« Ce n’est pas avec des fessées moyennes comme celle que tu m’as donnée que tu vas m’obliger à changer d’attitude. »

Beaucoup plus tard dans la soirée, elle me dit qu’elle avait lu mon courriel et qu’elle comprenait ce que je voulais lui dire.

« Je vais changer ma façon de faire ! »

Je restais sur cette déclaration, incertain des effets qu’elle produirait.

« L’avenir nous le dira, me dis-je. »




 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

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