Je crois que cette fois, ça y est. Ma compagne a décidé réellement d’éradiquer, chez moi, l’habitude de manger la bouche ouverte. Elle m'en avait longuement parlé, elle m’avait menacé, mais elle n’était que peu passée à l’acte ou alors de façon si discontinue que je pouvais difficilement renoncer à cette manie.
Il y a encore peu de temps, je faisais exprès de manger la bouche ouverte. Ma compagne, parfois et pas toujours, m’en faisait la remarque et cela s’arrêtait là. Après avoir abordé le sujet avec elle, j’ai convenu que c’était très désagréable pour les personnes qui mangeaient en face de moi et que je devais absolument changer ma façon de faire sur ce point. Elle a résolu qu’elle serait maintenant intraitable. Cela a pris quelques temps, mais je pense qu’elle met maintenant ses actes en accord avec ses dires. Ce sont mes fesses qui en font les frais.
Nous venions de nous lever et, la chaleur aidant, le petit déjeuner traînait en longueur. La conversation n’avait rien d’exceptionnel. Nous parlions de la journée à venir, mais aussi de la fessée que ma compagne avait dû m’administrer au début de la matinée et surtout de celles qu’elle ne manquerait pas de me donner au cas où je recommencerais.
Quand nous étions sur ces sujets, je ne disais pas grand-chose. Il était évident, pour elle comme pour moi, qu’elle avait raison et qu’il n’y avait pas d’autre méthode pour me faire passer les pratiques qu’elle voulait, à juste titre, faire disparaître. Je retrouvais un peu de ma loquacité quand nous abordions d’autres domaines, ce qui, le souvenir de la fessée étant moins prégnant, finit par devenir nos sujets de conversation ordinaire.
Bien mal m’en prit ! Je cessai de faire attention à la façon dont je mangeais. Tant que je garde un contrôle strict sur ce que je fais, j’ai assez peu de risque d’ouvrir la bouche en mangeant. La difficulté, c’est que je n’arrive que très difficilement à le maintenir tout le temps, jusqu’à la fin du repas. La détente liée à la conversation et l’oubli de ma situation me sont souvent fatals. C’est ce qui m’est arrivé ce matin-là.
« Josip ! »
Ma compagne était en colère, ça se voyait.
« Tu manges encore la bouche ouverte ! Je te l’ai pourtant dit combien de fois ?
– Non… oui... »
Je ne savais plus quoi dire. Il était inutile de nier l’évidence et puis j’avais été pris sur le fait. Il ne fallait pas m’enfoncer plus que je ne l’étais déjà.
« Je ne m’en suis pas rendu compte. Je ne l’ai pas fait exprès !
– J’espère bien que tu ne le fais plus délibérément ! »
Au cours de la discussion que nous avons eue sur le sujet, j’avais avoué à ma compagne que certaines fois j’avais ouvert la bouche en mastiquant afin de voir quelle serait sa réaction.
« C’est bien le problème. Ce n’est pas intentionnel ! C’est d’autant plus difficile à juguler ! Mais tu peux compter sur moi, tu te fatigueras avant moi. »
Elle se leva.
« Viens ici ! »
En faisant les pas nécessaires pour la rejoindre, je savais ce qui m’attendait. Elle me prit par le bras et me planta devant elle. Entourant ma taille de son bras, elle m’obligea à me pencher sous son coude, tout en me plaquant contre son flanc. Alors, elle glissa son pouce sous la ceinture du bas de mon pyjama et elle le fit descendre. Libéré de mes hanches, il tomba de lui-même sur mes chevilles. Elle remonta un peu le haut de mon pyjama sur mes reins et elle le glissa sous son coude pour l’empêcher de retomber. Mes fesses nues étaient parfaitement disposées pour ce qui allait suivre.
Sa main claqua sur mes fesses. Je poussais un cri de douleur. Elle recommença de l’autre côté. Elle avait décidé de me donner une bonne leçon, je le sentais bien. Elle ne ménageait pas ses efforts pour que je sente rapidement la cuisson qu’elle avait décidé d’installer sur mes fesses.
Je ne sais pas combien de temps elle me fessa ainsi ni combien de fois sa main vint s’abattre sur mes fesses. Ce que je sais, c’est que cela faisait longtemps que je me disais, en recevant une fessée, que je ne pourrai pas supporter la suivante. Pourtant cela continuait encore et encore. Je me tortillais sous son bras, mais sans chercher à me dégager de son étreinte, malgré la fournaise qu’étaient alors mes fesses. Ma compagne avait décidé que j’avais mérité une fessée déculottée, je ne pouvais rien faire d’autre que la laisser aller au bout de la punition.
Il y eut une courte pause et j’envisageais avec espoir que ce serait la fin de ma correction. Ce n’était pas le cas. Tout en me maintenant courbé sous son bras, je la vis prendre une baguette qui était posée sur un tabouret à portée de sa main.
« Non, Maman, pas la baguette !
– Parce que c’est toi qui en décides ?
– Non, Maman, non, mais ça fait mal !
– Évidemment que ça fait mal, c’est fait pour ça, mais tu en as besoin. »
Elle appliqua la baguette en travers de mes fesses. Je sentais bien que cet instrument punitif, placé dans sa main, n’avait pas donné toute sa puissance. Elle insista un peu plus fort pour le deuxième coup, mais sans utiliser toute la vitesse qu’elle pouvait donner à la fine baguette. Cela suffisait pour en faire une mémorable fessée. Je craignais qu’elle veuille laisser des marques rouge sombre qui barreraient mes fesses.
Je n’ai pas compté. Je n’en avais pas le loisir. La fessée avec la baguette ne fut pas très longue, mais elle fut cinglante. Elle aurait pu l’être bien plus, mais je me gardais d’en faire la remarque à ma compagne. Cela lui aurait donné un prétexte suffisant pour me montrer comment elle pouvait mieux faire. Je n’y tenais pas.
Enfin elle reposa la baguette.
Mais ce n’était pas la fin de ma fessée. Sa main nue vint finaliser la correction. Je laissais libre cours à mes cris. Je n’en pouvais plus. Mes fesses brûlaient comme si la main de ma compagne avait été un fer rougi au feu. Je savais qu’elle me laisserait pas de trace, au-delà d’une rougeur qui mettrait quelques dizaines de minutes à s’estomper. Ce n’était pas pour cela que la fessée était plus facile à encaisser.
Finalement, elle me relâcha. Je me redressai et j’attendis qu’elle décidât de la suite. Je craignais qu’elle m’ordonne d’aller cueillir une poignée d’orties.
« Va t'asseoir et finis de déjeuner ! »
Elle avait remonté le bas de mon pyjama et je n’osais pas faire état de la démangeaison que provoquait le tissu sur la peau de mes fesses. Je connaissais la réponse qui aurait accompagné une bonne claque sur mes fesses.
« Eh bien tant mieux ! C’est que la fessée a servi à quelque chose ! »
J’étais cependant étonné qu’elle ne me gronde pas avant de m’envoyer me rasseoir pour finir de manger. Faisant profil bas de peur de prendre une deuxième fessée, je n’en fis pas la remarque.
Comme la plupart du temps, j’avais fini avant elle. Je reposai ma cuillère et mon couteau et j’attendis. Ce n’était pas le moment de me signaler à son attention.
« Tu as fini ?
– Oui, Maman.
– Bien, tu vas aller au coin ! »
Elle me désignait l’un des angles de la pièce. Je me demandais pas mon reste et j’allais me mettre le nez dans l’angle que faisaient les deux murs. Je croisais mes mains dans mon dos et je m’apprêtais à attendre qu’elle veuille bien me dire de sortir de là.
Elle m’avait suivi. Elle attendit que j'aie pris la position qui est celle qu’elle exige quand je suis en pénitence, puis elle baissa le bas de mon pyjama.
« Les fesses nues afin que tout le monde puisse voir que tu as reçu une bonne fessée ! »
Heureusement, il n’y avait qu’elle dans la pièce pour contempler ma mortification. Cela me suffisait. Elle prit cependant le temps de me donner cinq grosses claques sur une fesse. Je tentais de rester immobile, mais c’était impossible. Je ne bougeais que le moins possible et aussitôt la fessée achevée, je repris la position, non sans avoir hurlé sous la douleur qu’elle provoquait.
Immobile et silencieux, je ne risquais pas de tourner la tête pour voir ce qui se passait dans mon dos. C’est l’inconvénient d’être mis au coin. Ma compagne continuait à faire ce qu’elle avait prévu sans plus faire attention à moi. Tout au plus me rappela-t-elle en grondant :
« Je ne veux pas te voir bouger et tu restes là aussi longtemps que je ne t’ai pas dit d’en sortir ! »
Je ne m’aventurais pas à enfreindre ses consignes. Je l’entendis qui finissait de déjeuner, puis elle rangea la table. Il y eut alors un petit moment de silence. Je tendais l’oreille. Avait-elle quitté la pièce ? Je fus tenté de tourner la tête pour le vérifier, mais je n’en fis rien. Bien m’en a pris ! Quelques secondes plus tard, je perçus le bruit que faisait son téléphone. Elle était toujours assise derrière moi. Ce n’était pas parce que je ne l’entendais plus qu'elle n’avait plus une vision directe sur mes fesses nues.
Je n’avais pas regardé l’heure, mais elle me laissa un bon bout de temps au coin. Je commençais à y trouver le temps long et je me demandais quand elle m’autoriserait à en sortir. Cela faisait un bon moment que je me posais cette question quand elle m’appela.
« Josip, viens ici ! »
Je me détournais et je marchais vers elle. Voulant montrer mon obéissance, j’avais laissé mon vêtement sur mes pieds, ce qui gênait considérablement mon déplacement et mes mains étaient toujours croisées dans mon dos. Ainsi, elle avait une vue parfaite sur mes parties génitales, mais cela valait mieux que de se prendre une autre fessée.
« Je t’écoute !
– Je te demande pardon, Maman.
– Pardon pour quoi ?
– Pour avoir mangé la bouche ouverte.
– Et…
– Je ne le ferai plus.
– Sinon ?
– Sinon, j’aurai une autre fessée.
– C’est cela, une autre fessée, mais ce sera avec les orties ! C’est bien compris ?
– Oui, Maman ! »
C’est seulement alors qu’elle remonta ma culotte de pyjama.
Une promesse d’orties ? C’était à prendre en compte, mais seulement si elle mettait sa menace à exécution, ce qui n’arrivait pas souvent. Le ferait-elle la prochaine fois ? Car il y aurait une prochaine fois, je ne voyais pas comment l’éviter.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
La première fessée du journal relatée ici
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