À la maison, ma compagne a établi des règles que je dois suivre. Quand on y réfléchit bien, ce sont des usages simples, de bon sens, que toute personne vivant dans la maison n'aurait pas de mal à respecter, pour peu qu’elle soit un adulte raisonnable et qu’elle y fasse un peu attention.
Le problème, avec moi, c’est que je m’affranchis souvent des prescriptions qui s’appliquent aux adultes et que j’oublie parfois que je suis un adulte qui doit suivre les principes qui s’appliquent à toutes les grandes personnes. Ma compagne le sait. C’est pourquoi elle a décidé de me déculotter et de me donner la fessée à chaque fois que je ne les suivrai pas scrupuleusement, quel que soit le motif de ma désobéissance. Bien évidemment, avoir oublié ces règles n’est pas un motif valable pour m’épargner une bonne fessée.
Cela avait commencé le samedi. Je revenais de faire les courses et j’avais pas mal de sacs pleins dans ma voiture. J’entrepris de les décharger et de les déposer dans la maison. Avec ma compagne, nous tombâmes dans les bras l’un de l’autre. Nous aimons bien nous faire des bisous dans le cou quand nous nous retrouvons à chaque fois que nous avons été séparés, même si cela n’a pas été très long.
J’avais déposé tous les sacs dans la cuisine et ma compagne et moi commencions à ranger tous ces achats. Puis, comme c’était l’heure, nous nous mîmes à préparer le repas. Ma compagne s’arrêta au bout de quelques secondes.
« Qu’est-ce que c’est que ça ? »
Elle désignait mes pieds. J’y avais toujours les chaussures que j’avais mises pour aller à l’extérieur.
« Alors que je viens de laver par terre ? »
Cela faisait partie des règles simples qu’elle avait instituées : les chaussures, c’était pour aller dehors, quand nous étions à l’intérieur il fallait mettre des chaussons. C’était devenu une coutume facile à respecter. Nous changions de souliers avant de rentrer dans la maison. D’habitude, je ne l’oubliais jamais, mais là, cela m’avait échappé.
« Je vais les changer ! »
Ma compagne tenta de m’intercepter en m’attrapant par la main, mais je fus plus rapide. Je ne sais pas ce que j’espérais. Il était certain que j’allais mettre mes chaussons pour circuler dans la maison. Cela ne faisait aucun doute pour personne. Mais il était aussi certain qu’une fessée allait me rappeler qu’il était interdit de déroger aux mesures qu’elle avait ordonnées. Me faufiler hors de la pièce pour prendre en compte ce que je devais respecter ne m’épargnerait pas la correction que je savais avoir méritée.
Je me dépêchais de changer de chaussures, mais ma compagne m’avait suivi. Elle attendit que j’eus enfilé mes charentaises, avant de me faire pivoter et de me planter devant elle. Sans dire un mot de plus, elle comme moi savions pourquoi elle devait me punir, elle tira sur le cordon qui retenait mon short. Puis elle me courba sous son bras.
« Mais, Maman, ce n’est pas ma faute, je ne l’ai pas fait exprès ! J’ai oublié ! »
Comme si cette piètre excuse était de nature à me faire pardonner mon oubli ! Au contraire !
« Eh bien, moi, je vais t’aider à te rappeler de changer de chaussures quand tu rentres dans la maison ! Je pense qu’une bonne fessée s’impose ! »
Joignant le geste à la parole, elle baissa mon short qui, une fois descendu sur mes cuisses, tomba de lui-même sur mes pieds.
« Non, Maman, pas la culotte ! »
Elle ne tint, évidemment, pas compte de ma supplication. En général, quand elle me donnait la fessée, elle baissait ma culotte. Elle tenait à ce que je prenne conscience, en me déculottant, que comme je n’avais pas été capable de me comporter comme un adulte responsable, j’avais perdu tous les privilèges qui sont habituellement ceux d’une grande personne. Il était de sa responsabilité de me punir sans tenir compte de mon âge et pour cela une fessée déculottée était ce qu’il y avait de plus efficace.
Elle saisit l’élastique de ma culotte et elle la descendit jusqu’à mes genoux. J’étais prêt pour la punition que j’avais méritée, je ne pouvais pas en disconvenir. Sa main tomba sur mes fesses. Dès les premières claques, je ne pus qu’exprimer bruyamment ma douleur. Heureusement, cela se passait dans la maison et bien que la porte fût ouverte, personne ne pouvait entendre mes cris de douleur.
« Une bonne fessée déculottée, et je suis sûre que la prochaine fois tu t’en souviendras ! »
Elle ne marqua même pas une petite pause pour me faire cette remarque. Elle poursuivit la correction malgré mes cris. Ce ne fut pas une grosse fessée. La culotte baissée lui laissait libre accès à mes fesses nues et sa main y imprimait sa marque suffisamment fortement pour que je pense, une prochaine fois, à ne pas pénétrer dans la maison avec les chaussures que j’avais mises pour aller dehors. Quand elle estima que j’avais appris ma leçon, elle mit fin à la fessée et elle me relâcha.
Je me redressais devant elle, attendant qu’elle prenne l’initiative de la suite. Je n’étais jamais certain qu’une fessée était terminée avant qu’elle me reculotte. Je n’étais pas à l’abri qu’elle décide que cette fessée n’avait pas été suffisante pour me corriger et qu’elle doive en donner une deuxième plus sévère. Heureusement, ce ne fut pas le cas.
Je dois reconnaître à ma compagne un grand discernement en matière de punition. Elle sait ajuster une fessée à la faute qui l’a justifiée. Là, il s’agissait simplement de me rappeler une règle que j’observais ordinairement. Il n’aurait pas fallu que j’échappe à la punition, cela aurait été un encouragement à recommencer. Mais une grosse fessée n’était pas utile. Il n’y avait ni intention de désobéir de ma part, ni récidive. Une sérieuse, mais pas trop longue fessée déculottée suffisait. Je l’avais reçue, il était donc possible de passer à autre chose.
Elle remonta ma culotte, puis mon short et elle renoua le cordon autour de ma taille.
« J’espère que tu as appris ta leçon !
– Oui, Maman, je ne recommencerai plus !
– À la bonne heure ! Si tu oublies encore de changer de chaussures, la fessée sera plus sévère ! Est-ce bien compris ?
– Oui, Maman !
– Bien, allons finir de préparer le repas de ce midi ! »
Je la suivis. Elle me regarda pour jauger de l’effet de la fessée. Je gardais une expression neutre, mais il était certain que je n’avais aucune envie de tester sa résolution. Je savais que ma compagne n’hésiterait pas à mettre sa menace à exécution. Elle avait, fort justement, sévi suite à une étourderie de ma part. Les fesses encore cuisantes de la récente fessée, je ne pouvais que reconnaître le bien-fondé de sa façon de faire.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
La première fessée du journal relatée ici
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
Encore une bonne fessée bien méritée. Il faudrait vraiment que je vienne voir maman Huguette. J'ai tellement besoin d'éducation. Justement, j'ai souvent tendance à garder les chaussures dans la maison...
RépondreSupprimerBonsoir Josip.
RépondreSupprimerL’obéissance est parfois une chose difficile à respecter, j’en conviens. La discipline domestique mise en place par ma compagne est pourtant tout à fait justifiée et nécessaire dans mon intérêt. En aucun cas je ne souhaitais la remettre en cause. Il m’arrive pourtant de louvoyer pour échapper à certaines règles pourtant très évidentes à respecter. J’espère ainsi échapper à la punition que pourtant je mérite amplement. C’est mon côté gamin immature qui reprend vite le dessus. Mais ma compagne n’est pas dupe et a vite fait de déjouer mes stratagèmes un peu puérils. La correction ne se fait pas attendre car ma compagne ne me passe rien. Elle considère que son autorité doit s’exercer pour me faire filer droit. Dès qu’elle constate un comportement qui doit être redressé, et il y en a beaucoup, elle a vite fait de me gronder sévèrement, de me baisser la culotte et de me mettre en travers de ses genoux pour m’administrer la fessée. La fessée est toujours punitive et justifiée.
Quelle chance vous avez de pouvoir compter sur la bienveillance mais également l'autorité de votre épouse. Que j'aimerais connaître cette situation. Avoir cette crainte , cette boule au ventre , de faire une bêtise en connaissant les éventuelles conséquences
SupprimerOui mais tu sais elle est très sévère et stricte…. Mais lorsqu’elle me fesse c’est toujours justifié. Et toi Laurent tu l’est jamais corrigé…
RépondreSupprimerNon malheureusement, je n'ai personne pour me la donner quand je le mérite. Pourtant, je la mériterais souvent
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