mardi 8 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 5 juillet 2025 – 16 h 55

J’avais bien sûr déjà reçu la fessée en présence d’autres personnes. A chaque fois, je savais qui elles étaient et pourquoi elles étaient là. Cette fois-ci c’était différent. Ma compagne ne m’avait pas mis au courant au préalable et j’ai découvert que le monsieur que je ne connaissais pas venait pour me donner la fessée quasiment au moment où je me suis trouvé placé sous son auorité. Ma compagne avait sans doute tout négocié sans moi.

J’avais déjà reçu la fessée par un homme, une personne en fait. Mais il venait, lui aussi, pour y revcevoir une fessée de la part de ma compagne. Cela donnait une situation trop compliquée pour être durable. D’ailleurs, elle n’a pas duré. La surprise de sa présence, la fessée déculottée reçue alors qu’il était là et que je ne m’y attendais pas et celles qu’il m’a donné par la suite, tout cela ne m’a pas laissé le temps d’absorber cette nouvelle donne.


J’étais au coin, la culotte baissée. Dans mon dos, Georges et ma compagne commentaient la fessée que je venais de recevoir. Georges sortit un instrument punitif de son sac.

« C’est une tawse. Elle est en cuir. C’était une spécialité écossaise pour punir les enfants dans les écoles mais aussi à la maison. J’aime bien cet instrument. Il ne blesse pas mais permet de donner de formidables fessées. Je vais vous montrer tout à l’heure. Je l’ai achetée sur internet. »

Il alla admirer les instruments qui servaient à ma compagne de temps en temps pour renforcer la sévérité d’une fessée. Ils étaient suspendus dans le séjour, prêts à servir.

« Un martinet, une règle… il y a même des verges. Tout ce qu’il faut ! »

Ils entamèrent une conversation sur les mérites comparés des différents instruments qu’ils avaient utilisés pour punir les adultes qui s’étaient trouvés sous leur autorité. Ils ne faisaient pas attention à moi, autant que je pouvais en juger, mais je savais que si je me permettais la moindre extravagance, la fessée viendrait y mettre fin.

C’est une sensation bizarre. Plus le temps passait, plus je ressentais le décalage entre ma position et l’indifférence qu’ils marquaient. Moi, un adulte, le nez dans le coin et la culotte baissée, immobile et silencieux sous peine d’une nouvelle fessée, j’aurais dû être le centre des conversations. Il n’en était rien, comme si c’était banal de me trouver en pénitence à exposer mes fesses nues récemment fessées aux deux personnes qu’il y avait dans la pièce. Ce n’était peut-être pas banal, mais c’était normal, semblait-il. Mais je n’arrivais pas à me faire à cette idée.

Le nez dans le coin, je ne voyais rien de ce qui se passait dans mon dos. Seuls les paroles étaient audibles et parfois un ou deux bruits quand un objet était déplacé. Je sentais l’air caresser mes fesses nues. Combien de temps allaient-ils me laisser là ? Pourtant je savais que je n’avais pas intérêt à bouger.



Dans mon dos, la conversation s’éteignit.

« Il est sans doute temps poue une deuxième fessée, qu’en pensez-vous ?

– C’est vous qui décidez, mais je crois que ça lui fera beaucoup de bien. »

Georges s’était approché de moi.

« Alors, as-tu encore envie de te promener les fesses nues ?

– Non monsieur.

– Tu es sûr que tu ne vas plus le faire ?

– Non, monsieur, plus jamais !

– Je ne suis pas certain de te croire. Comme si une seule fessée suffisait.

– Oh, si, monsieur.

– Eh bien moi je pense qu’il te faut au moins une autre fessée. Après nous verrons si tu seras plus crédible. »

Il me prit le coude ;

« Viens avec moi ! »

Il revint en me tirant vers le milieu de la pièce. Il prit une chaise et tourna son dossier vers moi.

« Tu te mets là ! »

Il me donnait des indications au minimum, comme si je savais ce qu’il attendait de moi. Ne comprenant pas ce qu’il voulait, je restais debout. Il alla décrocher le martinet et revint vers moi. Debout derrière moi, il m’en cingla les fesses quatre ou cinq fois d’un côté, puis en se plaçant de l’autre côté il recommença. J’accusais les coups. Alors il prit la tawse et il refit pareil, d’un côté puis de l’autre. C’est à ce moment que ma compagne intervint.

« Il ne faudrait pas tomber dans le SM. Le contact c’est important pour que cela reste une punition parentale. »

Il ne comprenait pas bien ce que ma compagne voulait lui dire. Elle fut obligée de venir me mettre sous son bras pour lui indiquer la position qu’elle souhaitait qu’il me fasse prendre.

« Comme ça, vous le tenez contre votre flanc, vous l’immobilisez même s’il ne cherche pas à vous échapper et il sait qui lui donne la fessée. »

Georges me prit comme ma compagne le lui avait demandé. Courbé sous son coude, je n’eus d’autre choix que de me raccrocher à son pantalon. En me serrant contre lui, il m’interdit de bouger et la twase put reprendre sa danse sur mes fesses.


Il me donna alors une très sévère fessée. La lanière de cuir tombait alternativement sur la partie droite de mes fesses, puis sur la gauche. A chaque fois qu’il l’abattait sur mon postérieur, je criais de douleur. Il n’oublia pas de fesser également le haut de mes cuisses. Je ne savais pas quelles traces cette lanière laissait sur mes fesses, mais elle les transformait en une fournaise que les dandinements que faisait mon bassin, ne parvenaient pas à atténuer et ils ne le gênaient en aucune façon pour appliquer la lanière là où il voulait.

Il aurait fallu que je me soustraie de son étreinte, mais la position qu’il m’avait fait prendre me l’interdisait et je n’étais pas certain de réussir à forcer le passage pour me libérer. Son bras qui entourait ma taille m’obligeait à rester penché en avant, offrant ainsi mes fesses à la morsure du cuir. Si je réussissais à me relever, nul doute que cela aurait été vu comme une grave désobéissance et j’aurais provoqué la colère des deux adultes qui s’occupaient de moi. Je n’avais pas d’autre choix que d’attendre la fin de la correction.

J’étais persuadé de ne pas pouvoir supporter plus longtemps une telle fessée quand il décida de s’arrêter là. Il me relâcha et je me redressai. J’avais un peu de mal à reprendre mon souffle. La brûlure que je ressentais sur mes fesses était insupportable, mais je me gardais bien d’y porter mes mains. Cela n’aurait en rien diminué la cuisson que j’éprouvais mais cela pouvait être suffisant pour que je reprenne aussitôt une autre fessée.

« Va au coin ! »


Je ne demandais pas mon reste et je filais là où mes fesses allaient pouvoir récupérer un peu. Au coin, si je m’y tenais correctement, je ne risquais pas d’etre de nouveau fessé. Que j’expose mes fesses à la vue de deux personnes ne me posait plus aucun problème. C’était bien préférable à la fessée.

Derrière moi, la conversation reprit. Il était question de me surprendre en flagrant délit.




 Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

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