lundi 7 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 5 juillet 2025 – 16 h 45

Je me passerais volontiers de tenir ce blog. Je trouve vexant et très désagréable de devoir tenir au courant tous les lecteurs du blog, environ un millier chaque jour, des fessées que je reçois. Que je sois déculotté et fessé dans l’intimité familiale, c’est déjà difficile à admettre à mon âge, mais avec ma compagne, je n’ai pas le choix. Qu’en plus je doive en faire part, sans savoir qui sont les personnes qui le lisent, c’est vraiment extrêmement désagréable. Depuis avril 2023, je dois pourtant le faire, c’est une obligation que m’impose ma compagne pour utilement prolonger la punition.

Je me serais encore plus aisément passé de raconter les fessées que j’ai reçues ce samedi. C’est la première vraie fessée déculottée en public que je reçois et la suite est encore pire. Je savais que ma compagne avait cette hypothèse dans la tête, mais je pensais qu’elle n’arriverait jamais à la concrétiser. J’ai dû déchanter et reconnaître que tout adulte responsable peut me punir au vu de mon comportement. Il n’y a pas que ma compagne qui trouve certaines de mes habitudes détestables et infantiles. Je ne pensais pas que d’autres personnes envisageraient la fessée comme une solution adaptée à mon attitude. C’est pourtant ce qui s’est passé.


J’étais au coin, la culotte baissée après la fessée que m’avait donnée ma compagne devant le monsieur que je ne connaissais pas. J’évitais de bouger et de faire le moindre bruit, autant parce que je savais que c’était ce que ma compagne attendait de moi quand elle me mettait en pénitence, autant pour me faire oublier de la personne en présence de laquelle j’avais été puni et que je ne connaissais pas.

Dans mon dos, ma compagne et le monsieur commentaient la fessée que je venais de recevoir et celles qu’ils avaient données auparavant en comparant leurs méthodes. Ils ne s’occupaient plus de moi et si je n’avais pas eu la culotte baissée, cela me serait allé très bien.

Je comprenais, peu à peu, que le monsieur n’hésitait pas, lui non plus, à baisser la culotte et à donner la fessée aux adultes, quel que soit leur genre, quand il estimait qu’ils l’avaient mérité. Il lui était arrivé de donner la fessée à des hommes, y compris quand ils avaient mon âge. J’espérais ne pas être sur sa liste.

Ce n’est que quand ma compagne a abordé les difficultés qu’elle avait pour faire changer mes habitudes que j’ai commencé à craindre son intervention.

« Malgré toutes les fessées que je lui ai données, il continue à se déplacer, dans la maison mais aussi dans le jardin, sans sa culotte. J’ai beau le punir et lui expliquer qu’il adoptait le comportement d’un petit garçon, je pense qu’il continue. Pas en ma présence, bien sûr, mais je l’ai surpris plusieurs fois alors que sa tenue n’était pas celle d’un adulte. »

Je reconnaissais bien là ma façon de faire.

« Je lui ai administré plusieurs grosses fessées déculottées pour ce motif et je lui ai promis les orties s’il recommençait, mais je pense qu’il profite de mes absences pour me désobéir. J’ai l’impression qu’il pense que c’est une lubie de ma part. »

C’était la première fois que j’entendais ma compagne raconter, à une autre personne, ses déboires avec moi. Elle le mettait au courant ouvertement, comme s’il était normal de parler des fessées qu’elle me donnait à une autre personne alors que, du coin, j’entendais tout ce qu’elle disait. J’en étais mortifié, mais il n’était pas question de bouger.

« J’espère que votre concours lui sera bénéfique. »

De quel concours était-il question ? Quel rôle était-il prévu que ce monsieur joue pour aider à rectifier mon comportement ? La réponse que je pensais entrevoir à ces angoissantes questions arriva bien vite.

« Je vais le reculotter pour que vous puissiez le prendre en mains. »



Mes pires craintes se concrétisaient. Je n’eus pas le temps de gamberger plus longtemps.

« Josip, viens ici, m’ordonna ma compagne ! »

Me retourner pour marcher vers elle, c’était exposer mon appareil génital au monsieur. Mais avais-je le choix ? Si je désobéissais à ma compagne, il est certain que j’aurais le droit à une deuxième fessée, mettant de toute façon ma pudeur d’adulte à mal. J’étais coincé. Il était préférable d’obéir.

En faisant demi-tour, je jetai un œil au monsieur. Il devait avoir à peu près mon âge et il me regardait d’un œil sévère. Mon regard revint vers ma compagne.

Elle me reculotta et je tentais de l’amadouer.

« Maman, que fait-il là ? Tu ne vas pas…

– Eh bien c’est assez simple. Je l’ai autorisé à te déculotter et à te fesser aussi sévèrement qu’il le jugera nécessaire. C’est ce qu’il va faire.

– Maman…

– Il n’y a pas de maman qui tienne. Tu as besoin que d’autres adultes te donnent la fessée pour que tu comprennes que tu te comportes comme un petit garçon. Aucun adulte sensé, pour peu qu’il en ait l’autorisation, n’hésitera à te baisser la culotte pour t’administrer une bonne fessée quand il verra comment tu te conduis. Aujourd’hui, c’est Georges qui va te le montrer, mais demain ce sera une femme. Et si elle est bien plus jeune que toi, cela n’a pas d’importance. Je t’assure que tu vas te tenir correctement. Une bonne fessée, tu verras comme ça aide ! »

Je ne savais plus quoi dire pour éviter cette fessée masculine.

« Tu retournes au coin et tu y attends que Georges t’appelle. Je compte bien que tu vas lui obéir comme à moi ! »

Mortifié, je retournais me mettre au coin. Il ne me restait plus qu’à attendre, mais je savais maintenant ce qui allait m’arriver.



« Je vous laisse faire, maintenant ? Je veux qu’il se souvienne de la punition qu’il va recevoir ! »

Le monsieur demanda encore quelques précisions à ma compagne. Je sentais l’heure fatidique approcher. Je sentais une boule grossir dans mon ventre. Je ne pouvais plus échapper à la fessée que projetait de me donner ce monsieur.

Je l’entendis se rapprocher de moi.

« Josip, alors comme ça tu te promènes sans culotte ? »

Je ne répondis rien. Cela ne lui convint pas.

« Je t’ai posé une question, j’attends ta réponse ! »

Je ne savais plus comment faire. Me taire et il considérerait cela comme une provocation dont il me punirait à coup sûr ou lui répondre et avouer mon comportement enfantin. Cela finirait de toute façon par une fessée. Si je collaborais, j’avais des chances de n’en prendre qu’une seule. Je choisis cette option sans être sûr que c’était la bonne.

« Oui, monsieur.

– Il n’y a que les petits garçons qui peuvent faire cela, tu en es bien conscient ?

– Oui, monsieur.

– Alors si tu te comportes comme un enfant, je vais te punir comme on doit le faire avec un enfant : une bonne fessée déculottée ! »

La sentence à laquelle je m’attendais était tombée.

« Viens avec moi ! »

Il me prit par le coude et je le suivis. Arrivé au milieu de la pièce, il me lâcha, mais c’était pour pouvoir dénouer le lacet de mon short. Il mit un peu de temps et je regardai ma compagne. Visiblement, elle approuvait ce qui se passait. Je ne pouvais attendre aucun secours de sa part.

Georges baissa mon short. Puis il glissa ses doigts sous l’élastique de ma culotte et il la descendit en bas de mes cuisses. Il ne sembla pas s’émouvoir de me voir déculotté au milieu de la pièce tandis que ma compagne comme lui étaient correctement habillés. Il tourna une chaise et s’y assit.

« Viens par là ! »



Il m’obligea à me coucher à plat ventre en travers de ses genoux. De mes deux mains, j’agrippais les pieds de la chaise, pas tant pour me tenir, j’étais en équilibre stable sur ses genoux, mais plutôt pour me raccrocher à quelque chose de tangible.

Au début, ses claques étaient d’une force modérée. Je les encaissais sans problème. Sans doute se rendit-il compte du peu de réaction que provoquait la fessée qu’il me donnait. Il appuya plus fortement ses coups. Cela ne faisait pas tellement plus de bruit, mais cela échauffait considérablement plus mon épiderme fessier.

Sans m’en rendre compte, je me mis à accompagner chaque fessée par un petit cri qui devint rapidement une lamentation de douleur. Mes fesses me brûlaient, mais sa main continuait à en augmenter la température. Cela devint vite intolérable. Je gigotais sur ses genoux, mais cela ne semblait pas le gêner le moins du monde.

J’éprouvais un réel soulagement quand il arrêta.

« Tu retournes au coin ! »




 Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

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