mardi 8 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 5 juillet 2025 – 17 h 10

« Ta mauvaise foi est vraiment insondable ! Quand tu me réponds insolemment comme tu viens de le faire alors que tu sais parfaitement que j’ai raison, j’ai l’impression d’avoir affaire à un petit garçon que je devrai punir. »

Au début de notre relation avec ma compagne, j’avais convenu avec elle qu’elle devait prendre en main mon éducation et s’efforcer d’éradiquer tous les petits défauts qui, l’âge aidant, faisaient maintenant partie de mon comportement. Nous avions échangé sur la difficulté qu’il y avait à modifier ses habitudes quand il s’agissait d’adultes. Ma compagne m’avait expliqué que, pour changer, je devais trouver bien plus d’inconvénients à continuer qu’à modifier mon comportement. J’ai acquiescé.

Elle a bien voulu me prendre en charge à condition de disposer de toutes les prérogatives d’une maman et en particulier du droit de me punir quand elle le jugeait nécessaire. Elle était partisane des méthodes traditionnelles qui avaient fait la preuve de leur efficacité.

« Ce sont celles que j’utiliserai avec toi, me dit-elle »

Quand j’eus approuvé son choix, elle alla un peu plus loin.

« Cela ne fonctionnera que si je peux te punir quand et où cela me semble nécessaire et quelles que soient les personnes présentes. C’est moi qui déciderai, seule et sans te demander ton avis, si je peux te corriger ou non. »

L’emploi du mot « corriger » me fit un peu frissonner. Cela me ramenait à l’enfance où tous les adultes, pour peu qu’ils aient une raison, pouvaient corriger un enfant. C’était donc ainsi qu’elle voulait me considérer : comme un petit garçon qu’elle devait corriger quand il en avait besoin.

« Dans quoi m’embarquais-je, pensais-je ? »

Ma compagne ne tarda point à me le faire comprendre. Elle tenait à ce que je sache à quoi je m’engageais.

« Ce sera une relation filiale et tu devras m’obéir en toute circonstance. »

Intérieurement, je reconnus qu’elle avait raison. J’étais prêt à retrouver les sensations de dépendance que j’avais connues quand j’étais petit. Je le lui avouai.

« Bien, dit-elle, c’est donc décidé. À partir de maintenant, tu es placé sous mon autorité maternelle. Avant que tu acceptes, je tiens à te préciser que je veux pouvoir choisir de quelle manière je te punirai. La plupart du temps, ce sera avec une bonne fessée déculottée. Et je peux te promettre que ce seront de réelles fessées qui te laisseront les fesses cuisantes, quand ce sera nécessaire, et pour longtemps. »

J’avais marqué un temps de recul. Ma compagne enfonça le clou.

« Si tu veux abandonner certaines manies, je ne connais pas d’autres méthodes qui fonctionnent avec un adulte. C’est tout le fatras sur les privilèges d’un adulte qui t’empêche de revenir sur tes manières d’être. Avec moi, quand j’aurai décidé de te punir, tu n’en auras plus aucun. Tu verras comme c’est efficace ! »

Elle m’avait déjà donné plusieurs fessées déculottées, c’était sur cette base que nous nous étions rencontrés la première fois. Mais je sentais bien que si j’acceptais, je franchirai une étape décisive dans notre relation. J’avais trouvé une personne qui voulait bien s’occuper de moi et me porter attention. Va pour la relation filiale et tout ce qu’elle impliquait. J'acceptais de me placer dans cette situation et de lui donner la responsabilité de mon éducation, comme l’aurait une maman attentive et sévère.

« Encore une chose, il n’y aura pas que moi qui te donnera une fessée déculottée quand tu l’auras méritée. Si tu es puni, c’est à cause de tes attitudes infantiles. Il est donc normal que d’autres adultes puissent te corriger. »

J’avais encore en tête ce que je venais d’accepter. Je n’écoutais plus attentivement ce qu’elle disait. Je hochais la tête dans un geste d’approbation machinal. Elle m’avait alors donné ma première fessée déculottée maternelle pour me punir de mon insolence puis elle m’avait mis au coin.

« Tu es conscient qu’il n’y aura pas de retour en arrière ?

– Oui, Maman ! »

Jusque-là, ça ne s’était jamais produit. Elle était la seule à m’avoir donné la fessée. Avec l’irruption de Georges dans ma vie, je comprenais bien que cela avait changé.



J’étais au coin et malgré ma culotte baissée qui exhibait mes fesses nues aux deux personnes qui se tenaient dans mon dos, je n’avais aucune envie ni de bouger ni de faire le moindre bruit. Je n’avais pas envie que Georges ou ma compagne se sentent obligés de m’administrer un cuisant rappel à l’ordre.

La fessée que je venais de recevoir avait suffi à étouffer toute velléité de protestation. Je ne tenais pas à en recevoir une autre du même acabit. Mes fesses me démangeaient, je les aurais volontiers frottées de ma main si je n’avais pas su que c’était interdit. Je sentais encore la chaleur les parcourir. Cela faisait partie de la punition, comme ils l’auraient fait pour un petit garçon. Ils m’avaient mis au coin pour me laisser le temps de réfléchir à ce qui m’avait conduit sous le bras de Georges et pour me laisser le temps d’apprécier les inconvénients à me comporter de façon aussi infantile.

Le temps commençait à s’étirer, mais je ne savais pas combien de temps je devais encore rester dans cette position aussi infantilisante. Heureusement, il m’était permis d’écouter la conversation qui se tenait dans mon dos.

« Avez-vous réfléchi à la possibilité de venir, à l’improvise, surveiller Josip pendant que je ne serai pas là ?

– Évidemment, ce sera sans doute nécessaire.

– Oui, je ne sais pas ce que vous en pensez, mais même la fessée la plus sévère ne pourrait le guérir aussi vite de cette habitude.

– Vous avez raison, il faudra probablement le fesser plus d’une fois pour qu’il comprenne qu’il ne doit pas se promener sans culotte.

– La difficulté, avec moi, c’est qu’il connaît les horaires de mes déplacements. Il peut prendre des dispositions pour ne pas être pris. Je crois même qu’il le fait déjà et quand je le surprends dans une tenue indécente, c’est que ce qu’il envisageait n’a pas fonctionné.

– Oui, je vois bien de quoi vous voulez parler.

– Tandis que si vous pouviez arriver sans qu’il ait pu le prévoir, il serait obligé d’en tenir compte. Ce serait alors moins facile pour lui de ne pas avoir de culotte.

– Une sorte de flagrant délit ?

– C’est cela. Vous auriez alors ma bénédiction pour le punir très sévèrement, puisqu’il s’agira d’une désobéissance flagrante et volontaire.

– C’est une bonne idée. Je vais y réfléchir. »

J’étais atterré. S’il prenait l’envie à Georges de passer sans que j’aie pu l’anticiper et qu’il avait l’autorisation de ma compagne de me corriger comme il l’entendrait, cela me compliquerait considérablement la vie… enfin surtout la possibilité de désobéir impunément. Mais je n’y pouvais rien. Ni Georges, ni ma compagne ne me demandaient mon avis.



« Il est temps de voir si Josip a pris de bonnes résolutions, vous ne croyez pas ? »

Georges se rapprocha de moi.

« Alors, Josip, est-ce que tu vas encore te promener dehors sans culotte ?

– Oh non, monsieur ! »

Il eut un petit grognement.

« Pourquoi, à ton avis, je n’y crois pas ? »

Il n’y avait rien à répondre à cela. Il avait raison, mais l’important c’était de ne pas se faire prendre. C’est à ce moment que ma compagne intervint.

« On pourrait peut-être discuter de tout cela autour de la table ? »

J’étais encore au coin, tournant le dos à mes interlocuteurs, ce qui ne facilitait pas le dialogue.

« Oui, vous avez raison. Viens t’asseoir, Josip ! »

Il avait tiré une chaise pour que j’y prenne place. Pendant que je m’y rendais, avec ma démarche toujours aussi malcommode due à mon short qui était tombé sur mes pieds, ma compagne suggéra que ma culotte et mon short retrouvent leur place normale.

« Je ne crois pas, non. Il peut s’asseoir sur la chaise la culotte baissée. »

Ma compagne n’insista pas. J’aurais pourtant bien aimé qu’elle le fasse. J’aurais retrouvé un peu de ma dignité. Je pris place, les fesses nues en contact avec le bois de la chaise.



Il y eut un temps de discussion qui se résuma à une explication du pourquoi il ne fallait pas se promener sans culotte. Les deux grandes personnes qui me raisonnaient prenaient la parole à tour de rôle. Moi, uniquement quand on m’interrogeait directement, je répondais brièvement, en quelques mots.

Je promis tout ce qui m’était demandé. Mais cela ne récolta que du scepticisme de la part de mes interlocuteurs. Aucun des deux ne sembla convaincu par les engagements que je prenais. Il faut dire que je n’y mettais pas du mien. Mes réponses à leurs attentes semblaient plus destinées à éviter une nouvelle fessée qu'à augurer d’un changement de mes façons de faire.

Georges conclut cette séquence.

« Je crois, Josip, que tu as encore besoin d’une bonne fessée pour que tu te rappelles longtemps tout ce que tu viens de dire. Viens ici ! »

Ici, c’était à la droite de la chaise sur laquelle il était assis. Je n’avais pas plus le choix que les précédentes fois. Il fallait obéir. Aussi lentement que je le pus, je me dirigeais vers le lieu où le sort qui m’était promis ne faisait aucun mystère pour les personnes qui étaient présentes. Cet atermoiement à obéir à ses ordres ne fut pas du goût de Georges. Il me rit pas le coude et m’obligea à me dépêcher pour faire le tour de la chaise. Il ne me laissa pas de répit. Il me coucha à plat ventre en travers de ses genoux.

Il n’y eut pas de phase d’ajustement comme lors de la première fessée. Tout de suite sa main échauffa si fortement mes fesses que je me mis à crier à cause des élancements que sa main provoquait.

Heureusement, il ne donnait pas de longues fessées. Elles étaient courtes, mais si vigoureuses que s’il avait fallu endurer cette correction pendant longtemps, cela aurait constitué une mémorable punition. Quinze, vingt claques de chaque côté et ce fut tout.



Georges m’aida à me relever.

« Je crois qu’un séjour au coin est tout indiqué, non ? »

C’était une question de pure forme. Je ne répondis pas, je contournai la table et je me remis dans le coin. Mes fesses devaient être toutes rouges, mais je n’en avais cure. Bien sûr j’avais honte de la position infantilisante dans laquelle je devais me tenir, mais au moins là où j’étais je ne risquais plus la fessée.

« Pourvu qu’il n’envisage pas de me fesser une autre fois, pensais-je ! »

Je sentais des fourmillements dans mon postérieur et il y avait quelques endroits qui étaient plus douloureux. J’y percevais comme des élancements qui ne s’estompaient pas. Il n’y avait pas à dire, Georges savait donner la fessée et j’en ressentais les effets. Combien de temps mes fesses seraient-elles encore douloureuses ? Il ne fallait plus que je me fasse prendre sans culotte. C’était bien trop risqué.

Je ne restais pas très longtemps au coin. Georges m’en délivra. Je pense qu’il avait l’intention de nous quitter.

« Reculotte-toi, me dit-il ! »

J’allais le faire quand ma compagne intervint.

« Je crois qu’il est préférable que ce ne soit pas lui qui le fasse. D’habitude, c’est moi qui le fais ;

– D’accord ! Josip, c’est donc ta Maman qui va te remonter ta culotte, va la voir ! »

Je ne crois pas que c’est ce qu’espérait ma compagne, mais elle ne revint pas à la charge. Elle me reculotta et Georges partit.



Plus tard, dans la fin de l’après-midi, j’examinais mes fesses dans un miroir. Elles étaient striées de lignes rouge sombre. Ces marques persistèrent jusque dans la nuit. Le lendemain matin, il n’y avait presque plus rien. Cette fessée de Georges était à prendre en compte, il n’y avait pas de doute.




 Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

5 commentaires:

  1. Bonjour Josip.
    Tu dis avoir reçu la fessée devant d’autres personnes connues de toi… je ne m’en souviens pas. J’ai peut-être raté quelque chose… À moins que tu ne parles du coach auquel Huguette avait fait appel et dont l’expérience n’avait pas été concluante. Par contre ce Monsieur Georges, qui est-il…? Tu ne le connaissais apparemment pas. Qui est-ce…… d’où vient-il… Est-ce une relation d’Huguette…un collègue…? Comment l’a-t-elle trouvé…? C’est sûr que cette fessée donnée par une personne inconnue sera vraiment efficace et portera ses fruits…
    Bien à toi et au plaisir de te lire.
    Éric

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  2. Eric,
    Oui, je parlais du du coach et de Juliette.
    Ce monsieur Georges, je ne sais pas d'où il vient. La seule chose que je sais, c'est qu'il n'habite pas très loin, mais je ne sais pas à quelle distance. Je ne sais pas où Huguette l'a trouvé, ce n'est pas un collègue à elle, mais elle refuse de m'en dire plus. Je n'ai pas insisté car elle me menaçait d'une fessée en raison de ma curiosité.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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    1. Quand tu en seras plus tu me le diras… Eric

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    2. Eric
      Si je le sais un jour. Quand je lui ai posé la question, Huguette m'a répondu que ça ne me regardait pas et qu'elle savait comment guérir les petits garçons de leur curiosité.
      Je ne vais donc pas insister.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG

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    3. Ah oui elle sait punir les petits garçons curieux. Je suppose qu’elle leur baisse la culotte et les fesses sur les genoux. Cul nu et clac clac clac clac clac clac… ouille ouille. Elle a raison.
      Éric

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