Je suis admiratif de la patience et de la persévérance de ma compagne. Je crois qu’en acceptant la responsabilité de rectifier dans mon comportement ce qui n’avait pas été acquis de façon satisfaisante durant les soixante premières années de ma vie, elle a endossé un rôle difficile. J’ai contracté, durant toute ma vie, des habitudes dont j’ai énormément de mal à me défaire. Je sais que quand ma compagne exige que je modifie mes manières d’être et de faire, c’est qu’elle veut que je m’améliore. Elle ne perd pas sa constance, même si de temps en temps elle laisse passer des attitudes problématiques.
Ce que j’admire le plus, c’est comment elle n’hésite pas à remettre sur le métier quelque chose sur laquelle elle est pourtant intervenue très souvent. Elle recommence, sans cesse, oserais-je dire, aussi souvent que je retombe dans les mêmes travers. Ce qui s’est passé ce mardi matin en est un bon exemple et je pense qu’elle devra y revenir encore plusieurs fois.
Elle est certaine de la pertinence de la méthode qu’elle emploie.
« Avec un grand garçon comme toi, qui refuse d’assumer les contraintes du statut d’adulte, je ne connais qu’une méthode qui fonctionne : il faut lui donner, à chaque fois que c’est nécessaire, une bonne fessée déculottée. »
Je reconnais que ça fait réfléchir. À mon âge, se retrouver la culotte baissée sans que son avis n’ait été sollicité, et les fesses cuisantes après une longue correction, et devoir aller se mettre au coin aussi longtemps que ma compagne l’aura décidé, n’ont rien d’agréable. Je m’en passerais bien. Mais je devrai également me passer de l’attention qu’elle me porte et de sa vigilante supervision. Je ne le vois pas finir ma vie sans elle, sans sa présence et sans son autorité.
Je dois avouer que ses corrections sont utiles. Elle comme moi pouvons constater que sur de nombreux points j’accepte beaucoup plus facilement les obligations qu’impose la vie d’adulte. Je fais, par exemple, beaucoup plus attention au langage que j’emploie et j’ai quasiment banni les gros mots de mon vocabulaire. Quand il m’arrive encore d’en employer, une bonne fessée vient me rappeler qu’il ne faut pas le faire.
Il y a des sujets où j’ai plus de mal. Je pourrai parler de manger la bouche ouverte ou de mettre mes doigts dans mon nez ou encore de dépasser les limites de vitesse en voiture. Mais je pourrai aussi prendre d’autres exemples. Il y a tellement de points sur lesquels ma compagne veut que je m’améliore et pour lesquels je sais que ce sera difficile.
J’ai toujours aimé me balader dans une tenue des plus légères. Bien entendu, cette tendance n’a pas trouvé à s’exprimer tant que j’ai vécu entouré d’autres personnes. Dès que je l’ai pu, et cela remonte à quelques dizaines d’années, j’ai pris l’habitude de ne porter sur moi que le minimum de vêtements que la température me permettait.
Quand le jardin qui entourait ma maison l’a permis, je n’ai pas hésité à y sortir en ne portant qu’un tee-shirt ou un polo. Du moment que personne ne pouvait me voir, je ne trouvais que des avantages à être les fesses nues sous le vêtement que je portais sur le haut de mon corps. Je trouvais que c’était une preuve de responsabilité que d’être aussi peu vêtu dans un espace de vie où personne ne pouvait me voir. Je l’ai pensé jusqu’à ce que ma compagne y mette le holà.
« Il n’y a que les enfants, et encore uniquement les plus petits, qui se promènent les fesses nues. Certainement pas les grandes personnes. Comme tu persistes dans cette idée, je vais te montrer ce qu’il en coûte. »
C’est ce jour-là qu’elle m’a donné ma première fessée pour cette raison.
« Je ne veux voir tes fesses qu’en trois circonstances : quand je t’habillerai ou te déshabillerai, quand je te laverai et quand tu seras dans ton lit. Autrement, si je vois tes fesses, ce sera la fessée ! »
Depuis, elle applique ce principe. J’ai bien plus tendance à porter une culotte, mais il y a toujours, souvent, des moments où mes anciennes habitudes reviennent.
Ce matin-là, je n’y ai même pas pensé. Ma compagne s’était levée quelques instants avant moi et elle était partie, pour quelques minutes, faire une course. Je me suis levé et, la veille au soir, ma compagne avait dit que je n’avais pas besoin du bas de pyjama. Il était donc resté à sa place. Ne l’ayant pas sous la main, je m’étais levé et j’étais allé préparer le petit déjeuner dans la tenue que j’avais pour dormir, malgré la fessée reçue la veille pour le même motif.
Quand elle revint, elle vit tout de suite le problème.
« Pourquoi es-tu à moitié nu ? Où est ta culotte ?
– Mais tu m’as dit hier soir que je n’en avais pas besoin !
– Pas besoin, pour dormir, certes, mais es-tu dans ton lit en ce moment ?
– Non, bien sûr.
– Alors qu’est-ce que je t’ai dit ? Qu’est-ce qui se passe si je vois tes fesses ?
– Oui, bon, je vais mettre une culotte.
– Et en vitesse ! »
La claque sur mes fesses nues accentuait le sentiment d’urgence à couvrir mon postérieur. Je filais vers la chambre. Ma compagne me rattrapa juste en entrant dans la chambre.
« Une petite seconde. »
Elle me fit pivoter et, dans le même mouvement, elle me fit passer sous son bras.
« Oh, non !
– Quoi ? Tu contestes ma décision ? Peut-être n’as-tu pas mérité une fessée ? »
Deux fortes claques atterrirent sur mes fesses.
« Si, Maman, mais ça fait mal !
– Ah oui, une fessée, généralement, ça ne fait pas du bien. Enfin, sur le moment ! »
Je ne trouvais pas l’ironie de ma compagne de bon ton, mais j’allais devoir faire avec.
« Voyons si j’y arrive ! »
Évidemment qu’elle y arrivait. Elle y arrive à chaque fois. Même pour les petites fessées, je finis avec les fesses cuisantes. La différence c’est qu’avec les grosses, je sens la cuisson bien plus longtemps et parfois, quand elle laisse des marques sur les fesses ou qu’elle utilise les orties, cela dure plusieurs heures, parfois plusieurs jours.
Cette fois-ci ne fit pas exception. Courbé sous son bras et maintenu contre son flanc, je ne pouvais que subir la fessée. Je restais dans la position dans laquelle elle m’avait mis. Si je me relevais, ce serait bien pire et la fessée risquait de tourner au cauchemar. Ce n’était pourtant pas l’envie qui m’en manquait.
Mes fesses me brûlaient depuis longtemps quand elle arrêta. Elles étaient probablement toutes rouges, mais comme elle n’avait utilisé que sa main pour me punir, il ne devait pas y avoir de marques.
« Va chercher de quoi couvrir ces fesses, m’ordonna-t-elle ! »
Je lui ramenais un bas de pyjama assorti au haut que je portais. Elle en ouvrit la ceinture et le présenta au niveau de mes chevilles. J’y passais les pieds l’un après l’autre tout en me tenant à son épaule.
« Allez, tu vas déjeuner ! »
La claque qu’elle me donna sur les fesses était presque anecdotique.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
La première fessée du journal relatée ici
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
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