dimanche 6 juillet 2025

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 3 juillet 2025 – 9 h 15

J’aime bien quand nous prenons nos repas ensemble, avec ma compagne. Ce n’est pas tout le temps. Souvent, elle travaille et elle n’est pas là pour manger avec moi. C’est l’une des choses auxquelles on s’habitue vite : ne plus déjeuner seul. Je fais la cuisine pour elle, elle fait la cuisine pour moi.

Bien sûr, cela n’a pas que des avantages. Je dis souvent à ma compagne qu’il n’existe pas de situation qui n’ait que des avantages ou que des inconvénients. Parfois les uns prennent le pas sur les autres, mais les autres sont toujours présents. Pour moi, dans ces situations, l’inconvénient, c’est que ma compagne surveille comment je me comporte pendant le repas. Et il n’est pas rare qu’elle doive me déculotter et me fesser en plein repas, quand je mange la bouche ouverte, par exemple.

Est-ce vraiment un inconvénient ? Oui, pour sûr ! Avoir la culotte baissée comme un petit garçon n’a rien d’agréable, j’ai honte que ma compagne en soit obligée d’en venir à cette triste extrémité. Et encore moins de recevoir une bonne fessée ! Mais c’est aussi un avantage : je sais qu’ainsi ce que je fais a de l’importance pour ma compagne et qu’elle veut éradiquer mes défauts. À l'évidence, manger la bouche ouverte en fait partie.

Je serai bien content quand je serai débarrassé de cette mauvaise habitude. Je conçois que ce ne soit pas agréable pour ceux qui mangent en face de moi. Et puis je recevrai moins de fessées. Peut-être pas moins, mais plus pour cette raison. Ce serait un sacré progrès !



Ce matin-là, nous déjeunions tranquillement. Rien ne nous pressait. Nous avions le temps. Comme d’habitude, c’est vers la fin du repas que j’ai bien moins maîtrisé ma façon de manger. J’oublie ce que je risque, je me détends, je me décontracte, je desserre le contrôle que j’exerce maintenant sur moi et je néglige de faire attention.

« Josip, comment tu manges ! »

Je fermais ma bouche, mais c’était trop tard.

« Tu sais ce que je t’ai dit : une fessée à chaque fois ! »

Eh oui, elle avait raison. J’avais mérité une fessée.

« Viens ici ! »

Elle s’était mise debout. Je savais ce qu’elle voulait. Ce n’était pas qu’il y avait plus de deux pas pour me placer devant elle, mais ils me semblèrent bien longs et trop courts à la fois.



Elle me courba sous son bras. C’était l’une des positions qu’elle affectionnait. Ainsi, elle avait mes fesses à sa disposition et elle me mettait dans une posture qu’elle aurait fait prendre à un petit garçon pour lui donner une fessée. Elle comme moi en avions le sentiment qu’elle exerçait alors ses prérogatives maternelles et ce n’était pas faux.

Je ne protestais pas. Cela faisait longtemps que je ne contestais plus son droit à me corriger. Tout au plus, mais une fois la fessée achevée, lui faisais-je remarquer qu’il y avait certainement peu d’adultes de mon âge qui prenaient ainsi la fessée. Je connaissais pourtant la réponse.

« Je ne te donne la fessée, un, que quand tu l’as méritée, deux, que quand tu t’es comporté comme un petit garçon et non comme un adulte, et trois, je ne vois pas ce qui serait plus efficace pour que tu prennes conscience de tes écarts. Nous avons déjà essayé d’autres méthodes et elles marchent moins bien. »

Qu’aurais-je pu répondre à cela ? Elle avait parfaitement raison. Il ne me restait plus qu’à attendre la suite.

Elle baissa mon bas de pyjama. Je ne porte pas de culotte en dessous. Mes fesses furent donc aussitôt nues. J’avais honte que ma compagne doive me baisser la culotte, mais je n’y pouvais rien. Cela faisait partie de la punition. C’est ainsi qu’elle avait décidé, peu de temps après que nous nous soyons rencontrés, de me punir. Elle ne me demandait jamais mon avis, ce qui se comprend.



Rien qu’avec la main, elle arrivait à me punir suffisamment pour que j’aspire très vite à ce qu’elle estime que j’avais été assez fessé compte tenu de la bêtise que j’avais faite. Mes aspirations étaient souvent déçues. Elle entendait que je sorte d’une fessée les fesses cuisantes. Afin qu’elles le soient convenablement, il fallait un peu de temps. Assez pour que je regrette de n’avoir pas fait attention avant de mériter la fessée.

La sévérité de la correction dépendait aussi du nombre de fois où elle m’avait fait le même reproche. Je ne sais plus combien de fois elle avait dû me réprimander parce que je mangeais la bouche ouverte. Si elle ne se lassait pas ni de me gronder pour cette raison, ni de me fesser, je savais que les corrections qui découlaient d’une récidive plusieurs fois répétées seraient très sévères. Et puis, il s’agissait de me faire passer une fâcheuse habitude. Il fallait donc que je comprenne que ça ne pouvait plus durer, surtout comme cela faisait partie des habitudes que j’avais prises depuis longtemps et qu’il n’est pas aisé d’en faire changer un adulte.

Je m’attendais donc à une sévère correction, probablement une plus sévère que la dernière fois. Elle m’avait mis au coin en attendant qu’elle finisse de déjeuner et elle m’avait promis les orties si je recommençais. Nous y étions.

Je ne fus donc pas surpris quand, après m’avoir largement chauffé les fesses, elle m’ordonna de me rasseoir pour finir le déjeuner. Je lui obéis, tout en craignant la suite, celle qui ne manquerait pas d’arriver à la fin du repas.



Je finis mon petit déjeuner en me demandant bien ce qu’elle me réservait. Une autre fessée à coup sûr. Un temps au coin, très probablement. Et les orties. Je n’allais pas y couper.

Mais rien. Il ne se passa rien. Je pus me lever de table, la ranger, aller me laver les dents sans que ma compagne n’évoquât une suite à la fessée qu’elle m’avait donnée. Comme à chaque fois, j’en fus heureux et inquiet à la fois.

Se pourrait-il que ma compagne ne tienne pas ses promesses ? C’était probablement ce qui arrivait.




 Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

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