vendredi 4 juillet 2025

Un témoignage d'Arno

Comme j'ai déjà eu l'occasion de vous l'écrire à de nombreuses reprises, je partage sincèrement votre conception et votre approche de l'éducation d'un adulte ayant besoin d'un bon recadrage.
Et j'ai terriblement besoin de cette éducation ferme, sévère et juste.
J'ai récemment rencontré celui que j'appelle Tonton, je ne vais pas m'appesantir sur le comment, c'est sans intérêt.
En-tout-cas Tonton a accepté de me recevoir pour parfaire mon comportement et mon éducation.

Voici donc mon témoignage :

Après une heure de route, le GPS m'indique que je ne suis plus qu'à 5 km de chez Tonton.
Il fait chaud en cette fin juin et j'ai passé un boxer blanc, un short long en jean et une chemisette folklorique.
Tonton m'ayant précisé que je devais m'habiller comme un ado !
Je me gare dans l'allée, Tonton sort pour m'accueillir, il porte un pantalon noir et une chemisette blanche, et un chapeau, il faut dire que le soleil tape fort.
Nous rentrons nous mettre à l'abri de la chaleur estivale, dans la cuisine une casserole mijote sur la cuisinière.
Après avoir échangé quelques banalités, Tonton durcit le ton et me reproche ma tenue débraillée et inadéquate.
Je suis évidemment vexé et bien ennuyé.
Tonton me réplique que cela n'a pas une grande importance, qu'il se doutait un peu que ma tenue ne conviendrait pas et qu'il m'a préparé des vêtements plus appropriés à mon statut de garçon obéissant et bien élevé.
Je le suis dans la pièce d'à côté.
Posé sur le canapé, un slip kangourou blanc, une paire de chaussettes blanches, un polo blanc, des chaussons et une culotte courte bleu marine assortie d'une paire de bretelles, et une casquette, et une serviette de type bavoir !
" Tu as cinq minutes pour te changer et t'habiller correctement, après, tu viendras mettre la table " et il sort de la pièce pour regagner la cuisine.
Je me change rapidement et me dirige vers la cuisine.
"Ah, voilà enfin un grand garçon correctement vêtu ! Tourne-toi, correctement mais négligemment".
Tonton me tourne vers lui et là, il ajuste les bretelles qui étaient bien trop lâches à son goût.
Du coup, la culotte me rentre désormais dans la raie des fesses, la sensation est étrange et très humiliante.
"Allez, les assiettes et les couverts sont dans le buffet, tu mets la table".
Je m'exécute rapidement et nous passons à table, Tonton a choisi une chaise avec une assise en plastique qui me colle aux cuisses, la culotte étant très courte.
"Dis-moi, Arno, tu t'es lavé les mains ? Non Tonton, j'ai oublié. Parfait me dit Tonton, voilà un oubli qui te vaudra une fessée après le déjeuner".
"Et tu as l'intention de déjeuner avec ta casquette ? Voilà donc une deuxième fessée au programme".
Je pensais que nous en resterions là, malheureusement Tonton s'est aperçu que la serviette bavoir n'était pas autour de mon cou, mais sur mes genoux.
Tonton s'est levé, m'a passé la serviette autour du cou et m'a dit : "Eh bien voilà, jamais deux sans trois" !
Le déjeuner s'est bien passé, et un peu traîné en longueur, j'en oubliais presque les fessées promises à venir.
Tonton lui n'avait rien oublié, sitôt le dessert avalé, il s'est levé, m'a attrapé par l'oreille et entraîne vers le canapé, j'étais rouge de honte.
Tonton s'est confortablement installé sur le canapé et m'a couché en travers de ses genoux, les premières claques sont alors arrivées sur mes fesses, encore protégées par la culotte.
Au bout d'une vingtaine de claques, Tonton a défait mes bretelles et baissé ma culotte, puis il a repris la fessée, cette fois-ci, je n'avais plus que la petite culotte.
Après une bonne fessée, Tonton m'a fait levé et il a descendu la petite culotte qui a rejoint la culotte courte sur mes chevilles.
J'étais donc cul-nu, les fesses à l'air et mon zizi en berne, Tonton m'a couché en travers de ses genoux pour une sévère et cuisante fessée à la main, j'ai dû compter une cinquantaine de claques.
"Bien, debout, et tu vas au coin, les mains dans le dos".
J'ai dû rester au coin un bon quart d'heure, pendant que Tonton vaquait à ses obligations.
Tonton est revenu avec une brosse à cheveux, "Voici venu l'heure de ta deuxième fessée" m'a t'il dit, il m'a penché en avant, contre sa hanche, me ceinturant avec son bras gauche et la brosse s'est abattu sur mon derrière qui récupérait à peine de la première fessée.
Je ne saurai pas dire combien de fois la brosse à rencontrée mes fesses, mais j'étais pétri de honte et j'avais les fesses en feu.
Le retour au coin fut un soulagement, j'ai toutefois commis l'erreur de masser mes fesses, ce qui m'a valu un petit rappel à la main, suffisant pour ne pas recommencer.
"Allez jeune homme, nous allons passer à ta troisième et dernière fessée, tu vas te mettre à genoux sur le canapé et te pencher en avant, que je vois bien tes fesses".
Le martinet s'est abattu, les cuisses, les fesses, et moi, je dansais sous les coups...
La fessée au martinet a bien duré 5 minutes.
"Voilà me dit Tonton, tu peux aller prendre une douche et te rhabiller".
Alors que je profitais du bonheur du jet de la douche, la porte de la cabine s'est ouverte : "Tu n'utilises pas le gant de toilette petit cochon, je vais t'apprendre".
Tonton a pris un gant de crin et il m'a copieusement frotté mes fesses endolories, et dans la raie des fesses, ce qui était très humiliant, pour finir, il m'a également frotté le zizi avec son gant de crin, j'étais effondré et honteux.
Je me suis rhabillé, nous avons pris un café, et Tonton m'a dit qu'il aurait plaisir à me recevoir pour une nouvelle leçon.
Je suis reparti, les fesses cramoisies, le retour ne fut pas aisé, d'autant que Tonton m'a promis que pour mon prochain séjour, il me ferait connaître la caresse des orties !

Voilà, fin de l'histoire vraie qui m'est arrivé fin juin.
Vous pouvez mettre en ligne.
Bonne soirée à vous deux, Arno



Et voici la dernière fessée dont Arno a écrit le récit : Vendredi 2 février

1 commentaire:

  1. Merci pour ce témoignage, j'espère que votre expérience a Répondu à vos attentes

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