Il y avait une atmosphère étrange que je n’arrivais pas à définir. Ma compagne semblait attendre quelqu’un ou quelque chose, ce qui ne manquait pas de m’inquiéter. Elle insista sur ma tenue, exigeant que je porte un short alors qu’il n’était pas question que nous sortions. C’était inhabituel. J’aime bien les nouveautés, seulement quand je sais de quoi il s’agit.
Elle commença à s’impatienter vers 16 h 00. Il devenait de plus en plus évident qu’une personne allait venir. Je me posais plein de questions : qui était-ce ? Pourquoi ne m’en avait-elle pas parlé ? J’étais perplexe. Ma compagne n’avait pas l’habitude de faire autant de mystères.
« Va au coin ! »
Cet ordre résonna dans ma tête comme un signal d’alarme.
« Mais pourquoi ? Je n’ai rien fait ! »
Il serait plus exact de dire que je n’avais rien fait récemment.
« Vas-tu obéir ? Je t’ai dit d’aller au coin ! »
Son ton ne me laissait pas le choix. Je me dirigeais vers l’angle de la pièce où pointait son doigt. Je mis mon nez dans le coin.
« Tu croises tes bras dans ton dos, comme d’habitude ! »
Comme d’habitude ? Oui, mais d’habitude, j’avais la culotte baissée. Elle ne semblait pas avoir cette intention. Maintenant que j’étais au coin, immobile et silencieux, elle ne s’intéressait plus à moi.
« Ah, ça y est ! »
Je l’entendis sortir sur le pas de la porte. Que se passait-il ?
C’est quand j’ai entendu une voix que je ne connaissais pas que je me mis à paniquer. Je ne pouvais rester au coin alors qu’un inconnu, j’avais reconnu une voix masculine, allait entrer dans la pièce d’un moment à l’autre. Tant pis, je préférais désobéir à ma compagne plutôt que de montrer à cette personne que ma compagne me punissait quand elle le jugeait nécessaire. Et quelle punition !
À mon âge, aller au coin, cela ne se faisait plus. Je me tournais, faisant face au nouvel arrivant et je décroisais mes bras de mon dos. J’avais maintenant une posture plus en adéquation avec mon âge et si ce n’était la gêne que je ressentais encore, rien ne laissait penser que j’étais soumis à l’autorité de ma compagne. Bien mal m’en prit !
« Depuis quand quittes-tu le coin sans ma permission ? »
Je ne sais pas ce que le monsieur inconnu avait compris, mais pour moi comme pour ma compagne, l’interpellation ne laissait aucune place au doute.
« Mais, il y a quelqu’un !
– Je sais qu’il y a quelqu’un ! Et cela te donne le droit de désobéir ? »
Le vocabulaire employé était clair. « quitter le coin », « permission », « désobéir »… ma compagne n’entendait pas que son autorité soit contestée, surtout en présence d’une autre personne. Je ne savais plus comment me comporter.
« Viens ici ! »
Il y avait une telle conviction de son bon droit dans le ton utilisé par ma compagne que je ne me posais réellement pas de question. L’habitude de lui obéir prit le pas sur tout le reste. Je marchais jusqu’à être à portée de sa main. Sèchement, elle me rapprocha d’elle.
« Qu’est-ce qui t’arrive, dans cette maison, quand tu désobéis ? »
S’il n’y avait pas eu un témoin, j’aurais répondu à cette interpellation directe, mais je ne pouvais plus parler. Les mots restaient coincés au fond de ma gorge. Je commençais à entrevoir l’intention de ma compagne et je restais stupéfait de me trouver dans une telle situation.
Je ne sais pas si j’aurai réussi à dire le mot « fessée » à ce moment-là, en présence d’un autre adulte que je ne connaissais pas. Voyant que je ne répondais pas, elle décida de passer outre.
« Eh bien, tu reçois une bonne fessée déculottée ! »
Une fessée déculottée. Je ne voyais pas le monsieur, mais j’étais certain qu’il n’avait pas perdu une miette de l’échange qui s’était tenu en sa présence. En sa présence, ma compagne avait expliqué comment elle me punissait. Il savait maintenant que je recevais la fessée déculottée et que j’allais au coin. À ses yeux, je ne devais plus être l’adulte que mon apparence laissait voir.
Comme si cela était banal, ma compagne attrapa le cordon qui ceinturait mon short et elle en défit le nœud. Je ne sais pas si la signification de ce geste fut perçue par le monsieur qui se tenait derrière moi. Mais pour moi, je savais ce qui allait arriver. J’étais paralysé, incapable du moindre mouvement.
Ma compagne passa son bras dans mon dos et je dus me courber quand elle entoura ma taille, me collant contre son flanc. Je ne sais plus s’il m’est venu, durant un court instant, l’idée de me dégager de la position dans laquelle elle me mettait et qui ne laissait plus aucun doute sur ce qui allait suivre. Elle s’y prenait avec moi comme elle le faisait d’habitude quand elle voulait me donner la fessée, comme si je n’étais qu’un petit garçon qu’il fallait punir. Étais-je autre chose à ce moment-là ? Certainement pas un adulte qui avait son libre arbitre et qui ne pouvait donc pas être puni.
Par réflexe, j’attrapai son pantalon de mes deux mains. Ma compagne était certaine de mon obéissance. Elle ne montrait aucune hésitation. Elle prit la ceinture de mon short et elle le baissa. Puis, ce fut au tour de ma culotte, qu'elle laissa à la hauteur de mes genoux.
C’était la première fois qu’elle me déculottait en présence d’une personne que je ne connaissais pas et qui était tout proche de nous. Je n’avais plus ni la force, ni la volonté de protester contre le traitement qu’elle m’infligeait. Ma compagne avait dû compter là-dessus. Me baisser la culotte était devenu si routinier dans notre relation que je n’esquissais pas une once de résistance malgré la présence d’un témoin. Elle m’avait souvent menacé de me déculotter et de me fesser « devant tout le monde », mais elle n’était jamais passée à l’acte. Je savais qu’elle en avait le droit, mais je n’avais jamais pensé qu’elle le ferait un jour. Ce jour était venu.
Une première claque tomba sur mes fesses, suivie presque immédiatement par une deuxième. Si j’avais eu encore un doute, il était maintenant levé. Ma compagne m’administrait une fessée déculottée devant un spectateur. Je n’oubliais pas sa présence, il était toujours là dans un coin de ma tête. Mais j’eus rapidement d’autres préoccupations qui m’accaparèrent.
Ce n’était plus son compagnon qu’elle maintenait en place sans grande difficulté sous son bras et dont elle avait dénudé les fesses. Non, c’était son petit garçon qui devait apprendre qu’il entrait dans ses prérogatives maternelles d’exiger une obéissance absolue. J’avais désobéi, j’en recevais une fessée déculottée. Il n’y avait là rien que de très normal à ses yeux. La présence d’un spectateur n’y changeait rien. Elle savait, par expérience, qu’ensuite mon obéissance serait sans faille.
Elle poursuivit la fessée pendant quelque temps, sans doute pour donner une couleur rouge uniforme à mes fesses. Je sentais la cuisson monter et je ne pouvais que le confirmer par les cris que j’avais cherché à retenir dans un premier temps. J’y avais renoncé bien vite. Ils démontraient, s’il en était besoin, que l’efficacité de la fessée. Elle portait ses fruits.
Sans me l’avouer et sans en prendre effectivement conscience, j’avais résolu d’obéir à ma compagne comme j’en avais l’habitude. S’il était en son pouvoir de me déculotter et de me fesser devant cette personne, il était donc légitime que je sois traité comme un petit garçon qui devait obéir à sa maman, sous peine d’une nouvelle correction publique. Je savais que si je n’obtempérais pas à ses ordres, elle n’hésiterait pas à me fesser une nouvelle fois.
Quand elle mit fin à la fessée, je me comportais comme je le faisais habituellement. Le spectateur n’était pas dans mon champ visuel et je faisais tout pour l’éviter. Je ne pouvais jauger de ses réactions à la fessée déculottée en public à laquelle il venait d’assister. Mais cela m’allait très bien. La démonstration d’autorité de ma compagne me suffisait amplement.
« Retourne au coin ! »
Bien entendu, je ne tentais pas de me reculotter. D’habitude, je ne le faisais pas. Il n’y avait donc aucune raison de m’y essayer. Mes fesses ne devaient, de toute façon, plus avoir aucun secret pour le spectateur. Il devait avoir compris ce qu’impliquait la relation filiale, dans laquelle j’étais tenu. Voyait-il encore, pendant qu’il me regardait gagner le coin, un adulte, ou à ses yeux n’étais-je plus qu’un enfant que sa maman venait de fesser devant lui, et que la punition avait ramené à de meilleurs sentiments ?
Je ne m’en souciais pas du tout alors que je reprenais ma place au coin. Immobile et silencieux, laissant mes fesses nues et fraîchement fessées à la vue des deux grandes personnes qui étaient dans la pièce.
Ma compagne m’avait fort pertinemment et très rapidement remis à ma place. Celle d’un petit garçon dont elle attendait une obéissance absolue. Qu’il y ait eu un témoin de la fessée déculottée que j’avais reçue lui était visiblement indifférent.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
La première fessée du journal relatée ici
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
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