mercredi 23 avril 2025

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 21 avril 2025 – 17 h 09

Après cette première fessée, notre promenade s’est poursuivie. Je sentais, sur mes fesses, la douleur, là où les baguettes avaient imprimé leurs marques. Je n’osais pas regarder plus avant dans quel état étaient mes fesses. Il aurait fallu baisser mon pantalon et ma culotte, et ça, ma compagne ne l’aurait pas permis. Elle faisait comme si ce dernier épisode avait clos le chapitre.

Elle avait totalement raison. Je n’étais pas prêt à m’occuper de nouveau des cailloux du chemin. Chaque fois qu’il y en avait un qui me semblait positionné pour être poussé par mon pied, je résistais à l’envie, sachant, si je le faisais, ce qui m’attendait. Les habitudes des adultes sont souvent profondément ancrées et il est difficile d’y résister. Je sais que, très probablement, il faudra plus d’une fessée pour faire disparaître cette manie. Si ma compagne avait décidé d’y arriver, je sais qu’à force de patience, elle atteindra son but. Mes fesses seront mises à contribution autant de fois que nécessaire, mais pour le moment, la leçon avait porté ses fruits. Plus de coups de pied dans les cailloux… du moins pour aujourd’hui.

Je sais, je n’aurais pas dû me plaindre. Pourtant, une fois que le groupe de personnes se soit suffisamment éloigné pour ne plus entendre notre conversation, je ne pus pas m’en empêcher.

« Tu sais, ils auraient pu me voir. Il aurait suffi qu’ils arrivent quelques minutes plus tôt…

– Et alors ? Qu’auraient-ils vu ? Un grand garçon qui se faisait punir avec une bonne fessée déculottée ? Ce n’était donc pas ce qui se passait ?

– Si Maman.

– Et puis ils ne risquaient pas de voir, ce qui est dommage, mais seulement d’entendre.

– Et s’ils avaient entendu ?

– La belle affaire ! Cela t’aurait peut-être mis du plomb dans la tête.

– Oui, mais…

– Je ne veux plus t’entendre sur le sujet. Si tu as pris une fessée, c’est de ta faute. Cela va t’apprendre à m’obéir du premier coup. Cela te fait beaucoup de bien.

– Oui, mais ça fait mal aux fesses !

– J’avais dit plus un mot ! »

Ma compagne me prit sous son coude, sans prendre le temps de s’écarter un peu du chemin. Ainsi, les marcheurs qui empruntaient le sentier ne pouvaient avoir de doute sur ce qui se préparait : j’allais recevoir une fessée. Ma compagne baissa alors mon pantalon et elle appliqua les baguettes sur mes fesses, juste à la jonction avec les cuisses, là où la culotte ne recouvrait pas la peau. Je retrouvais bien vite la cuisson qu’elle m’avait infligé quelques minutes auparavant et mes cris étaient explicites. Il est vrai que les baguettes faisaient leur effet. Elle me laissa alors me redresser.

« As-tu encore envie de discutailler ?

– Non, Maman !

– A la bonne heure ! »

Elle remonta mon pantalon et nous reprîmes notre chemin. Heureusement, personne n’était survenu pendant cette punition. Si on exceptait la cuisson ravivée sur mes fesses, je m’en tirais à bon compte. Je résistais à l’envie de frotter mes fesses.


Cette quiétude ne dura pas. Ma compagne avait décidé de s’attaquer à toutes les habitudes qu’elle déplorait. Se curer le nez avec les doigts en faisait partie et c’est pourtant une habitude que j’ai et à laquelle j’ai du mal à résister.

« Qu’est-ce que je t’avais dit si tu remettais les doigts dans le nez ? »

Le matin-même, pendant le petit déjeuner, elle m’avait expliqué que c’était une habitude dont je devais me débarrasser et qu’elle allait s’y employer.

« Tu verras, après quelques bonnes fessées, tu auras bien moins envie de te curer le nez avec le doigt ! »

Elle jeta un œil autour d’elle. Il y avait beaucoup de monde et surtout des enfants. Ma compagne ne pouvait pas sévir dans de telles conditions. Cela aurait pu passer pour un outrage à la pudeur. Elle ne tient pas à ce que nous ayons à répondre d’un tel délit et moi non plus. Cependant, je n’ai pas mon mot à dire. C’est elle qui estime quand et où je dois recevoir la fessée. En cet endroit, visiblement, cela ne lui convenait pas.

Me tenant toujours par la main, elle m’entraîna derrière elle. Je savais ce qu’elle cherchait : un endroit où elle pourrait me déculotter et me fesser. Une bifurcation dans un chemin privé, puis un tournant pour prendre un autre petit chemin et l’endroit adéquat était trouvé.

Elle me planta devant elle et elle entreprit de baisser mon pantalon, puis ma culotte. Alors elle me prit sous son bras, m’obligeant à me courber et lui offrant mes fesses nues idéalement positionnées pour y recevoir une fessée. J’entourais son bassin de mon bras gauche et je posais ma main sur le haut de son mollet. Ainsi, j’avais un repère pour savoir si je me redressais trop l’empêchant de finaliser ma correction. Elle avait encore les deux baguettes en main. Ce sont donc elles qui entrèrent en action.

J’avais dû faire un effort de volonté pour rester en position lors de la première fessé déculottée que j’avais reçue. Lors de la deuxième, ce fut à l’avenant, en pire. Les baguettes retombant là où elles avaient déjà creusé leur lit auparavant, provoquaient une douleur presque insupportable. Presque, car je restais en place malgré la fournaise qui embrasa rapidement mes fesses. Tout au plus falut-il que ma compagne me repositionne deux ou trois fois, m‘obligeant à me courber correctement sous son coude.

« Est-ce que ça suffit ?

– Oui, Maman, arrivais-je à articuler entre deux cris de douleur.

– Est-ce que tu as compris qu’on ne met pas ses doigts dans le nez ?

– Oui, Maman, oui

– Est-ce que tu le referas ?

– Non, Maman, non ! »

Elle ne mit pas tout de suite fin à ma punition. Elle voulait être certaine que le message était bien passé et durablement passé, sans se faire trop d’illusion. Elle sait que quand un adulte a pris une habitude, il faut de la persévérance pour le faire changer de comportement.

« Si tu recommences... »

Elle continuait à me fesser des deux badines qu’elle tenait en main.

« … tu auras une autre fessée, culotte baissée »

Les baguettes s’abattirent encore une fois ou deux sur mes fesses.

« Est-ce bien compris ?

– Oui, Maman, aïe, j’ai compris, aïe ! »

Elle me libéra de l’étreinte qui me maintenait en place et je me retrouvais debout devant elle, le pantalon et la culotte toujours baissés. Là où nous étions, elle pouvait prendre son temps. Ce n’était pas qu’il était impossible que surgisse une personne, mais cela était peu probable ? Bien que nous étions en extérieur, elle pouvait me laisser les fesses nues. Moi je n’avais qu’une hâte, c’était qu’elle décide de remonter ma culotte et mon pantalon afin que je puisse retrouver une tenue décente pour l’adulte que je suis, sans que les éventuels témoins ne puissent arriver qu’à la conclusion que je venais de prendre une fessée déculottée. Les marques dont je sentais la brûlure devaient pas laisser beaucoup de place à des questionnements sur ce qui venait de m’arriver.

« Tu es sûr d’avoir bien compris ce qui t’arriveras si je te prends de nouveau avec les doigts dans le nez ? »

Elle me fit légèrement pivoter et elle asséna une nouvelle volée de ses deux badines sur mes fesses dénudées qui étaient à sa portée. Je me gardais bien de protester. Mes seuls cris furent ceux que la douleur engendra.

« Oui, Maman, aïe, j’aurai, aïe, une fessée, aïe !

– Espérons que tu t’en souviendras ! »

Enfin, elle me reculotta.


Il est vrai que mettre les doigts dans son nez pour le curer est une mauvaise habitude que j’ai prise. Je suis reconnaissant à ma compagne de s’attacher à me la faire perdre, mais je sais qu’une seule fessée n’y suffira malheureusement pas. Je sais que ma compagne me baissera la culotte et me fessera aussi souvent que ce sera nécessaire jusqu’à ce que je perde cette manie.

Elle me prit par la main et nous regagnâmes le chemin. Tout était pardonné… jusqu’à la prochaine fois.



La suite c'est demain

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

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