Mais chacun connaît le problème. Quand, en tant qu’adulte, on a pris une habitude, aussi exécrable soit-elle, il est très difficile de s’en défaire. Ce n’est pas seulement une question de volonté. Les mauvaises habitudes deviennent un réflexe, on le fait sans y penser. Il faut donc une contrainte très forte pour en changer. Ma compagne a décidé d’exercer cette contrainte et bien entendu, c’est la fessée déculottée qui lui permettra de me faire changer de façon de faire.
Autant de fessées qu’il faudra, aussi souvent qu’il faudra et aussi sévères qu’il faudra ! Ma compagne sait que ce ne sera pas simple et que je ne renoncerai pas à cette manie après une ou deux fessées. Il faudra être bien plus persévérant que cela. Mais elle y est prête. Cela fait partie de ses prérogatives de Maman et je peux lui faire confiance pour les exercer pleinement.
Elle m’avait prévenu et le fait que nous ne soyons pas seuls ces deux jours ne lui a pas facilité la tâche. Elle a dû différer l’administration de la punition, mais elle m’avait annoncé que je n’y couperais pas. Elle a tenu parole.
Plusieurs fois, au cours du week-end, elle m’avait fait les gros yeux. Bien sûr, comme nous étions avec des personnes « non averties », il ne lui était pas possible ni de m’en faire ouvertement la remarque, et encore moins de me baisser la culotte et de me fesser aussitôt qu’elle constatait un manquement. C’est l’inconvénient de la façon dont est considérée la fessée déculottée aujourd’hui, surtout quand il s’agit de punir un adulte. On ne peut pas le déculotter et le fesser aussitôt que l’écart est constaté et je suis bien d’accord avec ma compagne, ça ôte de l’efficience à la punition quand il faut la reporter. C’est pourtant ce qu’elle a dû faire.
La fessée que ma compagne m’avait donnée le matin n’avait pas soldé le problème. Elle m’en avait averti. Nous ne savions pas de combien de temps nous disposions avant que ma punition ne devienne publique.
« Il ne s’agit que d’un hors d’œuvre, m’avait-elle annoncé. Même si tu vas sentir cette fessée, ce n’est rien à côté de celle que tu vas prendre cet après-midi ! »
Elle m’avait emmené devant le canapé sur lequel elle s’était assise. Tout en me baissant le pantalon, elle m’avait grondé pour mon attitude inadmissible.
« Je vais te faire passer cette habitude de manger la bouche ouverte ! »
Elle m’a alors pris par la main et elle m’a guidé à plat ventre en travers de ses genoux. Je n’ai pas résisté un seul instant. Je savais que j’avais mérité cette fessée à venir, que ma compagne avait complètement raison de me punir. Et puis, face à sa résolution, il n’était pas question de remettre en cause son droit à me punir. Cela fait partie des devoirs qu’elle a accepté et je sais que quand elle l’a décidé, je dois endurer la fessée, même quand elle fait très mal aux fesses. Son autorité suffit alors à me maintenir en position disciplinaire, aussi difficile et douloureux que ce soit.
La fessée a commencé sur la culotte, bien que la main de ma compagne s’égarait souvent sur le haut de mes cuisses, à la jonction avec les fesses, là où la culotte ne protège plus rien.
« Va chercher le sac à instruments, m’avait-elle demandé avant de commencer la correction. »
Dans ce sac, il y avait une règle plate en bois, une large lanière en cuir et un martinet que ma compagne m’avait demandé de fabriquer. J’avais faiblement protesté. D’un côté je savais qu’il fallait que je montre que je comprenais pourquoi elle me punissait. Je ne devais donc protester ontre le sort qui m’était réservé, que le moins possible. Afin que ma compagne soit convaincue que la fessée m’avait servi de leçon, il faillait que je montre que j’en comprenais l’utilité. Tout refus, même minime, n’aurait pas été dans ce sens. De l’autre, je savais que l’utilisation de l’un de ces instruments augmenterait considérablement la sévérité de la fessée.
Elle a commencé avec sa main nue. Comme vous le savez sans doute si vous avez lu ce que j’ai écrit sur mes précédentes fessées, ma compagne, rien qu’avec sa main, sait donner de formidables fessées. Celle-là en fut une. Même si ma culotte était encore à sa place, la situation ne laissait aucune place au doute : je recevais une punition. Tous les privilèges liés à mon statut d’adulte m’étaient refusés malgré mon âge. J’avais honte que me soit donnée cette fessée, montrant ainsi que j’étais très loin d’assumer le statut que mon âge aurait pu laisser supposer.
Je ne sais plus trop comment ma compagne s’y est prise. Elle a utilisé la règle plate en bois, puis la lanière de cuir, elle a baissé ma culotte, elle est revenue à main nue. J’espérai, à chaque fois que la punition touchait à sa fin, mais elle en relançait la sévérité tout en aggravant la cuisson de mes fesses.
Elle me grondait en m’expliquant pourquoi je devais renoncer à manger la bouche ouverte et en s’assurant que je comprenais bien pourquoi il était nécessaire de me punir. Mes cris de douleur et de désespoir repartaient de plus belle à chaque fois que mes fesses étaient mises à contribution.
La règle insistait sur mes fesses nues. Quatre, cinq, dix fois au même endroit.
« Es-tu sûr d’avoir bien compris pourquoi je te donne la fessée ?
– Oui, Mama, aïe, j’ai compris, aïe, j’ai compris ! »
La fessée continuait malgré mon approbation et je ne pouvais plus articuler que des cris.
« Alors, dis-moi pourquoi je te punis ;
– Parce que j’ai mangé la bouche ouverte !
– Exact et maintenant, ce sera à chaque fois que tu le feras que je te punirai de la sorte. »
La ceinture s’abattait une bone dizaine de fois, implacable, sur mes fesses.
« Oui, Maman, aïe, oui, aïe !
– Est-ce que tu le feras encore ?
– Non, Maman, aïe, non, aïe !
--Et bien moi, je n’en suis pas encore complètement persuadée. »
La fessée continuait toujours.
« Sans doute que la fessée n’a pas été assez forte !
– Si, aïe, Maman, aïe, si, aïe, j’ai compris, aïe ! »
Dans un coin de ma tête, je ne pouvais m’empêcher de redouter que nous soyons surpris dans cette position. Je ne crois pas que d’éventuels témoins auraient compris pourquoi il fallait me corriger aussi sévèrement en me fessant, la culotte baissée, comme le gamin inconséquent que j’étais aux yeux de ma compagne.
Finalement, ma compagne mit fin à ma fessée. Mes fesses étaient en feu, mais elle comme moi savions que c’était nécessaire et qu’elle l’avait fait pour que je puisse m’améliorer et assumer bien mieux les devoirs liés à mon âge. Je ne crois pas qu’elle se faisait des illusions et moi non plus. Ce n’était pas une seule fessée qui mettrait fin à mes habitudes, mais je savais qu’elle recommencerait aussi souvent que mes actes l’y obligeraient.
Je restais allongé en travers de ses genoux, laissant mes fesses qui devaient être toutes rouges sous ses yeux. Elle pouvait contempler à loisir le résultat de son travail. Elle dû en être satisfaite.
« Relève-toi ! »
Craignant l’irruption de témoins qui pouvaient arriver à n’importe quel moment, j’esquissais le geste de remonter ma culotte. Elle m’arrêta aussitôt.
« Est-ce que je t’ai autorisé à te reculotter ?
– Non, Maman, mais…
– Il n’y a pas de mais qui tienne ! Tant que je ne te l’ai pas dit, tu laisses ta culotte là où elle est, à moins que tu ne veuilles une autre fessée ?
– Non, Maman, non ! »
Je savais qu’elle n’hésiterait pas à prendre le risque d’avoir des témoins d’une prochaine fessée si je ne me soumettais pas à ses ordres. Son autorité me souffrait aucune contestation et je ne pensais même pas à me soustraire à une prochaine correction. Il fallait pourtant que je retrouve au plus vite une tenue décente aux yeux des personnes qui allaient arriver. Je restais donc debout devant elle, le pantalon et la culotte tombés sur mes chevilles.
« Tu sais que normalement, tu devrais aller au coin ?
– Oui, Maman !
– Et que tu devrais y rester longtemps, sans pouvoir remonter ta culotte.
– Oui, Maman !
– Tu sais aussi que la fessée n’est pas terminée et que nous finrons de régler tout cela dès que je le pourrai ?
– Oui, Maman.
– Tu auras une autre fessée bientôt. Elle sera déculottée et tu iras ensuite réfléchir au coin aux inconvénients qu’il y a à manger la bouche ouverte. »
Elle me grondait en prenant son temps. Il était, sans doute, prioritaire à ses yeux que je comprenne bien que je devais être puni pour me faire passer cette habitude. Malgré mes fesses brûlantes, je n’aspirais plus qu’à les couvrir avant que des témoins n’entrent dans la pièce.
« Bon, tu peux remonter ta culotte et ton pantalon, mais nous en reparlerons bientôt. »
Je savais ce que signifiait « en reparler bientôt », mais je n’avais pas le choix. Recevoir une bonne fessée déculottée de la part de ma compagne est dans l’ordre des choses quand je l’ai mérité. Me corriger fait partie de ses prérogatives.
« Ah et tu n’oublieras pas de publier ton récit sur le
blog ! »
Voilà, c’est ce que je fais, sinon, je sais ce qui m’arrivera.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
Un plaisir de retrouver vos récits toujours aussi édifiants, merci de les partager.
RépondreSupprimerS’agissant du passage au coin dans la perspective du retour d’éventuels témoins, n'est-il pas envisageable de l’effectuer dans une pièce privée, où ils ne pénètreraient pas même s’ils venaient à arriver (chambre, salle de bain) ? En général, personne ne se pose de questions si quelqu’un s’absente un petit moment dans ce type de pièce, et comme il s’agit d’une pénitence silencieuse et ainsi à l'abri des regards, cela pourrait permettre de corriger en partie Josip en temps voulu sans risquer d’être surpris.
Mon cher A.L.
SupprimerJ'ai plus pour habitude de mettre Josip au coin dans le séjour de façon à ce que je puisse continuer à faire ce que j'ai à faire, tout en le surveillant. Je trouve que c'est le lieu idéal, malgré le risque d'être surpris par une tierce personne. Pour l'instant cela n'est pas encore arrivé, quoi que le passe de la jeune femme sur le chemin, tout près de l'endroit où je fessais Josip, s'en rapproche. Il est nécessaire qu'il prenne conscience que s'il est mis au coin, c'est parce qu'il s'est comporté de façon irresponsable.
Mais vous avez raison, une prochaine fois, j'envisagerai de le mettre au coin ou au piquet dans sa chambre. En sachant que d'autres personnes qu'il pourra entendre, sont juste à côté, je pense que cela lui donnera à réfléchir. Mais je ne pourrai pas le surveiller et j'ai tendance à croire qu'il prend des libertés avec la façon dont il doit se comporter quand je le mets en pénitence.
Bonne idée ! Je vous remercie de l'avoir suggéré.
Est-ce une chose que vous avez expérimentée (être mis au coin dans la pièce à côté alors qu'il y a du monde) ? A moins que vous en ayez fait faire l'expérience à un autre adulte ?
J'attends votre réponse,
Huguette
Chère Huguette, merci pour votre retour.
SupprimerJe précise juste que je suis une jeune femme qui reçoit la fessée de mon compagnon. Je ne contribue généralement pas ici car ce n'est pas l'objet de ce blog et que je préfère m'en tenir au simple statut de lectrice, mais la suggestion me semblait pertinente au regard de ce récit.
Pour répondre à votre question, oui, il m'est parfois arrivé, lorsque nous rendions visite à de la famille, d'être envoyée au coin dans la chambre lorsqu'une punition ne pouvait pas attendre la fin du séjour. Comme vous l'imaginez, être puni sachant qu’il y a des gens à seulement quelques pas de cette pièce et qu'on ne peut se joindre à eux avant la punition levée, est une véritable leçon d'humilité en raison du caractère "semi-public" et quelque peu infantilisant de la situation. J’espère, si Josip en faisait un jour l’expérience, découvrir son ressenti ou le vôtre dans un prochain récit.
Très bonne fin de journée à tous les deux.
Merci A.L. de votre retour.
SupprimerJe vois que la fessée a encore ses lettres de noblesse dans la relation de couple. Que ce soit comme vous un homme qui punit une femme ou le contraire, ce qui importe c'est que le plus responsable des deux ait la haute main sur la discipline.
S'il ne s'agit, effectivement, pas de l'objet du blog, rien ne nous empêche d'échanger. Si vous ne voulez pas le faire par commentaire, sans doute pourriez-vous un mail (en haut à droite, sous le dessin sur cette page).
Je suis en effet curieuse de savoir comment votre compagnon s'y prend pour vous maintenir dans le droit chemin. J'aurai plein de question, d'autant plus que votre suggestion pour Josip me semble tout à fait judicieuse.
Si vous le souhaitez, je serai heureuse de converser avec vous, même si nous ne pourrons pas comparer nos vécus.
J'attends éventuellement votre courriel.
Huguette