samedi 26 avril 2025

De quel type de fessée s’agit-il ?

Je reçois souvent des sollicitations, dans des commentaires suite à la parution d’un article ou directement par courriel, de personnes me demandant s’il serait possible qu’ils viennent ici, le plus souvent, pour y recevoir la fessée.

Sauf lorsque le message est trop laconique, en général j’y donne suite. S’engage alors un échange qui me permet de comprendre pourquoi mon interlocuteur, plus rarement mon interlocutrice, m’interpelle. On y retrouve de tout.

Le plus souvent, ce sont des fantasmes, mais les personnes n’ont pas réellement l’intention de recevoir une fessée. Leur récit des punitions qu’ils reçoivent ou donnent devient vite incohérent. Les fessées qu’ils indiquent avoir reçues ou avoir données l’ont été dans des conditions impossibles. Ils ont une mère ou un père, une femme, un mari, un ou une parente ou encore une voisine ou un voisin… et j’en passe, qui donne ou reçoit la fessée en présence de tiers plus ou moins connus.

Quand on sait la difficulté à donner ou à recevoir une fessée en public, on se rend vite compte que ce ne sont que des récits inventés, fruits de fantasmes qui ont leur légitimité… à condition de ne pas essayer de faire croire à l’autre qu’il s’agit d’une réalité vécue.

J’ai entretenu de longs échanges avec certaines personnes, en général par courriel, avant d’être convaincue qu’il ne s’agissait pas de situations réelles. Il y a des spécialistes sur le blog, certains font encore de régulières tentatives pour entrer en contact. Passé ce stade qui me permet de qualifier leur récit de pure invention, je ne réponds plus à leurs sollicitations, non sans leur avoir expliqué pourquoi. En général, la situation s’arrête quand j’exige d’entrer en contact avec les personnes qui administrent les punitions, ce qui est bien normal, car si on y réfléchit bien, ce sont eux ou elles qui sont mes alter-ego. Je mets fin aux échanges, cela ne m'intéresse pas.



Parmi les sollicitations reçues, quelques-uns viendraient volontiers me rencontrer pour y recevoir une fessée. Ils cherchent une séance fessée, une fessée sans réelle raison ou avec une raison sans rapport direct avec leur venue et dont ils veulent plus ou moins maîtriser les conditions : uniquement par des mains féminines, sans témoins, dans une plus ou moins grande nudité, avec ou sans instrument c'est selon… Ils imaginent recevoir la fessée puis repartir chez eux. Ils reviendraient volontiers, pour certains d’entre eux, une autre fois, amis dans les mêmes conditions.

C’est louable et entendable, mais ce n’est pas comme cela que je vois la fessée. Il y a des personnes qu’il faut rémunérer pour ce faire, amis je conçois que l’échange tarifé enlève du sel pour certaines personnes. En tout cas, ce n’est pas chez moi qu’il faut venir chercher cela.



Je crois, et le récit réel que vient de publier Josip ces quatre derniers jours en est encore une preuve, que la fessée doit rester une punition. Quand je reçois des personnes ici, elles doivent en accepter les règles. Il s’agit d’un moment d’éducation qui ne peut durer moins d’une journée et une nuit. Cette éducation passe souvent par des punitions quand elles s’avèrent nécessaires qui sont en général, mais pas seulement, de réelles fessées déculottées et de mises au coin à peu près à chaque fois avec la culotte baissée, dans la continuité de la fessée que le ou la punie vient de recevoir.

C’est moi, ou les personnes, hommes ou femmes, à qui je confie cette autorité qui ont toutes les prérogatives pour décider du lieu, y compris en extérieur et du moment de la punition, des personnes présentes et de sa durée, de sa sévérité ainsi que de l’utilisation ou non d’instruments punitifs, ceux auxquels il est de tradition de recourir pour punir les enfants, y compris une bonne frottée aux orties. L’avis de celui ou celle qui reçoit la fessée n’a pas d’importance. Son autorisation, à partir du moment ou en venant ici il en a accepté les conditions, n’est pas nécessaire pour aucune des paramètres de déroulement de la punition quand elle doit être administrée.

Les punitions alors ne pourront sanctionner que les manquements constatés sur place. Elles ne pourront pas concerner des bêtises ou des comportements qui se sont déroulées ailleurs ou à un autre moment. S’il n’y a pas d’écart commis lors d’un séjour, il n’y a aucune raison qu’il y ait une punition. Il n’y aura donc pas de fessée.

Bref, en venant ici, c’est un temps qui sera vécue sous la supervision d’adultes dont je ferai partie avec une visée éducative visant à faire disparaître toutes les habitudes et les comportements qui seront jugés inappropriés. Une punition comprenant souvent une fessée déculottée en sera le moyen privilégié, mais elle sera administrée de façon juste et proportionnée à l’écart commis.

La question n’est donc pas de savoir si le ou la futur(e) puni(e) pense qu’il doit recevoir une fessée, il faudrait plutôt s’interroger : de quel type de fessée parle-t-on ? Je veux clarifier ce qui se passe ici : il s’agit uniquement de fessées punitives données à des adultes avec une visée éducative, par une ou des personnes qui exercent ainsi leur responsabilité parentale.




La plupart, en fait la quasi totalité, des sollicitations que je reçois n’entrent pas dans le cadre que j’ai explicité ci-dessus. Soit elles sont totalement hors jeu depuis leur première expression, soit elles s’y révèlent après quelques (parfois il en faut beaucoup) échanges par courriel. Je mets de côté Josip qui depuis qu’il a accepté ma tutelle éducative n’a plus le choix (ses récits publiés ces quatre derniers jours sur ce blog le prouvent encore, s’il en était besoin), il n’y a vraiment que Juliette qui convient parfaitement à ce que je souhaite. Pour vous en persuader, relisez ses récits des séjours qu’elle a passé ici.

A part eux, je me demande s’il y a d’autres personnes qui correspondent à la description et j’aimerai bien recevoir des témoignages qui confirment ou infirment mon impression. Y a-t-il des adultes, hommes ou femmes, qui se sentent capables de contribuer à l’éducation de celui ou celle qui en a besoin, quitte à le ou la déculotter et lui administrer une fessée quand elle se révèle nécessaire ? A contrario, y a-t-il des adultes, hommes ou femmes, qui pensent avoir besoin d’une ferme supervision éducative pour parfaire leur éducation et qui accepteraient de se mettre, lorsqu’il viennent ici, totalement sous mon autorité et celle des personnes que je désignerai ? Il va de soi que j’aurai alors toutes les prérogatives parentales, y compris de baisser la culotte et de donner la fessée quels que soient le lieu et le moment et quelles que soient les personnes présentes. Ce sera à moi ou aux personnes à qui je confierai cette tâche, d’estimer quand et où et avec quelle sévérité il faudra sévir et, si nécessaire, à quels instruments punitifs il faudra recourir.


J’ai pourtant fait quelques tentatives pour élargir le champ de mes connaissances en la matière. Certains, parmi ceux qui sont venus ici, venaient chercher une séance de fessée. Bien que j’essaye de les éliminer avant leur venue, il se peut qu’il y en ait qui soient passés à travers les mailles du filet. D’autres sont venus pour exercer leur autorité, y compris sur Josip, mais à condition d’être aussi soumis eux-mêmes à la fessée. C’est un mélange des genres qui ne fonctionne pas et qui oblige à des circonvolutions qui se révèlent trop compliquées à assumer. D’autres voulaient bien recevoir la fessée, mais plus pour ressentir un plaisir sexuel que pour être remis dans le droit chemin. Leur excitation génitale était patente et ne cadrait pas avec le caractère punitif de la fessée. Certains, devrais-je dire certaines (elles ont été effectivement très majoritaires) ont reculé lorsqu’il s’est agit de concrétiser leur venue pour administrer, à mes côtés, la fessée à Josip quand il en aurait eu besoin.

A part Juliette, il n’y a eu pour l’instant aucun concrétisation satisfaisante ni de personnes prêtes à donner la fessée, ni de personnes estimant qu’elles en avaient besoin, dans un cadre éducatif. Pourtant, quand je fais attention aux comportements habituels des adultes, beaucoup d’entre eux auraient besoin, avec une bonne fessée, d’être fermement remis dans le droit chemin. N’y aurait-il alors aucun adultes capables de prendre cette responsabilité ?

La question reste, pour moi, ouverte et j’attends vos témoignages pour me faire une idée plus précise de la question. Des couples engagés dans cette démarche seront, bien évidemment, les bienvenus.

Huguette.



Pour aller plus loin sur ce sujet :

Qui adulte reçoit des fessées par punition

 Recherche personne, homme ou femme, pour donner la fessée

 Le premier récit de Juliette

Le premier de cette série par Josip 

 

 

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21 commentaires:

  1. Bonjour Huguette et Josip.
    Je suis bien d’accord pour reconnaître que le comportement de beaucoup d’adultes nécessiterait de recourir à une bonne correction. Et la fessée éducative semble un excellent moyen non seulement de punir mais de ramener dans le droit chemin. C’est vrai qu’il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée et en tirer le plus grand profit. C’est ce que dit aussi ma compagne. Elle me trouve désobéissant et immature et je sais qu’elle a raison. Elle a établi une discipline domestique dans un but éducatif avec des règles strictes auxquelles je suis soumis. Ça me rassure de savoir que je dois me soumettre à des impératifs dûment et immédiatement sanctionnés. Au moindre écart c’est la fessée culotte baissée et pour les grosses bêtises le martinet. La frottée des fesses aux orties c’est possible aussi mais c’est plus rare, même si c’est très efficace.
    Bien à vous
    Pascal

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  2. Bonjour Huguette, encore un article particulièrement édifiant et pertinent qui résume bien votre conception de l'éducation par la fessée, bravo !

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    1. Cher commentateur anonyme,
      Je vous remercie de votre avis sur le texte que j'ai écrit. J'ai effectivement essayé d'être le plus clair possible sur ma conception de la fessée, que je mets en pratique dès que nécessaire, par exemple avec Josip cet après-midi.
      Je serai encore plus intéressée pour avoir votre propre conception de la fessée et un aperçu de votre pratique en la matière.
      J'attends donc vos précisions,
      Huguette

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  3. Chère Huguette, merci pour ce sympathique retour.
    Vous connaissez déjà ma conception ; je vous en ai fait part, il y a peu encore, et à de nombreuses occasions.
    Bien à vous, A.

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    1. Bonjour A,
      Sans doute la connais-je, mais votre identification est trop succincte pour que je sache à qui j'écris.
      Dommage,
      Huguette

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  4. 1er et 2 février 2024, A.

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    1. Bonjour anonyme,
      Assez sibyllin comme commentaire. Pourrait-on avoir une explication ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  5. Chers Vous deux, vous me surprenez !
    Les 1er et 2 février 2024 correspondent à mon passage chez vous, dont je garde, en ce qui me concerne, un excellent souvenir.
    Bien à vous, A.

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  6. Bonjour et merci de nous faire partager de façon si claire et détaillée votre conception de l'application de la fessée dans l'éducation des adultes.
    Je trouve en la matière vos principes disciplinaires très pertinents. Me considérant moi-même comme un adulte accusant un manque important de maturité, je trouve aussi que le maintient de la fessée peut offrir un grand bienfait dans la mesure où l'on s'abandonne à l'autorité de la personne titulaire de la prérogative d'administrer les punitions. La puerilité de la personne demandant à étre ainsi tutoré se voit ainsi confronté à la perte de ses privilèges d'adultes comme un certain libre-arbitre, l'immunité aux sanctions enfantines, le contrôle sur ses vêtements...etc. Vouloir bénéficier d'un complément éducatif nécessite de s'abandonner aux règles et à l'autorité de l'éducatrice, comme de renoncer à tout contrôle sur le régime de punitions renforçant cette éducation.
    Et un séjour dans une maison dans laquelle les pensionnaires doivent se plier à règlement strictement établi offre le cadre rigide dont peuvent avoir besoin certaines personnes présentant des lacunes dans l'auto-discipline ou à se montrer responsable.
    Bien à vous,
    L.

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  7. Bonjour Huguette,
    Etant l'une de vos alter-ego, je souhaiterais approfondir un des points de votre exposé. Pensez-vous vraiment que l'excitation sexuelle soit forcément incompatible avec le "caractère punitif de la fessée" ? Pendant plusieurs années, j'ai eu une relation avec un garçon beaucoup plus jeune que moi que je fessais assez souvent. En général, c'était un moyen de nous réconcilier après une dispute. Pour désamorcer un conflit, il savait qu'il n'avait qu'à faire amende honorable. Je décidais alors d'une fessée à laquelle il lui était défendu de se soustraire et qu'il recevait en bandant comme un âne. Et pourtant, je suis intimement persuadée que son excitation n'enlevait rien à la punition. Qu'en pensez-vous ?
    Isabel

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    1. Bonjour Huguette,
      Merci de votre réponse ! Je suis moi-même ravie de cet échange tout à fait passionnant.
      J'ai l'impression à vous lire que vous êtes autrement plus stricte que moi et qu'il en cuirait certainement à Josip de bander sans votre permission. Pour ma part, hélas, je n'ai jamais eu autant d'autorité sur mon garnement de Tom, dont je savais très bien me faire obéir, mais à qui je n'inspirais sans doute pas assez de crainte pour inhiber ses érections. Au début, je pensais comme vous que, pour remplir pleinement sa fonction punitive, une "bonne fessée" ne devait en aucun cas être une partie de plaisir pour le puni. Mais voyant que, même en lui zébrant littéralement les fesses au martinet, il bandait encore, ma position a évolué. Peu à peu, je me suis mise à voir dans ses érections, non pas un défi insolent à mon autorité féminine, mais au contraire une forme de consentement à la discipline que je lui imposais ; une manière de me montrer qu'il reconnaissait avoir bien mérité sa fessée. Ce qui, de la part d'un jeune homme orgueilleux, qui avait tant de mal à admettre ses torts, était très positif. Et c'est pourquoi je pense que, loin donc de nuire à la punition, sa stimulation sexuelle contribuait à la rendre plus efficace.
      Au plaisir de poursuivre cette discussion,
      Isabel

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    2. Bonjour Isabel,
      Je suis contente que cette discussion se poursuive. Comme je l’écrivais dans mon précédent courriel à votre attention, il n’est pas si courant de pouvoir échanger avec une « alter ego », même sur ce site qui est pourtant consacré à la question de la fessée donnée à un adulte par une femme.
      Je ne sais pas si je suis plus sévère que vous. Josip a convenu, au début de notre relation et face à des remarques que je lui faisais sur son comportement enfantin, qu’il avait besoin d’une ferme supervision et qu’il acceptait mon autorité afin de parfaire son éducation. Nous avions préalablement échangé sur l’intérêt de la fessée déculottée pour punir un adulte qui ne sait pas assumer le statut de grande personne. Je pense donc, même si nous n’avions pas abordé aussi clairement de quelle façon j’entendais traiter ses comportement infantiles, qu’il savait que je lui baisserait la culotte et que je le fesserai aussi souvent que je le jugeais nécessaire. Il reçoit donc les fessées qu’il mérite et même si elles sont toutes cuisantes, elles ne sont pas toutes très grosses. J’adapte l’intensité de la fessée à l’écart qu’il a commis. Il en sort à chaque fois avec les fesses rouges, certes (à mon sens c’est à cette condition qu’une fessée sert à quelque chose) , mais pas souvent avec des marques et une douleur persistante. Parfois il reçoit la fessée tous les jours (comme en ce moment, par exemple) parfois il est des semaines entières sans en avoir. Cela dépend vraiment de son comportement. Je suis sévère, oui, mais je tiens aussi à être juste et la plupart des fessées lui sont données à main nue.
      Je n’ai pas vraiment d’avis pour savoir comment interpréter la fait que votre compagnon, Tom, bandait pendant une fessée. Si j’ai bien compris la situation qui était la vôtre, Tom était bien plus jeune que l’est Josip. Ce qui peut également expliquer cela.
      Il me semble que ce qui est important, c’est de savoir si la fessée avait un effet positif. Josip est très obéissant pendant plusieurs jours après avoir reçu une fessée. Il ne recommence que très rarement la même bêtise, sauf quand il s’agit d’un comportement involontaire (comme manger la bouche ouverte, par exemple) ou qu’il a l’impression qu’il ne risque pas d’être pris (comme de se déplacer sans culotte). Bien sûr cela ne le met pas à l’abri de recevoir une autre fessée, parfois le même jour, mais la plupart du temps pour une autre raison. Ce raisonnement est valable à court terme. Comme un enfant, il a tendance, à long terme à oublier ce qui lui a valu une correction dans les semaines précédentes. Je le punit alors de nouveau. Mais c’est le lot de toute éducation me semble-t-il. Il faut du temps pour qu’une nouvelle donne devienne la règle, particulièrement quand on a affaire à un adulte.
      J’ai donc tendance à penser que ce n’est pas l’excitation sexuelle et la forme physique qu’elle prend qui est le plus important. La question qu’il faut que l’on se pose, nous autres éducatrices, c’est de savoir si la fessée que nous avons donné a permis d’améliorer, au moins pour un temps, le comportement de notre pupille.
      Mais je suis aussi curieuse de connaître le contexte dans lequel vous avez été amenée à fesser votre Tom et si ce n’est pas trop abuser j’aimerai que vous me donniez plus d’information sur votre relation avec Tom, et plus généralement votre expérience actuelle en matière de fessée (je vous ai posé plein de questions dans ma précédente réponse, ne voulez-vous pas y répondre?).
      J’attends notre prochain échange avec impatience.
      Huguette

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    3. Bonjour Huguette,
      J'espère ne pas m'être montrée indélicate en alléguant que vous étiez peut-être plus sévère que moi. Mon intention, vous l'aurez comprise, n'était pas de vous en blâmer. Comme vous l'avez vous-même très bien dit, une fessée peut être plus ou sévère, mais, en définitive, ce qui compte, c'est qu'elle ne soit pas ressentie comme étant injuste.
      Le temps me manque, hélas, pour vous parler en détails de ma relation avec Tom. Disons, pour aller vite, que la fessée a commencé à être un sujet de discussion entre nous avant même que nous ne soyons en couple. Tom était alors un jeune étudiant en art qui m'avait été recommandé par une amie pour venir poser nu à mon atelier de peinture. Outre la différence d'âge, j'avais donc, en tant qu'artiste, voire que "patronne", un certain ascendant sur ce garçon. Il lui a d'ailleurs fallu beaucoup de temps pour qu'il perde l'habitude de me vouvoyer. Lui reprochant, un jour, d'arriver souvent en retard à nos rendez-vous, je me permets de lui dire en plaisantant : "On voit que tu es d'une génération qui n'a pas connu la fessée !" Sur le moment, il n'a rien répondu, mais j'ai tout de suite vu que l'idée l'inspirait. Et en effet, quelques jours plus tard, c'est lui qui est revenu sur le sujet, en me demandant si j'avais souvent été fessée étant jeune fille. Nous avons beaucoup ri ensemble du récit d'une de mes mésaventures que j'intitulai pour lui "la petite culotte volée". Et voilà, en deux mots, comment d'une plaisanterie, tout à commencé !
      Au plaisir,
      Isabel

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    4. Isabel,
      Ne soyez pas inquiète, il n’y a aucune indélicatesse. La sévérité, pour moi, consiste à adapter au plus juste l’importance de la punition à la faute qui l’a motivée. J’aime, certes, être vue comme sévère, mais surtout comme juste et je crois que Josip me reconnaît cette qualité.
      Pour moi, il est donc difficile de comparer les niveaux de sévérité sans faire entrer en ligne de compte l’écart qui a provoqué la fessée. Je ne sais donc pas si je suis plus ou moins sévère que vous et je pense que ça n’a pas d’importance. Ce qui importe, c’est de savoir si quand je donne une fessée, elle a de l’effet ou non. En général, c’est oui.
      Avec l’histoire de votre rencontre avec Tom, vous nous mettez l’eau à la bouche, mais dans votre récit, il n’a pas encore reçu de fessée. Si ce n’est pas trop demander, j’aimerai que vous poursuiviez le récit quand vous aurez le temps.
      J’attends votre réponse,
      Huguette.

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    5. Chère Huguette,
      Le moment auquel vous semblez impatiente d'arriver est survenu plus tard, quand ma relation avec Tom a pris un tour plus intime. Il est vrai que, suite à l'épisode que j'ai raconté, j'avais déjà pris un peu l'habitude d'employer avec lui de vieilles expressions chères à nos mamans et à nos tantines, telles que : "gare à tes fesses, si tu ne fais pas çi" ou "tu vas voir de quel bois je me chauffe, si tu ne fais pas ça". Mais ce n'était que des menaces en l'air, que je prenais déjà un malin plaisir à proférer, mais que je n'avais pas l'intention de mettre à exécution. Car, après tout, de quel droit aurais-je corrigé un jeune homme majeur qui n'était même pas mon fils et qui, de surcroît, aurait largement été de taille à me résister, s'il n'avait pas voulu se laisser faire !? Il aurait fallu qu'il m'en fasse lui-même la demande ; et encore, je ne suis même pas sûre que j'aurais accepté dans ces conditions. En revanche, les choses ont changé quand il est devenu mon amant et moi sa maîtresse. Passée l'ardeur des premiers ébats amoureux, je me suis rendue compte que Tom était certes le très beau garçon, intelligent et attentionné dont j'étais folle de désir, mais qu'il avait aussi des défauts Comme beaucoup d'hommes, il était assez tête en l'air, mais le plus insupportable chez lui était le point d'honneur qu'il mettait à ne jamais reconnaître aucune faute. Des phrases aussi simples que : "Désolé, ma Chérie, je me suis trompé ; j'ai fait une erreur ; j'ai eu tort etc." étaient pour lui imprononçables. Vous pouviez discuter avec lui pendant des heures, il avait toujours une bonne excuse pour se dédouaner, un argument tordu pour se justifier ; bref n'importe quoi plutôt que d'admettre qu'il n'avait pas toujours raison. Or, une fois, j'étais tellement en rage que, dans le feu d'une dispute, je lui ai dit : "Tu sais ce que t'es ? T'es juste un sale gosse ! Mal éduqué ! Ta mère aurait dû te fesser plus souvent, moi je te le dis ! D'ailleurs, c'est sûrement ce que j'aurais dû aussi faire dès le début avec toi..." Après cette scène, il est sorti et nous ne nous sommes plus revus pendant un jour ou deux. Puis il a réapparu à ma porte avec un magnifique bouquet de fleurs que j'ai accepté très froidement, avant de lui dire :
      - "Je ne suis pas contente du tout ! Tu as été très vilain ! Tes fleurs, ça ne me suffit pas ! Si tu veux que je passe l'éponge, il va falloir que tu baisses ta culotte, au propre comme au figuré. Et pas pour ce dont t'as envie ! Tu m'as très bien comprise ?"
      Le connaissant, je m'attendais évidemment à ce qu'il se cabre de nouveau. Mais, à ma grande surprise, il a éclaté en sanglots et s'est docilement exécuté...
      Mais je dois à présent interrompre mon récit.
      Au plaisir,
      Isabel

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    6. Isabel,
      Vous jouez avec nous en interrompant le récit à ce moment-là. Je compte bien lire la suite. Quand aurez-vous le temps de l'écrire ? Je suppose que la prochaine fois nous aurons, enfin, le récit de la première fessée de Tom.
      J'attends votre message.
      Huguette

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    7. Veuillez m'excuser, chère consoeur, de laisser un peu trop libre cours à mes souvenirs, en m'attardant peut-être sur des choses sans grand intérêt pour vous.
      Ce jours-là, j'ai donc pour la première fois fessé le cher ange. La crise de larme qu'il a eue a tout de suite fait redescendre l'extrême tension qui s'était accumulée entre nous. Comme il me l'a lui-même expliqué, c'était comme si son orgueil de jeune mâle avait craqué tout à coup. Mais, en même temps, je pense aussi que le fait de devoir se déculotter devant sa "Maîtresse", comme il s'amusait à m'appeler, lui permettait d'érotiser son humiliation, qui, autrement, lui aurait été insupportable. Et c'est pourquoi j'ai toujours toléré qu'il bande, afin de joindre, si je puis dire, l'utile à l'agréable.
      Autant, par la suite, la fessée est devenue quelque chose de très ritualisé entre nous, autant la première fois je l'ai corrigé de la plus classique des façons : à main nue ; lui, déculotté en travers de mes genoux. Dans cette position, je sentais donc très bien son pénis qui durcissait en frottant sur mes cuisses, à mesure que j'échauffais son joli derrière. "Oh, mes fesses, Isabel !... Mes fesses !..." ne cessait-il de gémir, sans que je cherche trop à savoir si c'était de douleur ou de plaisir. J'ignore d'ailleurs comment j'aurais réagi s'il avait joui sur mon collant. Aurais-je dû doubler sa punition ou, au contraire, définitivement renoncer à fesser un garçon de son âge ? C'est une question à laquelle seule une experte comme vous saurait répondre. Toujours est-il qu'il n'a pas osé ou qu'il a préféré se réserver pour après. Mais cela, vous comprendrez que je ne le raconterai pas ! ;-) Toutefois, avant de me donner à lui, je l'ai quand même fait se mettre au coin un petit quart d'heure "pour réfléchir" : une habitude que j'ai toujours gardée par la suite et qui m'a permis de réaliser de nombreux croquis de nu masculin.
      J'espère, chère consoeur, avoir en partie satisfait vos attentes,
      Isabel

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    8. Isabel,
      Merci pour ce récit. Il finit le dernier que vous m'avez envoyé.
      Vous évoquez que, par la suite, la fessée est devenue ritualisée. J'ai compris qu'il y avait, dans ce rituel, un passage au coin (je suppose que sa culotte y était baissée). Qu'y avait-il d'autre ? Quel était ce rituel ?
      J'attends votre courriel.
      Huguette.

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    9. Bonjour Huguette,
      J'espère que vous ne m'en voudrez pas d'avoir tant tardé à répondre à votre dernier message que je n'avais pas vu avant mon départ en vacances.
      Figurez-vous qu'il y a quelques jours, j'ai eu une conversation au téléphone avec Tom, à qui j'ai parlé de l'échange que j'avais eu avec vous. Dans un premier temps, il n'était pas très content : "Comment tu as faire ça ! Tu avais promis que ça resterait entre nous ! Tu aurais au moins pu me demander mon avis !" Ah, toujours son orgueil, que voulez-vous... Et ça ne s'est pas arrangé depuis qu'il est jeune père de famille ! Mais j'ai fini par le raisonner et, en discutant, il m'a même confié quelque chose d'amusant dont je ne m'étais jamais vraiment douté en tant que femme ; à savoir que, la seule chose pour laquelle il avait vraiment peur quand je le fessais (y compris et surtout les quelques fois où je lui ai flanqué le martinet en règle comme au bon vieux temps), c'était pour ses testicules ! Il est vrai que, quelle que soit la position qu'on exige de ces messieurs, leurs parties sont dangereusement exposées et je reconnais qu'avec Tom, mon esprit mal tourné s'est souvent délecté en voyant remuer ses valseuses, sans réaliser à quel point lui les sentait vulnérables.
      Si vous le voulez bien, je reviendrai un de ces jours sur le rituel du passage au coin, qui, oui ! je vous le confirme, a toujours eu lieu chez moi culotte baissée, voire même tout nu, car il n'était pas rare que Tom, qui n'avait jamais cessé d'être mon modèle, se trouve à la maison dans le plus simple appareil...
      Je vous souhaite un bel été,
      Isabel

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    10. Isabel,
      J'ai cru que vous vouliez cesser la communication avec moi, comme je n'avais pas de nouvelle. Mais je ne vous en veux pas. L'essentiel est que notre échange continue.
      Je veux bien que vous reveniez sur votre philosophie du passage au coin.
      Mais vous n'avez toujours pas répondu aux questions que je vous ai posées dans l'un de mes premiers messages. J'ai cru comprendre que votre relation punitive avec Tom avait cessé. Est-ce exact ? Visiblement, vous avez toujours des contacts avec lui. Sont-ils encore punitifs ?
      J'attends votre réponse.
      Huguette

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  8. Huguette,
    Une longue correspondance entre deux trains me donne enfin le temps de vous répondre.
    Tom et moi avons rompu il y a deux ans, mais nous sommes restés en bons termes. Compte tenu de la différence d'âge, mais aussi du fait qu'il est très beau garçon, je m'étais faite dès le début à l'idée qu'il finirait par partir un jour avec une femme plus jeune. Pour m'éviter le ridicule d'être jalouse, je lui avais laissé même toute liberté d'avoir des aventures avec des filles et je dois reconnaître que, jusqu'à ce qu'il rencontre son Emilie, il n'en a pas trop abusé. Et plutôt que de le punir de ses (rares) infidélités, j'ai préféré m'attacher à parfaire son éducation sexuelle, tant pour mon propre plaisir que pour celui des autres.
    S'agissant de la relation punitive, elle se limite désormais à d'affectueuses petite tapes que je ne m'interdis pas de lui appliquer, en tout bien tout honneur, sur le fond du pantalon. Au fond, je sens bien que la fessée lui manque et qu'il s'y prêterait volontiers s'il pouvait. Mais, avec sa peau de blond qui marque très vite, il doit craindre que sa chère moitié ne se pose des questions en le voyant revenir les fesses toutes rouges de chez moi !
    Bel été,
    Isabel

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