vendredi 25 avril 2025

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 21 avril 2025 – 21 h 34

Durant ce week-end, j’ai retrouvé les exigences de ma compagne dans son rôle maternel. Comme elle fait bien plus attention à moi, elle repère des habitudes et des comportements qu’elle juge inappropriés. Elle sait qu’il n’y a qu’une façon de les faire changer, c’est de me punir à chaque fois qu'elle le juge nécessaire.

Presque vingt-quatre heures sont passées depuis ma dernière fessée et j’en porte encore les marques. Bien que les fessées qu’elle me donne soient très cuisantes et, la culotte baissée aidant, soient très embarrassantes, je ne lui en veux pas. Elle ne fait que son devoir de Maman. C’est donc tout à fait normal.

Quand elle me baisse la culotte pour me donner la fessée, c’est très infantilisant, mais j’en comprends la logique. Quand elle doit me punir, c’est parce que je n’ai pas été capable d’assumer mon statut d’adulte. Il n’y a donc pas de raison que je bénéficie de leurs privilèges. En premier rang de ceux-ci, je n’ai plus le droit à la pudeur qui sied à une grande personne. Quoi de plus clair, dans ma tête, que, malgré mon opposition, je sois déculotté et fessé pour souligner mon irresponsabilité en tant qu’adulte ?

Quand ma compagne me met au coin, sans bouger ni faire aucun bruit avant qu’elle ne m’y autorise, la culotte baissée, montrant à toutes les personnes présentes dans la pièce que je ne suis pas encore une personne capable de décider par elle-même, il est alors patent, pour tout le monde y compris moi, que je suis loin d’être une grande personne malgré mon âge. J’y ai tout le temps nécessaire pour songer à ce que je viens de faire et qui m’a valu une punition et pour prendre de bonnes résolutions.

Je me sens alors plus du tout comme une grande personne. Je sais que j’ai besoin de cette ferme prise en mains et qu’elle me fixe les limites à ne pas dépasser. Je les apprends à plat ventre sur ses genoux ou courbé sous son bras. Mais quand elle m’a copieusement rougi les fesses et qu’elle me met au coin, je n’ai plus du tout envie de recommencer de nouveau ce qui m’a valu une punition. Je reconnais qu’une réelle fessée déculottée, administrée au bon moment et avec discernement, est certainement ce qu’il y a de mieux pour garder un adulte comme moi dans le droit chemin.

Je sais que ma compagne me baisserait la culotte et me donnerait une fessée en public bien plus souvent si cela était admis. Elle dit, et je crois qu’elle a raison, que cela nuit à l’efficacité de l’éducation qu’elle me donne. Elle ne peut pas me déculotter sans se soucier de savoir si cela pourrait être considéré comme un attentat à la pudeur, alors que ça n’a rien à voir. Elle est alors obligée de différer l’administration de la fessée à plus tard.

Quand nous sommes à la maison, elle n’hésite jamais, sauf quand il y a des personnes non informées. A la moindre bêtise, la plus petite désobéissance, l’anodin comportement inapproprié, je me retrouve la culotte à hauteur des genoux et les fesses cuisantes. C’est en extérieur que c’est plus compliqué. Alors qu’il serait si simple d’appliquer le principe : une fessée méritée doit être donnée sur le champ, quels que soient le lieu et le moment et quelles que soient les personnes présentes. Je suis certain que cela aurait un fort effet dissuasif et que cela aiderait beaucoup d’adultes à assumer leur responsabilités.


J’ai écrit que ma compagne n’hésitait jamais à me punir quand je l’avais mérité et que nous étions à la maison. Je ne sais pas si c’est tout à fait vrai. Je trouve souvent son attitude paradoxale. Parfois, elle promet une punition si je fais ou je ne fais pas ça, mais ne la donne ps toujours, même s’il y a une très bonne raison de le faire.

Tenez, par exemple hier soir :

« Je te préviens que tu auras une fessée si tu manges la bouche ouverte, me dit-elle quelques minutes avant le repas. Il n’y aura pas d’avertissement ! »

Manger la bouche ouverte, elle m’en fait souvent la remarque, mais, si je m’en rappelle bien, je n’ai eu la fessée qu’une fois pour cette raison. Une seule fois depuis que nous sommes ensemble alors qu’elle aurait eu plein d’occasion de me faire passer cette habitude qui n’est pas très reluisante et indigne d’un adulte bien élevé. En me contraignant à changer cette manie, elle ferait pourtant œuvre utile pour moi, pour elle et pour les autres.

Hier soir, je me suis dit qu’il fallait que je fasse attention. Je l’ai donc fait au début du repas : la bouche fermée. Ma compagne m’en a félicité.

« Tu vois, ce n’est pas si difficile ! »

Comme toute chose qui n’est pas naturelle et que l’on fait sur un long temps, mon attention s’est relâchée. J’ai ouvert la bouche, un peu, puis, sans le faire exprès, plus longuement. Je crois qu’elle s’en est aperçu ou alors c’est qu’elle n’était plus attentive. Vers la milieu du repas, je me suis surpris mâchant en ouvrant la bouche. Tout ce qu’elle déteste. Et elle me regardait. Je m’attendais à me faire gronder et à recevoir une bonne fessée déculottée. Il n’en a rien été.

D’un côté j’en ai été ravi : mes fesses avaient eu leur compte pour la journée, mais de l’autre j’en ai été déçu, déçu qu’elle ne fasse pas plus attention à ce que je faisais, comme si cela ne lui importait plus. J’aurai trouvé plus juste qu’elle me déculotte et me fesse. Il y en avait une très bonne raison. Être puni quand on sait qu’on l’a mérité est souvent bien plus satisfaisant que l’indifférence, même si cela doit se traduire par une cuisante fessée déculottée. Cela montre toute l’importance que l’on a aux yeux de la personne qui a pris en charge votre éducation en prenant le temps de corriger vos défauts.


Par contre, le soir, j’ai reçu une fessée à laquelle je ne m’attendais pas. J’avais été prendre ma douche avant de me coucher. J’ai pris l’habitude de faire comme quand c’est ma compagne qui me déshabille. Elle m’enlève le survêtement, la veste et le pantalon, les chaussettes et la culotte et je vais dans la salle de bain juste vêtu de mon tee-shirt, emmenant avec moi mon haut de pyjama. Je suis donc aller me doucher avec seulement mon tee-shirt en en portant à la main ma veste de pyjama, comme je le fais habituellement.

Tout s’est bien passé. J’ai enlevé mon tee-shirt et je l’ai posé sur une chaise qui est là pour ça. Je me suis lavé, puis séché. J’ai enfilé ma veste de pyjama et je suis allé me glisser sous les draps en attendant que ma compagne vienne se coucher à mes côtés.

Elle est arrivée, s’est mise en sous-vêtement, puis elle est allée prendre sa douche. Elle est revenue presque tout de suite.

« Où est ton tee-shirt ? »

Je n’en avais aucune idée.

« Il est encore dans la salle de bain où tu l’as encore oublié. Ça fait trois fois ce week-end, tu ne crois pas que cela fasse un peu beaucoup ? »

Ne sachant pas quoi répondre, je restais muet. Je voyais bien qu’elle était fâchée après moi.

« Tu vas aller le chercher, mais comme cela fait trois fois que je te le dis, tu vas avoir une fessée ! »

Il n’y avait qu’une solution, c’était de faire profil bas. Je me levais et je mis mes chaussons. En passant près de ma compagne je m’attendait à recevoir une claque sur les fesses qui étaient nues puisque je dors sans bas de pyjama. Il n’en fut rien, ce qui n’était pas bon signe.

Je revins avec le tee-shirt à la main.

« Dans le sac, m’ordonna-t-elle en désignant, du doigt, le sac à linge sale. »

Je me dépêchais de l’y glisser et je m’apprêtais à me faufiler dans le lit.

« Pas si vite ! »

Elle attrapa mon bras et m’emmena devant elle. Elle me coucha à plat ventre sur sa cuisse gauche et plaça son bras au milieu de mon dos pour m’indiquer quelle entendait que je reste dans cette position. Mes fesses, toujours aussi nues, lui épargnèrent la peine de me baisser la culotte. Je savais ce qui m’attendait. Je serrais les dents.

La fessée fut à la hauteur de ce que je pressentais. Elle ne fut pas très longue, mais forte sa main claquait sévèrement sur mes fesses. Elle marqua une pause, sans me laisser le loisir de me remettre debout. La fessée n’était pas finie.

« Vas-tu encore oublier ton tee-shirt après avoir pris ta douche ?

– Non, Maman, je vais y penser.

– A la bonne heure, c’est exactement ce que je voulais, mais je pense que la fessée n’a pas été suffisamment sévère pour que je sois certaine qui tu ne vas plus l’oublier !

– Non, Maman, pas la fessée ! »

Mais c’était une tentative bien futile. La fessée reprit de plus belle. Elle me laissa les fesses en feu. Ma compagne n’a pas besoin de m’administrer une longue fessée pour transformer mon derrière en une insupportable fournaise. Sa main s’y entend à merveille.

« Tu vas au lit, maintenant. »

J’avais les fesses brûlantes, mais il n’était pas question de protester. D’ailleurs, s’insurger contre quoi ? Il n’y avait rien eu que de très normal et de mérité dans ce qui venait de m’arriver.


En revenant dans la chambre, après avoir pris sa douche, ma compagne alla chercher la crème apaisante.

« Mets-toi sur le ventre ! »

Elle me massa longuement les fesses et si cela ne fit pas disparaître la douleur, c’était bien agréable.


 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

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