mardi 29 avril 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 27 avril 2025 – 14 h 57

La fessée reçue le matin ne m’avait pas laissé de marques sur les fesses. Rapidement, je n’en ai plus ressenti les effets, sauf pendant une petite heure quand je m’asseyais, ce que j’ai évité de faire, du moins au début.

Mais je savais que je n’étais pas tiré d’affaire. La perspective du retour de témoins potentiels « non avertis » ne laissait pas la possibilité à ma compagne de me punir comme elle l’entendait. Elle ne savait pas quand ils reviendraient, et elle ne voulait pas leur imposer la vue ni d’une fessée déculottée qu’elle serait en train de me donner, ni de mon exposition au coin, les fesses nues, comme elle aurait voulu le faire.

« C’est dommage, j’aurai largement eu le temps de te mettre au coin ! »

Effectivement, entre le moment où elle m’avait autorisé à retrouver une tenue décente compte tenu de mon âge et celui où nous nous sommes retrouvés en public, il s’est écoulé un temps suffisamment long pour que je puisse le passer au coin.

Mais elle ne maîtrisait pas ce délai et j’étais content qu’elle n’ait pas jugé bon de tenter le diable et de me mettre en pénitence malgré tout. C’est tout le problème. Il semble incongru de déculotter, de fesser puis de mettre au coin une autre personne, encore plus, sans doute, quand il s’agit d’une adulte, sans savoir si cela lui ferait du bien.

Pas à court terme, bien sûr. Se retrouver, à mon âge, en situation d’être puni en perdant tous mes privilèges d’adulte provoque une honte bien normale et je sais que recevoir une fessée déculottée en public me la fera ressentir en plus de la cuisson que ma compagne saura alors faire naître sur mes fesses. Mais elle fait partie de la leçon que je devais apprendre. Puisque je n’étais pas capable de surmonter mes impulsions enfantines, c’est que j’avais encore besoin d’une grande personne pour m’y obliger. Ma compagne assumait ce rôle.

Je sais que ma compagne rêve de ce moment où elle pourrait me baisser la culotte et me fesser là où j’en aurai besoin, quels qu’en soient le lieu et les personnes présentes. Moi, pas trop. Je reconnais que ce serait très efficace. Je pense que je ferai tout ce qui est en mon possible pour ne pas me retrouver dans cette situation. Mais je ne tiens pas à en faire l’expérience, bien que je sache que si un jour les circonstances l’exigent et le permettent, ma compagne n’hésitera pas.


Dès que nous nous sommes retrouvés seuls tous les deux, ma compagne s’est mise dans l’état d’esprit d’une maman.

« Bon, dit-elle, je crois que nous avons un compte à régler ! »

Oui, je le savais et je m’y attendais. Que pouvais-je y faire ? Il fallait bien en passer par là. Cela faisait partie de notre relation filiale et je ne me voyais pas la contester. De toute façon, je savais que j’avais amplement mérité la fessée qui s’annonçait.

Me prenant par la main, elle m’entraîna derrière elle vers une chaise du séjour qu’elle disposa afin d’être à son aise. Elle s’y assit.

« Je crois que tu te moques de moi. Je t’ai donné une fessée ce matin pour avoir mangé hier en gardant la bouche ouverte, mais rien n’y fait. Tu as recommencé ce midi ! »

Effectivement, pendant le déjeuner, elle m’avait fait les gros yeux et j’avais fermé bien vite ma bouche. Mais je savais qu’il était trop tard et que si elle ne pouvait pas m’en punir sur le champ, je ne perdais rien pour attendre.

Elle m’a fait approcher d’elle et elle m’a mis debout devant elle. Elle a alors baissé mon pantalon, puis ma culotte. Elle m’a alors pris par la main et j’ai dû me coucher à plat ventre en travers de ses genoux. Cela faisait un bon moment que je n’avais plus d’illusion, mais la position qu’elle m’obligeait à prendre ne laissait pas place à des doutes. C’était la fessée et je me doutais qu’elle serait sévère.

Même à main nue, les fessées que me donne ma compagne suffisent pour que mes fesses finissent cuisantes. Là, c’était le cas. Je n’en voyais pas la fin et la brûlure sur mon postérieur devenait insupportable. Pourtant ma compagne continuait la punition. Elle ne semblait pas se lasser de m’administrer de retentissantes claque d’un côté, puis de l’autre, pour revenir alors au premier, sans oublier de laisser sa main tomber plusieurs fois de suite au même endroit. Cela faisait très mal, mais c’était à la hauteur de ce que ma compagne voulait que je retienne : ne plus manger la bouche ouverte. Elle savait, pour que la leçon s’imprime dans mon esprit et que mes habitudes changent, que la fessée devait être dissuasive. J’aurais dû me douter que sa main n’y suffirait pas.

« Remets-toi debout ! »



Face à elles, la culotte baissée, je n’en menais pas large.

« Va me chercher le martinet !

– Oh, non, Maman !

– Quoi ? »

Elle asséna, sur ma cuisse gauche trois ou quatre fessées sonores.

« Ose me dire que tu ne l’as pas mérité ! »

Là, elle marquait un point. Si elle voulait faire durable impression et elle le voulait, il fallait que je me rappelle de cette fessée durant longtemps. Pour cela, il fallait qu’elle laisse quelques marques douloureuses sur mes fesses et les lanières du martinet que je venais de refaire, étaient tout indiquées.

Je n’avais pas le choix. Protester encore une fois, c’était prendre le risque d’augmenter sa fureur à mon égard. La fessée qui en résulterait n’en serait que plus forte et plus longue. Même si je savais à quoi m’attendre, il était préférable d’aller quérir l’instrument dont elle avait besoin, tout en sachant l’usage qu’elle en ferait.

Le pantalon qui entourait mes chevilles ne facilitait pas mon déplacement, mais elle ne m’avait pas autorisé à le remonter. C’est donc dans cette tenue que j’ai traversé la maison. Je lui ai ramené le sac dans lequel sont rangé les instruments punitifs.

Elle m’a remis aussitôt en position et la fessée à la main a repris, accompagnée de mes cris de détresse. Il ne lui a fallu qu’une courte pause pour prendre le martinet. J’ai senti tout de suite la différence. Ce n’est pas que la main de ma compagne n’augmentait pas progressivement la cuisson de mes fesses. Je n’en pouvais plus bien longtemps avant qu’elle ne se décide de se munir du terrible instrument.

La morsure que les lanières du martinet laissaient sur mes fesses était d’une autre nature. Elles claquaient tout aussi fort sur mon postérieur, mais l’effet en était différent. Les six lanières provoquaient une douleur plus localisée. Leur concentration devait laisser des marques rouges longues et étroites sur mes fesses, mais je savais que c’était ce que ma compagne recherchait.

Je gigotais sur ses genoux, mais je ne faisais rien pour l’empêcher de me punir. Il est remarquable que lorsqu’il s’agit d’une punition méritée et lorsque la personne qui l’administre a une autorité suffisante, le ou la puni ne fait rien pour se soustraire à la correction, quel que soit son âge. J’aurai, bien entendu, pu le faire, mais c’était remettre en cause toute l’autorité éducative que ma compagne avait sur moi et sans doute compromettre complètement notre relation. Ce n’était pas envisageable. C’est ce qui fait qu’un puni, qu’il soit adulte ou pas, accepte de recevoir de grosses fessées en faisant confiance à la personne qui les lui donne. Il sait qu’elle a une très bonne raison pour le faire. Il est donc normal qu’elle sévisse.

Jugeant, sans doute que mes fesses avaient fait suffisamment connaissance avec les martinet et qu’il avait assez marqué mes fesses pour le moment, ma compagne reposa l’instrument et elle finit par une fessée à main nue. Je n’en voyais plus le bout et cela faisait longtemps que la douleur sur mes fesses était insupportable, pourtant je la supportais encore et encore. Enfin, cela prit fin.


« Allons, remets-toi debout ! »

Je me redressais et, culotte baissée devant elle, j’attendais ses consignes.

« Tu vas aller au coin ! »

Je savais de quoi elle parlait. C’était une habitude qu’elle avait prise de me mettre en pénitence. Là, les fesses rouges de la récentes fessées et qui avait laissé quelques marques sur mes fesses, je devais mettre mon nez dans l’angle de la pièce, toujours le même, croiser mes mains dans mon dos et attendre immobile et silencieux qu’elle m’autorise à en sortir. Cette position est presque aussi infantilisante qu’une fessée déculottée. Certes, pour peu qu’elle dure ce qui est souvent le cas avec ma compagne, elle laisse le temps de réfléchir à ce qui m’a amené là.

S’inscrivant dans la continuité de la punition, il n’était, évidemment, pas question que je remonte ma culotte. Je devais laisser exposer mon postérieur fraîchement fessé, à la vue de toutes les personnes à qui ma compagne avait jugé bon de montrer comment elle maintenait la discipline dans notre couple. Heureusement, il n’y a, pour le moment, jamais eu d’autres personnes que celles que ma compagne punissait également et qui devaient aussi aller exposer leur fesses rouges au coin.

Ma compagne m’y laissa longtemps. Je n’eus le loisir de tourner la tête qu’une fois. J’étais alors certain qu’elle ne pouvait plus me voir. Les bruits que ces déplacements provoquaient m’en avaient offert la quasi certitude. Heureusement que j’avais visé juste, autrement j’aurai certainement eu le droit à une autre fessée. Mais c’est comme un défi dans ma tête. Certes, elle a l’autorité pour me punir mais j’aime à avoir la liberté de lui désobéir sans qu’elle s’en doute. Cela me fit une petite consolation de la douleur qui émanait de mes fesses. Je repris la position sans bouger et sans faire le moindre bruit avant qu’elle ne s’en rende compte.



Elle me donna enfin l’autorisation de sortir du coin après y avoir passé de longues minutes. Elle exigea que je lui demande pardon alors que, debout face à elle, j’avais encore la culotte baissée et que je n’étais pas certain qu’elle n’envisageait plus de me corriger de nouveau.

Elle alla chercher la crème et elle me la passa longuement sur les fesses après m’avoir de nouveau couché sur ses genoux. Malgré tout, la douleur était encore bien présente et elle persista pendant longtemps.



 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

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