Ce n’est pas que les fessées que me donne ma compagne aient vraiment cessé un jour, même si les récits n’en ont pas été publiés sur ce blog. Pour répondre à l’interrogation de quelques lecteurs, non, je ne suis pas devenu subitement sage et obéissant. Ma compagne a dû sévir à plusieurs reprises, mais elle n’avait jamais estimé que l’histoire devait en être publiée ici. Hier, après l’après-midi que je vais conter en détail ci-dessous, ma compagne a décidé que je devais en écrire le fil et le mettre à votre disposition sur le blog.
Je ne sais pas exactement quelles étaient ses intentions. Était-ce pour montrer que la fessée déculottée n’a pas disparu des pratiques éducatives, surtout quand il s’agit de parfaire l’éducation d’un adulte ? Était-ce pour accroître la honte que je ressens à l’idée de faire savoir à tous les lecteurs que recevoir la fessée déculottée est encore nécessaire, malgré mon âge ? Il est, en effet, toujours mortifiant de faire savoir à tout le monde que le seul moyen que ma compagne ait trouvé pour contrôler mon comportement et me faire renoncer à des attitudes irresponsables, c’est de me baisser la culotte et de me donner une sérieuse fessée.
Je sais pourtant que ma compagne a toutes les prérogatives d’une maman et donc qu’elle peut me donner la fessée, y compris déculottée, en tout lieu et à tout moment et quelles que soient les personnes présentes et qu’elle peut en renforcer la sévérité en utilisant des instruments punitifs. Il entre dans ses attributions éducatives, quand elle le juge nécessaire, de me laisser quelques marques douloureuses sur les fesses dont je ressens longtemps les affres, comme c’est le cas ce matin, le lendemain du jour où elle a dû me corriger. C’est à elle de décider quelle punition est appropriée au moment et au lieu où ma compagne a estimé que je devais subir les conséquences de mes actes.
Je n’ai néanmoins rien à redire sur les punitions qu’elle m’administre. Elles sont toutes justifiées, et j’en reconnais l’efficacité. Mais ce n’est pas simple de changer d’attitude et de comportement, surtout quand, comme pour beaucoup d’adultes, elles sont ancrées dans une longue pratique. Une seule fessée est loin d’y suffire, mais ma compagne est persévérante et elle ne renonce pas facilement.
J’aurais dû me douter que la résolution de ma compagne s’était renforcée. Elle m’avait fait la remarque que certaines de mes habitudes et des mes comportements devaient cesser. Je n’en ai pas tenu compte. Je ressens les effets de sa sévérité, autant dans ses mots que sur mes fesses, mais je ne peux m’en prendre qu’à moi. Mais le récit qui suit va vous le montrer, bien mieux que tout ce que je pourrais écrire sans le raconter.
Le lundi de Pâques. Je n’avais pas réellement pris de fessées les deux jours précédents alors que nous les avions passés ensemble. Tout au plus quelques claques sur les fesses pour que je mette un peu plus de hâte à lui obéir. Par contre, elle m’avait grondé à plusieurs reprises, me promettant une fessée si je recommençais. Je savais qu’elle ne plaisantait pas et que ses fessées étaient redoutables.
Nous nous sommes arrêtés sur le bord du lac.
« Nous allons en faire le tour, à décidé ma compagne. »
Nous avons mis chacun nos chaussures de marche.
« Fais attention ! Ce n’est pas parce que nous sommes en extérieur que tu ne peux pas prendre une fessée. »
Je le savais. Si ma compagne fait attention à me pas me baisser la culotte là où d’autres personnes peuvent me voir de près, elle n’hésite pas à me déculotter pour me fesser dès qu’elle le juge nécessaire. Que nous soyons en extérieur n’entre pas en ligne de compte. Pour elle, il est bien plus important de me punir dès que je le mérite. Tout au plus prend-elle la précaution de me baisser la culotte là où d’autres personnes ne peuvent voir comment elle me corrige. Je savais tout cela. Ma compagne regrette de ne pas pouvoir me donner une fessée déculottée là où je la mérite, mais elle ne peut pas faire autrement.
Nous sommes partis sur le chemin qui fait le tour du lac, main dans la main.
Nous avions fait une petite partie du tour du lac, quand, sans y penser, je donnais un coup de pied dans un petit caillou qui se trouvait au milieu du chemin.
« Tu vas abîmer tes chaussures. Tu arrêtes tout de suite ou c’est la fessée, dit-elle tout haut d’un ton courroucé ! »
Je savais qu’elle ne plaisantait pas et qu’elle n’hésiterait pas à me punir si je persévérai. Cela faisait partie de ses prérogatives de Maman et elle n’hésitait pas à en user. Je me suis donc tenu tranquille durant quelques minutes. La promesse d’une fessée que je savais réelle, avait fait son effet. Mais, cela fait partie de mes habitudes machinales et quelques centaines de mètres plus loin, j’avais mis de côté le lien que ma compagne faisait entre mes actions et sa promesse. Pourtant, je sais qu’elle tient toujours ses engagements, surtout quand il s’agit de mon éducation. Je donnais un coup de pied dans un petit caillou qui se trouvait sur notre route.
« Bon, tu l’as cherché ! »
Elle s’arrêta devant un arbuste et elle cueillit une baguette de bois souple.
« On va en prendre une deuxième ! »
Je dus enlever les feuilles qui avait poussé sur la badine tout en sachant à quel usage ma compagne destinait ces petites branches. Dès que je les eus effeuillées, ma compagne s’en empara et elle me courba sous son coude. Nous étions au milieu du chemin et si ce n’était pas la foule, il passait régulièrement des promeneurs. Heureusement, à ce moment-là nous étions seuls.
Elle appliqua les deux baguettes sur le fond de mon pantalon et malgré celui-ci et ma culotte qui protégeaient mes fesses, j’en sentis parfaitement la morsure. J’oubliais bien vite que des personnes pouvaient surgir au bout du tournant et assister à ma fessée, pour me consacrer à la douleur qui emportait mes fesses.
« Aïe, Maman, aïe !
– Pour l’instant, ce n’est rien. Tu as encore ton pantalon et ta culotte pour protéger tes fesses. »
Certes, ce qu’elle disait était vrai, mais je sentais distinctement la morsure des deux baguettes à travers mes vêtements.
« Mais, fais-moi confiance, ça ne va pas durer ! »
Elle me libéra et, me prenant par la main, elle m’entraîna derrière un petit bosquet d’arbustes, juste à quelques mètres du chemin. Cela constituait un obstacle visuel, mais pas sonore. Sans plus attendre, m’ayant placé debout devant elle, elle me baissa le pantalon, puis fit de même avec ma culotte qu’elle laissa à mi-cuisse. Alors, elle me courba de nouveau sous son bras et les deux baguettes recommencèrent leur danse sur mes fesses maintenant nues.
Elle avait raison, une fois la culotte baissée, c’était une autre affaire. La fessée était bien plus douloureuse et je ne pus retenir mes cris à chaque fois qu’elles laissaient leur marques sur mes fesses. Deux fois, elle dut me repositionner afin d’être à son aise pour me fesser.
Bien sûr, j’aurais pu me relever et mettre fin à la correction, mais cela aurait durablement entaché l’autorité qu ‘elle avait sur moi. Je savais que si elle me punissait de façon aussi infantilisante, c’était pour une bonne raison. Elle avait tout à fait le droit de le faire et aussi douloureuse soit-elle, je ne pouvais que supporter la fessée. Elle était méritée et je ne pouvais m’en prendre qu’à moi-même de ne pas avoir su me contrôler. En lui confiant mon éducation, j’en avais accepté le principe, je ne pouvais plus qu’en supporter les conséquences. Elle avait décidé qu’une bonne fessée déculottée me permettrait de me souvenir de ne plus taper dans un caillou, au risque d’abîmer mes chaussures. Comme je n’étais pas assez responsable pour me discipliner moi-même, elle s’en chargeait. Un comportement enfantin persistant se traduisait par une punition enfantine, une bonne fessée déculottée, ce n’était que justice. Je ne pouvais que me soumettre à son autorité.
Enfin, elle abandonna les deux baguettes, pour finir la fessée à main nue. Si cette correction est moins durable qu’avec une baguette, elle laisse les fesses en feu durant quelques minutes après la correction.
Alors, elle me laissa me relever et, la culotte toujours baissée, je dus lui promettre de ne plus recommencer, ce que je fis avec empressement. Seulement à ce moment-là, elle remonta ma culotte et mon pantalon et nous regagnâmes le chemin.
Un groupe de personnes surgit au tournant du chemin. A quelques dizaines de secondes près, ils n’auraient pas pu faire autrement qu’entendre le bruit que faisait la fessée et mes plaintes qui l’accompagnait.
« Tu as de la chance, conclut ma compagne. Un peu plus et ils auraient tout entendu ! »
Je restais coi. Elle avait raison et je n’allais certainement pas risquer une autre fessée qui risquait de m’être donnée en public. Il fallait mieux être prudent.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
La première fessée du journal racontée ici
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
Bonjour Josip.
RépondreSupprimerJe me doutais bien que tu n’étais pas devenu tout à fait sage malgré la sévérité de ta compagne et sa constante vigilance. Il est vraiment difficile de remettre dans le droit chemin un adulte qui a pris de mauvaises habitudes.
Et la fessée culotte baissée s’avère souvent le seul moyen d’éduquer un grand garçon immature. Tu sais c’est aussi mon cas et moi aussi j’ai vraiment besoin d’être éduqué. Ma compagne m’impose une discipline domestique dont je reconnais avoir besoin. Tout écart est immédiatement sanctionné. C’est la fessée déculottée ou le martinet. Ça me fait bien honte mais je sais que je le mérite.
Bien à toi.
Pascal
Pascal,
RépondreSupprimerJe crois, avant de faire état de la discipline que tu reçois, que tu devrais attendre l'article qu'Huguette va publier en fin de semaine. Tu te reconnaitras dans un type de personnages qu'elle décrit.
JLG
Bonjour Josip.
SupprimerMerci pour ton retour. J’attends donc avec impatience le récit d’Huguette… comment est-ce possible que je me reconnaisse…? Huguette ne m’a jamais fessé…!
Bien à toi.
Pascal