jeudi 24 avril 2025

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 21 avril 2025 – 17 h 48

Ce fut un week-end de Pâques fantastique. Notre vie de couple est sur une pente ascendante. Je l’avais déjà écrit à ma compagne, suite à un des derniers que nous avions passés ensemble. Je lui avais fait remarquer que, elle comme moi, nous ne serions parfaitement satisfaits que lorsque notre relation filiale prendrait le même chemin.

Elle m’avait donné une fessée, la semaine précédente, alors que nous marchions sur le chemin de halage du canal, mais c’était une toute petite fessée, que, bien sûr, je l’avais sentie, mais à peine. Certes, elle avait baissé ma culotte en extérieur et cela était déjà une source de honte bien réelle, mais elle était loin d’avoir donné tout son potentiel de sévérité. À ce rythme-là, je ne pensais pas retenir durablement les leçons qu’elle voulait m’inculquer, comme c’était son devoir de Maman de le faire.

Ce week-end de Pâques, elle a rectifié la donne. Elle a assumé totalement son statut maternel et j’en sens encore les effets sur mes fesses. Notre relation fonctionne ainsi : sur deux pieds. Une, a trait à notre vie de couple et l’autre est de nature filiale… c’est pourquoi ma compagne n’hésite pas à me déculotter et à me fesser où que nous soyons.

Je ressentais les conséquences des fessées reçues précédemment. Mes fesses me lançaient douloureusement, sans doute là où les baguettes avaient laissé leurs marques. Ma main gauche, celle qui n’était pas dans la main de ma compagne, se porta sur mes fesses. À travers le pantalon, je les massais, mais le soulagement que cela provoquait était presque inexistant.

Comme ma compagne ne disait rien, je suppose qu’elle n’avait pas vu, je m’enhardis et je glissais ma main gauche dans mon pantalon puis sous ma culotte. Ce n’est pas que le soulagement fut plus évident, mais cela me donnait la sensation inestimable de braver l’interdit. Je supposais, si ma compagne s’en apercevait, qu’elle me l’interdirait, mais cela n’avait pas encore été explicitement dit. Ce petit moment de liberté gagné sur l’autorité de ma compagne était le bienvenu. J’espérai que cela ne me vaudrait pas une fessée déculottée quand elle s’en rendrait compte. Mais prendre le risque d’une fessée fait partie de la relation filiale.

Je retirai prestement ma main de ma culotte quand une femme qui faisait son jogging arriva derrière nous. Je ne l’avais pas entendu approcher. Je ne crois pas qu’elle remarqua mon geste. Elle n’en montra aucun signe quand elle nous dépassa. Ma compagne mit ma confusion sur le compte de la surprise. Je ne la détrompais pas.

Bien entendu, quand ma compagne surprit mon geste, elle me l’interdit sous peine d’une fessée et je sentis bien que, par la suite, elle me surveillait. Elle n’avait pas l’intention de laisser passer ni de nouveau les doigts dans le nez ni une main qui soulageait mes fesses.


« Tu ne peux plus me donner la fessée !

– Crois-tu ?

– Non, car nous arrivons à la route ! »

La digue sur laquelle passe la route se voyait maintenant à travers les arbres. Juste à côté, il y avait un parking sur lequel étaient garées plusieurs voiture et sur un banc il y avait un homme et une femme qui ne prêtaient nulle attention à nous, mais si ma compagne me fessait, cela attirerait immédiatement leur regard.

Ma compagne balayait le paysage du regard. Je sentais qu’elle cherchait un endroit pour me corriger une nouvelle fois. Je l’entraînais sur la digue, le long de la route. Là, le paysage était dégagé. Non seulement le couple assis sur le banc nous aurait dans son champ de vision, mais, bien qu’il y ait peu de passage, une voiture pouvait surgir à tout moment dans le virage au bout de la ligne droite et il ne lui faudrait pas plus d’une quinzaine de seconde pour être sur nous et voir comment ma compagne me punissait si elle décidait de le faire. J’eus un moment de panique. L’option « pas de fessée » était abandonnée dans sa tête depuis longtemps. Elle avait décidé de me punir. Allait-elle me déculotter là où tout le monde pouvait me voir ?

Je décidais de céder du terrain. Tant qu’à prendre une fessée, autant que ce soit là où on ne pouvait pas me voir dans une si fâcheuse posture.

« Pas ici, Maman. On va me voir !

– Et tu crois que c’est gênant ? »

Il valait mieux ne pas continuer dans cette direction.

« Crois-tu que ce soit toi qui décide quand il faut te baisser la culotte pour te donner la fessée ? Tu me parais bien prétentieux et cela nécessite une bonne fessée déculottée pour t’en guérir, tu ne crois pas ? »

Ce n’était pas le moment que ma réponse soit prise pour une provocation.

« Si Maman, mais pas ici. Dès que nous serons au bout de la digue, nous allons rentrer dans le bois et là il y aura toute la place dont tu as besoin. »

Elle regarda le petit bois.

« Allons voir ! »

J’avais gagné un sursis. Ce n’était que reculer pour mieux sauter, mais c’était mieux que d’être déculotté et fessé sur le bord de la route dans le champ de vision du couple toujours assis sur le banc.


Je ne comptais pas qu’elle oubliât cette fessée qu’elle m’avait promise et dont j’avais reconnu le bien-fondé. Une fois rentrés dans le sous bois, nous aperçûmes des personnes qui venaient à notre rencontre sur le chemin. Ma compagne ne semblait pas décidé à me déculotter et à me fesser en leur présence. Il est vrai qu’il y avait des enfants et ça c’est une ligne rouge qu’elle ne veut pas franchir.

Elle me fit prendre un petit chemin détourné qui nous faisait passer un peu à l’écart de celui sur lequel circulait les deux groupes. Il était surélevé de quelques centimètres et recouvert de plaches en bois. Nous arrivâmes bientôt à une plateforme qui devait être quasiment invisible de là où passaient les deux groupes de personnes que nous avions aperçues. Je crus que c’était là que je recevrais ma fessée déculottée. Je me résignais donc à mon sort, mais ma compagne en décida autrement.

Nous continuâmes notre itinéraire pour rejoindre le chemin principal. Les deux groupes n’étaient plus en vue, mais il y avait deux femmes, dont une en fauteuil roulant. Elles nous interrogèrent sur l’état du passage et comme nous les avons rassurées, elles l’empruntèrent. Nous parcourûmes encore une cinquantaine de mètres, et nous avions l’impression d’être seul au monde.

Sur le bord du sentier, ma compagne aperçut un petit espace dégagé. Pas bien grand, mais bien assez pour ce qu’elle envisageait. Il y avait un tronc d’arbre à demi couché. Elle m’ôta ma veste et voulut me coucher sur l’arbre. Comme je la suppliais de n’en rien faire, elle accepta de me prendre sous son bras. La position est bien plus infantilisante, mais elle correspond bien mieux à une fessée maternelle. Elle limitait aussi mon champ de vision aux quelques mètres carrés derrière ma compagne, mais ça je ne savais pas encore que ça allait se révéler crucial.

Les fesses tournées vers le chemin, courbé sous son bras, ma compagne me baissa le pantalon, puis la culotte. Toute mon énergie était tournée vers la fessée que j’allais prendre. Serait-ce encore avec les deux badines ou préfèrerait-elle sa main nue ? J’eus la réponse aussitôt. Je sentis sa main claquer mes fesses, une fois de chaque côté, puis elle appuya ses claques et je commençais à gémir. La cuisson se rajoutait à celle des fessées que j’avais reçues plus tôt, amis de toute façon elle avait décidé que cette fessée, à main nue, serait magistrale. Je me cramponnais à son bassin et à son mollet pour ne pas me relever, tant la brûlure était intense. Pour clore cette affaire, il fallait qu’elle puisse me donner la fessée aussi forte qu’elle l’avait décidé. Il n’était pas question que je m’y oppose de quelque façon que ce soit. Je devais la subir jusqu’au bout.

Ma compagne me relâcha. Je me redressais. J’avais toujours le pantalon sur les mollets et la culotte à hauteur des genoux. Mes fesses nues et sans doute largement rougies et marquées par toutes les fessées que j’avais reçues était à la vue de qui passait sur le chemin.

C’est alors que je l’ai vue. C’était une jeune femme, mais je suis incapable de préciser son âge tant les choses sont allées vite. Elle courait lentement, sans doute lancée dans un tour du lac. Je n’eus pas un geste pendant quelques secondes qui lui permirent de nous dépasser.

« Remonte ta culotte, me dit ma compagne ! »

Je le fis sans précipitation excessive, autant que je m’en souvienne. De toute façon, c’était trop tard pour cacher à la joggeuse, la nature de la punition que je venais de recevoir. Non seulement elle n’avait pas pu ne pas entendre le bruit des calques qui s’abattaient sur mes fesses nues, mais mes cris lui avaient confirmé qu’il ne s’agissait pas d’un jeu, mais d’une sévère fessée déculottée. Elle avait eu mes fesses nues sous ses yeux, à moins de deux mètres d’elle, attestant de la punition enfantine que je recevais.


Une fois reculotté, nous repartîmes sur le chemin, silencieux dans un premier temps. Je tâchais de savoir ce que je ressentais d’avoir pris une fessée déculottée devant un témoin. Je n’avais pas eu vraiment le temps de prendre conscience de la position dans laquelle elle nous avait surpris.

« Tu l’avais vue avant, ai-je demandé à ma compagne ?

– Non, seulement quand elle est arrivée sur nous. J’étais concentrée sur la fessée que je te donnais. »

Je me laissais encore un petit temps de réflexion.

« Tu crois qu’elle m’a vu ?

– Il n’y a aucun doute. »

Un petit moment plus tard.

« Tu sais, c’est la punition qui l’emporte dans mon esprit. Je croyais que recevoir une fessée déculottée devant une personne que je ne connais pas, me mortifierait au plus haut point, mais ce n’est pas le cas.

– Tu n’as pas vraiment eu le temps de réaliser la situation. Ce n’est pas comme si elle s’était arrêtée et que nous avions discuté de ta fessée. »

Oui, sans doute, mais j’étais tout de même étonné de ma réaction ou plutôt de mon absence de réaction, comme si j’avais reçu une fessée ordinaire, cuisante, certes, mais ordinaire, donnée dans l’intimité ou tout du moins sans que personne ne puisse me voir. J’espère que la joggeuse en a conclu que la fessée qu’elle à aperçu brièvement, était une punition et non un jeu.

« Ne te fais pas d’illusion, il y en aura d’autres, me dit ma compagne. »
D'autres fessées en public, c'est de ça dont elle parlait, bien évidemment.


 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

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