Il manquait un épisode qui s'intercale entre le chapitre 4 et le 5. Je l'ai donc appelé 4bis. il prendra donc la place du dessin du mercredi que nous retrouverons la semaine prochaine.
Toutes mes excuses pour cette inversion.
Le mardi matin comme convenu je retrouvais Madame Simone
dans son bureau au rez-de-chaussée du bâtiment de pierre de la SFID. Elle
m’impressionnait toujours autant par son physique de femme forte et sur d’elle.
Elle trônait derrière son bureau m’examinant comme un suspect avant son
interrogatoire. Elle avait son catalogue ouvert devant elle et elle commença à
passer en revue les instruments de discipline qu’elle fabriquait ici.
« Alors Monsieur T me dit ‘elle avec son accent
alsacien qu’elle avait assez prononcé, nous allons voir si vous avez bien
travaillé hier sur le catalogue.
Vous avez du étudier le martinet appelé le Marquis. De
combien de lanières est ’il équipé ?
La première question me surprit car je n’avais pas pensé à
mémoriser le nombre de lanières de chaque référence. Il me semblait que c’était
un des modèles, pour l’avoir déjà goutté, qui comptait de nombreuses lanières.
Mais nombreuse ne me donnait pas la réponse. Je me lançais toutefois :
« 20 lanières Madame répondis-je.
Perdu me dit ‘elle. Nous reverrons donc le marquis en
travaux pratiques cet après-midi et vous aurez 10 coups pour les 10 lanières
oubliés. Vous n’oublierez plus que le marquis comporte 30 lanières de 50 cm
chacune. Cela commençait mal !
Nous passâmes ainsi tous le catalogue en revue pendant la
matinée et je m’aperçus des lacunes que j’avais sur de nombreux instruments et
leurs caractéristiques. La liste des travaux pratique de l’après-midi
s’allongeait et je commençais à craindre sérieusement pour mes fesses.
Arrivée au chapitre des canes anglaises elle me demanda la
longueur du modèle princesse.
75 cm répondis-je. C’est dommage pour vous Monsieur T. mais
la princesse est longue de 95 cm avec la poignée. 87 si on enlève la poignée.
Dans ma grande bonté je ne retiendrai que les 12 cm manquant pour la longueur
de la tige. Vous recevrez donc 12 coups de princesse en travaux pratiques.
Midi arriva et Madame Simone qui rentrait chez elle pour le
déjeuner me libéra. Rendez-vous à 14 h au showroom pour la séance de travaux
pratique me dit ’elle. Ajoutant : révisez entre midi et deux. Cela peut
vous aider !
Bien décidé à suivre ce conseil ne sachant pas ce qui
m’attendait, je filais à la boulangerie du village m’acheter un sandwich pour
m’enfermer dans mon bureau jusqu’à 13h45.
Céline qui pensait me voir à la cafétéria passa une tête à
ma porte à 13h30.
« Cela va aller Georges ? Madame Simone est
contente de vous ?
J’éludais la question et lui répondis que je lui dirai ça ce
soir, levant à peine la tête de mon catalogue.
A 14h j’attendais Madame Simone la boule au ventre devant le showroom. Elle
ouvrit la salle avec sa clef, modifia le panneau à l’extérieur pour signaler
que la salle était dorénavant occupée et m’invita à entrer.
Nous allâmes nous installer devant les présentoirs
d’instruments et elle me les fit prendre en main les uns après les autres et je
devais lui dire le nom de l’instrument, ses caractéristiques, ses consignes
d’usage, ce pour quoi il était conçu. Le fait d’avoir l’instrument en main
était déjà plus facile que de le voir en photo. On pouvait immédiatement
constater un certain nombre de choses : le nombre de lanières pour un
martinet, la longueur approximative, si elles étaient carrées ou ronde, mince
ou épaisse et de là en déduire un certain nombre de chose (cinglantes, marquantes…)
ainsi que les détails de fabrication du manche.
Chaque instrument était définis par un nombre de
indiquant son degré
de sévérité. Cela allait de 1 version la plus soft à 5, version la plus
cinglante. Je devais
donc aussi connaitre le degré de sévérité. C’était aussi le but des travaux
pratiques, savoir ce que voulait dire soft ou très sévère, apprécier
physiquement la différence entre les 2 et les nuances intermédiaires. Tout un
programme.
Nous
allons maintenant passer à la pratique Monsieur T. veuillez vous déshabiller
complètement et vous allonger sur ce banc à fessée devant moi.
La
partie la plus difficile pour moi commençait. Je n’hésitais plus à me devêtir
car depuis que j’étais venu à la SFID la première fois je m’étais déjà
déshabillé plusieurs fois.
J’enlevais
évidemment mon caleçon car comme me l’avait dit Madame Leroy lors du test
d’embauche une fessée aux instruments se reçoit fesse nue et j’allais donc docilement m’allonger sur le banc à fessée
dans la tenue d’Adam. De plus je me dis que Madame Simone avait du voir
tellement de paires de fesse dans sa carrière que une de plus ou de moins
n’avait pas d’importance.
Nous
allons donc réviser maintenant les instruments sur lesquels vous avez des
lacunes Monsieur T me dit’elle avec son accent Alsacien à couper au couteau. Ce
disant elle boucla les courroies autour de mes poignets, de mes chevilles et de
mes reins. J’étais maintenant totalement à sa merci.
Nous
allons donc commencer par le Marquis Monsieur T. combien de lanières compte le
marquis.
30
madame Simone répondis je fébrilement après avoir bien retenu la leçon du matin. C’est bien Monsieur T.
vous avez déjà progressé depuis tout à l’heure. Mais j’avais noté vous devoir
10 coups pour bien vous en souvenir. Les voilà.
Elle
avait attrapé le marquis, s’était positionné sur le côté du banc et commença à
me fouetter.
J’encaissai
car en étant à ma troisième séance de martinet
je commençais à m’habituez à la douleur de la fustigation.
Nous
passâmes ensuite tous les instruments ou dans la matinée elle m’avais pris en
défaut.
J’ai
reçu en 2 heures une pluie de coup de martinets, de cravache, pour finir avec
la cane anglaise la plus douloureuse, entrecoupé de questions et commentaires
sur l’instrument utilisé. Madame Simone avait une sacrée poigne dans
l’application et toute les qualités de
l’instrument pouvait s’exprimer au travers de son bras fort et musclé. Qualité
qui était directement ressentie par la peau et les muscles de l’élève que
j’étais.
La
séance se termina enfin. Je n’en pouvais plus et les idées se brouillant dans
ma tête j’avais commis des fautes à la fin qui m’avait occasionné une ration de
coup supplémentaire.
Je
mis plus de 5 minutes à me relever de mon banc de soufrance. Et lorsque je
constatais l’état de mes fesses dans les miroirs entourant ce coin de la pièce,
je vis qu’elles étaient bleus !
Après
m’être difficilement rhabillé je remerciais Madame Simone de son enseignement.
Je
rentrais à petit pas chez Madame Leroy, prévint Gisèle de m’excuser auprès de
la maîtresse de maison car je ne dinerais pas ce soir avec elle. Arrivée dans
ma chambre je m’éffondrais sur mon lit sans même me déshabiller, sur le ventre
pour éviter le moindre contact avec mes fesses, et je m’endormis d’épuisement.
Les semaines avaient passées. Ma semaine de formation
m’avaient laissées des traces qui avaient mis plusieurs jours à s’estomper et
encore plus longtemps à disparaître. Il faut dire que la poigne de Madame
Simone pour me faire rentrer les instruments dans la peau n’y était pas pour rien.
J’étais maintenant bien installé dans mon bureau ou j’avais
commencé activement la construction du site de vente en ligne de la SFID. Ce
qui n’était pas une mince affaire mais une tache de plusieurs mois.
Côté punition si j’avais échappé jusqu’à présent à celle de
la SFID hormis le premier jour, je n’avais pu éviter la discipline domestique
de Madame Leroy. Gisèle la petite bonne que j’avais cravachée le premier soir
sur ordre de Madame Leroy avait trouvé un motif pour me faire corriger à mon
tour. Elle avait repéré sur la lunette des toilettes des traces d’urine. Etant
le seul homme de la maison elle ne mit pas longtemps à informer Madame Leroy de
ce manque évident de savoir vivre et d’hygiène dans sa maison.
Je fus donc corrigé fesse nue devant la cheminée dans le
grand salon. Gisèle à sa grande satisfaction assistait à la séance car c’est
elle qui était en quelque sorte l’instrumentiste de sa patronne pour opérer sur
mes fesses un changement de couleur et d’aspect. Elle lui passait donc les
instruments à la demande, les prenais dans un grand coffre en acajou habillé de
feutrine à l’intérieur et les y replaçais avec précaution après usage. C’est
elle également qui m’avait fait mettre en place, une fois entièrement nue, sur
un fauteuil de fessée en cuir spécialement conçu pour la pratique. J’étais
allongé sur le ventre, le buste et la tête plongeant vers l’avant en position
inclinée, les fesses parfaitement
relevées et offertes, les jambes retombant à l’arrière en position allongée.
Les cuisses étaient donc aussi accessibles à la fessée. Ce fauteuil était
réglable électriquement tel un lit
médicalisé pour ajuster la position du puni en fonction de sa morphologie et de
celle de la correctrice. Ce que fit Gisèle pour que mes fesses soient
parfaitement à la hauteur du bras de sa patronne. Puis elle attacha les courroies aux
poignets, avant-bras, reins, bas des cuisses et talons assurant mon immobilisation
et ma docilité.
Je n’avais pourtant rien dit quand Madame Leroy m’avait
traité de gros porc ragoutant. Elle n’avait pas tort. J’avais de mauvaises
habitudes et je méritais cette punition. Je ferai dorénavant très attention
dans les toilettes, relevant la lunette avant d’uriner. Mais présentement je
devais payer la note.
Je reçu ce soir-là précisément 90 coups de plusieurs
martinets mais dont le dernier en cuir tressé me laissa un douloureux souvenir
et de belles zébrures sur mon fessier. Je dis bien 90 car c’est Gisèle qui
était chargé de compter et j’entends encore sa voix résonner presque
joyeusement dans le salon à chaque claquement. Elle devait m’en vouloir à mort
depuis la séance de cravache ou je n’y étais vraiment pas aller de main morte
sur injonction de Madame Leroy. C’est cette dernière pourtant qui m’avait
arrêté au douzième coup car les fesses de Gisèle commençaient à enfler tel un
soufflé au four en train de monter.
Elle avait dû se souvenir plusieurs jours de cette cravachée
et avait pris sa revanche indirectement ce soir-là.
Ma période d’essai se terminant il allait me falloir trouver
rapidement un logement car je ne pouvais pas rester éternellement chez ma
patronne et sa discipline domestique commençait à me peser sérieusement.
J’avais rendu mon appartement à Paris, vendu mes meubles
sans valeur sur le bon coin, me disant que j’aurai bien le temps d’en racheter
plus tard.
J’avais sympathisé un peu plus avec Céline qui m’avait un
samedi précédent fait un peu visiter la région.
Elle m’avait donné l’adresse d’une agence immobilière qui
m’avait déjà fait quelques propositions que j’avais regardées distraitement.
Et ce samedi elle m’avait invité à dîner chez elle pour la
première fois, preuve que je ne la laissais pas indifférente. Elle non plus ne
me laissait pas indifférent, bien au contraire. Je la trouvais charmante,
intéressante, jolie, mûre et sérieuse, intelligente… bref je crois que j’étais
pour la première fois amoureux d’une fille. C’est donc avec plaisir que je
m’apprêtais à me rendre à son invitation.
Je m’étais douché, avait enfilé un caleçon propre, un
pantalon de toile que je réservais au week-end et une chemise que j’avais
repassée moi-même.
Je m’étais rasé bien que déjà rasé du matin. Et je m’étais
aspergé de mon eau de toilette préféré. Bref j’étais prêt à partir à la
conquête de Céline que je croisais tous les jours dans les couloirs de la SFID
et avec laquelle je déjeunais parfois au
réfectoire.
Sa maison étant à côté de l’église du village je n’avais
même pas besoin de prendre ma voiture pour m’y rendre. 10 minutes de marche à
pied me conduisirent chez elle.
Fébrile je sonnais à la porte de sa petite maison qui était
l’ancienne maison du curé.
Elle m’ouvrit et je la découvris dans une tenue superbe et
sexy qui ne me laissa pas indifférent.
Elle était en pantalon de cuir très ajusté. Comme elle était
mince ce pantalon l’habillait comme un fourreau et mettait en valeur ses
courbes parfaites. Un corsage blanc presque transparent laissait voir un joli
soutien-gorge en dentelle qui moulait sa belle poitrine et rajoutait une touche
de féminité. Elle s’était maquillé et avait mis à ses oreilles de jolis
pendentifs.
Je fondais en lui faisant la bise. Elle me fit entrer et me
proposa de visiter sa maison ce que j’acceptais avec entrain. Derrière la porte
d’entrée un petit couloir desservait d’abord une grande pièce qui servait de
salle à manger, salon et pièce à vivre. Une petite cheminée occupait un des
angles. Un canapé confortable au large accoudoir était positionné devant ainsi
qu’un fauteuil club.
En face de cette pièce se trouvait une petite cuisine
qu’elle avait fait refaire et dont s’échappait des odeurs sympathiques. A côté de la cuisine une petite pièce lui
servait de rangement et de buanderie. Des étagères contenait du linge d’un côté
avec une planche à repasser replié sur le mur et une machine à laver. De
l’autre côté c’était divers produits du quotidien comme des bocaux de fruits et
légumes, des boites d’aliments. Tout était rangé au cordeau. C’était la chambre
de la bonne autrefois. De la bonne du curé ajouta-t-elle en riant. Il paraît
qu’elle ne servait pas qu’à faire la cuisine compléta-t-elle malicieusement. Je
parle de la bonne bien sûr ! Je lui dis que j’avais compris et je ris avec elle tombant sous son charme.
Nous prîmes les
escaliers de bois qui nous emmenèrent au 1er étage. Sa chambre se
trouvait au-dessus du salon et une douce chaleur y régnait. Le conduit de
cheminée la traversait dans l’angle du mur et devait y contribuer. Un grand lit
recouvert d’un joli couvre lit matelassé était adossé au mur aveugle la fenêtre
étant en face. Un parquet rustique était recouvert d’une descente de lit. Pas
de décoration mais sur le mur à côté de l’armoire suspendu à des clous 5
instruments de fessée avaient irrésistiblement attirés mon regard. Voyant
l’endroit que mes yeux fixaient tétanisés elle me dit en riant :
« Vous devez connaître par cœur les références et les
caractéristiques après les travaux pratiques de Madame Simone. On vous a
entendu crier jusqu’à la comptabilité au deuxième étage. Je reconnaissais en
effet les martinets et paddle exposés à ma vue.
« Ce sont les cadeaux de la SFID. Je les regarde le
soir avant de m’endormir. Cela me calme et me guide pour ma conduite
professionnelle. Parfois je les décroche pour m’auto fesser si j’estime avoir
fait une bêtise personnelle.
Une salle de bain en face de sa chambre, pas très grande
avec une douche et une vasque précédait
le WC. Tout était impeccablement propre et rangé.
L’escalier en bois
nous emmena au grenier sous le toit, vaste pièce qui faisait la surface de la
maison mais ou la hauteur ne permettait pas de se tenir debout de partout.
Quelques cartons et une valise étaient entreposés là mais bien alignés.
Nous redescendîmes au salon nous mettre devant le feu de
cheminée. Elle me proposa un verre de Sancerre que lui avait recommandé le
gérant de la supérette du village. J’acceptais bien volontiers car j’adorais le
vin blanc et le sancerre était me semble-t-il réputé en blanc.
Elle amena des crackers, des olives et après m’avoir donné la bouteille à déboucher
nous trinquâmes comme deux amis que nous étions devenus.
Elle me proposa alors de nous tutoyer ce qui était quand
même plus conviviale entre deux jeunes du même âge ou presque.
Nous nous mimes à parler de Madame Leroy comme deux salariés complices qui ne peuvent
s’empêcher de critiquer la direction.
Elle me demanda comment cela se passait le soir chez elle
ayant elle-même séjourné chez Madame Leroy à son arrivée à la SFID. Puis au
détour d’un échange elle me questionna presque affirmative :
« Et tu as essayé le fauteuil à fessée,
forcément ?
Interloqué je ne pouvais pas me dérober à la question.
Je lui racontais les circonstances et le rôle qu’avait joué
Gisèle la petite bonne dans ma correction à la fois comme dénonciatrice et
instrumentiste. Elle me demanda alors de lui raconter en détail ma punition,
semblant soudain très intéressée. Elle me dit que la punition était amplement
méritée car elle ne tolérerait pas cela chez elle. Puis elle me dit que Madame
Leroy avait fait fabriquer spécialement pour elle et sur mesure ce fauteuil
chez un spécialiste des fauteuils de dentiste.
Tu sais me dit ’elle à voix basse et un peu mystérieuse, il paraît qu’elle s’en sert pour
elle-même.
Devant mon air étonnée elle m’apprit que Madame Leroy
s’appliquait à elle-même la discipline qu’elle imposait à son entourage. Elle
se faisait corriger sévèrement par Madame Simone lorsque les résultats de
l’entreprise n’étaient pas satisfaisant à ses yeux ou qu’elle estimait avoir
pris de mauvaises décisions dans sa direction de l’entreprise.
Madame Simone se rendait alors chez elle en fin d’après-midi
et corrigeait Madame Leroy sanglé sur son fauteuil à fessée.
« Mais comment sais-tu cela dis-je un peu sceptique à
Céline ?
C’est Gisèle la petite bonne qui a vendu la mèche à Julie la
standardiste. Autant te dire que l’information n’a pas mis longtemps à
faire le tour de l’entreprise. Il ne
faudrait pas d’ailleurs que Madame Leroy l’apprenne car les 2 copines
passeraient un sale quart d’heure ! Mais en même temps cela lui donne
aussi l’image d’une patronne exemplaire qui s’applique à elle-même son règlement.
Cela m’a permis
de comprendre certaines choses. Dans les jours qui suivent la
correction de Madame Leroy, celle-ci n’est presque jamais dans son bureau car
la position assise doit lui coûter et lui être très inconfortable. Elle arpente
alors d’un pas énergique les couloirs de l’entreprise. Elle entre dans les
bureaux, visite les ateliers cherchant la faille ou l’erreur et gare aux
fainéants, distraits ou dans la lune. Madame Leroy les repère immédiatement et
les dénonce illico aux chefs de service pour application du règlement. Quant
aux cadres cette semaine-là ils ont intérêt à être exemplaire.
La dernière fois Madame Leroy avait constaté une baisse de
productivité sur la semaine à la production. Elle a convoqué à son tour Madame
Simone dans son bureau. On l’a entendu hurler dans tous le bâtiment tellement
Madame Leroy l’a corrigé avec la cane THE
BEST, la plus dure.
C’était un prêté pour un rendu en quelque sorte.
La bouteille de Sancerre était déjà bien entamée et Céline
m’invita à passer à table.
Elle avait préparé une petite salade gourmande suivie d’un
filet mignon à la crème accompagné de pomme de terre ratte et de champignons.
Et en dessert elle avait fait une tarte Tatin spécialité du coin.
Elle m’expliqua l’histoire de ce dessert résultat d’une
erreur comme parfois cela arrive.
La légende
dit que la tarte Tatin naquit à Lamotte-Beuvron, en Sologne, à la fin du XIXe
siècle. Les sœurs Tatin y tenaient alors un hôtel-restaurant très fréquenté,
situé face à la gare. Caroline, la plus âgée, recevait la clientèle, tandis que
Stéphanie s'affairait en cuisine pour satisfaire les voyageurs, chasseurs et
autres amateurs de cuisine traditionnelle solognote. Sa spécialité était la
tarte aux pommes, qu'elle servait caramélisée et fondante. Un jour, dans le coup de feu de midi, Stéphanie mit sa tarte
complètement à l'envers dans le fourneau. La pâte et les pommes furent sens
dessus dessous. Cependant, elles servirent le résultat sans laisser refroidir.
Comme les clients
apprécièrent grandement cette nouvelle version, la tarte Tatin était née.
« L’histoire
ne dit pas si Stéphanie reçu une cuisante fessée de sa sœur pour son erreur
termina en riant Céline.
Moi je pense que
oui rajoutais je.
Et bien sûr avec
les instruments de la SFID avons-nous conclu ensemble dans un grand éclat de
rire.
Alors que je la
félicitais sur la qualité de son dîner et sur son savoir-faire de cuisinière,
je lui demandais comment elle avait appris à aussi bien cuisiner.
Elle m’expliqua
alors que c’est à Sainte Marie qu’elle
avait appris la cuisine avec mère Sheila la responsable de la cantine.
« Comme je
m’ennuyais les dimanches et que j’étais sur place il m’est arrivé d’aller
trainer du côté de la cuisine. Je suis tombé sur mère Sheila la responsable qui
furieuse de me trouver là commença par me donner une bonne fessée. Les
présentations étant faîtes et me trouvant attendrissante elle me proposa de
venir la rejoindre le dimanche matin pour l’aider dans son travail.
Et c’est comme
cela que j’ai appris les gestes de base, la découpe des fruits et légumes, des
volailles, à faire des plats en sauce,
et bien sur la pâtisserie. C’est
d’ailleurs ce que préfère. Partir d’ingrédients en poudre tel que farine, sucre,
chocolat, d’œufs et obtenir un beau gâteau au final c’est génial non.
Comme pour le
reste de la pédagogie à St Marie et même si il s’agissait de loisirs pour
moi, j’étais immédiatement fessée par
Mère Sheila à la moindre erreur. J’ai donc vite et bien appris.
Nous étions alors
tous les 2 dans le canapé, devant la cheminée, digérant à la fois le dîner et
la bouteille de Sancerre que nous avions terminé. Enfin surtout moi.
Le dîner,
l’ambiance, la gentillesse de Céline m’avait mis dans un état de bien être qui
me poussa à m’enhardir. Je me lançais alors dans une déclaration dont je ne me
serai pas cru capable en arrivant.
« Céline je
me sens bien avec toi. Tu es la seule personne que je connaisse ici et avec qui
j’ai vraiment sympathisé. Tu es belle, tu es intelligente, tu es responsable,
tu cuisine à la perfection, tu as un super boulot pour ton âge. Depuis que je
suis là je n’ai qu’une hâte c’est te revoir. Céline tu a toutes les qualités
que je recherche chez une femme. J’aimerai vivre avec toi. Me le
permettras-tu ?
En disant ces
mots j’avais l’impression d’être un plongeur se lançant pour la première fois
du plongeoir de 10 mètres.
J’attendais avec
anxiété la réponse de Céline que j’avais vu rougir pendant ma demande.
« Merci
Georges. On ne m’a jamais dit autant de compliments. Je suis très touchée. Toi
aussi tu me plais.
Tu es beau,
sportif, intelligent aussi et avec des connaissances informatiques qui
m’épatent. J’ai plaisir à être avec toi.
En disant ces
mots avec une certaine émotion dans la voix je la sentis glisser contre moi.
Nous nous regardâmes amoureusement et nos bouches se rejoignirent naturellement
pour un baiser long et langoureux.
Elle se redressa
au bout de quelques minutes et me dit alors avec une voix maitrisée.
« Georges je
suis prête à vivre avec toi et même plus, à ce que tu viennes habiter ici avec
moi dans ma maison à l’issue de ta période d’essai chez Madame Leroy. Mais j’y
mets cependant une condition. Tu devras alors rentrer dans mon cadre de vie.
J’estime avoir été très bien éduqué chez les sœurs de St Marie et être plus
responsable et rigoureuse que toi. Aussi c’est MA discipline que tu devras
suivre ici. J’ai déjà remarqué des lacunes dans ton comportement ce soir qui me
laisse à dire que tu devras faire des efforts. Tu n’as pas fini ton assiette à
table, tu manges les coudes sur la table ce qui ne se fait pas et tu ne m’as
pas aidée à débarrasser. Je t’aiderai à progresser pour te faire grandir et je
vais commencer tout de suite par t’appliquer une fessée pour ton comportement
ce soir. Ce sera une fessée à la main pour commencer car nous ne sommes pas à
la SFID.
Ce faisant elle
me releva et me demanda de quitter mon pantalon. Très excité j’avais une
érection presque douloureuse tant elle était vigoureuse. Je m’exécutais très
vite et je revenais m’allonger en caleçon sur ses genoux. Elle ne pouvait ignorer
mon état tant ma turgescence était puissante de par la situation.
« Etes-vous
d’accord avec ce que je viens de vous dire Georges. Lorsque je vous
disciplinerais je vous vouvoierai pour bien marquer la distance entre la
compagne et l’éducatrice que je serai à ce moment-là. Et j’exige la réciproque.
Comme dans le
bureau de Madame Leroy au moment de l’entretien d’embauche, je ne mis pas
longtemps à répondre à Céline.
« Oui Céline
j’accepte de me soumettre à votre cadre de vie et à en subir les conséquences si
j’en sors.
Je vous fais
confiance pour juger ce qui sera bon pour me faire évoluer vers la perfection.
Entendant ces
mots Céline me déculotta et sa main commença à s’abattre sur mes fesses à nue
d’abord doucement puis de plus en plus fort me rougissant l’ensemble de mes
fesses. J’étais dans un tel état d’euphorie, de bonheur, de crainte et
d’excitation que cette fessée fut presque comme un massage pour moi. La chaleur
m’embrasait tous le bassin. Mais c’était la main de Céline qui me fessait, ses
doigts qui s’imprimait dans ma chair, c’était comme un rapport amoureux.
Lorsque elle eut jugé au bout de plusieurs minutes que la fessé avait assez
duré elle me retourna et m’embrassa à nouveau tendrement.
« Georges je
serai intransigeante avec vous parce ce que je vous aime.
Ce qui se passa
ensuite ne vous regarde plus. Ce que je peux vous dire c’est que nous tutoyâmes
à nouveau et que je passais la plus belle soirée de ma vie.
Mais tout a une
fin. Vers 1 heure du matin je dus me résigner à partir pour rentrer chez Madame
Leroy. J’étais sur un petit nuage. Je me fis le plus discret possible pour ne
pas risquer de la réveiller en rentrant dans la maison.
Mais c’était
compter sans son chien, un fox terrier qui la porte à peine entrebâillée se mit
à aboyer comme un forcené. Je vis la lumière s’allumer à la fenêtre de Madame
Leroy. Je refermai la porte doucement et commençais à monter les marches sur la
pointe des pieds. En haut de l’escalier sur le palier du 1er étage
m’attendait Madame Leroy impériale en
robe de chambre.
« C’est à
cette heure-ci que vous rentrez Georges. Ne vous avais-je pas dis minuit
maximum ?
Et en plus vous
réveillez toute la maison.
Nous réglerons
cela à mon retour de la messe demain. Préparez-vous à recevoir pour votre
conduite indigne d’un garçon de trente ans. Je n’aime pas du tout être
réveillée au milieu de la nuit.
Et elle retourna
dans sa chambre dont elle claqua la porte.
J’allais donc
retourner sur le fauteuil à fessée demain matin.
Vivement que
j’aille m’installer chez Céline. Je serai puni mais au moins par la femme que
j’aimais.
Et je ne connaîtrai plus dorénavant sur mes fesses que les instruments de la SFID que ce soit ici ou à la maison de Céline.
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Bonjour,
RépondreSupprimerBen...et... et mon dessin du mercredi ?? Mince, alors ! Je pensais montrer mes œuvres ! Heu... appelez-moi le Directeur !
- Désolé mais il est en comité de publication.
- J'attendrais....
Plus on attend, et plus le suspense augmente... Que va t-il encore arriver à ce garnement de Gérome ??? Vous le saurez au prochain épisode. Et toc !!!
Les arts en général, c'est comme en cuisine : plus ça mijote et meilleur c'est !!!
Peter'.
Bon, alors pour la peine, un petit compliment de compensation sur le dernier dessin.
RépondreSupprimerJ'ai trouvé plaisante la position de Gérome pour recevoir sa fessée. Courbé en deux sur la cuisse relevée à l'horizontale de sa fesseuse. Les fesses en l'air bien exposées, abandonnées à la correction. C'est une position, hélas, rarement décrite ou exploitée et pourtant aussi stimulante qu'efficace. Le bras de la correctrice disposant de tout l'espace nécessaire et de toute la hauteur voulue pour fesser aussi sévèrement qu'elle le souhaite.
Voilà... c'était un compliment au dessinateur en attendant mercredi prochain.
Oula la! Erreur il ne s'agit pas des fesses de Gérome mais de celles de Nathan! Où va t-on si on commence à mélanger les fessées!
RépondreSupprimerBonsoir Ramina,
RépondreSupprimerHa Ha , la belle confusion ! Gérome est un autre grand garnement, une sorte d' "alter-ego" de Axel. Et sa sévère Maman pense l'envoyer en pension, lui aussi. Ca promet...
S'il y a confusion, c'est qu'il y a ressemblance entre les deux styles. Marque de fabrique du dessinateur. Merci beaucoup pour ce compliment. Et merci à Mr JLG qui m'a permis de faire ces illustrations.
Bonne soirée. Peter Pan.