Je n’avais pas vu la journée
passer. Après la correction à mon arrivée qui m’avait procurée de fortes
émotions et évidemment d’avoir les fesses douloureuses, les choses s’étaient
enchainées.
Madame Leroy m’avait présenté à
l’ensemble du personnel comme le nouveau responsable web-marketing. J’avais vu dans
les yeux de beaucoup une interrogation car cela ne voulait rien dire pour eux.
Ce métier n’existait pas il y a 20 ans. Certains n’était peut-être même jamais
allés sur voir sur internet dans ce coin de la Sologne, somme toute encore très
rurale et campagnard et ou l’ordinateur n’était pas un objet vitale loin de là.
J’avais rencontré Madame Simone
la directrice de production qui m’avait fort impressionné. D’origine Alsacienne
c’était une grande et forte femme d’une cinquantaine d’année qui dirigeait toute
la production d’une main de maîtresse. Le personnel filait doux devant elle car
sa réputation de correctrice n’était plus à faire. C’est elle qui dirigeait les
essais et tests des instruments qu’elle contribuait à créer et chaque membre de
l’entreprise avait dû à un moment ou à un autre présenter ses fesses à la
fustigation de ses bras musclés. Je devais passer dans la semaine une journée
entière avec elle pour découvrir la gamme des instruments. Travaux pratique à
l’appui. J’appréhendai déjà cette journée qui s’annonçait douloureuse d’après
ce que j’avais pu entendre.
Ensuite Madame Leroy m’avait
installé dans mon bureau pas très éloigné du sien et équipé d’un bel ordinateur
qui allait être mon principal outil de travail au cours de ces prochains mois. Celle-ci
me dit que la proximité lui permettrait ainsi de suivre plus facilement
l’avancée de mon travail. Car elle souhaitait aller vite. Pour moi j’y voyais
plutôt un inconvénient. J’aurai préféré me trouver proche du bureau de Céline
pour qui je commençais à en pincer comme on dit. Outre ses confidences sur sa
vision de la discipline, sa gentillesse à mon égard m’avait touché. Malgré
qu’elle m’ait vigoureusement fouettée le matin même sur injonction de Madame
Leroy pour mon retard, je ne lui en tenais pas rigueur. J’avais fauté, j’avais
été puni, c’était dans l’ordre des choses.
A midi elle m’avait emmené
déjeuner à la cafeteria de l’entreprise situé dans un bâtiment moderne
construit dans le terrain attenant. Une trentaine de personnes, trop éloignées
de chez elles pour rentrer à midi, y déjeunait avec la gamelle qu’elles avaient
préparée. Deux grands frigos permettait de stocker la nourriture, des fours à
microondes de la réchauffer, et des tables et chaises permettaient de s’assoir.
De la vaisselle était à disposition ainsi que des machines à café.
Dans une pièce attenante un
babyfoot et des fauteuils permettaient de se détendre.
Céline me proposa de partager sa
salade et la petite quiche qu’elle avait amenée. Nous devisâmes gentiment et je
lui expliquai en quoi consistait mon métier. Elle ouvrait des yeux admiratifs
car si elle surfait beaucoup sur internet l’envers du décor était pour elle un
mystère.
Elle m’expliqua que depuis 4 ans
à la SFID, elle habitait une petite maison de village qu’elle avait achetée
récemment après avoir longtemps loué , en fait l’ancienne cure près de
l’église, pas très loin de l’entreprise. Les campagnes fonctionnant maintenant
avec un prêtre pour 6 ou 7 paroisses, parfois plus, beaucoup de cure étaient
abandonnées ou reconverties. Elle me dit que les week-ends d’hiver étaient
longs car il y avait très peu de distraction alentour. Certes un cinéma
existait dans le village mais il n’était ouvert que le samedi soir et le
dimanche avec des bénévoles qui le faisait fonctionner. Et on y retrouvait
toujours les mêmes cinéphiles de la région.
Céline avait perdu sa mère jeune
et son père qui n’avait qu’une fille l’avait alors mis en pension ne pouvant
s’en occuper de par sa profession qui l’obligeait à voyager. Elle avait donc
passé à St Marie, institution de religieuses, toutes ses années de collège et
lycées. Elle m’expliqua qu’à St Marie les châtiments corporels étaient la règle
absolue.
Cela l’avait beaucoup aidé à
travailler et à devenir ce qu’elle était aujourd’hui, une Directrice des
ressources humaines d’une grosse PME à 28 ans ce dont elle était très fière.
Pour ses études supérieures son père avait pu obtenir des religieuses de St
Marie qu’elle conserve une chambre dans l’institution. Ainsi elle allait à la
fac de droit la journée et rentrait tous les soirs à St Marie.
De fait elle était toujours
soumise au règlement de l’institution et devait remettre ses notes à Sœur
Clotilde qui avait une délégation de tutorat de son père. Elle m’expliqua
qu’elle avait été corrigé en cas de trop faible résultat ou d’entorse au
règlement jusqu’à 23 ans, date à laquelle elle avait réussi son master 2 de
ressources humaines. Elle était même corrigée deux fois pour une même faute.
Une fois pour la faute elle-même et la deuxième parce que la punition devait
normalement être doublé à la maison. Comme sa maison était chez les sœurs elle
avait donc double ration de fessée comme il se devait mais à quelques heures
d’intervalle afin qu’elle perçoive bien, comme les autres élèves, les bienfaits
de cette deuxième fessée.
Par chance, au même moment les
sœurs avait su par Madame Leroy que la chef du personnel de la SFID partait à
la retraite. Les sœurs faisait en effet une fois par an le voyage jusqu’à la
SFID pour se réapprovisionner en instrument qu’elles usaient beaucoup sur les
derrières de leurs élèves. C’était de très anciennes clientes de la maison,
pratiquement depuis le début de la SFID. Les sœurs avaient changé depuis 1869
mais les méthodes non.
Et c’est comme cela que Céline
était passée directement de St Marie à la SFID. D’un règlement à un autre. Elle
avait eu un peu de mal au début. Madame Leroy était très exigeante et Céline
n’ayant pas d’expérience professionnelle avait dû prendre sur elle pour rentrer
dans sa fonction. La première année elle était passé plus d’une fois sur le
pupitre dans le bureau de Madame Leroy. Sans compter qu’elle avait habité chez
elle quelque temps au début. Et que parfois la discipline domestique
s’appliquait aussi le soir. Puis cela s’était espacé, Céline avait pris son indépendance
et maintenant Madame Leroy lui faisait beaucoup confiance et avait même élargi
le champ de ses responsabilités. Elle lui déléguait même parfois son droit de
correction comme ce matin sur moi.
Elle faisait partie du comité de
direction au même titre que Madame Simone la Directrice de production, Madame
Agnès la Directrice de l’administration des ventes et commercial et Madame
Frédérique la directrice financière en vacances cette semaine.
Elle me dit pratiquer
l’équitation dans un club pas très loin d’ici le week-end et parfois en soirée
l’été. Elle rajouta qu’elle m’aiderait dans mes recherches de logement si je le
voulais. J’étais ravi de sa proposition car j’avais envie de passer du temps
avec elle, d’autant que je ne connaissais personne ici et que je n’allais
rentrer à Paris que pour vider mon appartement.
Je serai bien resté l’après-midi
entière à discuter avec Céline mais une sonnerie retentit dans le réfectoire
rappelant à l’ordre les distraits. Il fallait reprendre le travail sous peine
de …
Je devais découvrir et apprendre
le catalogue de la SFID avant ma journée avec Madame Simone. Il était
indispensable que je connaisse bien les produits puisque ensuite il fallait que
je les intègre dans la construction du site que je devais créer. J’avais donc
du pain sur la planche ou plutôt du fouet sur la fesse !
Je m’assis donc pour la première
fois derrière mon bureau pour me plonger dans le catalogue de la SFID. Il
fallait absolument que j’aie bien repéré les catégories et à l’intérieur des
catégories les différents modèles et leurs caractéristiques pour pouvoir
répondre aux questions de Madame Simone et lui poser des questions pertinentes
prouvant que j’avais étudié sérieusement.
Au début du catalogue se trouvait
la partie que l’on appelle « corporate » en Anglais et qui est en
fait la présentation de l’entreprise, de ses points forts, de ses sites de
production, de ses valeurs etc… ainsi que de sa responsabilité sociale et
environnementale RSE, mot très à la mode au 21ème siècle.
Un éditorial de Madame Leroy avec
sa photo expliquait l’histoire de l’entreprise familiale depuis ses origines
jusqu’à aujourd’hui.
Pour les valeurs de l’entreprise
la discipline ressortait évidemment en valeur Numéro 1. La SFID se vantait d’en
faire la promotion autant que faire se peut et si possible avec ses
instruments. Et d’abord au sein même de l’entreprise ou une partie du règlement
intérieur était reproduit. Des témoignages de clients satisfaits vantaient la
qualité et l’efficacité des instruments de la SFID. Parmi eux, le témoignage de
sœur Clotilde à Sainte Marie dont m’avait parlé Céline. Ainsi que les
créatrices de l’institut F, Caroline et Marie, spécialisées en fessée, qui
recommandaient chaudement l’usage des instruments de la SFID.
Pour le RSE on pouvait lire que
les cannes anglaises provenaient de forêt écologiquement gérées en Indonésie,
que le cuir ne contenait pas de substances indésirables, que les instruments
pouvaient être recyclés.
Une page vantait et présentait
les tests et l’on voyait des paires de fesses dominées par le bras de Madame
Simone, éprouvant la résistance d’un martinet. En face de chaque instrument
outre la photo de celui-ci une loupe photo présentait un morceau de peau de
puni avec la marque imprimée par l’instrument à titre d’exemple.
Je devrais, dans le cadre du
site, prévoir en plus pour chaque instrument un film de démonstration de
l’instrument en fonction. Ce que ne permettait évidemment pas le catalogue
papier.
L’après-midi passa très vite,
absorbé que j’étais à découvrir les nombreux produits de la SFID.
Madame Leroy m’avait dit de la
retrouver chez elle à 18h30. Compte tenu de l’expérience de ce matin c’est à
18h30 pétante que je sonnais à la porte de sa grande maison juste en face de
l’entreprise. J’avais récupéré ma valise dans ma voiture que j’avais laissée
garé sur le parking tout proche.
Une petite jeune femme rousse,
habillée en corsage blanc, jupe noire et petit tablier blanc qui devait être
une domestique m’ouvrit la porte. Après m’être présenté elle me dit d’attendre
dans le vaste et très beau hall de la maison pendant qu’elle allait prévenir
Madame. Elle disparut dans ce que je présumais être l’office. Quelques minutes
plus tard j’entendis quelqu’un arrivé par le majestueux escalier de marbre au
centre du hall. Je vis apparaître Madame Leroy encore plus majestueuse et belle
que ce matin.
« Je vois que vous êtes à
l’heure Georges. La leçon de ce matin aurait ’elle portée ses
fruits ? »
Je rougissais en repensant à
l’admonestation cinglante à mon arrivée et à la correction au martinet qui s’en
était suivi.
Sans attendre ma réponse, elle me
pria de la suivre pour me montrer ma chambre. Je montais l’escalier à sa suite
avec ma valise à la main. Au premier étage dans un grand couloir, elle ouvrit
une porte et me fit entrer dans une grande pièce avec un grand lit à baldaquin
au milieu.
« Voici la chambre d’invité.
Elle n’a pas servi depuis un moment et j’espère que vous y serez bien. »
Une commode et une grande armoire
ancienne complétait le mobilier.
« Vous avez la salle de bain
attenante ici me dit-elle en ouvrant une nouvelle porte. »
J’aperçu une pièce recouverte de
carreaux de faïence blanc avec une grande baignoire et même un bidet comme cela
se faisait autrefois.
Aujourd’hui c’est le genre
d’accessoire devenu complètement obsolète mais autrefois il était
indispensable, non pas pour se laver les pieds ou les fesses, usage normalement
admis. Mais aussi aux femmes pour à califourchon sur leur bidet nettoyer à
grande eau leur intimité après un rapport sexuel. Et ainsi éviter de tomber
enceinte. Avec la pilule plus besoin de bidet !
Revenant dans la chambre elle se
hissa sur la pointe des pieds et passa sa main sur la corniche de l’armoire.
Revenu à une position normale elle examina ses doigts et, ce qu’elle y vit, la
mit en furie.
Elle ressortie dans le couloir et
hurla :
« Gisèle ! »
J’entendis quelqu’un monter
précipitamment les escaliers et je vis arriver la petite bonne qui m’avait
ouvert la porte. Elle s’avança respectueusement devant Madame Leroy qui lui
montra sa main couverte de poussière.
« Je vous avais bien dire de
faire la chambre d’ami à fond ce matin ? Vous ne devez pas savoir ce que
veut dire à fond. Allez me chercher la cravache immédiatement que je répare
cette lacune.
– Mais Madame… commença
timidement la petite bonne. »
Une claque sonore donnée avec la
main empoussiérée arrêta net la tentative d’explication de Gisèle.
« Dépêchez-vous, vous
aggravez votre cas. »
Gisèle ressortit alors
précipitamment de la chambre pour revenir en courant une cravache dans les
mains qu’elle présenta à Madame Leroy comme une offrande en baissant la tête.
Celle-ci s’en saisit par la tige.
Elle me tendit alors le manche en me disant :
« Prenez Georges, c’est vous
qui allez corriger cette souillon. Après tout c’est votre chambre qu’elle a négligée. »
Très gêné mais ne pouvant refuser
cette invitation je prenais la cravache ne sachant trop qu’en faire.
« En position dit sèchement
Madame Leroy ! »
Gisèle se courba alors sans
hésiter attrapant ses chevilles avec les mains,
la tête en bas pour prendre une position qu’elle semblait bien connaître.
Madame Leroy remonta alors la
jupe sur ses reins, et attrapant l’élastique de la petite culotte blanche de
chaque côté des cuisses l’abaissa sans ménagement sur les chevilles de la
petite bonne.
Je découvris alors un charmant
petit derrière blanc avec cependant quelques traces rouges de lanières presque
effacées sur le côté des cuisses, vestige d’une correction précédente
probablement.
Une belle touffe rousse débordait
de l’entrejambe. On ne devait pas encore connaitre la mode de l’épilation
intégrale dans ce coin de Sologne.
« C’est à vous dit Madame
Leroy. »
N’ayant jamais cravaché personne
je ne savais trop quoi faire. Je donnais donc un petit coup timide sur les
fesses de Gisèle qui attendait craintivement sa punition.
« Si vous n’y allez pas
franchement plus fort Gisèle n’est pas prête de faire des progrès en ménage.
Voulez-vous que je vous montre sur vous comment on donne la cravache. »
Je n’y tenais pas du tout aussi
mon deuxième coup déclencha-t-il une plainte de Gisèle et je vis la trace de la
cravache apparaître sous la forme d’une belle ligne rouge ponctuée de la
claquette sur le bord la fesse.
Enhardie par ce premier coup
réussi et désireux de montrer à Madame Leroy que je savais tenir compte de ses
consignes, je me mis alors à enchaîner les coups de plus en plus fort avec une
hardiesse qui me surprenait moi-même. Les petites fesses potelées de Gisèle se
prêtaient bien à cet instrument qui claquait et rebondissait sur ce postérieur.
C’est Madame Leroy qui m’arrêta
au 12ème coup car des boursouflures commençaient à gonfler sur les
petites fesses de Gisèle qui pleurait sans s’arrêter.
« C’est bon pour cette fois.
Il faut quand même que Gisèle aille préparer le dîner. Vous pouvez disposer ma
fille. Vous reviendrez nettoyez ce que vous avez oublié pendant que nous
dînerons. »
Gisèle se redressa le visage
aussi rouge que ses fesses, remonta sa culotte, rabattit sa jupe et disparut
sans demander son reste après s’être inclinée devant Madame Leroy et avoir
dit :
« Bien Madame, Merci Madame.
– Installez-vous Georges. Vous
êtes ici chez moi aussi j’entends que l’ordre règne dans votre chambre comme il
règne dans la maison. Vous devrez faire votre lit et faire en sorte que votre
chambre soit propre et rangée en permanence. Gisèle fera le ménage à fond une
fois par semaine. Vous vérifierez vous-même son passage comme je viens de le
faire car si je trouve encore des traces de poussière ce sera vous qui serez
puni.
Respectez ces consignes et tout
se passera bien. Sinon la discipline domestique s’appliquera comme elle vient
de s’appliquer avec Gisèle. Vous devrez être ponctuel au dîner du soir à 19h30
dans la salle à manger au rez-de-chaussée. A tout à l’heure.
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La description très détaillée d'un monde ( féminin) de l'entreprise associé à l'univers de la fessée crée un décalage assez original entre réalité et fiction. Ces "Femmes entrepreneur" exercent une double autorité: sur le fonctionnement de leur entreprise et sur les fesses des membre du personnel... On promotionne la pratique de la fessée en fabricant et vendant des martinets comme n'importe quel autre produit de consommation courante, avec les même stratégies commerciales. Le rapprochement bien exploité est Amusant! Mais, encore une fois, le centre d'intérêt du récit étant focalisé sur les instruments de discipline, le lecteur se trouve un peu privé des bonnes et traditionnelles fessées déculottées à la main. Mais bon... ça chauffe bien quand même! Merci à l'auteur.
RépondreSupprimerBonjour Ramina, tu ne crois pas si bien dire concernant la fessée manuelle. La suite du récit va effectivement confirmer ton intuition. Bonne lecture à venir.
RépondreSupprimerOui...il me semble que le contact charnel, ou sensuel ( c'est comme on veut ) d'une main sur une belle paire de fesses est tout de même plus attrayant que celui par l'intermédiaire d'un instrument, si efficace soit-il. Bon question d'appréciation. J'attends donc la suite. merci
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