lundi 29 janvier 2018

SFID, la salle de correction - chapitre 6

Je m’étais installé depuis 1 mois chez Céline, très content de quitter Madame Leroy et son fauteuil à fessées ou j’étais passé plus d’une fois. Ma période d’essai était terminée et j’avais été augmenté à 3000 euros brut mensuel. Madame Leroy m’avait reçu dans son bureau pour me faire part de sa satisfaction et de mon embauche définitive au sein de la SFID.
Elle me fit remarquer que ce n’était pas évident pour tout le monde et qu’il lui arrivait de prolonger la période d’essai en cas de doute. Et que dans ces cas-là la sanction équivalait à une faute grave et donc à la fessée correspondante.

C’était donc double peine pour le recalé. Heureusement ce n’était pas mon cas et Madame Leroy avait trop besoin de moi pour faire aboutir son site.
Je lui avais montré auparavant le résultat de mon travail de ces 3 premiers mois. Sur ordinateur exclusivement puisque il s’agissait de l’ébauche du site de vente en ligne de la SFID que j’étais chargé de construire puis d’administrer. J’avais bien avancé mais étant seul à construire et programmer j’en avais encore pour quelques mois. J’avais donc fait défiler devant ces yeux ébahis la maquette du future site avec déjà une partie du catalogue produit. Elle avait semblé très satisfaite.

Avec Céline nous vivions maintenant comme un jeune couple amoureux. Nous ne faisions que nous croiser la journée de par notre localisation géographique, elle au deuxième étage moi au premier et de par nos fonctions qui n’avait rien à voir au sein de la SFID, elle étant DRH et moi web marqueteur. Nous déjeunions parfois ensemble à midi à la cantine.
C’est le soir que nous nous retrouvions à la maison et que Céline reprenait la main sur ma vie privée.
Elle m’avait prévenu que c’était elle qui gérait la discipline domestique et je devais donc me plier à ses règles sans quoi j’étais puni. Ayant vécu en célibataire de nombreuses années et ayant reçu une éducation assez réduite de la part de mes parents, elle eut tôt fait de repérer mes défauts.
Et elle avait commencé à les corriger à sa façon c’est dire par la fessée avec instruments.
Si le soir de la découverte de notre amour elle m’avait fessée à la main, elle était très vite revenue aux instruments de la SFID suite à son passage dans le bureau de Madame Leroy le lendemain. Elle avait reçu la plus grosse correction de sa vie, et Dieu si elle en avait reçues en 15 ans chez les sœurs de Sainte Marie. Mais là, Madame Leroy avait sévi avec la plus grande fermeté estimant que Céline l’avait trahie. Aussi, plus question de fessée à la main. Les instruments étaient pendus dans sa chambre qui était devenue la nôtre, et donc à disposition de Céline. Et il ne se passait pas une semaine sans que je baisse mon pantalon de ville ou de pyjama pour me faire rougir les fesses par l’un ou plusieurs d’entre eux.
Un soir que j’arrivais à la maison elle me dit :
« J’ai convoqué Monsieur Marol le menuiser pour aménager le grenier.
– Ah bon mais pour quoi faire lui demandai je tant je ne voyais pas ce que l’on pouvait faire de cette pièce sans fenêtre.
– Tu verras bien assez tôt me dit ’elle un sourire aux lèvres. »
Vivant maintenant chez Céline qui avait acheté l’an dernier cette petite maison, en fait une ancienne cure, je n’avais rien à dire. Nous nous étions mis d’accord sur ma participation qui l’aidait à rembourser son prêt ce qui était pour moi, somme toute, comme un loyer.
Mr Marol arrivant, je me contentais d’aller boire une bière à la cuisine tandis que le menuisier et Céline montait au grenier. J’entendais des brides de conversation.
« L’isolation devra être prévue à la fois pour la température et le bruit. Et là il faudrait des crochets auxquels on puisse mettre des attaches, et ici un banc identique à ceux que vous avez installés à la SFID ! Et là encore un placard pour ranger les instruments. »
Puis ils redescendirent.
« Bien Madame Céline, j’ai compris, dit Monsieur Marol en rangeant son crayon à papier, son calepin et son mètre dans les grandes poches de sa salopette bleu. Vous aurez votre devis à la fin de semaine.
– Quand pouvez-vous commencer les travaux, demanda-t-elle ?
– Je termine un chantier la semaine prochaine et ensuite je peux attaquer chez vous. J’en ai pour la semaine.
– Parfait Monsieur Marol, le plus tôt sera le mieux pour le plus grand  bien de Georges.
– Pas de problème Madame Céline. Vous pourrez utiliser vos instruments comme vous voudrez d’ici 15 jours. »
Stupéfait que l’on parle de moi, je tendais la main à Monsieur Marol qui me disait au revoir d’un air goguenard.
Monsieur Marol parti, je demandais nerveusement des explications à Céline et pourquoi elle avait parlé de moi avec Monsieur Marol.
« Parce que je fais réaliser une salle de correction dans le grenier !
À ces mots je devins tout rouge de honte en pensant que Monsieur Marol savait que Céline me corrigeait à la maison.
« Une salle de correction au grenier. Mais enfin Céline tu n’y penses pas, on n’en a pas besoin. Tu peux me fesser dans la chambre comme tu le fais d’ailleurs actuellement. »
Contrariée de ma réaction elle me dit sèchement :
« D’abord j’aimerai que vous réfléchissiez  avant de parler. Rien que pour cela vous aurez la cravache ce soir, Monsieur je sais tout. »
Je baissai la tête instinctivement car quand Céline me vouvoyait cela voulait dire que nous passions en mode discipline et là mes fesses n’avaient plus qu’à bien se tenir.
« D’abord je suis ici chez moi et je fais ce que j’ai envie n’en déplaise à monsieur. Actuellement je vous corrige dans la chambre. Je n’ai pas suffisamment de place à cause du lit pour pouvoir bouger et manipuler les instruments correctement. D’autre part une chambre de couple n’est pas un lieu dédié à la discipline mais plutôt à des choses plus tendre et coquine. Enfin j’ai ce grenier qui ne sert à rien et dans lequel je pourrai vous corriger à mon aise avec tous mes instruments à portée de main. Ce sera notre salle de correction et quand je vous dirai au grenier vous saurez à quoi vous en tenir. Nous allons d’ailleurs y monter tout de suite pour tester l’endroit. Allez me chercher la cravache et au grenier. »
La soirée commençait mal pour moi mais je m’exécutais docilement, me sachant en tort et ne voulant pas aggraver mon cas. J’allais récupérer la cravache au passage dans la chambre et je suivais Céline au grenier. Elle me positionna au milieu, en appui sur la poutre maîtresse, les fesses à 90°. Puis elle dégrafa ma ceinture, me baissa mon pantalon et mon caleçon, remonta ma chemise sur mon dos. Elle me caressa les fesses puis les claqua en me disant :
«  Vous devez réfléchir avant de parler Georges, combien de fois devrai je sévir pour que vous compreniez. Je vais vous donner 18 coups de cravache que vous allez compter. Et ne vous trompez pas… »
Puis elle saisit Epona. Je connaissais maintenant par cœur toutes les références de la SFID, une belle cravache en cuir d’équitation qu’elle utilisait d’ailleurs quand elle faisait du cheval, et commença le zébrage en règle de mon derrière. Je comptais chaque coup juste après mon cri de douleur en serrant très fort la poutre.
Entre chaque coup elle me grondait comme un enfant. La cravache, comme la canne anglaise, est un instrument qui concentre l’énergie dans une tige et donc résonne dans le muscle fessier. Les fibres musculaires se resserrent à chaque coup et ce qui fait ses boursouflures sur le trajet de la cravache. Ce n’est pas la peau mais le muscle qui gonfle. Le résultat de la cravache est de longue durée car il faut le temps que les fibres retrouvent leur place et le puni a donc du mal à s’assoir plusieurs jours d’affilée.
Lorsqu’elle eut fini elle me dit :
« Vous voyez bien que cette pièce est parfaite pour vous corriger. Nous l’inaugurerons dans 15 jours. D’ici là je vais ouvrir un carnet de punition pour y noter tous vos manquements et vos fautes. Je suis certaine que j’aurai suffisamment de matière pour faire une belle séance de discipline. Rhabillez-vous et allez mettre la table, Georges. »
Nous passions à table lorsqu’elle déposa dans mon assiette un paquet enveloppé de papier.
« Tiens c’est pour toi. Pour fêter notre premier mois de vie commune me dit-elle avec un sourire charmeur et coquin. »
Je l’embrassais avant de l’ouvrir.
« Attends, me dit-elle, cela ne va pas forcément te plaire. »
Curieux de voir de quoi il s’agissait je pris un couteau pour couper les scotchs qui fermait le paquet. J’enlevais le papier et je découvrais un magnifique registre en cuir dont la couverture était marquée en lettre d’or « CARNET DE PUNITION ».
« Vous devrez y noter toutes vos fautes, bêtises et oublis dit-elle reprenant le vouvoiement. Je compléterai par ce que j’aurais pu moi-même relever. Si je m’apercevais que vous oubliez de noter certaines choses, la correction qui s’en suivrait serait doublée. A bon entendeur… »

Entre le carnet de punition et la salle de correction mon avenir chez Céline s’annonçait bien cadré.

Pour suivre le fil de ce récit

Le premier de la série :  chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 4bis
La suite au chapitre 7

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