Je
m’étais installé depuis 1 mois chez Céline, très content de quitter Madame
Leroy et son fauteuil à fessées ou j’étais passé plus d’une fois. Ma période
d’essai était terminée et j’avais été augmenté à 3000 euros brut mensuel.
Madame Leroy m’avait reçu dans son bureau pour me faire part de sa satisfaction
et de mon embauche définitive au sein de la SFID.
Elle
me fit remarquer que ce n’était pas évident pour tout le monde et qu’il lui
arrivait de prolonger la période d’essai en cas de doute. Et que dans ces cas-là
la sanction équivalait à une faute grave et donc à la fessée correspondante.
C’était
donc double peine pour le recalé. Heureusement ce n’était pas mon cas et Madame
Leroy avait trop besoin de moi pour faire aboutir son site.
Je
lui avais montré auparavant le résultat de mon travail de ces 3 premiers mois.
Sur ordinateur exclusivement puisque il s’agissait de l’ébauche du site de
vente en ligne de la SFID que j’étais chargé de construire puis d’administrer.
J’avais bien avancé mais étant seul à construire et programmer j’en avais
encore pour quelques mois. J’avais donc fait défiler devant ces yeux ébahis la
maquette du future site avec déjà une partie du catalogue produit. Elle avait
semblé très satisfaite.
Avec
Céline nous vivions maintenant comme un jeune couple amoureux. Nous ne faisions
que nous croiser la journée de par notre localisation géographique, elle au
deuxième étage moi au premier et de par nos fonctions qui n’avait rien à voir
au sein de la SFID, elle étant DRH et moi web marqueteur. Nous déjeunions
parfois ensemble à midi à la cantine.
C’est
le soir que nous nous retrouvions à la maison et que Céline reprenait la main
sur ma vie privée.
Elle
m’avait prévenu que c’était elle qui gérait la discipline domestique et je
devais donc me plier à ses règles sans quoi j’étais puni. Ayant vécu en
célibataire de nombreuses années et ayant reçu une éducation assez réduite de
la part de mes parents, elle eut tôt fait de repérer mes défauts.
Et
elle avait commencé à les corriger à sa façon c’est dire par la fessée avec
instruments.
Si
le soir de la découverte de notre amour elle m’avait fessée à la main, elle
était très vite revenue aux instruments de la SFID suite à son passage dans le
bureau de Madame Leroy le lendemain. Elle avait reçu la plus grosse correction
de sa vie, et Dieu si elle en avait reçues en 15 ans chez les sœurs de Sainte
Marie. Mais là, Madame Leroy avait sévi avec la plus grande fermeté estimant
que Céline l’avait trahie. Aussi, plus question de fessée à la main. Les
instruments étaient pendus dans sa chambre qui était devenue la nôtre, et donc
à disposition de Céline. Et il ne se passait pas une semaine sans que je baisse
mon pantalon de ville ou de pyjama pour me faire rougir les fesses par l’un ou
plusieurs d’entre eux.
Un
soir que j’arrivais à la maison elle me dit :
« J’ai
convoqué Monsieur Marol le menuiser pour aménager le grenier.
–
Ah bon mais pour quoi faire lui demandai je tant je ne voyais pas ce que l’on
pouvait faire de cette pièce sans fenêtre.
–
Tu verras bien assez tôt me dit ’elle un sourire aux lèvres. »
Vivant
maintenant chez Céline qui avait acheté l’an dernier cette petite maison, en
fait une ancienne cure, je n’avais rien à dire. Nous nous étions mis d’accord
sur ma participation qui l’aidait à rembourser son prêt ce qui était pour moi,
somme toute, comme un loyer.
Mr
Marol arrivant, je me contentais d’aller boire une bière à la cuisine tandis
que le menuisier et Céline montait au grenier. J’entendais des brides de
conversation.
« L’isolation
devra être prévue à la fois pour la température et le bruit. Et là il faudrait
des crochets auxquels on puisse mettre des attaches, et ici un banc identique à
ceux que vous avez installés à la SFID ! Et là encore un placard pour
ranger les instruments. »
Puis
ils redescendirent.
« Bien
Madame Céline, j’ai compris, dit Monsieur Marol en rangeant son crayon à
papier, son calepin et son mètre dans les grandes poches de sa salopette bleu.
Vous aurez votre devis à la fin de semaine.
–
Quand pouvez-vous commencer les travaux, demanda-t-elle ?
–
Je termine un chantier la semaine prochaine et ensuite je peux attaquer chez
vous. J’en ai pour la semaine.
–
Parfait Monsieur Marol, le plus tôt sera le mieux pour le plus grand bien de Georges.
–
Pas de problème Madame Céline. Vous pourrez utiliser vos instruments comme vous
voudrez d’ici 15 jours. »
Stupéfait
que l’on parle de moi, je tendais la main à Monsieur Marol qui me disait au
revoir d’un air goguenard.
Monsieur
Marol parti, je demandais nerveusement des explications à Céline et pourquoi
elle avait parlé de moi avec Monsieur Marol.
« Parce
que je fais réaliser une salle de correction dans le grenier !
À
ces mots je devins tout rouge de honte en pensant que Monsieur Marol savait que
Céline me corrigeait à la maison.
« Une
salle de correction au grenier. Mais enfin Céline tu n’y penses pas, on n’en a
pas besoin. Tu peux me fesser dans la chambre comme tu le fais d’ailleurs
actuellement. »
Contrariée
de ma réaction elle me dit sèchement :
« D’abord
j’aimerai que vous réfléchissiez avant
de parler. Rien que pour cela vous aurez la cravache ce soir, Monsieur je sais
tout. »
Je
baissai la tête instinctivement car quand Céline me vouvoyait cela voulait dire
que nous passions en mode discipline et là mes fesses n’avaient plus qu’à bien
se tenir.
« D’abord
je suis ici chez moi et je fais ce que j’ai envie n’en déplaise à monsieur. Actuellement
je vous corrige dans la chambre. Je n’ai pas suffisamment de place à cause du
lit pour pouvoir bouger et manipuler les instruments correctement. D’autre part
une chambre de couple n’est pas un lieu dédié à la discipline mais plutôt à des
choses plus tendre et coquine. Enfin j’ai ce grenier qui ne sert à rien et dans
lequel je pourrai vous corriger à mon aise avec tous mes instruments à portée
de main. Ce sera notre salle de correction et quand je vous dirai au grenier vous saurez à quoi vous en
tenir. Nous allons d’ailleurs y monter tout de suite pour tester l’endroit.
Allez me chercher la cravache et au grenier. »
La
soirée commençait mal pour moi mais je m’exécutais docilement, me sachant en
tort et ne voulant pas aggraver mon cas. J’allais récupérer la cravache au
passage dans la chambre et je suivais Céline au grenier. Elle me positionna au
milieu, en appui sur la poutre maîtresse, les fesses à 90°. Puis elle dégrafa
ma ceinture, me baissa mon pantalon et mon caleçon, remonta ma chemise sur mon
dos. Elle me caressa les fesses puis les claqua en me disant :
«
Vous devez réfléchir avant de parler Georges, combien de fois devrai je sévir
pour que vous compreniez. Je vais vous donner 18 coups de cravache que vous
allez compter. Et ne vous trompez pas… »
Puis
elle saisit Epona. Je connaissais maintenant par cœur toutes les références de
la SFID, une belle cravache en cuir d’équitation qu’elle utilisait d’ailleurs
quand elle faisait du cheval, et commença le zébrage en règle de mon derrière.
Je comptais chaque coup juste après mon cri de douleur en serrant très fort la
poutre.
Entre
chaque coup elle me grondait comme un enfant. La cravache, comme la canne
anglaise, est un instrument qui concentre l’énergie dans une tige et donc
résonne dans le muscle fessier. Les fibres musculaires se resserrent à chaque
coup et ce qui fait ses boursouflures sur le trajet de la cravache. Ce n’est
pas la peau mais le muscle qui gonfle. Le résultat de la cravache est de longue
durée car il faut le temps que les fibres retrouvent leur place et le puni a
donc du mal à s’assoir plusieurs jours d’affilée.
Lorsqu’elle
eut fini elle me dit :
« Vous
voyez bien que cette pièce est parfaite pour vous corriger. Nous l’inaugurerons
dans 15 jours. D’ici là je vais ouvrir un carnet de punition pour y noter tous
vos manquements et vos fautes. Je suis certaine que j’aurai suffisamment de
matière pour faire une belle séance de discipline. Rhabillez-vous et allez
mettre la table, Georges. »
Nous
passions à table lorsqu’elle déposa dans mon assiette un paquet enveloppé de
papier.
« Tiens
c’est pour toi. Pour fêter notre premier mois de vie commune me dit-elle avec
un sourire charmeur et coquin. »
Je
l’embrassais avant de l’ouvrir.
« Attends,
me dit-elle, cela ne va pas forcément te plaire. »
Curieux
de voir de quoi il s’agissait je pris un couteau pour couper les scotchs qui
fermait le paquet. J’enlevais le papier et je découvrais un magnifique registre
en cuir dont la couverture était marquée en lettre d’or « CARNET DE
PUNITION ».
« Vous
devrez y noter toutes vos fautes, bêtises et oublis dit-elle reprenant le
vouvoiement. Je compléterai par ce que j’aurais pu moi-même relever. Si je
m’apercevais que vous oubliez de noter certaines choses, la correction qui s’en
suivrait serait doublée. A bon entendeur… »
Entre
le carnet de punition et la salle de correction mon avenir chez Céline
s’annonçait bien cadré.
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