Un
matin Julie la standardiste vit arriver une dame d’une cinquantaine d’année,
d’allure austère qui se présenta à elle comme Madame Pichon inspectrice du
travail. Elle lui mit sous le nez sa carte officielle barrée de bleu, blanc,
rouge et exigea de voir immédiatement la direction.
Julie
impressionné par le caractère officiel de la visiteuse appuya immédiatement sur
la touche du bureau de Madame Leroy sur son standard et lorsque celle-ci eu
décroché l’informa d’une voix tremblante de la requête et de la qualité de la personne qui l’attendait à l’accueil.
Madame
Leroy, surprise car elle ne s’attendait pas à ce genre de visite de bon matin
qui n’augure rien de bon pour l’employeur en général, lui répondis qu’elle
allait descendre.
La
visiteuse qui était restée debout et dont le regard méfiant traînait de tous
les côtés commençait à s’impatienter lorsque Madame Leroy fit son apparition.
Les
2 femmes se jaugèrent rapidement quelques secondes. Il n’y avait pas photo entre
les 2 pourtant. Madame Leroy altière et fière présidente de la SFID en tailleur
couture, la ligne mince, le cheveu blond brillant et bien peigné, l’œil vif et
dominateur et Madame Pichon, cinquantenaire rondelette, fonctionnaire en
pantalon et pullover bon marché, le cheveu gras et l’air inquisiteur.
Après
avoir ressorti sa carte tricolore Madame Pichon demanda à s’entretenir avec la
Présidente sur des sujets importants qui la concernait.
Enervé
par cet agent de l’état qui venait perturber sa journée Madame Leroy lui
demanda le motif de sa visite.
Madame
Pichon qui avait l’habitude de ne pas être toujours bien reçue dans les
entreprises qu’elle visitait, dit alors en haussant la voix afin que Julie puisse entendre.
« Il
vaudrait mieux pour vous que ce que je vais vous dire reste confidentiel Madame
Leroy »
Saisissant
la situation, Madame Leroy intima presque à la visiteuse de la suivre et pris
l’escalier, pressée soudain de regagner son bureau.
Une
fois dans le bureau, installée face à Madame Leroy Madame Pichon sortit un
dossier de son cartable avec écrit en gros caractère noir « SFID ».
« Madame
Leroy si je suis ici aujourd’hui ce n’est pas vous embêter inutilement. Votre
entreprise est reconnue comme sérieuse et j’ai d’ailleurs déjà eu l’occasion de
venir contrôler vos atelier ou la sécurité est respectée. Vos ouvriers sont
bien disciplinés et utilisent tous les dispositifs sécuritaires que vous avez
mis à leurs dispositions.
« Il
ne manquerait plus que cela s’exclama Madame Leroy rassurée par ce préambule
pacificateur.
–
Toutefois nous avons eu un signalement comme quoi des châtiments corporels
auraient été distribués abusivement dans votre entreprise. C’est ce que je suis
venu vérifier. Je veux donc voir le registre de punitions, le dossier des
derniers punis, les rapports de punition avec les photos des punis et leurs
signatures ainsi que celles des correcteurs. Je veux également voir la salle de
correction et vérifier les instruments
employés. »
Comprenant
qu’elle ne pouvait pas se soustraire à la demande de l’inspectrice, Madame
Leroy décrocha son téléphone et appela Céline. Après lui avoir expliqué la
situation Céline monta dans le bureau de Madame Leroy avec un gros registre et
une pile de dossiers de tous les derniers punis.
Elle
s’installa à la petite table ronde à côté du bureau de la Présidente ou il
était plus facile de regarder des dossiers à plusieurs. Elle ouvrit le registre
ou était consigné les punitions. Une page par semaine.
« Céline,
expliquez à Madame Pichon que nos châtiments corporels sont complètement légaux
et non abusifs. Nous avons ici toutes les preuves pour vous démonter notre
bonne foi. »
Céline
ouvrit alors les dossiers les uns après les autres. Elle commença par montrer à
Madame Pichon les contrats de travail ou il était bien spécifié dans les
obligations du salarié :
-
A se soumettre dans les conditions fixées
par le règlement intérieur à toutes punitions demandées par son supérieur
hiérarchique direct ou par un membre de la direction, selon le barème en
vigueur (en annexe).
Elle
lui montra ensuite que tous les contrats étaient bien signés avec la mention « lu
et approuvé ».
Puis,
elle passa les dossiers un à un avec le rapport de punition relatant le motif,
la gravité de la faute, le nombre de coups appliqués et les instruments employés.
L’heure de début et de fin de la punition était également indiqué et la
signature du correcteur, du puni et de la DRH clôturait le rapport.
La
photo du postérieur rougi était agrafée au rapport.
« Je
dois dire que vos dossiers sont remarquablement tenus Madame Leroy. C’est rare
de voir autant de rigueur.
–
C’est grâce à Céline notre DRH, lui répondit-elle. Elle a été bien formée par
moi-même à une certaine rigueur et sait ce qu’il en coute de l’enfreindre. »
Un
dossier retint particulièrement l’attention de Madame Pichon. C’était celui de
Julie la standardiste. Car plusieurs rapports de fessée s’accumulaient à la
suite. Elle les vérifia tous un par un.
« Julie
est très indisciplinée dit Madame Leroy pour justifier le nombre de rapports.
Madame Agnès, sa chef est obligée de la punir fréquemment pour les motifs que vous pouvez lire
vous-même.
–
En effet, je vois qu’elle a grand besoin d’être disciplinée, cette Julie !
–
Et concernant les cadres dit Madame Pichon ayant épuisé la pile, je ne vois
rien.
–
Pour les cadres les dossiers sont ici, chez moi, car c’est moi qui administre
les punitions. »
Ouvrant
une armoire à dossiers suspendus elle en extrait 2 chemises cartonnées.
« Voici
les 2 derniers punis. »
Céline
piqua un fard et son visage devint presque aussi rouge qu’une paire de fesse
après la correction. Elle venait de reconnaître son dossier parmi les deux
sortis du placard.
« Voyons
cela dit Madame Pichon. »
Et
elle ouvrit le dossier de Céline, vérifia son contrat de travail et prit le
dernier rapport de punition.
«
Vous avez commis une faute lourde Céline. Vous avez de la chance que le
règlement prévoit de sanctionner de telles fautes par un châtiment corporel.
Dans d’autres sociétés vous auriez perdu votre emploi. J’espère que vous avez
été bien corrigée. 200 coups tout de même, vous avez du vous en
souvenir. »
Elle
regarda la photo du postérieur de Céline juste après la mémorable correction
qu’elle avait reçue des mains de Madame Leroy et elle dut juger que le résultat
était conforme à ses attentes car elle referma le dossier sans autres
commentaires.
« Et
bien il ne me reste plus qu’à visiter la salle de correction pour voir si elle
est conforme.
–
Vous allez même pouvoir la voir en fonctionnement dit Céline dont la rougeur du
visage s’était estompée avec le dossier refermé. Je dois assister à une
punition dans 5 minutes. »
Madame
Simone était en train d’installer son puni sur le banc à fessée quand
l’inspectrice suivi de Madame Leroy et de Céline pénétrèrent dans la salle de
correction.
Madame
Pichon déploya un mètre ruban qu’elle avait dans sa sacoche et prit les mesures
de la pièce en largeur, hauteur et profondeur, les nota puis sortit un document
qu’elle compara à ses notes. « Votre salle de correction à l’air conforme
à la norme. Elle est même un plus grande. Vos salariés doivent se sentir à
l’aise pour être corrigés.
Le
malheureux puni attaché les fesses dénudées sur son banc n’avait pourtant pas
l’air très à l’aise, lui. Céline avait à la main le rapport prêt à être
compléter.
« Ce
monsieur a été pris en train de fumer une cigarette dans les toilettes de
l’atelier bois. Outre que c’est formellement interdit de fumer dans
l’entreprise, il a enfreint les consignes de sécurité dans cet atelier ou la
moindre flamme peut entraîner un incendie.
–
En effet dit Madame Pichon. C’est une faute grave et il doit être sévèrement
puni pour cela selon votre règlement.
–
Il va recevoir 30 coups de paddle, 20 coups de martinets et 6 coups de canne
anglaise qu’il devra compter ; énuméra Céline.
–
D’ailleurs si vous voulez commencer proposa Madame Leroy à Madame Pichon en lui
tendant le paddle qu’elle venait de décrocher du porte instrument.
–
Et bien pourquoi pas dit enthousiaste Madame Pichon. Comme cela je vérifierai
en même temps vos instruments. »
Et
elle se mit à battre copieusement le derrière du puni qui commença rapidement à
pleurer et crier stop. Elle alla jusqu’au bout des 30 coups sans faiblir. Puis
rendit le paddle à Madame Leroy en disant.
« C’est
fatiguant dîtes moi. Vos instruments sont diablement efficaces. J’en utilise
d’ailleurs à la maison sur mon grand ado et bien sûr avec mon mari qui en aurait
besoin de plus tellement il manque de
rigueur. Je vous laisse terminer. Je vais faire mon rapport qui ne signalera
rien d’anormal. Vous appliquez votre règlement dans les normes ni plus ni
moins. Quoi de plus normal. »
Madame
Leroy raccompagna Madame Pichon jusqu’à la porte de l’entreprise et la salua
cordialement sous le regard de Julie à l’accueil. En passant devant Julie,
après avoir pris congés de Madame Pichon, Madame Leroy la regarda droit dans
les yeux et Julie piqua un fard immédiatement en baissant le regard.
Madame
Leroy remonta prestement les escaliers et passant devant la salle de correction
ou la punition se terminait sous les cris du puni, elle demanda à Céline de la
rejoindre dans son bureau.
Peu
après Céline après avoir complété son rapport de punition, libérée de son rôle
de témoin rejoignit Madame Leroy.
« Tout
d’abord Céline je voulais vous féliciter pour votre travail de DRH. Les
dossiers sont parfaitement à jour et Madame Pichon n’a rien trouvé à nous
reprocher. Je saurai m’en souvenir lors de la prochaine révision
salariale. »
Céline
sentit une onde de bonheur traverser son corps depuis ses oreilles ou était
entré le compliment de Madame Leroy, puis son cerveau et jusqu’à ses fesses et
son intimité dont le taux d’humidité augmenta brusquement. Elle venait de
remonter grandement dans l’estime de sa patronne et l’épisode de sa
« trahison » semblait oublié.
« Mais
Madame Pichon n’est pas venu chez nous par hasard. Quelqu’un a fait une
dénonciation c’est certain. Vous avez vu le temps qu’elle a passée sur le
dossier de Julie. Je suis sûr que c’est elle cette petite garce. Ou plutôt non
ce ne doit pas être elle directement, elle n’est pas assez maligne pour cela
sinon cela se saurait mais plutôt son
petit copain. Il est employé municipal, cantonnier et il est syndiqué à la CGT.
C’est sûr maintenant, j’y vois clair, c’est lui qui est allé nous dénoncer
suite aux corrections de Julie. Et bien elle va s’en prendre une belle celle-là.
Et c’est moi qui vais la lui donner. Et elle va la sentir croyez-moi ! »
Elle
prit son téléphone et appela le standard.
« Julie !
Montez immédiatement dans mon bureau. Faîtes vous remplacer au standard. »
Quelques
minutes après des coups timides à la porte indiquèrent que Julie était là.
Une
fois qu’elle fut dans le bureau Céline lui laissa la place en face de Madame
Leroy. Julie était terrorisée et baissait la tête. Madame Leroy l’attaqua bille
en tête.
« Julie
je sais que c’est vous qui êtes à l’origine de la visite impromptue de Madame
Pichon. Avouez tout de suite ou les conséquences pour vous seront terribles. »
La
petite Julie ne faisait pas le poids face à la Présidente de la SFID et le fait
de se trouver seule, enfermée dans ce bureau impressionnant en présence de
Madame Leroy et de la DRH, la fit craquer rapidement. Elle éclata en sanglot et
se mit à dire
«
Ce n’est pas moi Madame, je vous jure. C’est Roger mon copain. Quand il a vu
les traces de ma dernière punition il a téléphoné à un collègue à Orléans pour
lui dire que j’étais maltraitée à la SFID.
–
Si ce n’est pas vous directement ma fille vous en êtes l’origine. Ceci ne peut
rester impuni. Déshabillez-vous ! Nous allons régler cela tout de suite.
Votre Roger pourra constater dès ce soir que son intervention aura été contreproductive
et néfaste à votre postérieur. »
Julie
quitta son jean, fit passer son pull par-dessus sa tête et apparut avec un
charmant soutien-gorge bien rempli. Elle le retira puis se contorsionna pour
quitter son petit string blanc qui laissa apparaître un charmant ticket de
métro surplombant une petite fente bien visible car imberbe et alla se courber
sur le pupitre de cuir soumise et terrorisée par sa patronne. C’est la première
fois qu’elle était punie dans le bureau de direction. Céline attacha les
courroies, pendant que Madame Leroy préparait ses instruments. Les petites
fesses bien blanches de Julie ne tardèrent pas à se trier de rouge sous l’effet
conjugué des différents martinets.
Quant
à la canne anglaise elle laissa 6 belles lignes rouges alignées les unes à côté
des autres sur les fesses martyrisées de Julie qui pleurait à gros sanglots.
« Que
cela vous mette du plomb dans la tête et vous apprenne à mieux choisir vos
fréquentations conclue Madame Leroy. Allez vous faire photographier et demandez
à Delphine un exemplaire de la photo que vous remettrez à Roger ce soir de ma
part. Et si jamais vous ou votre Roger avez encore l’idée de vous plaindre ce
sera le fouet devant tout le personnel. »
Avec
cette dernière et terrible menace Julie allait se tenir à carreau et peut être
même changer de petit copain.
Pour suivre le fil de ce récit
Des encouragements, des réactions, des appréciations ?
Vous pouvez rédiger un commentaire et le poster sur le site si vous souhaitez que la communauté des lecteurs en ait connaissance.
Vous pouvez, si vous le souhaitez, également joindre directement Georges T, par courriel à l'adresse suivante : dyoni.gt69@gmail.com
Impayable!!! Maintenant une inspectrice du travail, qui fesse son fils et son mari ( A quand une histoire sur ce sujet de discipline conjugale ?) en tournée d'inspection dans une entreprise fabricant des instrument de correction! Vérification de la conformité des dimensions de la salle de correction et du banc à fessée! et, en prime... la CGT!!! fait fort le narrateur!
RépondreSupprimerPar contre, peu de fessées dans ce chapitre au demeurant plutôt désopilant.
Bonsoir Ramina,
SupprimerCa me rappelle une mini-série de dessins dans le même style que j'avais fait pour un récit fictif de Isabelle183 (la DD en couple). Imaginons une fessée pour insubordination, ou dépassement de budget ou excès de notes de frais... Ce serait assez drôle, comme situation.
Peter Pan.
Effectivement. J'avais émis cette idée d'un récit mettant en scène une famille : la mère et la fille soumettant le mari et le fils à une "fessante" discipline domestique pour éduquer ces messieurs à respecter les règles de fonctionnement de la maison . Désobéissances multiples, tâches ménagère, mauvaise gestion du budget etc... De quoi effectivement multiplier des situations "pleines d'humour et de bandes dessinées" propices à de belles séances de fessées.
RépondreSupprimer"le fouet devant tout le personnel" hum! pourvu que la petite Julie fasse un erreur !!
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ce récit que je suis depuis le début.
RépondreSupprimerAprès une phase de test et une vie très interne de l'entreprise, j'espère que nous aurons le plaisir de passer de la phase de test à la commercialisation et au rapport aux clients, qui ont l'air nombreux, de cette entreprise. En effet, il n'existe pas de bonnes politiques commerciales sans retour client, donc vivement !
Merci et au plaisir du prochain épisode.