On aurait dit que tous les professeurs s’étaient donné le mot pour vérifier que mes leçons avaient été correctement apprises. Le lendemain, j’avais été interrogé au début de chaque cours. Je compris, par la suite, que c’était une tradition, à St Marie, de tester un élève qui avait failli, la veille. Les professeurs n’avaient pas eu besoin de se concerter.
La méthode de Sœur Gabrielle avait du bon. Je passais tous les tests haut-la-main. Elle avait mis la dernière touche à l’apprentissage de mes leçons le matin même. Pendant la douche, elle avait vérifié que mes fesses portaient encore les marques laissées par le martinet. Elle avait montré sa satisfaction.
« Afin que tu gardes en mémoire notre exigence en ce qui concerne le travail scolaire ! »
Les lanières du martinet se rappelaient effectivement à mon souvenir à chaque fois que je m’asseyais. L’échauffement diffus qui émanait en permanence de mon postérieur, se transformait alors en des lignes de douleur vive qui empruntaient les chemins que les lanières du martinet avaient tracés sur mon postérieur. Sœur Gabrielle savait manier un martinet, sans doute le fruit de l’expérience.
Elle avait ensuite procédé à un dernier examen de ce que j’avais retenu. Le martinet posé sur ma table de travail, assise sur ma chaise, Sœur Gabrielle avait fait le tour de ce que j’avais appris. A la première hésitation, j’avais dû baisser mon pantalon. Elle s’était chargée de faire glisser ma culotte jusqu’au niveau de mes genoux afin de me reposer la question à propose de laquelle j’avais tergiversé. Elle avait mis sa main à hauteur de mes fesses prête à me châtier.
« J’attends la réponse, Axel ! Comment dit-on ‘’compter sur quelqu’un’’ ?
– To rely on somebody ?
– Je préfère cette réponse. C’est la bonne!”
Elle avait alors ramené sa main placée juste derrière mes fesses pour tourner la page afin de poursuivre l’exercice. Elle était ensuite passée aux mathématiques. Une seule définition me posa problème. J’avais mélangé les termes, j’en avais oublié quelques une produisant un charabia qui n’avait aucun sens. Aussitôt sa main claqua mes fesses, deux fois sur chaque côté. L’échauffement de mon postérieur augmenta considérablement. Je n’avais pas récupéré de la correction reçue la veille.
« Recommençons : qu’elle est la définition d’une suite majorée ? »
Ma réponse, hésitante, n’avait pas convenu à Soeur Gabrielle. Elle me coucha en travers de ses genoux et, heureusement seulement avec sa main nue, elle m’administra une courte mais énergique fessée.
« Pendant le petit déjeuner, tu vas recopier dix fois cette définition. Je te réinterrogerai alors. Si tu ne la connais pas par cœur, ce sera le martinet devant tout le monde, dans le réfectoire. Je le prends avec moi. »
Sœur Gabrielle m’autorisa alors à me reculotter et elle dirigea tout son petit monde vers le réfectoire. Je m’installais sur un coin de table et j’effectuais ma copie tout en ressassant dans ma tête la définition qui m’avait échappée. J’eus le temps d’avaler un bol de chocolat et une tartine avant que Sœur Gabrielle n’arrive dans mon dos, le martinet à la main.
« Montre-moi ce que tu as copié ! »
Ce n’était pas là la partie la plus risquée de ma confrontation avec Sœur Gabrielle.
« Qu’est-ce que c’est qu’une suite majorée ? »
Je récitais la phrase qui était encore fraîche à ma mémoire. Cela contenta Soeur Gabrielle qui m’ordonna de rejoindre mes camarades dans la cour. J’avais passé l’examen avec succès.
Je passais la totalité de la journée sans recevoir de nouvelle fessée. J’étais assez fier, le soir, de pouvoir présenter, à Sœur Gabrielle, un carnet de correspondance vierge de toute punition. Je rougis de plaisir quand elle m’adressa ses félicitations. Seul le carnet de Maxime, un élève d’une autre terminale, portait mention d’une fessée donnée par un professeur, pour avoir bavardé. C’était une infraction mineure. Il reçut une fessée à main nue, terminée par seulement une dizaine de coups de martinet.
La soirée fut plus compliquée pour Nathan. Quand nous reçûmes l’ordre de nous déshabiller pour faire notre brin de toilette habituel, il ôta son pantalon, mais il restait incertain sur la suite : il lui avait été interdit d’ôter lui-même sa culotte en plastique et sa couche. Sœur Gabrielle vint à son aide.
« Viens-ici, Nathan, que je t’enlève ta couche ! »
Soeur Gabrielle baissa la culotte. Elle fronça aussitôt les sourcils.
« Tu as mouillé ta couche !
– Oui, ma Soeur.
– Bon, je vais m’occuper de cela. »
Elle prit Nathan par le bras et l’emmena devant un lavabo. Elle s’empara de son gant.
« Ecarte les jambes ! »
Elle ponctuait chacun de ses ordres par une claque sur les fesses. Elle le savonna de la taille aux genoux sans lui laisser la possibilité de la plus petite initiative. Sœur Gabrielle le manipulait comme elle l’aurait fait pour un tout petit garçon, le positionnant à sa guise face à elle ou de profil, entourant son sexe et ses bourses de sa main recouverte du gant, le courbant sous son bras et écartant ses fesses pour lui nettoyer l’anus.
Ce traitement provoqua un durcissement de son sexe qui se dressa. Sœur Gabrielle ôta le gant, coinça Nathan sous son bras et lui administra une retentissante fessée.
« Il n’est pas utile de nous montrer ta virilité, mon garçon. Quand on fait pipi à la culotte et qu’on doit porter des couches, le mieux c’est de se faire discret ! »
La punition avait fait son effet : le sexe de Nathan pendait maintenant flasque entre ses jambes. Sœur Gabrielle finit la toilette, en rinçant puis en séchant les fesses de Nathan, maintenant d’une propreté irréprochable. Comme tout le monde s’y attendait, elle envoya Nathan rejoindre Maxime au piquet pour attendre sa véritable fessée.
Sœur Gabrielle avait installé une routine qui nous centrait sur le travail scolaire. Chaque soirée se déroulait à l’identique de la précédente. Elle avait fessé les deux punis pendant que tous les autres révisaient leurs leçons. Puis elle avait interrogé chacun d’entre nous et comme chaque soir elle avait baissé les culottes de pyjama de deux garçons qui avaient reçu une « petite fessée », un avertissement sans frais si on peut dire. Les deux élèves avaient dû recommencer l’apprentissage de la leçon insuffisamment maîtrisée. Ils avaient passé la deuxième interrogation sans difficulté si l’on excepte le fait de se tenir culotte baissée en public pendant plusieurs minutes. J’avais passé l’épreuve sans me faire réprimander.
Quand Sœur Bénédicte, l’infirmière, entra dans le dortoir, elle attira l’attention de tous. C’était un événement qui rompait la monotonie de notre soirée. Sœur Gabrielle et elle eurent un échange rapide. Puis Sœur Bénédicte se dirigea vers le lit de Nathan sur lequel elle étendit une grande serviette de toilette.
Nathan suivait des yeux ce que faisait l’infirmière. Ses mimiques laissaient voir son angoisse grandissante, incertain sur le sort qui lui était promis.
« Venez ici, Nathan ! »
Nathan devint tout rouge, mais il se rendit là où il était attendu.
« Enlevez vos chaussons ! Allongez-vous sur la serviette, … »
Sœur Bénédicte attendait que son ordre soit exécuté pour en donner un deuxième.
« Reculez-vous un peu ! Encore ! Comme ça c’est bien ! Posez vos pieds sur la serviette ! Ecartez les jambes ! »
Elle avait maintenant un accès facile à l’entrejambe de Nathan.
« Les petits garçons qui portent des couches ne doivent pas avoir de poils autour des fesses et de leur pénis. C’est plus facile à nettoyer, plus hygiénique. Je vais vous enlever tout cela. »
Sœur Bénédicte sortit une paire de ciseaux de la trousse qu’elle avait apportée et elle commença à raccourcir les poils pubiens, puis ceux de la verge de Nathan et de ses testicules. Bien que l’instrument soit à bouts ronds, Nathan ne semblait pas rassuré. Elle tendait la peau d’une main tandis qu’elle maniait les ciseaux de l’autre. Elle manipulait le sexe de Nathan afin de se faciliter la tâche.
Elle le tenait sur le côté, en haut ou en bas quand il faisait obstacle à la coupe des poils alentour, elle en tendait la peau pour pouvoir y réduire plus commodément la hauteur de la toison qui y avait poussé. Toutes ces manipulations eurent un effet prévisible. Dans la main de Soeur Bénédicte, le sexe durcissait et commençait à s’ériger.
« Nathan, ça suffit, gronda Sœur Bénédicte »
Elle posa les ciseaux, et elle prit le genou gauche de Nathan pour le rabattre sur le gauche. Elle claqua la fesse gauche ainsi dégagée qui prit rapidement une teinte rouge sombre. Nathan soulignait chaque claque par un cri de douleur.
« Si vous ne vous tenez pas sage, je demande à Sœur Gabrielle de vous donner le martinet !
– Je vous rendrai ce service bien volontiers, répondit notre maîtresse de dortoir. Voulez-vous que je m’en charge tout de suite ?
– Je pense que ce ne sera pas utile pour le moment. Cette petite fessée devrait faire comprendre à Nathan qu’il est préférable qu’il se tienne tranquille. Il sait que je tiens à être obéie et que je n’hésite pas à sévir quand c’est nécessaire, n’est-ce pas Nathan »
« Aïe, … oui ma Sœur, … aïe ! »
Sœur Bénédicte continua à le fesser pendant un petit instant, puis elle le replaça pour continuer sa tâche. De sa main, elle balaya les poils qui étaient restés sur l’entrejambe de Nathan.
« Sœur Gabrielle, pouvez-vous m’aider ? »
Notre Maîtresse de dortoir saisit les deux chevilles de Nathan qu’elle relava au-dessus de la tête de notre camarade. Elle le maintint dans cette position pendant que Sœur Bénédicte taillait les poils de la raie fessière de Nathan.
« Voilà qui est parfait, convint Sœur Bénédicte »
Pendant qu’elle rangeait son attirail, Nathan se releva.
« Vous restez en place, Nathan, je n’ai pas fini ! »
Sœur Bénédicte sortit du dortoir avec un petit pot dans la main. Elle revint quelques minutes plus tard. Elle mélangeait le contenu avec une petite spatule en bois. Elle y trempa le bout du petit doigt et le ressortit couvert d’une substance visqueuse.
« C’est à la bonne température. Nathan, vous ne bougez pas. »
A l’aide de la spatule, elle étala une petite bande de la substance sur le pubis de Nathan. Elle patienta quelques instants. Elle éprouva la consistance de la matière qu’elle venait de déposer sur la peau du garçon. Sœur Bénédicte posa alors sa main sur le bas du ventre de Nathan, juste au-dessus de la bande qu’elle avait étalée et, d’un coup sec, elle arracha la substance durcie, arrachant les poils qui s’y trouvaient collés.
Nathan émit un râle qui me sembla plus de surprise que de douleur et il porta ses mains sur la peau que Sœur Bénédicte venait d’épiler. L’infirmière réagit aussitôt avec quelques bonnes claques assénées sur la cuisse de Nathan.
« Ôtez vos mains de là. Je ne veux pas les voir venir me gêner dans mon travail ! Si vous recommencez, je vous administre une fessée ! »
Sœur Bénédicte appliqua une nouvelle bande de cire sur le pubis de Nathan. Elle la laissa durcir, puis elle l’arracha. Elle recommença cette opération jusqu’à ce que le pubis de Nathan fût entièrement glabre. Elle continua par l’aine du garçon qu’elle épila des deux côtés.
Nathan émettait un petit cri à chaque manoeuvre, mais il tenait soigneusement ses mains éloignées de ses fesses. Au vu de ses réactions, j’avais l’impression que la douleur était supportable, mais l’épilation était visiblement désagréable.
Ce fut ensuite le tour des bourses dont elle tendait la peau d’une main tandis qu’elle opérait de l’autre. A deux ou trois reprises, elle dut faire appel à l’assistance de Sœur Gabrielle pour dépiler la peau tandis qu’elle étalait la cire épilatoire.
Nathan réagit plus vivement lors de deux ou trois arrachage de la bande de cire. Cet endroit semblait bien plus sensible.
Enfin, Sœur Bénédicte finit par la verge qu’elle tint à pleine main pour l’immobiliser.
« Puis-je encore bénéficier de votre assistance, Soeur Gabrielle ? »
La Maîtresse de dortoir fit reprendre à Nathan la pause, jambes relevées au-dessus de sa tête, qu’elle lui imposait pour lui mettre une couche. Sœur Bénédicte épila alors la raie fessière, ce qui fut fait en un tour de main.
« Maintenez-le encore un peu dans cette position, s’il vous plait Sœur Gabrielle, pendant que j’applique une huile apaisante sur ses fesses. »
Sœur Bénédicte versa quelques gouttes de liquide sirupeux sur les fesses de Nathan. Elle l’étala à la main et massa la peau jusqu’à ce qu’elle pénètre dans la peau. Elle recommença l’opération sur le pubis, les testicules et le pénis de Nathan. Le massage provoqua un nouveau début d’érection.
« Nathan, je vous avais prévenu ! Sœur Gabrielle, j’ai les mains enduites d’huile, pouvez-vous fesser ce jeune homme à ma place ? Cette fois-ci, il faut être un peu plus sévère.
– Je me charge de lui faire regretter cette nouvelle désobéissance. »
Sœur Gabrielle fit prendre à Nathan la position qu’elle lui avait imposée la veille pour lui administrer le martinet. Et releva ses jambes et les immobilisa sous son aisselle. Les fesses du garçon étaient à la bonne hauteur. Sœur Gabrielle lui asséna une fessée à main nue qui claqua dans le silence du dortoir. Il fut bien rempli par les cris de Nathan, puis par ses sanglots lorsque ses fesses prirent une teinte écarlate uniforme.
« C’est parfait, commenta Sœur Bénédicte. On voit que vous avez le coup de main, sans vouloir faire de mauvais jeu de mots. »
Cette boutade provoqua le sourire de Soeur Gabrielle.
« Dans trois ou quatre semaines, les poils commenceront à repousser. Il faudra alors renouveler l’opération si vous avez décidé qu’il doit encore porter des couches.
– Ce n’est pas impossible s’il continue à y faire pipi. Je ne lui remettrai une culotte de grand garçon que s’il est parfaitement propre de jour comme de nuit. Il n’en a pas pris le chemin. »
Je frissonnais à la perspective de me trouver un jour soumis à ce régime.
« Voulez-vous que je vous le prépare pour la nuit, proposa Sœur Bénédicte ?
– Si vous avez le temps, ce sera avec plaisir.
– J’ai bien le temps de vous donner un coup de main. Pour moi, la soirée est plutôt un moment creux. C’est vous les maîtresses de dortoir qui êtes très occupées à ces heures-là. Ça ne doit pas toujours être simple de mettre au lit tous ces grands garçons.
– Je n’ai pas à me plaindre. Ils sont plutôt sages et obéissants. Une bonne fessée de temps en temps règle les écarts de conduite, mais ce n’est pas trop souvent.
Sœur Bénédicte envoya Nathan faire pipi, ce qu’il dut faire sous sa surveillance. Puis elle le réinstalla dans sa position précédente.
« Pas de pipi dans la couche cette nuit, n’est-ce pas Nathan !
– Non ma Sœur.
– Si tu la mouilles, tu sais que Sœur Gabrielle te punira demain matin.
– Oui, ma Soeur. »
Les deux religieuses reprirent leur conversation pendant que Sœur Bénédicte apprêtait Nathan pour la nuit. Elle enduisit généreusement ses fesses de talc, puis elle positionna la couche entre les jambes du grand garçon à qui elle avait fait reprendre la position permettant le libre accès à ses fesses. Enfin, elle lui enfila une culotte plastifiée toute propre.
– N’avez-vous pas de récalcitrant quand il s’agit de se coucher ? Ils sont au lit de de bonne heure par rapport à ce que vivent les autres garçons de leur âge.
– Je ne leur demande pas vraiment leur avis. Les premiers jours, il y a bien quelques grognements. Ceux qui traînent des pieds vont se coucher avec les fesses cuisantes. Ils comprennent vite. Les protestations ne durent pas.
– Je comprends, c’est une méthode éprouvée qui fonctionne très bien, même pour les plus grands. Finalement, ils y trouvent leur compte.
– Tout à fait ! A St Marie en général et dans mon dortoir tout particulièrement, les nuits de sommeil sont complètes. C’est une condition indispensable à la réussite scolaire. Ils ne sont pas souvent assez matures pour le comprendre par eux-mêmes. C’est là où j’interviens »
Soeur Bénédicte rassembla les affaires qu’elle avait utilisées pour s’occuper de Nathan.
« Vous allez pouvoir le constater de visu, reprit Sœur Gabrielle. C’est l’heure du coucher. »
Elle frappa deux fois dans ses mains.
« Les garçons, c’est l’heure de se coucher. On range ses cahiers et ses livres pour demain, tout le monde va faire pipi, puis au lit. Pouvez-vous mettre Nathan au lit, puisqu’il est prêt ? »
Elle surveilla le passage aux toilettes, ce qui valut une claque sur les fesses à deux garçons qui chahutaient. Chaque garçon se glissa dans son lit, sous ses draps pour attendre le bisou de Sœur Gabrielle.
« Axel, tu attends que je m’occupe de toi. »
Planté devant mon lit, je ne savais plus que faire. Sœur Gabrielle voulait « s’occuper de moi ». Cela signifiait certainement une fessée. Pourquoi ? Je n’avais rien fait de mal ! J’avais été sage, mes devoirs étaient faits, mes leçons apprises ! J’étais submergé par un sentiment d’injustice.
Quand tous les garçons furent installés pour leur nuit de sommeil, Sœur Gabrielle s’approcha de moi. Elle s’assit sur mon lit et elle baissa me culotte de pyjama. Je ne pus retenir une protestation.
« C’est pas juste, je n’ai rien fait ! »
Sœur Gabrielle fronça les sourcils.
« Qu’est-ce que c’est que ces jérémiades ? »
Elle m’attrapa par le bras, me fit approcher entre ses jambes et me coucha sur son genou.
Elle m’administra alors, sur chaque globe fessier en alternance, une petite série de claques sèches bien détachées l’une de l’autre.
Elle m’administra alors, sur chaque globe fessier en alternance, une petite série de claques sèches bien détachées l’une de l’autre.
« Quand je te baisse la culotte, c’est que j’ai une bonne raison. Que ce soit pour te donner la fessée ou pour autre chose, je ne veux pas t’entendre objecter. »
Elle poursuivit la fessée en accélérant le rythme. Elle me conduisit au bord des larmes en très peu de temps.
« Ce soir, c’était pour te passer une potion sur les fesses. Je vais le faire, mais auparavant tu as besoin d’une punition pour ta contestation »
La fessée reprit de plus belle, jusqu’à ce que mes fesses soient brûlantes et qu’adviennent mes premiers sanglots. Alors Sœur Gabrielle cessa.
« J’espère que cela va t’apprendre à obéir sans discuter ! »
Elle fit glisser un liquide froid sur mon postérieur qu’elle massa jusqu’à faire pénétrer la potion dans ma peau. Je me calmais rapidement et je m’abandonnais à la caresse sur mes fesses. Je fermais les yeux.
« Non, non, fit Sœur Gabrielle tout doucement. »
Elle remonta ma culotte.
« On ne s’endort pas sur mes genoux, mais dans son lit. »
Elle ouvrit mes draps, une petite tape sur les fesses et je me retrouvais dans mon lit. Sœur Gabrielle borda mes couvertures et me donna un bisou sur la joue.
« Bonne nuit, mon grand garçon ! »
Les lumières éteintes, Sœur Gabrielle alla s’asseoir sur le lit de Nathan qui pleurait doucement dans son lit. La soirée avait été rude et il ne voyait probablement pas la fin de sa punition. La maîtresse de dortoir se pencha tout près de l’oreille du garçon allongé à côté d’elle. Elle lui parla tout doucement. Puis, elle entreprit de détendre ses muscles un par un comme elle l’avait fait pour moi la veille jusqu’à ce que la respiration de Nathan devienne profonde et régulière.
Elle se leva alors et passa au pied de mon lit sans s’arrêter. J’éprouvais un fort sentiment de jalousie, ayant l’impression d’être abandonné pour un autre. J’enfouis mon visage dans mon oreiller dans lequel je laissais couler les quelques larmes qui perlaient au coin de mes yeux.
Elle poursuivit son geste un petit moment en je me sentis glisser doucement dans le sommeil avec un sentiment de sécurité dont je ne me rappelais pas l’équivalent.
J’étais déjà endormi, mais je sentis son léger baiser sur ma joue.
Merci à Peter Pan pour ses illustrations.
Pour suivre le fil de cette histoire :
Pour comprendre le contexte : introduction
un de mes plus grand fantasmes!une magistrale fessée déculottée sur les genoux d'une religieuse très sévère.
RépondreSupprimerBonjour Unknown,
SupprimerHélas, un fantasme assez irréalisable. J'espère que les récits publiés sur ce blog s'en rapprochent.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonsoir,
RépondreSupprimerVoilà un récit que je suis depuis un long moment et dont le changement de cap littéraire, avec l'infantilisation totale d'Axel me lasse quelque peu. Toujours au fait de son étude qui prend un nouveau cap, il n'est plus question de son rapport direct aux élèves dont pourtant les discussions auraient pu faire l'objet d'une autre sorte de narration. Car à part quelques quolibets, pas de vrais échanges qui pourraient pourtant avoir lieu sur le thème "On te l'avait bien dit", "ton étude aurait pu changer les choses" ... L'infantilisation maximale est gênante par ailleurs du fait de sujets dont je ne suis décidément pas fan (pipi culotte ...). En bref n'est-il plus question que d'un garçon qui a besoin d'être remis dans le droit chemin (et alors c'est le récit sur une maison de correction et de remise à niveau, et ça ne m'intéresse pas ...) ou alors ça s'inscrit toujours dans le cadre d'une réflexion éducative plus globale et alors cela reste intéressant (notamment le sujet des corrections à la maison qui n'ont jamais été abordées ou rapportées par Axel relativement à ses congénères, une curiosité qui pourrait apporter un plus à son étude ...).
J'ai un peu l'impression qu'on tourne en rond, et ça devient violent. Non merci, nous avons été habitués sur ce blog à des récits à tiroir, pas à des chapitres qui sont à eux seuls des histoires ...
Bonjour Anonyme,
SupprimerDésolé que le "cap littéraire" pris par l'histoire vous lasse, mais je l'ai choisi en fonction de mes propres intérêts. C'est le privilège de l'auteur. Je dois avouer que d'écrire des récits sur la fessée, donnée par un adulte à un autre, sans imaginer un caractère infantilisant me laisse dubitatif, sauf à être dans le registre de la fessée érotique, ce qui n'est pas la ligne éditoriale du blog.
Je conçois que certaines situations ne vous conviennent pas, mais, en tant qu'auteur, je vais maintenir le fil de mon récit.
Sur ce blog, sont publiés des récits de nature différentes qui, j'en ai le retour par des courriels, que plaisent pas à tout le monde. C'est le jeu et l'intérêt de la diversité.
Les aventures d'Axel constituent un long récit dont nous ne sommes pas au bout, surtout vous car moi je suis au bout de ce que je peux écrire pour l'instant. J'espère que les prochains "caps littéraires" trouveront grâce à vos yeux.
Je suis également preneur de récits que vous pourriez écrire et que je pourrais publier qui proposeraient les situations qui vous conviennent. Vous pouvez faire, si vous le souhaitez, comme Jeancla qui, appuyé sur l'univers de St Marie, développe ses propres personnages avec les aventures de Christine et de sa belle-mère.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
J'ai eu l'occasion de le dire par ailleurs sur d'autres textes : il y a bien des choses satisfaisantes sur ce blog et le récit de Christine en fait partie. Je reconnais à l'auteur son privilège et vous remercie de votre réponse. Je pense qu'une nuance sur la violence et l'infantilisation avec une réouverture sur le côté consultant qui est tout de même l'origine de l'Histoire me paraîtrait intéressant (et les questions que je pose peuvent peut-être avoir une place, je n'ai pas eu votre réponse ...). Il reste au lecteur d'espérer, la fidélité est à ce prix ... Je vous souhaite un excellent weekend !
SupprimerBonjour Anonyme,
SupprimerA quelles questions n'ai-je pas répondu ? Sans doute la question de la correction à la maison ?
Permettez-moi, tout d'abord de revenir sur la question de la violence. Je ne vois pas trop où elle est. Quelques coups de règle ou de martinet sur les fesses nues d'un garçon d'une trentaine d'années peuvent-ils être considérés comme de la violence ? Certes, ils sont cuisants sur le moment, certes, il peut en rester un léger tiraillement de la peau des fesses le lendemain (essayez, vous verrez), mais je pense que nous restons dans le régime de la punition qu'une personne détenant l'autorité peut utiliser pour corriger son pupille. Effectivement, cela peut être sévère, mais c'est une nécessité.
Parleriez-vous alors d'une violence psychologique ? Il est vrai qu'à n'importe quel âge, recevoir une vraie fessée constitue une contrainte forte qui peut être assimilée à de la violence. Dans mes récits, les punis se soumettent à la fessée parce qu'ils n'ont pas le choix de faire autrement. C'est la personne détenant l'autorité qui décide et cela, puisqu'il s'agit d'une punition, doit être une épreuve à chaque fois, proportionnée à la faute qui l'a motivée. C'est à cette condition que la punition produit les effets qu'elle est censée produire. J'en ai développé l'argumentaire sur la page consacrée, sur ce blog, à l'usage ou non d'instruments punitifs que vous trouverez dans l'onglet des "débats en cours".
Vous noterez que les fessées sont donnée bien à propos, quand le puni les a méritées et qu'elles se déroulent dans une atmosphère psychoaffective d'attention aux jeunes gens qui sont punis. Les correctrices sont soucieuses de faire savoir aux punis que la correction qu'ils viennent de recevoir solde les comptes de l'acte qui l'avait justifiée et, de plus, le contact douloureux qu'elles ont provoqué avec la peau des fesses du puni en y appliquant une une fessée est complété par des caresses consolatrices. le message passé pourrait alors se formuler ainsi : "tu as été puni parce que tu as outrepassé les règles, mais je serai toujours présente pour t'aider et t'accompagner". Les câlins et les caresses permettent de mettre fin à la séquence punitive et à réintégrer le puni dans son statut de personne surveillée, mais protégée. La volonté éducative est donc bien présente. Une juste punition en réponse aux écarts, dans un climat d'affection.
Venons-en aux questions. Effectivement, il n'y a pas le récit des séquences de punitions familiales. Dans la partie "Axel, élève à St Marie", il n'y en aura pas. Je le sais, elle est déjà totalement écrite.
Pour la logique du récit, dans le cadre du travail de consultant, j'ai besoin qu'Axel éprouve jusqu'au bout les sensations qui sont celles de ces jeunes adultes traités et punis comme des enfants. Le côté consultant n'est pas oublié, il va progressivement faire sa réapparition.
Dans les parties qui suivront, la fessée domestique aura la part belle. Soyez patient !
Au plaisir de vous lire,
JLG.
J'ai pu constater avec le nouveau chapitre les belles promesses de suite, j'ai apprécié d'y retrouver des marqueurs appréciables du récit originel. Vivement les échanges entre les élèves après la dernière fessée de l'une d'elles et la perspective du retour de la charge du consultant. Heureux de cette suite, continuez et merci !
SupprimerCher Anonyme,
SupprimerEmparez-vous de l'un des élèves de St Marie, l'un de ceux qui a été fessé en classe. Contez-nous son retour, le soir dans son foyer familial. Décrivez-nous la correction maternelle qui s'en suit ... Je me ferai un plaisir de le publier.
Au plaisir de vous lire.
JLG.