Quand Sœur Gabrielle nous
réveilla je passais ma main sur mes fesses. La sensibilité de ma peau avait
presque disparue. Il restait juste quelques endroits où, lorsque j’insistais,
une douleur résiduelle était encore présente.
« Debout tout le monde, et à
la douche. »
Sœur Gabrielle prenait en main
notre journée et j’en éprouvais un bref sentiment de reconnaissance que je
rejetais aussitôt. La pensée des fessées qu’elle m’avait administrées et de
celles qu’elle ne manquerait pas de me donner à l’avenir constituait une
impression désagréable, nettement relié à St Marie dans son ensemble et Sœur
Gabrielle en particulier.
Je cherchais au fond de moi une
révolte contre la situation dans laquelle je me trouvais alors que je n’aurais
pas dû y être. Il m’apparaissait clairement que j’avais été manipulé. La
direction de l’établissement avait laissé ma position d’observateur se dégrader
afin de me contraindre à accepter mon changement de statut. Cela s’était fait
sans que je voie les choses venir.
Il fallait que je trouve comment
revenir en arrière. Peut-être en mettant fin à l’étude qui était la seule
raison de ma présence ? Il me serait alors aisé de laisser St Marie
derrière moi.
Cette pensée me laissa mal à
l’aise. Elle était déplaisante.
Sœur Gabrielle mit fin à mon
introspection. Elle rejeta les couvertures au pied de mon lit me laissant à
découvert.
« Axel, encore le dernier à
se lever ! »
Elle m’administra une claque sur
le fond de ma culotte de pyjama, puis m’agrippant le bras elle me sortit de mon
lit et je me retrouvais debout devant elle. Sans me laisser le temps de réagir,
elle me ploya sous son bras et elle baissa ma culotte de pyjama. Puis, en me
soulevant légèrement, elle me l’ôta complètement. Sa main claqua alors mes fesses,
maintenant nues, trois, quatre fois de chaque côté. Elle me reposa alors au sol
et passa ma veste de pyjama par-dessus ma tête.
« Tu files à la douche,
ordonna-t-elle ! Tes camarades y sont déjà. »
Sans doute pour m’encourager,
elle claque sèchement le haut de ma cuisse. J’avais eu l’impression d’un
tourbillon, mais il m’avait mis tout de suite dans la dynamique de la journée.
A St Marie, pas le temps de paresser.
La douche chaude acheva de me
réveiller. Depuis ce premier cours de gymnastique, cela faisait un petit moment
que je prenais ma douche sous la supervision de Sœur Gabrielle. J’avais compris
son exigence de propreté. Bien que le temps soit compté, il n’y avait plus un
centimètre carré de ma peau qui échappait au récurage du matin : derrière
les oreilles, entre les doigts de pieds, la raie des fesses et mon pénis après
l’avoir soigneusement décalotté. Je ne craignais plus ses inspections à la
sortie de la douche.
Ce jour-là pourtant, Sœur
Gabrielle m’arrêta. Elle me ploya de nouveau sous son bras.
« La punition pour mon lever
tardif n’est pas finie, pensais-je. »
Je crispais mes fesses attendant
la cuisson que ne manquerait pas de provoquer la main de la maîtresse de
dortoir. Je fus surpris quand je sentis une caresse sur mes fesses, puis elle
en saisit la peau entre son pouce et son index comme pour en éprouver
l’élasticité.
« Hum, grogna-t-elle, pas
tout à fait revenu à la normale. Tu vas m’attendre près de ton lit. Avant de
t’habiller, je veux passer de la lotion. Ce soir ce sera sans doute terminé,
sauf si, bien entendu, tu reçois d’autres fessées dans la journée. »
Une claque sur les fesses
d’encouragement et j’allais l’attendre comme elle me l’avait ordonné, nu comme
un ver. Elle ne tarda pas.
« Tu vas attraper froid
comme cela ! »
Sœur Gabrielle me passa un
maillot de corps, puis elle me présenta mes chaussettes une par une, dans
lesquelles je glissais mon pied. Ce bref épisode me laissa un sentiment mitigé.
D’un côté, j’avais l’impression qu’elle me traitait comme un bébé en prenant en
main mon habillage et de l’autre j’étais satisfait qu’elle prît soin de moi.
Comme à chaque fois, je n’eus pas
le loisir d’aller plus loin dans l’analyse de ce que je vivais. Mon habillage
s’arrêta là. Sœur Gabrielle me coucha sur ses genoux et elle y versa une lotion
dont je sentis le froid sur mes fesses. Puis, elle l’étal en couvrant la
totalité de mes fesses.
En passant sa main à l’intérieur
de mes cuisses, elle effleura mon sexe et j’y sentis une légère décharge. Je
pris peur que cela finisse en érection. Je savais qu’elle en serait la
douloureuse conséquence. La décharge d’adrénaline qui accompagna ma frayeur,
suffit à enrayer le durcissement de mon sexe.
Le caractère maternel mais
également infantilisant de la position dans laquelle Sœur Gabrielle m’avait
placé et de l’activité à laquelle elle se livrait, ne faisait aucun doute. Je
sentis monter, dans mon esprit, un début de contestation contre ce traitement
qui n’était plus de mon âge. Cela disparut bien vite pour laisser toute la
place au bien-être de la caresse et de la présence rassurante de Sœur
Gabrielle.
Quelques petits tapotements sur
mes fesses me signifièrent la fin de ce moment de tendresse. C’est le premier
qualificatif qui me vint à l’esprit pour décrire ces petits instants volés à
l’agitation du matin.
« Debout, grand garçon, il
est temps de t’habiller. Tu vas être en retard ! »
Sœur Gabrielle, sans doute pour
rattraper le temps perdu, décida de finir mon habillage. Elle me présenta ma
culotte ouverte entre ses doigts. J’y glissais mes pieds l’un après l’autre.
Elle la remonta alors et, sa main faisant le tour de ma taille, elle y glissa
mon maillot de corps. Ensuite, elle me présenta les manches de ma chemise
quelle boutonna jusqu’au cou. Ce fut le tour de mon pantalon que j’enfilais
comme je l’avais fait pour ma culotte. Elle attacha le bouton fermant la taille
du pantalon, remonta la fermeture éclair et boucla ma ceinture. Sœur Gabrielle,
d’un geste vif, me fit pivoter pour avoir accès à mon dos. Elle arrangea ma chemise
en la glissant sous la ceinture du pantalon. Enfin, elle noua ma cravate d’un
geste expert qui avait dû être souvent répété.
« Tu as dix minutes pour
revoir tes devoirs, dépêche-toi »
La désormais traditionnelle
claque sur le fond de mon pantalon me décida à rejoindre ma table de travail.
C’était une journée qui
commençait sous les meilleurs auspices. Je commençais à me sentir à ma place à
St Marie. Cette prise de conscience fit remonter mon moral en flèche. Cela
contrastait avec la morosité avec laquelle j’avais entamé les trois premiers
jours. J’allais en classe d’un pas léger.
Il ne me fut pas demandé de venir
réciter mes leçons. J’en éprouvais du regret tant j’étais certain de les
connaître sur le bout des doigts. J’étais sur un nuage, un peu excité, ce qui
dû se voir. Sœur Thérèse, avec qui nous avions commencé la journée, m’en fit la
remarque.
« Vous semblez bien énervé,
Axel. Vous ne cessez de vous agiter sur votre chaise. Vous faut-il une fessée
pour vous calmer ? »
Je savais qu’il y avait peu entre
ce genre de proposition et le passage à l’acte. Il n’y aurait certainement pas
de deuxième avertissement. Mon euphorie m’avait conduit à deux doigts d’une
nouvelle fessée. Je ressentis un bref moment d’oppression pendant lequel j’eus
du mal à respirer. Je desserrais un peu ma cravate que Sœur Gabrielle avait
ajustée trop étroitement autour de mon cou. Le sentiment d’étouffement ne dura
pas. Je repris pied avant que Sœur Thérèse ne s’aperçoive de mon égarement. Je
me concentrais alors sur mon travail.
C’est Sœur Marie Véronique qui
prenait la suite de Sœur Thérèse. J’ai craint un instant qu’elle nous rende le
devoir surveillé effectué mardi dernier. J’en appréhendais le résultat. Notre
professeure nous en annonça la correction pour le lendemain. Après la
traditionnelle séance de récitation des leçons, Sœur Marie Véronique reprit son
cours.
Alors qu’elle était au milieu
d’une brillante démonstration, elle interrogea Valentin sur un point de logique
qui semblait une évidence. Valentin peinait en mathématique. Il n’était pas
beaucoup plus fort que moi. Il semblait un peu paniqué par l’attention dont il
faisait l’objet, de la part de Sœur Marie Véronique, sur un sujet qu’il
maîtrisait mal. Sa réponse était à l’évidence totalement à côté de la plaque.
Au premier rang, il y eut un rire
étouffé mais qui s’entendit dans toute la classe. Tout le monde se tourna vers
l’élève qui en était à l’origine. C’était Alyssa, le – ou plutôt devrais-je
dire la - petit génie de la classe. Elle
survolait tous les devoirs dans toutes les matières. Avec elle il n’y avait pas
de compétition. Elle l’emportait à chaque fois avec une facilité déconcertante.
« Mademoiselle Alyssa,
dois-je comprendre que vous vous moquez de votre camarade ? »
La colère de Sœur Marie Véronique
était palpable.
« Non, ma Sœur, c’est … je …
pas ... pas voulu …
– Arrêtez-vous là avant de
proférer un mensonge ce qui m’obligerait à vous punir plus sévèrement. Allez
plutôt vous mettre au coin ! »
Alyssa n’avait pas l’habitude
d’être celle qui allait au coin. Depuis trois ans qu’elle fréquentait St Marie,
elle n’avait jamais été punie à cause de son travail, ce dont on pouvait se
douter, mais elle faisait également partie des enfants sages et obéissants, ce
qui lui évitait la plupart des punitions. Il se disait qu’elle avait passé la
totalité de son année de première sans recevoir la fessée, ni en classe, ni à
l’internat. A St Marie, c’était un exploit remarquable.
Les yeux remplis de larmes, elle
se leva et prit place dans le lieu habituel de pénitence, du moins pour la
plupart d’entre nous.
Sœur Marie Véronique tourna de
nouveau son attention vers Valentin. Elle commença par le rassurer. Puis elle
l’accompagna dans son raisonnement, pas à pas. Valentin arriva au bout en
trouvant la bonne réponse. Il en fut félicité par sa professeure. Sœur Marie
Véronique alla au bout de sa démonstration, puis elle se tourna vers Alyssa.
« Venez ici, jeune
fille. »
Des larmes coulaient sur les
joues d’Alyssa.
« Croyez-vous que le fait de
trouver facile la réponse aux questions que je pose, vous donne le droit de
vous moquer, voire d’être méprisante envers vos camarades qui n’ont pas votre
facilité.
– Non, ma Sœur.
– Nous sommes bien d’accord. Je
trouve que depuis quelques temps vous en prenez bien à votre aise. Il est temps
de vous remettre à votre place. »
Sœur Marie Véronique fit
approcher Alyssa à ses pieds, puis elle la courba sous son coude. Elle releva
sa jupe, exposant sa culotte blanche. Alyssa accompagna chacune de ces étapes
d’un petit cri aigu. Je voyais nettement la chair de poule qui se formait sur
ses cuisses nues. La religieuse glissa son pouce sous l’élastique de la culotte
et la baissa jusqu’aux genoux de la jeune fille. Alyssa se mit à sangloter.
« Ne gaspillez pas vos
pleurs aussi facilement. Vous allez en avoir besoin. Je vais vous donner une
bonne raison de pleurer. »
Sœur Marie Véronique leva la main
et l’abattit avec force sur les fesses d’Alyssa qui poussa un cri perçant.
L’écho ne s’en était pas éteint qu’une deuxième claque atterrissait sur ses fesses.
Il y avait maintenant une marque rouge de chaque côté. Nous eûmes à peine le
temps de les contempler qu’une troisième claque élargissait la zone colorée.
Sœur Marie Véronique ne semblait pas se lasser. Elle voulait visiblement
qu’Alyssa garde un souvenir cuisant de cette punition.
La jeune fille ne se débattait pas. Tout juste si elle décollait un pied du sol lorsqu’une claque plus forte ou tombant à un endroit plus sensible, lui arrachait un cri plus désespéré. Sa passivité ne dura pas. La fessée se prolongeant, elle en vint, comme les autres, à se tortiller sous le bras de Sœur Marie Véronique comme pour échapper à la suite de la fessée. Ses fesses étaient écarlates quand Sœur Marie Véronique mit fin à la punition.
La jeune fille ne se débattait pas. Tout juste si elle décollait un pied du sol lorsqu’une claque plus forte ou tombant à un endroit plus sensible, lui arrachait un cri plus désespéré. Sa passivité ne dura pas. La fessée se prolongeant, elle en vint, comme les autres, à se tortiller sous le bras de Sœur Marie Véronique comme pour échapper à la suite de la fessée. Ses fesses étaient écarlates quand Sœur Marie Véronique mit fin à la punition.
« J’espère que vous
souviendrez de cette punition la prochaine fois que l’un de vos camarades sera
en difficulté. Je n’hésiterai pas à recommencer dès que nécessaire. Votre
statut de première de la classe ne vous confère aucun privilège. Vous serez
soumise à la fessée quand vous la mériterez. »
Sœur Marie Véronique n’exigea pas
d’Alyssa qu’elle abonde dans son sens. La jeune fille n’était pas en état de
répondre.
« Retournez au coin. Ce sera
votre place jusqu’à la fin du cours. N’oubliez pas de relever l’arrière de
votre jupe que tous vos camarades puissent voir ce qu’il en coûte de se moquer
d’un autre élève. »
Le nez dans l’angle de la pièce,
Alyssa fut longtemps secouée de sanglots silencieux qui ne se calmèrent qu’à la
toute fin de l’heure.
Pendant que nous sortions de la
classe pour aller en récréation, Sœur Marie Véronique fit venir à elle Alyssa.
Elle la replaça en position disciplinaire, sous son coude. Elle releva la jupe
qui était retombée quand elle lui avait prendre la position qui remettait ses
fesses à disposition de sa main.
Sœur Marie Véronique passa
doucement sa main sur la peau encore toute rouge de la jeune fille.
« C’est bien, fit-elle, vous
avez reçu une bonne fessée, mais dans moins de quinze minutes, il n’y paraîtra
plus rien. Il n’y a pas de dommage, si ce n’est à votre fierté. »
Sœur Marie Véronique relâcha
Alyssa qui vint se réfugier aussitôt dans ses bras. La jeune fille eut une
nouvelle crise de larmes.
« Allons, allons, ce n’est
pas si grave. Prendre une fessée à St Marie, la belle affaire ! Chaque
jour il y a plus d’un élève qui est dans votre cas.
Sœur Marie Véronique entourait
d’un bras les épaules d’Alyssa qui sanglotait sur son sein. Sa main, soulevant
la jupe de la jeune fille, massait lentement les fesses qu’elle venait de punir
si sévèrement.
« Vous aviez besoin de cette
fessée Alyssa. J’ai l’impression que vous vous croyiez au-dessus des règles en
vigueur à St Marie. Je pense que Sœur Thérèse, dès ce soir, vous fera un rappel
de l’humilité qui convient, même aux premiers de la classe. »
Sœur Thérèse était la maîtresse
du dortoir des grandes filles, auquel appartenait Alyssa qui enfouit encore
plus son visage dans la poitrine de Sœur Marie Véronique. Elle ne sanglotait
plus, au moins pas aussi ouvertement. La religieuse l’écarta de sa poitrine.
« N’exagérez pas jeune
fille. La fessée a été bien moins sévère que celles qu’ont reçues nombre de vos
camarades. Vous avez été assez consolée. Il ne faudrait pas en abuser, à moins
qu’une autre fessée vous soit nécessaire ? »
Sœur Marie Véronique replaça la
jeune fille sous son bras. Elle releva la jupe et administra deux claques sur
les fesses d’Alyssa qui réagit par un petit glapissement à chaque fois. Puis la
professeure remonta la culotte, dissimulant les fesses encore rouges d’Alyssa.
« Filez en récréation et
revenez demain avec un peu plus de modestie ! »
Pour faire bonne mesure, Sœur
Marie Véronique donna une claque sur les fesses d’Alyssa protégées par la jupe.
Cela n’avait rien d’une fessée.
Alyssa nous suivait de loin.
Jeanne qui était sa meilleure amie, revint la chercher. Elle la prit pas la
main et l’entraîna vers nous. Arrivée dans la cour, Alyssa se blottit dans les
bras de Jeanne et elle recommença à pleurer. Jeanne la laissa faire, caressant
doucement ses cheveux.
« Eh bien Alyssa, que se
passe-t-il ? »
C’était Sœur Thérèse qui passait
par là.
« Venez me
voir ! »
Alyssa quitta les bras de son
amie pour se réfugier dans ceux de sa professeure.
« Pourquoi pleurez-vous, mon
enfant ? »
Alyssa ne répondait pas. Sœur
Thérèse dut insister.
« J’attends une réponse
Alyssa ! »
La jeune fille sentit bien que le
secret ne serait pas gardé. Il figurait déjà sur son carnet de correspondance.
« J’ai reçu une fessée, ma
Sœur.
– Qui vous a puni ?
– C’est Sœur Marie Véronique, ma
Sœur.
– Sœur Marie Véronique !
Elle devait avoir une bonne raison, n’est-ce pas ? »
Alyssa hocha de la tête qui
reposait toujours sur l’épaule de Sœur Thérèse.
« Il me semble que cette
fessée va vous faire beaucoup de bien. Vous deveniez arrogante, une petite
pimbêche. Je me demandais comment j’allais m’y prendre pour vous corriger de
cette suffisance. Je suis contente que vous nous en ayez donné
l’occasion. »
Sœur Thérèse donna une claque
sèche sur les fesses d’Alyssa.
« Voyons cela. »
Elle fit passer Alyssa sous son
bras et elle la ceintura. La jeune fille la laissa faire. Sa jupe fut relevée,
puis Sœur Thérèse baissa la culotte. La jeune fille ne réagit que par un hoquet
de surprise. Ses fesses avaient perdu une bonne partie de leur coloration.
Elles étaient encore un peu rosées, souvenir distant de la correction.
« On n’y voit quasiment plus
rien. Je vais devoir m’appliquer ce soir afin qu’il vous en reste un souvenir
durable. »
Sœur Thérèse remonta la culotte
et laissa la jupe retomber.
« Oh, non, Sœur Thérèse,
s’il vous plait !
– Que voulez-vous dire ?
– S’il vous plait, je ne veux pas
de fessée ce soir.
– Pas ce soir ?
Préférez-vous la recevoir ici et maintenant ?
- Oh, non ma Sœur !
– Alors ce sera ce soir, lorsque
nous serons au dortoir, devant toutes vos camarades. Nous sommes bien
d’accord ? »
Alyssa resta muette un petit
moment. Sœur Thérèse lui administra une claque sur les fesses qui bien
qu’assénée sur la jupe, consistait un sérieux avertissement.
« Oui, ma Sœur. »
Sœur Thérèse garda encore la
jeune fille dans ses bras un petit instant, puis elle la renvoya vers ses
camarades.
Merci à Peter Pan pour ses illustrations.
Pour suivre le fil de cette histoire :
Pour comprendre le contexte : introduction
Bonjour à tous...
RépondreSupprimerBen, mince alors ! Pas l'ombre d'une petite miette de commentaire ??
Alors... à quoi ça sert que Ducros, y se décarcassaaaa!!!
M'enfin ! Comme dirait Gaston !
Peter Pan.
Pas de commentaires ne veut pas dire que l'on apprécie pas!
RépondreSupprimerLa 1ere de la classe qui s'en prend une... le rêve! J'espère que sœur Thérèse va bien s'occuper d' elle ce soir.
Bonjour Gege bonn,
RépondreSupprimer(Je plaisantais bien sûr).
En effet. Ca risque de chauffer pour cette demoiselle.
Attendons la suite...
Bonne journée. Peter Pan.
Génial, ces fesses vont chauffer!
SupprimerLe mythe de la 1ere de la classe, généralement super mignonne, qui se fait fesser, humilier,....rassurer moi ? je suis pas le seul a en avoir rêvé ?