Comme
chaque année Sœur Marie Joseph et sœur Marie Gabrielle avait entrepris le
voyage pour se rendre à la SFID. Elles rapportaient avec elle plusieurs
martinets achetés quelques années plus tôt et dont les lanières étaient très
usées à force de fouetter des postérieurs d’élèves indisciplinés.
Déposés
à l’atelier à leur arrivée à l’usine, elles pouvaient les récupérer en partant,
équipés de lanières toute neuves et bien cinglantes. Cela leur coûtait beaucoup
moins cher que d’en racheter des neufs. Et en ces temps difficiles il n’y avait
pas de petites économies même en matière de discipline.
Elles
voulaient également voir et, pourquoi pas, tester les nouveautés de la SFID.
Madame
Leroy les attendait à 11 heures avant de les inviter dans sa grande maison pour
le déjeuner.
Les
sœurs de Sainte Marie étaient en effet des clientes parmi les plus anciennes et
les plus fidèles de la SFID. Tous les élèves, passés entre leurs mains, avaient
goûté aux instruments disciplinaires de la SFID. Et quand ces élèves
devenaient eux même des éducateurs de
leurs conjoints et ou de leurs enfants ils achetaient naturellement des
instruments de la SFID dont ils avaient éprouvé l’efficacité éducative. Sainte
Marie était donc non seulement un client ancien et important mais aussi un
prescripteur des instruments de la SFID.
Madame
Leroy avait prévenu Céline la DRH de leur visite. Céline était en effet une de
leurs anciennes élèves qui avaient passée plus de 15 ans en pensionnat chez les
sœurs. Et qui avait, de par là même, été abondamment fessée et fouettée par ces
dernières. C’est même grâce à elles que Céline avait été embauchée à la SFID.
Madame Leroy l’avait donc aussi conviée au déjeuner.
Les
deux sœurs venaient d’arriver et après être allées déposer leurs martinets à
rénover à l’atelier, Madame Leroy les recevait dans son bureau avec Céline.
« J’espère
que Céline vous donne satisfaction dans son travail dit sœur Marie Joseph.
–
Tout à fait rétorqua Madame Leroy. C’est une excellente DRH. J’ai bien dû la
recadrer récemment mais je crois qu’elle a compris maintenant. »
A
ces mots Céline piqua un fard de savoir les sœurs au courant de la raclée
qu’elle avait reçu pour avoir osée me fesser à la main. Madame Leroy leur
expliqua brièvement le motif du recadrage et les sœurs approuvèrent grandement
la fermeté de la Présidente de la SFID.
« J’ai
dû moi-même réexpliquer à sœur Thérèse les bienfaits des châtiments corporels
qu’elle n’appliquait pas assez à mon goût, reprit sœur Marie Joseph. Je crois
qu’après un quart d’heure de vos instruments elle a compris. Ses élèves ont
intérêt à faire attention dorénavant. »
La
conversation après ces amabilités d’usage s’orienta rapidement vers un côté
plus professionnel
« Nous
avons des élèves de plus en plus durs à faire tenir en place dit sœur Marie
Joseph. Je dirai même plus des élèves récalcitrants à la discipline et à qui un
martinet ne fait plus peur. Il nous faut des instruments plus forts qui
marquent les esprits et les fesses des rebelles d’aujourd’hui. Quelque chose
qui inspire la crainte.
–
Je pense avoir ce qu’il vous faut dit Madame Leroy. »
Elle
se leva et alla ouvrir son tiroir coulissant pour en sortir une grand strap en
cuir marron.
« Voici
notre dernier modèle « la calmante ». Regardez l’épaisseur du cuir.
Je vous garantis qu’avec cela ils n’y reviendront pas de sitôt, vos
récalcitrants. Au début vous devez fesser à fond sans hésiter ni avoir peur de
faire mal, mais à une cadence plutôt lente pour bien faire rentrer le côté
claquant et ensuite accélérer toujours à fond pour faire monter en température.
Vous verrez vos punis vous supplier d’arrêter. C’est une certitude.
–
Pourrions-nous faire un essai dit sœur Marie Gabrielle ?
–
Mais bien entendu répondit Madame Leroy. Nous allons vous trouver un
volontaire. »
Se tournant alors vers Céline
« Céline
qui n’a pas participé à des essais récemment ? »
Céline
réfléchit rapidement et un éclair dans ses yeux fit comprendre à l’auditoire
qu’elle avait trouvé.
« Je
pense que Georges qui n’a encore jamais participé à un test client devrait
faire l’affaire.
–
Excellente idée, Céline. Convoquez-le au show-room dans un quart d’heure le
temps que j’offre à boire à mes clientes. »
Lorsque
je décrochais le téléphone j’étais furieux. Céline venait de m’appeler et
je devais me trouver dans un quart
d’heure dans le show-room pour servir de cobaye aux tests des sœurs de Sainte
Marie. Elle m’avait dérangé alors que j’étais en pleine programmation d’un
écran difficile. Enervé je l’avais presque envoyé promener en lui disant de
trouver quelqu’un d’autre. Elle s’était mise alors à me vouvoyer
« Vous
ne voulez tout de même pas que je vous rappelle votre contrat Georges. Les
tests clients sont OBLIGATOIRES et le moindre refus sera considéré comme une
faute grave avec application de la sanction adéquate. De plus les sœurs de
Saine Marie sont de très bonnes clientes et vous devrez vous comporter de
manière exemplaire pendant le test auquel assistera également Madame Leroy. Je
vous conseille d’être très coopératif. Quant au ton que vous avez employé avec
moi à l’instant nous réglerons cela ce soir à la maison après que vous ayez
noté cet incident grave dans le registre de punition en rentrant. »
Les
choses prenant une tournure désagréable pour moi. Je me calmai immédiatement,
sauvegardai mon travail et prit le chemin du show-room.
Madame
Leroy et les sœurs qui avaient entendu la conversation, félicitèrent Céline
pour sa réponse ferme. Madame Leroy apprit
aux sœurs qu’outre le fait d’être le nouveau responsable web marketing, j’étais
aussi depuis peu le compagnon de Céline.
Et que soumis au règlement intérieur de la SFID j’étais aussi soumis, depuis
peu, à la discipline conjugale de Céline à la maison.
« Nous
verrons s’il fait autant le malin tout à l’heure dit Madame Leroy. »
Lorsque
les sœurs, Céline et Madame Leroy entrèrent dans la grande pièce, j’attendais
sagement près des bancs d’essai.
« C’est
donc ce beau jeune homme qui va servir de cobaye. C’est parfait, il a l’air
solide. Nous allons pouvoir essayer cette nouvelle strap en condition réelle, dit
sœur Marie Gabrielle. »
Quand
je vis de quoi elle parlait, je crus me sentir mal. Cette strap était
impressionnante par ses dimensions et surtout son épaisseur. Et dire que
j’allais me prendre cela sur les fesses. J’étais pale et me tenait au banc pour
ne pas tomber.
« Et
bien Georges déshabillez-vous. Qu’attendez-vous, nous vous attendons ! dit
Madame Leroy devant mon immobilité. »
Je
me déshabillais alors entièrement. J’avais l’habitude maintenant et j’avais
perdu un peu de ma pudeur naturelle. Toutefois la présence des sœurs que je
voyais pour la première fois me
perturbait.
« Allons
garçon, vous pouvez quitter votre caleçon dit sœur Marie Joseph impatiemment.
Nous en avons vu d’autre. »
J’étais
maintenant nu et allais me coucher sur un des bans de test. Pour les tests les
volontaires n’étaient habituellement pas attachés, puisque il s’agissait de
test et non de punition proprement dites. Toutefois Madame Leroy préféra
prendre la précaution de boucler les courroies
en prévision des réactions brutales que pouvaient entraîner « la
calmante ».
J’étais maintenant prêt, les fesses bien exposées
mais serrées par la peur de l’instrument. Sœur Marie Gabrielle se saisit de la
strap arma son bras et le premier coup claqua sec et puissant, suivi
immédiatement d’un hurlement et d’une ruade de mon corps qui immobilisé ne put
qu’ébranler un peu le banc de test fixé au sol. Une langue de feu venait de me
lécher mon derrière tandis qu’une large bande rouge apparaissait presque par
magie au milieu de mes fesses.
« C’est
joli et cela à l’air efficace en effet
dit sœur Marie Gabrielle. Voyons encore cela. »
Et
elle arma à nouveau son bras qui lorsque il retomba, les mêmes causes ayant les
mêmes effets, une deuxième autoroute rouge éclaira mes globes.
Puis
elle passa la strap à sœur Marie Joseph qui put à son tour juger de l’effet
immédiat de cet instrument qui s’avérait redoutable. Les 4 coups de la calmante
que je venais de recevoir m’avait en
quelques minutes fait passer mon derrière d’un blanc immaculé à un rouge
éclatant.
« Voulez-vous
essayer à votre tour Céline proposa la sœur ?
–
Pourquoi pas dit Céline avec un sourire
gourmand. Je pourrai bien moi aussi être séduite par cette nouveauté. »
Et
attrapant la strap elle la fit claquer deux fois de plus sur mon derrière. Ces
deux derniers coups donnés par Céline me firent pleurer de honte et je la
suppliais d’arrêter.
« Vous
voyez mes sœurs. Je ne vous avais pas menti. Cet instrument est à effet
immédiat garanti, déclara fièrement Madame Leroy devant son auditoire conquis.
–
C’est en effet impressionnant et nous allons immédiatement vous en prendre deux
qui ne vont pas tarder à entrer en action à notre retour. »
Le
test étant terminé Céline me délivra m’aidant à me relever très éprouvé par la séance.
« Vous
pouvez aller vous reposer chez vous Georges, enfin plutôt chez Céline. Vous
disposez de votre après-midi puisque vous étiez testeur ce matin, dit Madame
Leroy en lui caressant affectueusement les fesses pour en éprouver la chaleur.
Je
remis difficilement mon caleçon tellement mon derrière me cuisait, me rhabillai
et quittai le show-room en saluant ces dames. Je pris le chemin de la maison de
Céline les mains massant mon derrière meurtri.
Les
trois femmes satisfaites de l’essai, prirent alors le chemin de la maison pour
aller déjeuner.
C’est
Gisèle la petite bonne qui les accueillit et les installa dans le salon pour
l’apéritif.
Madame
Leroy en profita pour montrer aux sœurs admiratives son fauteuil à fessée. Elle
demanda à Céline de s’allonger dessus pour pouvoir faire jouer les différentes
positions du fauteuil avec la télécommande. Les sœurs reconnurent que c’était
vraiment un très beau mobilier propre à donner
de magnifiques fessées à ceux qui étaient sanglés dessus. Mais que pour elles à
Sainte Marie c’était hors de portée financièrement et trop sophistiqué pour
l’usage scolaire de l’institut.
« Nos
prie-dieu suffisent et permettent aussi des variantes de position intéressantes
dit sœur Marie Joseph. Et pas de problème de service après-vente. Du bon chêne
cela ne bouge pas et traverse les siècles. »
Après
avoir bu un petit verre de porto les sœurs passèrent à table. Au cours du
déjeuner Gisèle qui assurait le service renversa par inadvertance la saucière en la reposant
sur la table.
« Vous
êtes d’une maladresse maladive ma fille. Nous corrigerons cela pendant le café
au salon. Comme cela vous pourrez apprécier mon fauteuil en situation mes
sœurs. Et comme vous êtes mes invités c’est vous qui fouetterez cette
maladroite. »
Gisèle
pâlit en repartant à la cuisine sachant ce qui l’attendait.Peu après elle était
couchée sur le ventre attachée sur le fauteuil à fessée, la petite jupe noire
remontée sur son dos, sa petite culotte blanche baissée sur ses chevilles. Ses
fesses rougissait sous un martinet puissant maniée par la poigne de sœur Marie
Gabrielle qui s’y entendait en fouettée. Elle descendait assez bas sur les
cuisses de Gisèle qui en garderait des traces bien visibles plusieurs jours en
dessous de sa jupe.
Elle
pleurait à chaude larme pendant que sœur Gabrielle tout en fouettant
l’admonestait sérieusement sur sa maladresse chronique et qu’il fallait qu’elle
prenne du plomb dans la tête. Tout cela sous le regard approbateur des trois
autres femmes qui assistaient à la correction tout en buvant leur café.
Les
sœurs allèrent ensuite récupérer leurs achats à la SFID ainsi que leurs
martinets désormais presque neufs et dirent à l’année prochaine à Madame Leroy et
à Céline tout en les remerciant pour cette journée bien remplie.
Avec la participation de Peter Pan pour l'illustration
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Bonjour Georges T.
RépondreSupprimerVotre récit est original . Une visite des Sœurs de Sainte-Marie chez SFID, sous la houlette de Madame Leroy....
Cela ferait presque l'objet d'une petite illustration... Rires.
Bonne journée. Peter Pan.
merci Peter Pan pour votre superbe illustration. Dans mon imagination cependant Céline est plus jeune et mignonne.
SupprimerGeorges T
Bonsoir Mr Georges,
RépondreSupprimerMince, si j'avais su que mon dessin aurait été si rapidement publié (merci mr JLG), j'y aurais inclus quelques bribes de dialogues du récit. Ben, ce sera peut-être pour une autre occasion. Rires.
Bonne soirée. Peter Pan