« Rentre, retire tes
bottines et ton manteau et viens dans la chambre. »
Elle lui retire son pantalon,
et lui fait passer sa culotte courte.
« Viens
te laver les mains, on va passer à table. »
Après le repas, brossage des
dents et ensuite Jérôme doit faire ses devoirs et réviser ses leçons. Pour ce
faire, Madame Lepand lui a fait passer sa blouse.
Jérôme travaille dans le
bureau de sa tutrice, au bureau qu’elle lui a préparé. Pendant ce temps, elle travaille également à
ses activités à son bureau. Elle surveille de près sa production. Au bout d’une heure et demie, elle vient contrôler
ce qu’il a fait et l’interroge.
« Je crois que tu auras un contrôle demain dans cette
matière
– Oui ma tante
– On ne peut pas dire que tu connaisses ta leçon. Tu sais
ce que cela mérite.
– Euh une fessée ma tante.
– Exactement ! Approche que je puisse te donner cette
fessée
–Oh non, pitié s’il vous plait ! »
Elle lui attrape le poignet,
et lui ordonne de mettre les mains sur la tête. Jérôme a déjà les larmes qui
lui montent aux yeux. Elle le déculotte et le courbe sur son genou. Bien coincé
la tête le buste sous le bras il reçoit une bonne correction avec la règle.
« Je
te réinterrogerai en rentrant de ton cours de gymnastique. J’ose espérer que ce
sera mieux. »
Madame Lepand l’accompagne au
gymnase et le présente à la prof.
« Bonjour
Jérôme et bienvenu. Va te changer dans le vestiaire. »
Jérôme interroge du regard sa
tutrice qui lui donne son accord. Il peut donc y aller seul. Le voilà soulagé.
Il rentre dans le vestiaire,
quel choc ! Etant débutant, il doit participer aux cours des débutants.
Des enfants d’environs 10 ans. Il enfile
son short très court qui laisse apparaitre ses cuisses et les marques des
cuisantes corrections reçues.
Les autres élèves se demandent
qui peut bien être cet ado, l’un d’entre rigole et lui demande s’il n’a pas été
sage. Rouge pivoine, Jérôme ne sait plus où se mettre. Il n’est pas au bout de
ses peines.
Pendant la séance il a du mal à
se concentrer et ne se montre pas très souple ni doué. Martine Lepand qui est
dans les tribunes montre qu’elle n’est pas contente et sa coach également.
Alors qu’il rate une nouvelle figure au sol une retentissante claque sur les
cuisses vient lui montrer que cela suffit.
Les autres enfants rigolent en
voyant ce grand garçon avec les larmes aux yeux et à la fin du cours, dans le
petit bureau, Jérôme, Tante Martine et la professeure se retrouvent.
« Je crains que votre enfant Madame ne montre guère
d’intérêt pour la gymnastique.
–En effet, je peux vous assurer qu’il sera puni pour cela
et qu’il se montrera plus assidu à la prochaine séance. Cependant son attitude d’aujourd’hui
envers vous et inacceptable et je vous invite à le punir pour cela.
–Vous croyez qu’une fessée serait salutaire, c’est
cela ?
–Je ne le crois pas non. J’en suis certaine ! »
La jeune enseignante ne semble
pas réfléchir trop longtemps
« Jérôme
approche dépêche-toi ! »
Sous le regard de tante
Martine, Jérôme hésite mais il sait pertinemment qu’il n’a pas d’autre choix
que d’obéir. Elle lui fait baisser
lui-même short et slip puis elle l’attire contre elle, l’oblige à se courber,
et l’enlace par la taille afin de bien le caler.
Sans hésitation, Elle lui
claque les fesses et les cuisses. Même si elle n’est pas experte et que cette
fessée n’est donnée qu’avec la main, elle ravive un peu la douleur de celle
reçue avant de venir au sport et elle est surtout humiliante.
En effet, les ados du cours
suivant ne peuvent ignorer ce qui passe dans le bureau. On entend clairement le bruit des claques qui
tombent sur Jérôme et ses couinements ne sont pas discret non plus.
Cette jeune gymnaste se montre
d’ailleurs très habille pour administrer cette fessée qu’elle espère
salutaire
« J’ose espérer que cette fessée changera ton attitude
pour la prochaine fois
– Oui Madame répond timidement Jérôme, les yeux embués de
quelques débuts de larmes.
– Je l’espère également ajoute Martine Lepand en attrapant
Jérôme par l’oreille. »
Elle remercie la coach et
conduit son pupille jusqu’aux vestiaires.
Heureusement pour Jérôme il est vide. Tous les ados sont dans le gymnase
ou le cours a commencé. Elle le déshabille le conduit dans les douches.
« Normalement
je te doucherai après le sport à la maison.
Cependant comme tu as rendez-vous chez l’orthodontiste juste après, je
ne peux décemment t’y conduire en sentant la transpiration. Cela ne t’empêchera
de reprendre une douche ce soir. »
Bien que ce soient des douches
collectives, Martine Lepand ne change rien à sa manière de procéder. Jérôme
doit se mettre à genoux pour le shampoing et le savonnage du haut du corps puis
se lever etc.
Alors que sa tutrice est en
train de le lui savonner le sexe, un jeune garçon fait son entrée dans le
vestiaire. Les yeux écarquillés il reste stupéfait devant le spectacle qui se
déroule devant lui.
« Pardonnez-moi, bredouille-t-il
–Je t’en prie fais ce que tu as à faire lui répond Madame
Lepand. »
Jérôme ne sait pas où se
mettre, il aurait envie de s’enfoncer dans le sol. La honte totale !
Pendant que sa tutrice
l’habille, il ne cesse de penser à cet incident. C’est ensuite direction chez
l’orthodontiste. Les humiliations
s’enchainent… Sur le chemin il est tenu
fermement par la main par tante Martine.
Dans la salle d’attente il est forcé de rester debout pour laisser les
places assisses aux grandes personnes et dans le cabinet cela ne se passe pas
aux mieux non plus.
Le médecin lui pose son
appareil dentaire. Ce n’est pas très agréable. Jérôme à tendance à bouger. Le
dentiste lui demande de rester tranquille mais il n’y parvient pas. Du coup Madame
Lepand qui est présente dans le cabinet s’approche du fauteuil et lui
administre quatre tonitruantes claques sur les cuisses. Cela a le mérite de le calmer et lui arrache
les larmes aux yeux. Il y a certes la
douleur mais aussi de l’humiliation que lui inflige une fois de plus sa tante
adoptive.
Au retour à la maison, il est
temps de régler les comptes et Madame Lepand est bien décidé à ne pas perdre de
temps. A peine rentré dans
l’appartement elle saisit l’oreille de Jérôme et lui retire prestement ses
souliers. Direction la cuisine. Malgré
son mal de dents suite à la pose de son appareil dentaire, Elle ne compte pas
faire preuve de faiblesse.
« Mon garçon ton attitude cet après-midi a été une
fois plus déplorable. Sans compter la honte dont tu m’affuble encore une
fois. Ne crois que je vais laisser
passer cela. Tu sais que toute correction reçue par un tiers entraine une
nouvelle correction à la maison par moi. Je vais aussi te corriger pour ton
comportement inadmissible chez l’orthodontiste. »
Elle se saisit de la baguette, lui baisse sa culotte et son
slip. Jérôme se montre docile. Il appréhende énormément la raclée qui l’attend.
Il sait très bien qu’il ne pourra pas y échapper
« Malgré les nombreuses fessées que tu as déjà reçues,
tu persiste à n’en faire qu’à ta tête.
Mais je me suis promis de faire de toi un bon garçon. Crois-moi je vais
y parvenir. Ça prendra le temps qu’il faudra. S’il faut passer mon temps à te
punir je le ferai tu peux me croire. »
Elle place son pupille face à
la table. Elle l’oblige à se pencher sur la table. Elle lui fait placer ses
mains sur les bords pour se tenir. Elle n’hésite pas à prendre un bon élan et
vient frapper les fesses du jeune homme avec force et détermination. Une belle
trace vient lui barrer le postérieur. Jérôme ne peut s’empêcher de pousser un
cri et ne peux déjà retenir ses larmes. Il n’a pas le temps de réagir qu’un
deuxième coup vient dessiner une nouvelle marque juste au-dessus de la
première. Un troisième puis un quatrième
coup s’enchaine. Jérôme s’effondre. Martine le relève sans ménagement et lui
fait reprendre sa position. Elle reprend son devoir en maintenant fermement son
pupille. Son derrière est maintenant bien coloré du bas des reins au bas des
cuisses. Jérôme fini suffoquant en pleure. Dispensé de piquet pour aller
réciter ses leçons dans le bureau. Martine Lepand s’est bien entendu munie de
son martinet.
Il révise assidument pendant 1
heure sous la surveillance de sa bienfaitrice qui travaille à son bureau à le
regardant du coin de l’œil. Puis, vient le moment de réciter ses leçons et de
faire des exercices d’application. Fort heureusement, Jérôme évite une nouvelle
punition. En effet, les leçons sont
récitées par cœur comme l’exige sa tante adoptive et les exercices qu’elles lui
donnent à faire son tous juste.
–
Hé bien tu vois quand tu veux, tu es capable. S’il faut te rougir l’arrière-train
tous les jours pour que tu travailles et que tu obéisses, sache que cela ne me
pose aucun problème tu sais. »
Jérôme ne répond pas. Il
baisse la tête, honteux de la situation mais aussi de son comportement. Il a
envie de faire plaisir à Madame Lepand. Il sait qu’elle a raison. Bien sûr il
souffre de cette terrible correction et des précédentes. Evidement il la trouve
cruelle et sévère. Mais au fond de lui, il sait que c’est pour son bien. Il lui en est même reconnaissant.
Direction la douche. Jérôme
peut voir dans le miroir l’état de ses fesses et de ses cuisses. En le voyant
le spectacle il comprend pourquoi il souffre autant. Comme toujours, sa tutrice
lui donne une toilette minutieuse. Bien que ce soit la troisième douche de la
journée, on peut dire que c’est un nouveau récurage en règle qu’effectue Madame
Lepand. Au moment de lui laver la verge,
elle entreprend de lui décalotter mais se butte à une petite résistance. Jérôme
lâche un « aie ». Du coup Madame Lepand fait quelque va et vient
avec le pénis de son pupille. Tout semble rentrer dans l’ordre. Un petit incident intervient quand même.
L’opération effectuée entraine une érection reflexe chez Jérôme. Cela déplait
forcément à Martine Lepand.
« Comment
oses-tu ? Gronde-t-elle en donnant quelques claques sur les cuisses déjà
meurtries de son pupille. »
Décidément ce n’est pas la
journée Jérôme, mais ça a le mérite de calmer ses ardeurs. La toilette qui
était déjà active est terminée sans ménagement et elle le rince à l’eau glacée
ce qui coupe le souffle du jeune homme.
Parfaitement propre, coiffé et
en pyjama, Jérôme se retrouve à genoux dans le salon face à Martine Lepand qui
a pris place sur le canapé. Elle s’est munie de sa fameuse règle.
Une nouvelle correction
s’annonce.
« Je ne peux plus te donner de fessée aujourd’hui.
Toutefois mon garçon je ne peux pas non plus laisser passer ton comportement.
Tu es incorrigible ! Mais crois je ferai de toi un bon garçon bien élevé
et obéissant. Si je ne peux pas te
fesser maintenant, je vais te punir sur tes mains et tes doigts. Tends-moi ta
main gauche bien à plat. »
Jérôme obéit bien aidé par sa tante Martine qui prend sa
main avec fermeté.
Elle lui inflige dix coups de règle sur sa main puis ses
doigts. Elle recommence l’opération sur l’autre main. Elle frappe fort et sans
ménagement. Jérôme termine encore en
larmes. Pour ne pas changer. La suite n’est pas plus agréable. Il doit rester à
genoux en soulevant au-dessus de sa tête un lourd dictionnaire que sa tutrice
lui place dans les mains qui le font souffrir.
« Tu vas méditer sur ton comportement aujourd’hui. Tu
vas comprendre ce que j’attends de toi. Tu vas comprendre ce qu’il en coute
d’être un vilain garçon qui n’en fait qu’à sa tête. Décrète Madame Lepand. »
Il reste ainsi près de 40
minutes. Ses bras sont tétanisés et il est très fatigué. Cela tombe bien il est
encore envoyé au lit le ventre vide. Après le brossage des dents, tante Martine
le couche un simple baiser sur le front.
« Je
suis très mécontente de ton comportement mon garçon. Tu as intérêt à
t’améliorer car je n’hésiterai pas de fouetter encore et encore. Crois-moi je
te dresserai ! Dès demain tu iras à l’école en culotte courte et en
blouse. »
Jérôme s’endort vite, sur le
ventre, malgré l’angoisse de ce qui l’attend le lendemain…
Vous n'avez pas lu ce qui a précédé ?
Une suite à cet épisode ?
Elle va venir, la semaine prochaine.
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Vous voulez les lui adresser directement ? Pas de problème ! Voici son adresse courriel : Jonas
Dans tous les cas, il vous répondra.
Amis de la poésie et de la gymnastique fessière... Bonjour.
RépondreSupprimerPas doué pour la gymnastique le Jérôme! Du coup, sa prof s'applique à commencer par lui muscler les fessiers!
C'est fou comme dans de nombreux récits, les tantes, tantines, tata et Cie ont vocation d'intransigeance et d'extrême sévérité. Parfois encore, plus pire, que les mamans ou même, les belles mères, pourtant souvent présentées comme de véritable harpies!!
Tante Martine ne déroge pas à la règle, qu'elle utilise sur les mains du pauvre Jérôme quand son derrière à fait le plein de fessées...
Pas à la noce le jeune homme, transformé en "bambino" en culotte très courte pour qu'on voit bien le résultat des fessées sur ses cuisses et le bas de ses fesses. Elles n'en voient pas de toutes les couleurs, mais d'une seule... Le rouge, écarlate de préférence.
Tante Martine est impitoyable, mais c'est pour son bien... On n'en doute pas une seconde.
Récit vif, alerte, dynamisé par l'emploi de phrases courtes qui donnent ce rythme enlevé à la narration.
Cordialement
Ramina
Merci Ramina
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